Chapitre 3 : Laurine était encore vierge !
– Baise-moi papy !
Me répète encore ma petite-fille Laurine.
Elle s’allonge sur le lit et écarte bien ses cuisses. Je ne peux détourner mon regard de sa chatte maintenant entrebâillée, toute humide de cyprine, qui palpite doucement et qui m’invite.
– Laurine, je suis comme ton grand-père. Je ne peux pas te baiser comme une fille que je viens de draguer dans un bar. Comme une petite salope.
– mais je suis une petite salope papy. Crois-moi ! Je te raconterais mes frasques sexuelles et tu verras ! Et tu n’es pas tout à fait mon grand-père…
Je caresse ses seins et frotte son téton dans ma paume. Laurine gémit.
– Oui, papy… c’est bon. Touche-moi, prends-moi…
Je prends conscience qu’après l’avoir élevée comme ma fille j’ai maintenant devant moi une jeune femme sensuelle, belle et désirable malgré son jeune âge, sans véritable lien de parenté, qui me demande de la baiser. Vous feriez quoi, vous… franchement…
Ma main glisse vers son ventre tout lisse puis dans le creux de ses cuisses si douces, sans défaut, fermes et soyeuses à la fois. Mes doigts frottent sa fente humide et chaude et elle gémit de nouveau quand je plonge deux doigts dedans.
-Tu vois, papy, je mouille tellement j’en ai envie. Prends-moi et fais-moi l’amour.
Je retire mes doigts, je les suce et elle se redresse pour m’embrasser en même temps et goûter avec moi sa cyprine de jeune fille perverse. Sa petite langue rose s’élance entre mes doigts, pour prendre le jus dans sa bouche. Je la prends dans mes bras, son souffle est brûlant, elle est chaude, sacrément chaude, elle brûle de désir. Comment lui résister.
Elle s’offre à moi sans pudeur.
– Papy, aime ta petite puce. Prends ma chatoune, je te l’offre. Touche-moi là, elle t’appartient. Oui, plus loin… Oooh, ouiiii, juste là.
– Arrête de m’appeler Papy ! Ça me gêne.
– Moi ça m’excite Papy !
Quelle perverse ! Elle m’offre son intimé de jeune fille et sa chatte est magnifique, fraîche comme une rose avec la rosée du matin. Ça fait des lustres et des lustres que je n’ai vu une chatte si jeune, si sublime… et si désirable. Ma main tremble quand le bout de mes doigts plonge en elle et ma bite, contre sa cuisse, est dure comme une barre de fer, plus dure qu’à n’importe quel moment de ma vie. Elle pose sa main sur mon sexe et serre ses doigt autour, mais ils n’en font pas le tour. Elle gémit doucement en caressant ma bite.
– Huuummmm…j’aime la caresser…elle est belle Papy ta bite. Tu sais, ce n’est pas la première fois que je la vois. Je t’ai déjà espionné sous la douche.
– Petite cochonne ! Tu mériterais une bonne fessée.
– Mets-moi plutôt ta queue dans ma petite chatte qui pleure d’envie.
– Ma puce…on ne peut pas faire ça !
– Si papy. J’ai attendu d’être grande pour réaliser mon rêve. Allez, fais plaisir à ta petite fille chérie que tu as si bien élevée.
J’embrasse son cou, sa peau douce et parfumée contre mes lèvres accentue mon désir et je la couvre de baisers jusqu’à ce que j’embrasse l’intérieur de sa cuisse à la peau si fine près de son pubis et mes doigts toujours dans la moiteur de sa petite chatte. Ma petite fille lèche ses doigts et ses lèvres brillent avec mon pré-sperme dessus. Sa petite langue rose coure le long de ses lèvres et ses yeux brillent…de perversité et d’envie.
Elle écarte encore plus ses cuisses et me lance des regards affamés. Pendant quelques secondes on se regarde, conscients que nous sommes au bord d’un gouffre irréversible.
Je prends ma bite et je frotte sa chatte avec mon gland, hésitant encore malgré son regard implorant.
Alors, oubliant que c’est ma petite Laurine que je vais baiser, je pousse ma bite en avant et écartant ses douces lèvres humides, je glisse dans la chatte de ma petite-fille. Elle est chaude et je m’enfonce doucement malgré l’étroitesse de son vagin quand tout à coup je sens une résistance ! Son hymen ! Elle est encore vierge !
– Laurine ! Mais tu es vierge !
– Oui papy. Je voulais que tu sois le premier. Je ne voulais personne d’autre que mon papy d’amour. C’est toi le fantasme de mes rêves de jeune fille. Prends-moi, papy !
J’en ai les larmes aux yeux. Ma petite-fille me supplie de la déflorer. Comment est-ce que je peux décrire un moment pareil ? C’est un rêve ! Cette beauté m’offre sa virginité et je vais accepter car mon gland, bien au chaud dans sa gaine de velours, s’impatiente.
Mais je n’ai plus besoins de me poser la question car, Laurine m’a tiré contre elle en même temps qu’elle a levé son cul.
Elle pousse un léger cri et elle est devenue femme. Sa chatte engloutie presque entièrement ma bite comme un gant dont l’extrémité enserre mon gland alors que les parois de son vagin s’écartent pour laisser le passage. Je ne bouge plus de peur de lui faire mal car ses cuisses se sont resserrées sur mon corps. Je la regarde mais elle a les yeux fermés et semble détendue, presque en extase, incroyablement belle. Elle écarte ses cuisses et je sens ses mains sur mes fesses qui m’attirent vers elle et je glisse inexorablement dans son sexe. Sa chatte est très serrée, sa vulve avalant ma bite comme une deuxième bouche, enserre ma bite gonflée jusqu’à ce que je sois complétement en elle. Sa jolie frimousse est proche de mon visage, ses ongles s’accrochent dans mon dos et elle gémit en ouvrant les yeux.
– OOOoooooohhhhh, papy… c’est incroyable ! Qu’est-ce que je te sens bien ! Et je ne rêve pas ! Tu es en moi…et j’adore !
Nous ne bougeons plus et savourons cette incroyable sensation que procure la jonction de deux sexes en chaleur et affamés.
Elle lève ses cuisses et verrouille ses jambes dans mon dos en me murmurant des mots si doux qu’ils coulent comme du miel dans mon oreille.
– J’ai voulu ça dès que ma chatte à commencer à me chatouiller. J’étais toute jeune et je savais que c’était mal. Mais un matin, je t’ai vu sortir de ta chambre avec ta bite toute raide, et depuis ce jour elle a envahie mes rêves les plus torrides. J’avais honte. Et un jour, maman m’a dit la vérité sur notre filiation ! Depuis ce jour je me suis juré que c’est toi qui me feras devenir femme. Tu seras toujours mon Papy mais à partir d’aujourd’hui tu seras mon Papy d’amour… Mon amant !
Elle ondule un peu ses fesses et ajoute.
– Fais-moi l’amour papy, fais-moi jouir par devant, tu la sens ma chatte…comme je sens ta bite…dis-moi comment tu sens ma chatte, papy…tu l’aimes la chatte à ta petite puce ?
Tout ça en bougeant son cul pour que ma bite frotte bien son vagin qui étrangle ma queue. Puis elle bascule ses hanches pour que ma bite ressorte un peu de sa chatte et ajoute en gémissant.
– Huuuuummm, je la sens bien ! Et toi papy !
Heureusement que je suis resté immobile pendant un bon instant sinon j’aurais explosé comme un collégien à sa première baise. Cette petite est incroyable, elle commente son plaisir et m’excite à mort. Je dois prendre sur moi pour résister à cette petite perverse, qui était encore vierge, mais qui n’en ai sûrement pas à sa première relation sexuelle.
Je joue son petit jeu et je lui murmure.
– Je suis entièrement en toi ma petite puce. C’est sublime ! Je n’ai jamais connu une sensation si forte ! J’ai l’impression que ta chatte va me dévorer tellement elle aspire ma bite. C’est fabuleux !
– Oh, oui… j’ai envie que ma chatte dévore ta bite comme je le ferais avec ma bouche. Enfonce là bien papy. AAAaaaahhhh, ouiiiii comme ça ! Huuummm que c’est bon. Vas-y papy ! Baise-moi !
– Oui, ma petite chérie, je vais te baiser. Et tu vas t’en rappeler !
Et je commence à piner cette petite salope en herbe en fouillant sa jeune chatte de toutes les manières possibles, en la regardant pour bien capter ses réactions et découvrir tous ses points sensibles. Sous moi j’ai une vestale, belle, chaude et malléable comme je le veux. Son corps de jouvencelle m’accueille dans ses profondeurs intimes, secrètes et inviolées jusqu’à ce jour. Je donne de petits coups de bite et j’alterne avec des coups longs et profonds en changeant l’angle pour pénétrer dans tous les recoins de sa chatte. Parfois, je m’arrête avec juste mon gland au bord de sa vulve qui me retient puis, quand ses mains pressent mes fesses, je la pénètre profondément pour buter sur son utérus et l’embrasser avec nos langues enlacées pendant que sa chatte a des secousses de plaisir et qu’elle gémit doucement dans ma bouche.
Je sens aux vibrations de son corps que son orgasme approche mais le mien aussi. Je me retiens tant que je peux mais en bonne amante, Laurine le sent aussi et me chuchote.
– Viens en moi, papy. Je prends la pilule depuis 1 mois.
Elle ondule des hanches comme une chatte en chaleur qu’on caresse.
– Baise-moi bien, ouiiiiiiii, encore…OOOhhhhhhh…
Je serre les dents et je continue de la baiser, comme elle dit.
– Ouiiiiiii, papy, comme ça, bien à fond. AAAaaaahhhh que c’est booonnnn. Remplis-moi Papy !
Incroyable ! On dirait une putain qui veut faire jouir son client !
– Papyyyyyy, ta bite gonfle en moi, tu vas jouir Papy. Gicle en moi, papy, je suis prête moi aussi. Remplit ta petite-fille papy !
Une vraie salope ! Ça ne m’aide pas à me retenir, croyez-moi.
Volontairement ou non, sa chatte comprime mon sexe en ébullition et d’éclanche mon orgasme. Je l’entends crier et elle s’agrippe à mes fesses pour me tirer à l’intérieur de sa chatte le plus loin possible quand mon premier jet de sperme vient frapper son col d’utérus.
Agrippés l’un à l’autre nous jouissons ensemble et nous nous noyons dans des spasmes de plaisir intense sous ses couinements de chatte comblée et mes grognement de male satisfait. Elle a sa figure dans mon cou et écrase mon corps de ses jambes verrouillés autour de moi. Sa chatte broie ma bite au rythme de mes éjaculations qui remplisse son petit vagin de mon sperme presque i****tueux, qui cherche tous les recoins possible autour de son col d’utérus avant de s’écouler le long de ma queue.
Je l’entends dire, « Je t’aime » et moi je ne dis rien, émerveillé par cette jeune fille qui vient de me donner sa virginité… ma petite-fille… Laurine.
Nos corps se détendent mais je reste en elle et je sens le fruit de notre amour qui ruisselle sur mes couilles pour colorer les draps en dessous de nous. Je me soulève sur mes bras pour la regarder. Ses yeux brillent et elle sourit comme en extase devant son saint préféré et j’entends sa voix douce.
– Reste en moi papy. Et tu vas me faire l’amour toute la nuit. C’est merveilleux de se faire baiser par la chatte.
Bien sûr je suis resté dans son lit et elle a réussi à me faire bander encore 2 fois pour lui faire l’amour et la faire crier de bonheur. Elle aime sacrément le sexe ma petite-fille !
Phantome
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