Décembre. Un château de la région parisienne. Temps frais mais ensoleillé. Une belle soirée s’annonce. À l’extérieur, c’est un défilé de grosses berlines et de coupés sport. À l’intérieur, c’est smokings, robes de soirée et tailleurs. Ce soir, on remet les trophées de l’immobilier, d’où la tenue correcte exigée. Comme tous les ans, Leslie ne manque pas d’y aller. C’est toujours bon pour le carnet d’adresses.
Cette année, elle est accompagnée de sa fille. Leur présence a d’ailleurs été rapidement remarquée. Pas tant pour la directrice de l’agence immobilière. La réputation de salope insatiable de Leslie est connue dans le tout-Paris et au moins la moitié de l’assistance a eu l’occasion de la baiser. Ce soir encore, les habitués n’ont pas manqué de s’approcher de la bourgeoise, d’essayer de deviner ce qui se cache sous son tailleur. Un chapeau noir à voilette et une paire de gants en tulle. pour un peu de mystère. Une jupe noire, une veste rouge sang. Une guêpière rouge, chose évidente, des bas couture noirs, naturellement et une paire de Louboutin aux pieds. Classique pour ceux qui la connaissent bien mais d’une efficacité plus que redoutable. Sucer et se faire sodomiser sont les deux grandes passions de cette salope experte.
Mais ce soir, c’est différent. C’est vers sa fille, Chloé, que convergent tous les regards. La fille de Leslie est blonde et a des yeux noisette. La bouche mutine est rehaussée de rouge. Les hommes présents bavent devant le décolleté particulièrement profond. Un 95C superbement mis en valeur. Deux obus qui ne demandent qu’à être sortis de leur gangue de tissu par des mains habiles. La robe échancrée est fendue jusqu’à l’aine et moule ses fesses de façon indécente. Chloé ne cache rien de ses arguments, ni de ses jarretelles bien tendues sur des bas couture gris. À ses pieds, des Louboutin aussi mais avec un talon de quatorze centimètres. Une chaîne de cheville vient parer d’éclat la finesse de ses bas.
Le maître de cérémonie a commencé son discours mais les hommes ne l’écoutent pas et préfèrent papillonner autour de Chloé. Elle est la vedette de la soirée. Même l’orateur perd son texte et bafouille. Tour à tour, les mâles, une flûte de champagne en main, s’approchent de la jeune femme, n’hésitent pas à effleurer ses fesses, voire carrément à les toucher du creux de la main. Chloé ne s’en offusque pas, bien au contraire. Comme sa mère, elle a une grosse envie de bites. Chloé lui fait un signe de la main et s’éclipse en direction des cuisines que les deux salopes ont pris soin de repérer. Elle sait que des hommes vont suivre le balancement de son cul.
Une fois parvenue à destination, la fille de Leslie repousse des plats et quelques plateaux. Elle s’installe sur une des tables, robe de soirée relevée sur sa chatte dépourvue de tout obstacle et et n’hésite pas à se caresser. À peine une minute plus tard, trois hommes d’âge mûr la rejoignent. Ils se mettent en demi-cercle autour de la table et extraient tous leurs sexes tendus de leur pantalon.
Ravie, Chloé descend de la table, s’accroupit, chope deux queues dans sa main pendant qu’une troisième se présente à l’entrée de sa bouche. De façon experte, comme lui a appris sa tante, la jeune femme branle les bites avec dextérité. Sa bouche de putain est totalement investie. L’homme qui lui fait face s’est enfoncé en intégralité. Chloé n’a pas encore l’habitude de pratiquer des gorges profondes et recrache un peu de salive sur le carrelage. Du coin de l’œil, elle constate que sa mère, salope experte, s’est invitée au spectacle. Les fesses appuyées contre une table, elle a relevé la jupe de son tailleur et s’emploie à caresser sa chatte trempée avec frénésie.
Toujours accroupie, bien en appui sur ses talons aiguilles, Chloé continue de s’employer sur les trois queues. Trois hommes dans la force de l’âge. Trois hommes qui bandent fermement et qui jouent avec ses gros seins et ses tétons bien dressés. Sous le regard fiévreux de Leslie, Chloé pompe et branle alternativement les trois bites. Le fait d’être ainsi observé par sa mère l’excite encore plus. Elle sent que son jus se libère et inonde le carrelage de la cuisine. Ce qu’un des hommes ne manque pas de faire remarquer :
– Regardez comme elle mouille, cette salope ! On dirait sa mère !
Celle-ci s’avance d’ailleurs et empoigne une bite que sa fille lui laisse. De sa main gantée, Leslie commence à agiter le membre offert avant de s’agenouiller pour le prendre en bouche avec délice. La mère et la fille se font face-à-face dans une sorte de duel trouble. À ce jeu, Chloé est la première à céder. Elle se relève, non sans un regard lubrique pour sa mère, puis se penche, les coudes bien en appui sur la table et présente ses fesses.
Le plus âgé des hommes s’engage directement dans son cul tandis que l’autre prend soin de lui remplir la bouche par des va-et-vient réguliers.
De son côté, Leslie, qui ne s’est pas déshabillée car elle adore se faire baiser ainsi, s’est mise à quatre pattes à même le carrelage. Elle aussi tient à être prise par la voie étroite. Son soupirant s’emploie à bien la maintenir par les hanches et s’enfonce sans effort dans l’anus perpétuellement dilaté. La mère de Chloé se fait secouer sans ménagement. Tout comme sa fille, elle hurle son plaisir. Mère et fille unies dans le bonheur d’être défoncées.
Sans modifier leur position, les deux femmes n’hésitent pas à changer de partenaire. Désormais, Leslie est prise par deux hommes : un vient de s’immiscer dans son cul tandis que l’autre s’est accroupi et entreprend de se faire sucer par cette divine salope. Chloé continue de se faire enculer. L’homme en profite pour pétrir ses énormes seins et jouer avec sa chatte totalement trempée.
Dans la cuisine, trois autres hommes d’une âge certain viennent d’entrer. Sans concertation mais avec évidence, ils sortent chacun leur bite. On se positionne afin de remplir les orifices restés vides. Sur le carrelage, Leslie subit d’office une double pénétration tout en suçant une grosse queue.
Pour Chloé, c’est la même chose. Une bite dans la chatte, une autre dans son cul et un gros chibre dans la bouche, elle s’est placée à côté de sa mère. Pour la jeune femme, il s’agit d’une première. Transpercée de plaisir, Chloé ouvre un instant les yeux. D’autres hommes arrivent. Ils sont quatre.
Les mâles s’échangent les rôles, s’échangent les places. Pas de jaloux, chacun y aura droit. Dans la cuisine, c’est un concert de gémissements et de commentaires toujours plus salaces. On se branle, on se fait sucer, on pénètre, on encule à tour de rôle. Les dix hommes présents donnent énormément de plaisir aux deux salopes.
Secouée de partout, Leslie s’arrête pourtant dans son mouvement. Sans un mot, elle repousse ses tourmenteurs et att**** son sac à main. Elle en extrait un gode ceinture qu’elle enfile aussitôt. Les hommes la regardent, tous étonnés. Même ceux qui s’occupaient de Chloé ont stoppé leur cavalcade.
Leslie s’avance vers sa fille, écarte les mâles et s’installe derrière la jeune femme. La bourgeoise se penche vers Chloé.
– Depuis le temps que j’attends ça… Je ne pense pas que tu vas t’y opposer.
Leslie place la tête du gode près de l’entrée très élargie de l’anus de sa fille et l’enfonce d’un coup. La belle salope multiplie les va-et-vient sur les yeux interloqués des hommes qui ne s’attendaient pas à autant de perversion.
– Elle est encore plus salope que ce que je pensais, fait l’un d’eux.
– C’est clair, confirme un autre. Quelle putain !
Après avoir arraché de nouveaux cris de plaisir à sa fille, Leslie marque une pause.
– T’arrêtes pas maman, c’est trop bon !
– Attends, Chloé. J’ai encore une surprise pour toi. Messieurs, vous n’avez pas tout vu !
La jeune femme lève des yeux éperdus de reconnaissance vers sa mère. Leslie détache le gode ceinture. Chloé se relève, elle a compris. Sa mère lui tend le l’appareil. La jeune femme l’enfile de façon très naturelle pendant que sa mère se met à quatre pattes et présente son orifice très dilaté. Chloé prend place derrière elle, lui flatte les fesses du plat de la main avant de la pénétrer d’un coup sec.
– La mère et la fille sont aussi salopes l’une que l’autre, dit l’un des hommes.
– C’est évident.
Les mâles, de plus en plus excités par cette situation inattendue s’approchent, bite dressée en main. Chloé ne ménage pas sa peine pour défoncer le cul de sa mère. Leslie crie, hurle son plaisir occupé. Elle invite les hommes à se placer près d’elle.
– Remplissez ma bouche, je veux vos bites !
– Oui, mois aussi ! réclame Chloé.
Le partage se fait de façon équitable. Cinq bites pour Leslie, les cinq autres pour sa fille.
Les deux femmes sucent alternativement chaque queue. L’heure de la jouissance ne va pas tarder. Les hommes s’activent sur leurs membres. Du foutre épais vient s’abattre dans la bouche de Leslie. De longues giclées épaisses que la bourgeoise salope avale intégralement. L’homme cède sa place à un autre. Lui a envie de jouir sur la voilette et ne s’en prive pas. Des traînées de sperme gluant atterrissent sur la dentelle délicate.
Leslie continue d’ouvrir sa bouche de putain pour recevoir d’autres doses de sperme. Les diverses semences viennent s’abattre sur ses joues, sur la veste de son tailleur, au fond de sa gorge. La bourgeoise est comblée en léchant chaque queue. Hors de question pour elle de laisser perdre une goutte de foutre.
Du côté de sa fille, les cinq hommes déchargent en même temps. Le visage de Chloé est inondé de sperme consistant. La jeune femme entreprend de nettoyer chaque bite, comme le lui a appris sa mère, il y a quelques années.
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