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Ma maîtresse de stage (partie 2)

Ma maîtresse de stage (partie 2)



Cette histoire est la suite de :

Après avoir débuté la matinée de la meilleure des façons, la suite de la journée fut très (très) longue tant j’avais envie de me retrouver seul avec Anastasia. Tout en skiant, je n’arrêtais pas de penser à ce qu’elle avait prévu qu’on fasse ce soir jusqu’à ce que je me dise que c’était à moi de prendre des initiatives afin de lui faire autant de bien qu’elle m’en avait donné.

Après avoir passé la soirée au restaurant avec tout le monde (je vous passe le karaoke, on est pas ici pour ça), on finit par enfin se diriger vers notre chambre. Devant notre porte, elle me fit me retourner alors que j’allais l’ouvrir afin de me donner quelques baisers sur mon cou tout en me serrant fort.

– C’est risqué, quelqu’un pourrai nous surprendre.

– C’est d’autant plus excitant, me dit-elle.

Et elle avait totalement raison, du coup, je collais mes lèvres contre les siennes. Elle en profita pour y glisser sa langue. Résultat, nos langues firent un slow langoureux. Notre baisers ne dura qu’une minute environ mais durant ce temps, tout s’était arrêté autour de nous. Malheureusement, on entendit quelqu’un monter nous forçant à nous arrêter et à entrer dans notre chambre pour continuer alors que j’avais encore le goût de sa salive délicieuse en bouche.

J’étais toujours décidé à lui faire le plus de bien possible. Je l’ai prise par la main afin de l’amener vers mon lit. Je commençais à lui enlever ses vêtements. Une fois cela fait, elle s’allongea sur mon lit tout en m’invitant à la rejoindre. Après m’être étendue à ses coté, nous échangeâmes un regard rempli de désir. Je commençais par l’embrasser tout en lui caressant sa belle poitrine. Elle commença à gémir tout doucement alors que mes caresses étaient arrivées au niveau de son nombril et ensuite à l’élastique de sa culotte.

Débarrassé de cette ultime barrière, je glissais ma main vers son pubis. Le simple fait d’effleurer ses grosses lèvres c’était répercuté par un autre gémissement qui me montrait qu’elle avait tout autant hâte que moi qu’on se retrouve ensemble. Je décidais alors de passer à l’étape supérieur en mettant entre ses jambes afin de laisser agir ma langue. Procédant par un léger passage de ma langue sur les grosses lèvres et par la suite sur les petites lèvres et sans oublier son petit bouton. Elle gémissait suivant la cadence de mes actions.

– Oh oui, c’est bon, ne t’arrêtes surtout pas !

Je lapais lentement ses lèvres les écartant progressivement pour atteindre l’entrée de son vagin. Elle gémissait de plus en plus et appuyait de plus en plus ma tête contre son entrejambe comme si elle avait peur que je m’arrête. Mais je ne comptais pas m’arrêter, je remontais ses jambes bien haut et continuais ma caresse linguale. Après quelques coups de langue supplémentaire, je joins un doigt à ma langue, histoire de reprendre un peu mon souffle et la pénétrais lentement. Je sentis à cet instant que j’avais déclenché un orgasme. Histoire de reprendre un peu ces esprits, Anastasia m’attira vers elle afin de m’embrasser à pleine bouche, goûtant ainsi à sa délicieuse mouille.

– C’est tellement bon de le faire avec un jeune, si j’avais su, je t’aurais attaqué durant ton stage.

– C’est la première fois que vous le faites avec un homme aussi jeune que moi ?

– C’est effectivement la première fois que je couche avec un homme qui pourrait être mon fils.

– Et ça vous fait quoi ?

– Tu n’imagines pas à quel point la situation m’excite et vu que depuis mon divorce je n’ai plus d’homme pour me satisfaire quotidiennement, je compte bien profiter de ce séjour pour te vider un maximum de fois.

Suite à ces mots, je restais collé à elle mais la fatigue nous entraîna tous les deux vers les bras de Morphée. Au milieu de la nuit, je fus réveillé par Anastasia, par sa main pour être plus précis. En effet, tout doucement je sentis l’élastique de mon caleçon se lever et sa main entrer pour se refermer sur ma verge. Je feins de toujours dormir afin de voir ce qu’elle allait faire.

Une fois que mon pénis commençait à être dur, je sentis sa bouche s’emparer de mon gland doucement avant qu’elle ne se renferme presque complètement sur ma queue. Elle me suçait sans gène sans aucune retenue tout en me branlant en même temps comme si elle avait totalement oublié que je dormais. Je sentais sa main me caresser mes testicules alors que sa bouche était toujours sur ma bite.

Puis tout doucement sa main glissa de mes bourses à mon anus pour venir me le caresser tendrement à ma grande surprise. Etrangement, cette sensation de doigt sur mon anus m’excitais et me procurais du plaisir. Ce traitement magnifique finit par avoir raison de ma résistance, je lâchais de nombreux jet au fond de sa bouche, ce ne fut que lorsque ma queue avait enfin ramolli qu’Anastasia la sorti de sa bouche et se rendormie comme si de rien était après m’avoir offrit ce moment de bonheur intense.

Quelques heures plus tard, lorsque je me réveillais, elle était déjà entrain de finir de se préparer. Je me dirigeais juste derrière elle pour l’embrasser dans le cou avant de commencer à la caresser un peu partout.

– Ah non pas aujourd’hui.

– Pourquoi, j’ai tellement envie de vous ! Lui dis-je.

– Moi aussi j’ai envie de toi et pourtant on ne va rien faire aujourd’hui.

– Mais pourquoi ?

– Car demain est la dernière journée de ce séjour et vu ce que j’ai prévu il va te falloir des forces, du coup c’est journée de repos aujourd’hui !

– Très bien, je vous fais confiance même si ça va être dur de ne pas vous sauter dessus.

Du coup, on ne fit rien de la journée. Le lendemain matin, on se réveilla tous deux en même temps. Elle quitta le lit la première pour aller prendre une douche. Voyant sa culotte au bas du lit, je ne pus m’empêcher de repenser à ce qu’elle avait fait avec mon caleçon et à vouloir en faire de même avec sa culotte. Du coup, je m’empressais de la prendre afin de la porter à mes narines tout en me masturbant lentement. Mais tout à coup, je l’entendis me demander de lui amener une serviette, alors que je savais qu’il y en avait déjà une dans la salle de bain. J’avais hâte de lui amener afin de voir la vrai raison de sa demande. Une fois à l’intérieur, je vis Anastasia dans la douche entrain de se caresser.

– Viens me rejoindre…

– Je sais pas, vous avez l’air de bien vous débrouiller sans moi, lui dis-je en plaisantant.

– Ne dis pas de bêtise, il est temps que tu me prennes !

J’entrais sous la douche pour la rejoindre. A peine j’eus le temps d’avoir posé un pied dans la douche qu’elle vint me donner tout un tas de baisers dans le cou avant de me dire une chose à l’oreille.

– Dans cette douche, considères que je suis ta salope !

Je n’en croyais pas mes oreilles, je n’aurais pensé l’entendre dire ce genre de chose. En tout cas, mon barreau était plus que dur. Du coup, galvanisais par ses mots, je la plaquais contre le mur en l’embrassant à pleine bouche avant de commencer à la doigter sans ménagement, ce qui la fit gémir.

– Vous avez envie de me sentir en vous?

– Je n’attends que ça !

Je me collais à elle tandis qu’elle me traitait de tous les noms. J’aimais l’entendre dire tant de mot cru. Après avoir mis un préservatif, je plaçais mon gland à l’entrée de son puits d’amour alors qu’elle était dos à moi.

– Vous voulez vraiment m’avoir en vous ?

– Oh oui vas-y ! prends moi, je suis ta salope, ta chienne !

Ne la laissant même pas finir sa phrase, je m’empalais en elle sans ménagement. Je restais ainsi quelques secondes avant de commencer mes va-et-vient délicatement dans un premier temps puis de plus en plus vite et fort. Je possédais enfin Anastasia, je rentrais en elle et sortais comme bon me semblait. A cet instant, elle était à moi malgré notre différence d’âge. Cela ne dura que quelques minutes, mais j’y allais vraiment fort.

Puis, afin de laisser redescendre un peu la pression, je me retirais. Sans dire un mot, elle se baissa afin de s’occuper de moi avec sa bouche. J’avais l’impression d’avoir devant moi une toute autre personne tant elle semblait possédé.

– Oh ouiii, vous êtes tellement géniale…

Je ne savais même pas si elle m’avait entendu tant elle semblait dans un autre monde. Elle était si douée que je commençais à douter du fait qu’elle avait connu peu d’homme depuis son divorce. Elle aimait frapper mon gland contre sa langue et j’adorais également cela. Elle essayait de prendre ma bite au plus profond de sa gorge. Je ne pouvais plus résister, je lui tenais sa tête avant de commencer des vas-et-vient à l’intérieur sa bouche !

– Attention je vais jouir…

Du coup, elle s’arrêta et me retira de sa bouche pour me retirer le préservatif avant de me reprendre en bouche, du plus profond qu’elle pouvait. Un orgasme très fort ne tarda pas à me venir libérant plusieurs jets mais elle me gardait dans sa bouche tout en continuant à me branler. Résultat cela décupla mon plaisir, des grosses giclées arrivèrent avec puissance dans sa bouche.

– C’est loin d’être terminé, me dit-elle avec un large sourire.

Alors que j’étais entrain de débander doucement, elle restait baissé afin de s’occuper du bas de mes testicules avec sa langue avant de les gober littéralement. Puis, tout en continuant cela, elle titilla mon anus avec un doigt comme elle me l’avait déjà l’autre nuit. Elle finit par me retourner pour lécher mon trou, ce qui n’était pas désagréable bien au contraire. Au bout de quelques minutes, ma queue commença à reprendre de la vigueur pour notre plus grand plaisir. Elle retourna l’espace de quelques secondes sur mes testicules avant de remonter sa langue vers la base de mon sexe afin de le parcourir dans toute sa longueur en plaçant ses mains sur mes hanches puis en les faisant remonter sur mon torse au fur et à mesure qu’elle se dirigeait vers mon gland.

Me voyant de nouveau en pleine forme, elle se releva afin de venir m’embrasser dans un premier temps avant de m’entraîner hors de la douche. Après s’être rapidement et mutuellement séché, elle m’enfila un autre préservatif avant de se mettre sur l’un des lits.

– Ne me fais pas languir et viens t’occuper de moi mon grand.

Tout en me disant cela, elle écarta ses jambes complètement. Je mis mon gland à l’entrée de sa fente afin de commencer à lui chatouiller les grosses lèvres avant de commencer à la pénétrer. Au bout de quelques minutes, je lui demandais de se mettre à quatre pattes afin d’avoir son beau cul devant moi.

– Oh que c’est bon, j’aime tant ce que tu me fais…

– Dites moi que vous êtes à moi !

– Oui je suis tout à toi ! Je suis ta pute ! Alors défonce moi !

Je commençais alors de petits va-et-vient au plus profond d’elle. Elle accompagnait mes mouvements avec son bassin et ses gémissements. Je la laissais faire un peu mais assez rapidement je lui bloquais le bassin avec mes deux mains afin de commencer des va-et-vient de plus en plus grands et de plus en plus rapides. Ses gémissements s’intensifiaient et se transformaient en cris de jouissance, signe qu’elle avait un orgasme.

– Je vais bientôt venir !

– Je veux encore ton jus, retire toi ! Défonces ma bouche ! Je veux boire ta semence !

Cette phrase m’excitais grandement. Pour me faire jouir, elle usa d’une gorge profonde bien baveuse, c’était intense et si bon. Au moment fatidique, je jouis une nouvelle fois dans sa bouche. Elle n’en laissa pas perdre une seule goutte ! Une fois bien nettoyé, on retourna dans la salle de bain afin de prendre une vraie douche avant de rejoindre les autres comme si rien ne c’était passé. Une chose est certaine, ce fut une excellente idée que d’effectuer un stage dans cette boite !

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