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Vue sur le net

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Je m’appelle Séverine. J’étais une mère et une femme modèle, avec une carrière au top ; je suis devenue une véritable salope. Je vais vous narrer les différentes aventures qui me sont arrivées ces derniers mois et qui ont faits de moi un objet sexuel offerte à tous.

Voici, pour commencer, une histoire qui m’est arrivée lors de l’anniversaire de mon fils.

Les présentations, d’abord : j’ai 45 ans, j’ai 1 fils de 19 ans, des faux jumeaux (un garçon, une fille) de 17 ans et je suis cadre dans une grosse entreprise. Je pense être une femme plutôt jolie : 1m70, brune, mince mais pas maigre, de beaux gros seins (95C) et des belles fesses, fermes et rebondies (je fais du cheval). Il paraît que j’ai un visage joli mais fermé et un regard un peu sec (on me considère d’ailleurs comme une coincée à mon travail) alors que j’aime le sexe. Sur ce point, malheureusement, mon mari n’est plus aussi svelte qu’autrefois et son gabarit pèse de plus en plus sur ses performances. Nous avons donc encore quelques rapports mais sans grand plaisir pour moi et j’ai donc pris l’habitude de me satisfaire moi-même. 

Voilà pour les présentations. Mon histoire s’est donc déroulée lors de l’anniversaire de mon grand fils qu’il a voulu organisé à la maison avec ses copains. Aucune fille dans la bande, juste une dizaine de gaillards du club de foot et du lycée… C’était un mercredi après-midi, mon mari était au travail, mes autres enfants en club. Moi-même je suis restée à la maison pour organiser (et surveiller) l’anniversaire, ce qui a considérablement énervé mon ados de fils ! 

– Tu vas pas rester à nous surveiller tout l’après midi ! C’est bon, je peux gérer.
– Tu as tord de le prendre comme ça, j’avais prévu une petite surprise pour tes copains, lui dis-je.
– et c’était quoi, cette surprise ?
– j’avais prévu de vous servir en tenue de soubrette sexy ! Dis-je avec un sourire malicieux et pensant que ça l’amuserait.
-hein, mais t’es malade ! Tu vas pas te promener habillée comme une… pute ! 

Il lâcha ce mot avec tant de mépris que j’en fût blessée. Même si je ne comptais pas réellement le faire, j’insistai et lui dit :

– c’est pas bien méchant ! C’est juste une jupe un peu courte et un tablier… moi je trouve ça marrant ! 
– alors c’est que t’es une salope !

A ces mots, je lui mis une gifle (son 1m90 ne m’a jamais impressionné) et lui hurla que sitôt son anniversaire passé, il serait punit et son père avertit ! Je repartis dans la cuisine en me disant que ce petit con avait besoin d’une leçon et qu’avant d’être une mère, je suis aussi une femme. J’eus donc une idée.

16h, l’anniversaire se déroulait bien et mon fils, Hugo, semblait avoir oublié notre dispute. Pour ma part, pas en soubrette mais en jean moulant et débardeur blanc bien décolleté, je déambulais entre les garçons pour leur demander s’ils n’avaient besoin de rien. Je me penchais vers l’un qui jouait à la console, lui offrant mon décolleté, pendant qu’un autre pouvait regarder mes fesses à sa guise. Ce petit manège dura un moment et à chaque fois que je faisais mon entrée dans le salon, tous les regards étaient braqué moi, ou plutôt sur mes seins et mon cul ! Je ne suis pas spécialement une allumeuse en tant normal, mais j’étais contente de mon effet car Hugo s’énervait de ce petit jeu alors que ses potes semblaient adorer! 
Moi-même je me sentais un peu excitée et commençait sérieusement à avoir chaud, d’autant que j’avais autorisé la bière pour l’occasion. 

Au moment de l’ouverture des cadeaux, je décide de mettre la suite de mon plan à exécution, je finis d’une traite ma bière, je me place debout devant les garçons alors en train de regarder mon fils déballer ses cadeaux et mets un CD dans la chaîne hi-fi. Tout le monde reconnait immédiatement la chanson de Joe Cockers dans 9 semaines et demie et je commence à bouger au rythme de la musique. Les garçons se regardent et se demandent ce qui se passe alors que j’ondule des hanches et remonte mon débardeur pour révéler mon nombril. 

– J’ai une petite surprise pour vous les garçons, dis-je avec une voix de « salope » comme m’a dit Hugo. J’espère que ça va vous plaire !
– Qu’est-ce que tu fous ?!?! s’exclame alors mon fils.
– Bin quoi ? Vu ce qu’ils t’ont offerts, tes copains aussi méritent un cadeau !

Tout en lui répondant et lui demandant de se calmer, je continue à danser, me retourne, me palpe les fesses en jouant avant le haut de mon jean que je baisse légèrement pour faire apparaitre la dentelle de mon boxer. Je regarde à nouveau cette belle brochette d’ados, me masse le ventre, remonte encore mon haut puis passe mes mains sur mes gros seins en les palpant généreusement. Les gars sont médusés et les commentaires à voix basse vont bon train. Mais personne n’ose s’adresser à moi, de peur que j’arrête tout. Mon strip-tease les captive et j’adore ça !

Je continue à jouer avec mon haut, le monte de plus en plus, révélant progressivement mon beau soutien-gorge noir. Celui-ci est « push-up » et me fait donc une poitrine des plus sexy. J’enlève complètement mon débardeur, le jette au garçon devant moi avec un regard aguicheur et me penche en avant en malaxant mes seins. Son visage n’est alors qu’à quelques centimètre de ma poitrine et je continue de me ploter les seins en le voyant rougir comme une pivoine. Je me redresse et commence maintenant à jouer avec mon jean, toujours en rythme. Je le déboutonne, baisse le zip, puis commence à le descendre progressivement. Mon boxer noir à dentelle apparait alors petit à petit. Je me retourne pour leur présenter mon beau cul et joue un peu avec leur nerf en révélant très doucement mes fesses. Ayant révélé la moitié de mon derrière, je fais une longue pause puis baisse d’un coup le pantalon en tendant les fesses le plus possible. Tout le monde à présent à les yeux rivés sur ces longues jambes et ce cul, mis en valeur le boxer qui me rentre dans la raie. Je lève une jambe pour la dégager du pantalon puis la repose à coté, écartant ainsi une cuisse. Même geste de l’autre jambe et je me retrouve cul tendu, cuisses écartée devant 10 ados qui commencent sérieusement à s’échauffer.

Moi-même à ce stade, j’avoue être totalement trempée et n’est qu’une envie, c’est de me doigter jusqu’à l’orgasme devant ces jeunes mâles. J’imagine mon sexe ouvert et dégoulinant de mouille face à ces ados qui ne pensent qu’à une chose : m’arracher mon boxer et me baiser ! 

Je me retourne, leur fait face en soutien-gorge et boxer et leur demande s’ils en veulent encore. Tous s’exclament que oui tandis que mon fils, manifestement en colère mais toujours dans la pièce à regarder, leur demande de se calmer car le spectacle est finit. 

Pourtant, sans l’écouter, je prends une chaise, m’assoit avec le dossier face à moi et, comme une professionnelle, écarte les jambes d’un coup. Je me penche en arrière, caressant mes seins en insistant sur mes tétons qui pointent, mon ventre, mon sexe au travers de la dentelle (confirmation : je suis trempée, le tissus aussi !). Je me remets debout, place les mains sur mes seins, approche mes doigts de l’attache située devant, la décroche et commence à jouer avec les 2 parties du soutien-gorge, sans révéler mes tétons. Les regards se font avides et impatients et je remarque que certains garçons se touchent maintenant le sexe au travers de leur pantalon, plus ou moins discrètement. Je me rends alors compte que tous doivent bander comme des malades et que 10 sexes durs me font face. 

Cette pensée m’excite au plus haut point autant qu’elle m’effraie et je me demande maintenant s’il n’est pas tant de tout arrêter, avant que ça dégénère. L’excitation me pousse à continuer un peu. Je redemande alors :

– vous voulez vraiment voir mes seins ??
– ouiii, carrément !! S’exclament-ils tous
– vous pensez vraiment que je vais vous montrer mes gros seins et mes tétons qui pointent, les mecs ??
– allez, s’il vous plaît ! Vous êtes trop belle ! 
– bon, d’accord…

J’ouvre alors d’un geste rapide mon soutien-gorge, le laisse tomber par terre et leur expose fièrement mes beaux et gros seins. Ils sont fermes, bien ronds, lourds mais pas tombant et évidemment naturels. Je les masse, les soulève, les écarte puis les resserre, titille mes tétons très dur. Les gars n’en peuvent plus, gesticulent et se touchent le sexe de moins en moins discrètement. Hugo a les yeux rivés sur mes seins!

Moi, mère de famille modèle, cadre dynamique, femme mariée, croyante et respectueuse de certaines valeurs me retrouve en boxer seins nu devant mon fils et ses copains. Et le pire c’est que j’aime ça ! Je suis dans un état d’excitation inédit pour moi, et si je n’avais pas eu de culotte, ma mouille coulerait le long de ma cuisse. Mon fils, très en colère au début, me regarde maintenant avec intensité et nous échangeons régulièrement des sourires complices. Il semble excité par la vision de sa mère à demi-nue. C’est après tout un ados plein d’hormones qui, je suppose, fantasme aussi sur les mères de ses copains, les MILF comme disent les jeunes ! 

Revenons à mon strip-tease. Jusque là, je maîtrisais la situation et me disait qu’en demandant aux garçons un peu de discrétion, surtout s’il en voulait un autre un jour, la chose n’aurait pas de conséquence. J’eu donc envie de pousser un peu plus loin le strip et commençais à jouer avec mon boxer tout en me trémoussant de la manière la plus sexy possible, tordant du cul, me penchant vers un garçon puis vers un autre. Les gars étaient chauds mais ils devinrent hystériques quand je m’allongeai par terre, sur le ventre et leva ma croupe cuisses écartés pour leur tendre mon cul et ma chatte qui, même couverte, se devinait sans mal derrière le tissus trempé. Je passe un doigt sur mon sexe et l’enfonce légèrement dans mon vagin. Le tissu pénètre sans mal mon orifice béant et je commence carrément à me caresser le clito à travers la dentelle. Je décris des cercles et pousse des petits gémissements. Pendant une minute, je me masturbe sans penser aux ados en train de me mater et ne cherche que mon propre plaisir. J’accélère mon mouvement et gémi de plus en plus distinctement. Je suis à 2 doigts de craquer et de glisser ma main sous le tissu pour me faire jouir. Mais je reprends mes esprits et me dis qu’il est temps d’en finir. Je me relève et annonce aux garçons que ce boxer est décidément de trop ! 

Devant l’enthousiasme général, je baisse d’un coup mon boxer et me retrouve alors….. en string ! Hé oui, depuis le début, n’étant pas sur de jusqu’où j’oserais aller, je me suis gardé cette dernière parcelle de pudeur. Hors de question (au début) de me mettre complètement nue devant ces gamins en rut, cela devait rester un strip coquin ! Les regards sont alors surpris, un peu déçut, même celui de mon fils qui voulait voir, je pense, la chatte de sa mère. Je me dirige vers la chaine hifi, stop la musique et, faisant dos à mon assistance, leur tend une dernière fois mes fesses découvertes. 

– le spectacle est finit les garçons ! 
– Oh non ! Vous pouvez pas vous arrêtez là ! Vous êtes trop belle madame, on veut vous voir nue ! 
– Dans vos rêves les gars… Hugo, tu peux aller me chercher un peignoir dans ma chambre ? Il s’en occupa sans rechigner, sans doute un soulager de la fin de strip, même si, lui aussi, aurait voulu me voir nue.
– A POIL, A POIL, A POIL, s’exclament-ils tous alors en cours comme des supporter à un match.
– Non les garçons ! Vous en avez assez eu !
– Sérieux, Séverine, continuez ! Vous êtes trop canon ! On dira rien à personne si vous vous mettez à poil. Hein les mecs ? 

C’était Valentin qui parlait, le meilleur ami d’Hugo, 17 ans, 1m80 et beau garçon. Son sourire et ses arguments,commençaient à faire mouche, te tout aider par une excitation et une curiosité malsaine.

-Donc, si je comprends bien, j’enlève mon string et on en reste là ? C’est tout ?
– C’est ça et personne ne le saura jamais…
– Bon….. alors ok……
– Trop bien ! Merci !

C’était l’excitation qui avait parlé,, et aussi la curiosité de me mettre nue devant quelqu’un d’autre que mon mari ou mon gyneco… De beaux jeunes hommes pleins de vitalité qui manifestement me trouvait bandante : ça me plaisait ! 

Je me retourne donc, commence à baisser mon string en tortillant du cul, jambes serrées car il est hors de question que j’expose ma chatte comme une actrice porno. Une fois mon string à terre et mes fesses totalement nues, je commence à me retourner doucement pour leur montrer ce minou tend désirer et que j’avais, ça tombe bien, taillé ce matin en ticket de métro. 

Je me retrouve donc nue face aux garçons et je découvre avec surprise qu’ils sont debout, en arc de cercle autour de moi, bites à l’air, tous en train de se masturber en me matant !!

– Mais vous êtes fous, rangez moi ça bandes de pervers !
– c’est vous qui nous avez mis dans cet état ! Vous êtes superbe, faut absolument qu’on se soulage, on va exploser ! 
– ça va trop loin les garçons ! Arrêtez ça tout de suite ! 

Mais ils commencent à m’entourer et je me retrouve nue, encerclées de 10 ados qui se masturbent en matant mes seins, mon cul, mon sexe. J’essaie de forcer le passage mais on me repousse dans le cercle de bites. Je commence à avoir peur mais je suis toujours aussi excitée. Je mouille depuis le début de ce strip, je me suis caressée devant eux et voilà que de vigoureuses bites bandées m’entourent. J’ai autant envie de me sauver que de les toucher.

– Mais vous êtes fous, rangez moi ça bandes de pervers !
– c’est vous qui nous avez mis dans cet état ! Vous êtes superbe, faut absolument qu’on se soulage, on va exploser ! 
– ça va trop loin les garçons ! Arrêtez ça tout de suite ! 

Mais ils commencent à m’entourer et je me retrouve nue, encerclées de 10 ados qui se masturbent en matant mes seins, mon cul, mon sexe. J’essaie de forcer le passage mais on me repousse dans le cercle de bites. Je commence à avoir peur mais je suis toujours aussi excitée. Je mouille depuis le début de ce strip, je me suis caressée devant eux et voilà que de vigoureuses bites bandées m’entourent. J’ai autant envie de me sauver que de les toucher.

Valentin me dit alors :
– on vous fera pas de mal et on va pas vous violer, on est pas des malades. Vous êtes juste trop bandante.
– Vous comptez faire quoi ?? Vous branler en me matant et c’est tout ?
– Bin oui mais pensait que vous pourriez nous aidez un peu, dit Valentin en prenant délicatement ma main et en la posant sur son sexe. 

Il était de taille très correcte, un peu plus gros que celui de mon mari mais surtout plus dur, plein de vitalité. Après un bref mouvement de recul retenu par Valentin, je commence à le branler très doucement, sans vraiment m’en rendre compte. Il ferme les yeux et sourit. Comme enivrée par la situation, je saisi avec ma main libre une autre bite, un peu plus petite, et la branle aussi. Les garçons prennent alors ce geste pour « allez-y » général et commencent à se rapprocher. Certains me touchent les seins, d’autres le ventre en descendant vers ma chatte et me caressent le clito. D’autres me palpent les fesses, passent des doigts entre les cuisses et caressent ma chatte. La main sur mon clito commence à me masturber et je commence à gémir en accélérant ma branlette sur Valentin et son pote. J’écarte alors les jambes, me cambre un peu et laisse l’accès libre à mon sexe.

– Vous êtes trempée madame, dit-il avec le sourir. On dirait que ça vous plait !
Une main derrière enfonce alors un doigt dans ma chatte. 
– Oh mon dieu, dis-je en gémissant.
– je confirme, elle est trempée et mon doigt rentre sans problème !

Je change alors de bite et en branle 2 autres. Une petite appartenant à un gamin devant avoir 16 ans et une énorme appartenant à un beau black qui me faisant envie depuis un moment. Elle est épaisse et longue, son gland apparaît à chaque aller-retour et cette vision me rend folle. Je me lâche de plus en plus et cambre ma croupe au maximum pour faciliter le doigtage en règle qu’un ado dont j’ignore le nom me fait. Je sens au moins 2 doigts en moi qui vont et viennent doucement. Je ferme les yeux et gémis de plus en plus fort.

Soudain, Hugo, que j’avais oublié, fait irruption dans le salon en disant :
– excuse moi, je ne retrouvais pas… puis s’interrompt devant la scène de sa mère en train de branler ses potes pendant que d’autres la doigte. 
-Mais t’es malade ! Je pars 2 minutes et te voilà à poil comme une pute !

Je lâche alors les bites, sort précipitamment du cercle de garçons et me dirige vers mon fils.
– Attend Hugo, je suis désolée, c’est arrivé sans que je le veuille ! 
– Ils t’ont forcé ??
– Non mais…
– Alors t’es qu’une salope qui trompe son mari avec des ados ! 
– Ne me parle pas comme ça je suis ta mère ! 
– Une mère ne se retrouve pas à poil devant son fils avec de la mouille qui coule de sa chatte, dit-il en pointant mon sexe effectivement dégoulinant.

Je pose alors la main sur la braguette et lui répond :
– Et un fils ne devrait pas bander comme un cheval devant se mère !

Folle d’excitation, de colère et intrigée par la taille démesurée de la bosse de mon fils, je déboutonne son pantalon et sort de son caleçon une énorme bite, le double de la taille de son père, dure comme de la pierre. Quel engin ! Sans qu’il dise un mot, commence à le branler doucement puis plus rapidement. Je crache dans ma main, sort son gland pourpre et continue de le branle en crachant sur sa bite. 

Je m’approche alors de son visage et lui murmure :
– Tu veux que je te suce ? Tu en as envie ?

Il approuve d’un geste de la tête avec un regard surpris et je me mets alors à genoux. Ce sexe à hauteur de mon visage me paraît encore plus gros. Tout en continuant à la branler, j’embrasse son gland et lèche sa hampe des couilles au frein. Ce geste me semble interminable tant le sexe est long ! Je palpe ses testicules, leur donne des coups de langues puis en aspire une… elles sont énormes également !

– tu es superbe mon chéri. Je suis fière de l’homme que tu es devenu.

J’ouvre alors ma bouche et avale la bite de mon fils. Enfin, une partie seulement, vu la taille. Je m’applique alors à lui faire la meilleur pipe possible et vais et viens avec ma tête rapidement tout en tournoyant ma langue sur son gland. A chaque aller-retour j’arrive à la prendre un peu plus loin dans ma bouche et je tente de temps en temps une gorge profonde. J’ai des haut-le-cœur mais je progresse et sens cette belle bite s’enfoncer de plus en plus dans ma gorge. A chaque centimètre gagné, Hugo pousse de râle de surprise et de plaisir et je sens le gout du liquide séminal qui échappe de son gland. A ma grande surprise j’aime ça, moi qui avais toujours trouvé le sperme de son père dégoutant, ne le prenant dans ma bouche que très rarement pour ensuite le recracher aux toilettes. Mon fils était n’allait pas tarder jouir et j’avalais maintenant les ¾ de sa bite.

Pendant ce temps, les garçons n’avaient rien loupé de la scène et excités par la tournure des évènements, s’étaient approchés de nous en se branlant. Moi-même je me caressais de ma main gauche et m’enfilait des doigts dans une chatte plus ouverte et dégoulinante que jamais. Je me cambrais le plus possible, ma chatte et mon cul alors totalement offerts à la vue des garçons. Mon fils, excité par ma fellation et par mon « exposition », prit le contrôle de la situation et décida de passer aux choses sérieuses. Il m’agrippa les cheveux et « m’invita » à le sucer plus vite et plus loin. Je gobais sa bite presque entièrement et sentait ses poils pubiens sur mon nez. Sans doute amateur de films porno, il me tenait la tête et me baisait littéralement la bouche en me bloquant de temps en temps contre son pubis, sa bite entièrement logée dans mon gosier. L’envie de vomir était présente à chaque fois qu’il me la rentrait à fond mais s’atténuait progressivement. Cette domination m’excitait au plus au point mais aussi me frustrait car je ne pouvais plus me masturber, mes mains se cramponnant par reflexe aux fesses de mon fils (pour éviter de m’étouffer plus que pour le ploter !!).

Profitant d’un répit que mon fils me laissait pour respirer, je crache une énorme filet de bave épaisse et me retourne vers ses copains qui sont maintenant tous quasiment à poil. Je regarde le plus petit que j’avais commencé de branler tout à l’heure. Il a l’air perdu dans cette scène et branle péniblement son petit sexe à coté du grand black. Je demande à Hugo son nom, Kevin, et l’interpelle :

– Kevin, ça te dit de me doigter et de me faire jouir ?
– Heu… oui, si vous voulez…
-Si tu ne veux pas je demande à quelqu’un d’autre !
– Non, c’est bon, je le fait !! se reprit-il ne voulant pas louper cette occasion.
– alors viens ici et branle moi aussi fort que tu peux !

Devant les regards envieux de ses copains, Kevin s’approche, se met à genoux à hauteur de ma chatte et alors que Hugo me reprend la tête pour me baiser la bouche, un peu plus doucement cette fois, Kevin pose ses doigts sur mon clito et me masturbe sans ménagement. Le plaisir monte immédiatement mais ne me suffit pas. Je veux plus ! Je lui saisi alors le poignet, le monte légèrement et présente sa main devant ma chatte béante. Il comprend et me met directement 2 doigts en faisant des allers-retours rapides. Mais ses doigts sont petits et cette masturbation me frustre plus qu’autre chose. Je me dégage alors de la bite de mon fils d’un coup de tête et dit à Kevin d’un ton sec :

– mets-en plus, bon dieu ! 
– Pas de soucis !!

Je reprends la fellation et sens alors une troisième puis un quatrième doigt me pénétrer. Avec un plus de difficulté pour la quatrième…

-J’y crois pas, regardez comme ça rentre les mecs ! 4 doigts et elle bronche pas la Séverine ! 
– Ducon, s’écrie un autre, elle a eu 3 gamins, tu pourrais y mettre ton poing si tu veux ! 

La bouche pleine, je ne prends pas cela au sérieux et me dit qu’ils regardent trop de porno et qu’on en rentre pas comme ça un poing dans le sexe d’une femme « normale ». Pourtant, Kévin stoppe ses va-et-vient et m’enfile son pouce jusqu’ici resté à l’extérieur. Sa main est à moitié rentrée dans mon vagin et il force pour faire rentrer le reste. Affolée par cet acte qui va me déchirer, j’en suis sûre, je m’apprête à lui dire d’arrêter mais mon fils, pas bête, me bloque la tête, m’enfonce sa queue dans la bouche et dit à Kevin de continuer.

-Sers-toi de sa mouille mais vas-y mollo ! Si tu lui fais mal, je t’explose !

Il sort alors ses doigts, frotte le dos de sa main sur ma chatte pour l’enduire de mouille et revient à la charge en m’enfilant les 5 doigts bien serrés d’un coup. La sensation d’être fouillée et abusée est fantastique et je ne peux retenir un cri étouffé par la bite de mon fils qui semble encore plus grosse qu’avant. Kevin pousse de plus en plus, fait des mouvements de rotation, progresse doucement mais surement dans mon vagin. De sa main libre, il écarte mes fesses pour faciliter le passage. Son poing m’écartèle et, sans mon rendre compte, je fais des mouvements de bassin pour accélérer l’insertion. Je ne cesse de gémir, telle une chienne. Ces cris excitent l’assemblée d’ados qui encouragent Kévin :

– vas-y, fout lui à fond ! Elle demande que ça ! 
– Regardez-moi cette cochonne de Séverine, je pensais pas qu’elle était si chaude ! 

Kévin finit enfin par me rentrer la partie la plus large de son poing et j’ai l’impression que mes chaires n’en supporteront pas plus. Mais là c’est la délivrance : il enfonce le reste d’un coup jusqu’au poignet, me remplissant comme jamais la chatte. Le plaisir fut tel que je fis un mouvement de tête en arrière que mon fils ne pu retenir et hurla :

– Oh MON DIEU !!!!

Kevin n’en reste pas là et se met à me branler le vagin en faisant des allers-retours avec son poing. Il me défonce de l’intérieur, dépliant parfois ses doigts, les repliant pour fermé son poing et l’enfoncer encore plus loin. Je ne vois rien de la scène dans mon dos mais j’ai l’impression qu’il me rentre son bras jusqu’au coude. Ce petit salaud ne me ménage pas et je sens que je vais jouir comme jamais. 

-Oh Mon DIEU, Encoooore, Vas-y !!!

A ces mots, Hugo, que je ne suce plus tant le besoin de hurler est grand, me prend par la nuque, plaque ma tête contre le sol et, alors que j’ai le cul tendu en l’air, il prend chacune de mes fesses et les écarte délicatement.

– Prends ton temps Kev’, ne la fait pas jouir trop vite, qu’elle en profite un max ! Fait un peu profiter du spectacle les autres aussi.

La prévenance de mon fils à mon égard est touchante alors que je suis en train de me faire fister la chatte comme une grosse salope ! Ce petit pervers de Kevin, sort alors son poing de ma chatte et expose cet orifice béant à tous ses potes durant de longues secondes. Eux continuent de se branler, doucement, juste pour profiter du spectacle sans jouir, comme devant un porno. Les commentaires vont bon train sur la taille de mon orifice et de jolis adjectifs fusent à mon égard : chienne, cochonne, nympho… Mais pas de salope ou pute : il régnait un respect un peu décaler par rapport à la débauche en cours. 

Alors que ma chatte reprenait une taille normale, Kévin y enfonça 3 doigts de chaque main et tira sur les coté pour me rouvrir à fond. J’étais en transe, totalement dilatée et je pleurais de plaisir. Il renfonça son poing sans difficulté, me branla un peu puis ressortit à nouveau. Je gémissais et hurlais de plaisir selon qu’il me défonce la chatte ou m’expose comme un objet à ses copains. Ce petit jeu pouvait durer longtemps alors que je ne voulais que jouir. Jouir le plus fort possible. 

Kevin dit :
– Vous avez déjà vu une chatte comme ça, les gars ? On peut y mettre n’importe quoi… tout passera !
– On pourrait essayer avec une canette de Kro ? Dit un autre. Je peux essayer, Hugo ?
– Vas-y, mais molo, Anto !

Moi j’avais la tête sur le sol, de coté et observait la scène sans réagir. Aussitôt, ce garçon se dirigea vers la table et pris une cannette vide. Puis il la reposa et en prit une autre, d’une autre marque, plus large ! 

– Bin quoi ? dit-il au autres, la kro est plus petite que le poing de Kévin de toute façon !

Tous éclatèrent de rire, même Hugo, me tenant toujours les fesses écartées, sourit en me regardant d’un air complice. Ce fameux Anto, approcha sa canette de ma chatte avec enfonça d’abord le goulot. Le froid du verre dans ma chatte en feu me surpris mais le contact avec une surface lisse était très agréable. Il enfonce alors doucement le reste de la cannette en crachant sur le verre et je sens le goulot toucher le fond de mon vagin. Anto se met alors à faire des allers-retours avec la cannette et je sens immédiatement le plaisir monter. Moi, presque bourgeoise vu nos revenus, j’allais jouir en me faisant goder la chatte par une canette de bière bon marché ! Mais apparemment très inspiré, il retira la cannette de mon sexe et dit :

– Et si on essayait de la fourrer avec une bouteille de pinard ??
– Et on se calme, intervint Hugo. C’est de ma mère que tu parle ! Allez, assez joué avec elle, il est temps qu’elle jouisse. Elle l’a bien mérité.

Hugo prend ma tête entre ses mains, me regarde intensément et dit :

– Tu veux jouir maman ? 
-Oh oui, j’en peux plus !! Fais moi jouir mon chéri.
-Tu veux que je le fasse ? Tu veux mon poing dans la chatte ?
-Non ! Je veux que tu me baise ! Prends-moi avec ta belle queue et finis-toi en moi, je veux qu’on jouisse ensemble. 
– Avec plaisir ! Mets-toi à quatre pattes et regarde mes potes. Je veux que tu les voies se branler pendant que ton fils te baise.

Je me positionne donc face au 10 mâles en rut et tend mon cul à Hugo. Il me lèche le sexe, donne des coups de langue sur mon clito, la rentre dans ma chatte et insiste même sur mon anus en me le léchant avidement. Puis, sans prévenir, il enfourne son poing dans ma chatte et me branle doucement.

– Haaaaa, mon salaud ! Dis-je
– Excuse-moi, c’était trop tentant ! 
– Pas de soucis mon amour, c’est excellent ! 

Son poing était plus gros que celui de Kevin mais passait sans problème vu le traitement que les garçons avaient faire subir à ma chatte et vu mon état d’excitation maintenu au maximum depuis une demi-heure et la fin de mon strip. Hugo retira alors son poing, présenta son sexe devant mon vagin et y inséra son gland. Il me pénétra très doucement, je dirais amoureusement à posteriori, et quand il fut au fond, commença des allers-retours très tendre.

– Oh mon dieu que c’est bon, dis-je. Ta bite est vraiment énorme. 
– Alors prends ton pied, dit-il en accélérant la cadence
– Ouiiiii, vas-y, défonce-moi, plus vite chéri, défonce-moi comme une chienne ! 

En prononçant ces mots, je fixais intensément Valentin, Anto, le grand Noir, Kévin et les autres qui se branlaient activement. Pour eux, c’était comme un porno mais puissance mille. Moi, Séverine, la mère de leur pote, une femme mure et active toujours habillée classe, faisant sans doute l’objet de fantasmes ou de scénarios pour certains le soir dans leur lit, j’étais en train de me faire sauter devant eux par mon fils, après leur avoir fait un strip-tease et avoir pris une cannette dans la chatte. D’ailleurs mes habits gisaient toujours à quelques mètres de moi, témoin d’un proche passé où je comptais juste me mettre topless pour les émoustiller un peu ! 

– Ca vient maman, je vais bientôt jouir ! 
-Moi aussi, mon chéri ! T’arrête surtout pas, on va jouir ensemble !

Il excellera encore et me baisa frénétiquement, accroché à mes hanches, cognant contre mes fesses. Ces 25 bons centimètres de sexe me perforaient mais je ne ressentais aucune douleur, uniquement un plaisir intense qui montait rapidement. Je pleurais de bonheur, tant cela était lointain pour moi, et eu soudain un orgasme monumental qui contracta tous mes muscles autour de la bite de Hugo ce qui le fit venir instantanément. J’hurlais de plaisir :

– Haaaa mon dieu que c’est bonnnnnn ! 
– Je viens, M’am, jte remplis ! 
-Oh oui, reste à fond, inonde moi avec ton sperme. Je veux te sentir longtemps.

L’orgasme continua et me secouait les fesses et les jambes. Mes bras flageolaient et, vidés, Hugo et moi s’écroulons au sol, toujours emboités. Après quelques secondes de jouissance, il se retire en gémissant de plaisir et me laisse finir de prendre mon pied, croupe légèrement levée agitée de derniers soubresauts. Il me contourne, se met à genoux devant moi, et alors que j’ouvre les yeux, il me pose une main sur la joue et me demande si j’ai aimé. 

– C’était fabuleux mon chéri, mieux que ce que je n’ai jamais connu.

Alors que je me redresse pour l’embrasser tendrement sur les lèvres, je sens un flot de sperme s’écouler de mon vagin et mets par reflexe ma main en soucoupe en dessous, comme à chaque fois avec mon mari pour ne pas tacher les draps. Sauf que c’est une mare de foutre qui se trouve dans ma main. Je me souviens alors que j’avais trouvé le liquide séminal de mon fils délicieux et, encore toute excitée, je décide de goûter son sperme. Un petit coup de langue me confirme que ce breuvage est encore chaud et à mon gout. J’aspire donc une première gorgée de sperme et l’avale directement. Délicieux ! Mon fils, face à moi est très surpris par mon comportement et me lâche un « petite cochonne, finis tout ». J’aspire le reste de foutre, le stocke dans ma bouche, lui montre à lui et à ses copains puis avale d’un coup. Affamée, je fouille dans ma chatte à la recherche des dernières goutes, me lèche les doigts et dis à Hugo :

– relève-toi chéri, je vais te nettoyer.

Je prends alors sa bite un peu ramollie dans ma bouche, le nettoie de ma langue et le pompe littéralement pour extraire les dernière goutes de son merveilleux nectar. Il me demanda alors :

– t’en veux encore ? 
– mmmmmhhh, fis-je en le suçant et en acquiesçant de la tête.
– elle va s’occuper de vous maintenant les mecs, annonça-t-il à ses copains. 

Il est vrai qu’à la base, je m’étais engagé à les faire jouir et que finalement, ils étaient toujours en train de se branler tels des puceaux devant un porno alors que moi, j’avais pris un pied terrible avec Hugo. Je me décida donc à masturber et sucer ses ados et l’idée de gouter à 10 bites différentes ne me déplaisait pas, bien au contraire. Et puis, même si ce sont des ados habitués à la masturbation, ils s’astiquaient depuis plus d’une demi-heure ne serait sans doute pas longs à finir, ainsi que cette folle après-midi.

Je me trompais.

Hugo me soulève alors et me porte comme une mariée jusqu’à la table du salon. Il demande qu’on fasse un peu de place et je dépose délicatement allongée sur le dos. Les garçons m’entourent et commencent à caresser mon corps ainsi offert. On me touche les seins, on me lèche les tétons, on me caresse le clito et on m’enfile des doigts… je suis littéralement assaillie et j’adore ça. De part et d’autre de la table, on me prend mes mains et m’invite à branler les sexes de 2 gamins que je n’avais jamais vus avant aujourd’hui. Le plaisir commence à revenir, doucement mais sûrement. Je gémis, je râle de plaisir et pousse des petits cris. Les doigts en moi sont particulièrement efficaces ! Valentin, dont l’instance a été à l’origine de cette orgie, mais qui finalement n’avait que peu participé, me tourne la tête sur le coté et, du bord de la table, me présente sa queue devant ma bouche. Sans hésiter, je commence une pipe goulue, bien que gênée par ma position sur cette table (sur le dos, les 2 mains prises). 

Valentin, souhaitant sans doute palier à cette défaillance, me tient la tête et fait de grands allers-retours dans ma bouche. Il a assisté la gorge profonde que j’ai fait à mon fils et n’hésite donc pas à me la rentrer à fond, à me maintenir ainsi de longues secondes et me bouche même le nez (merci le porno sur internet !) avant de me libérer pour que je reprenne ma respiration. Puis il reprend ses va-et-vient et continue de me baiser la bouche ainsi. A ce moment j’ai la sensation d’être un objet sexuel car les garçons se servent de moi pour le plaisir et font se qu’ils veulent sans jamais me demander si je suis d’accord. Par contre Hugo, lui, semble tout contrôler et surtout tout surveiller. C’est ainsi à lui qu’un gamin a demandé la permission de me « fister » la chatte et non à moi. J’ai donc, pour la troisième fois cette après midi, le poing d’un ados qui me ramone le vagin ! Et à nouveau je gémis comme une chienne à cette masturbation.

Un garçon autre demande :
– J’en peux plus Hugo, je peux la baiser ? 
– Vas-y JB, vu ce qu’elle se prend, ton calibre passera sans problème ! 

Je devine alors qu’il s’agit du grand Black car, à part mon fils, c’est le seul « calibre » de l’assemblée pouvant me poser un problème. Je dis « je devine » car avec Valentin qui me maintient la tête contre la table pour me mettre sa queue à fond, je ne vois pas vraiment qui s’apprête à me sauter… 

La main qui me masturbait se retire donc. JB me tire vers le bord de la table, me lève et m’écarte les jambes et je sens un gland se placer à l’entrée de mon vagin. Comme prévu par Hugo, il y rentre sans aucune difficulté ! Je perçois tout de même une largeur hors du commun et les allers-retours qu’il commence à faire me submergent immédiatement de plaisir. La bouche pleine, je pousse un long râle de surprise et de plaisir tandis qu’il baise sans ménagement. 

– Ho putain, qu’elle est bonne ! Haaa tu la sens ma queue, hein ? 
– Mmmh vas-y défonce-moi, lui criai-je alors que Valentin daigne me laisser respirer. Déchire-moi ! 

L’excitation me transformais en furie et je ne me contrôlais plus, ni en geste ni en parole. Je regarde Valentin dans les yeux et lui crie :

– et toi le p’tit pervers qui voulait me voir à poil, tu me la donne la queue ? Puis j’ouvre la bouche en grand et tire ma langue pour l’inviter à reprendre la gorge profonde.
– je vais pas te donner que ma queue, chienne. Tu vas aussi boire tout mon foutre ! 

Sur ces mots, il m’enfile d’un coup sa bite dans la bouche, me l’enfonce jusque dans le gosier et se met à faire des allers-retours comme un dingue. Ma gorge fait une bruit indescriptible à chaque fois que le gland de Valentin y pénètre et je sens que s’il continue à ce rythme (et cette profondeur) je vais lui vomir dessus. Mais soudain il s’arrête, me bloque la tête contre son pubis et décharge son sperme directement dans mon gosier. De fait, j’en avale une grande quantité, puis sous l’effet de mes haut-le-cœur, il se retire un peu et finit de décharger dans ma bouche. J’avale ce que je peux de ce sperme chaud et pas mauvais mais, vu la quantité, suis obligée d’en recracher un peu. 

– Hé, c’est pas bien de gâcher ! s’écrie Valentin qui ramasse les gouttes tombées au sol avec son doigt et je me donne à lécher. Il me redonne également son sexe pour nettoyage, ce que je fais avec plaisir puis s’éloigne. Et d’1! Encore 9…

Aussitôt Valentin partit, un autre gamin prend sa place mais, plus jeune et sans doute puceau, se sait pas trop comment faire. Il me présente donc simplement son sexe, de taille normale, que je suce avidement. Cet ange, plutôt que de me baiser la bouche, me laisser faire en me caressant les cheveux et en me titillant le bout des tétons. Cette pipe m’est très agréable car, enfin, je peux sucer et lécher un sexe à guise, sans qu’on m’impose le mouvement. JB, lui, me laboure toujours la chatte avec son énorme engin, et loin d’être puceau à mon avis, me fait rapidement jouir. L’orgasme, moins intense que celui qu’Hugo m’a donné un peu avant, m’arrache tout de même un long râle de plaisir. Pendant l’orgasme, je mordille le sexe de mon jeune amant et accélère ma fellation. Celui-ci se retire alors, se masturbe frénétiquement et, sans doute inspiré par des heures de porno, éjacule sur mon visage un sperme bouillant. Il me recouvre moitié du visage et m’en met dans les cheveux. Et de 2 ! Il restait encore 8 jeunes étalons à faire jouir…

– Eh, mon salaud, lui dis-je dégoulinante, tu aurais pu me demander avant ! 
– Désolé madame…
– C’est rien mon grand, il parait que c’est bon pour la peau ! 

Je ne sais pas si c’est mon visage recouvert de foutre qui l’a achevé mais je vois mon JB grimacer et sens alors les allers-retours s’accélérer :

– Arrrhhh, j’en peux plus ! Je peux venir en vous ? 
– avec plaisir, beau Black, remplis-moi. 

Il ne faut pas plus de 2 coups supplémentaires à JB dans le fond de mon vagin pour craquer et me décharger son foutre. Je sens ses spasmes secouer son sexe et des flots de sperme m’inonder. C’est magnifique de se sentir ainsi pleine de jus d’homme et à ce moment là, je ne pense absolument plus à la femme respectable et pudique que j’étais il y a 2h. 

– Ouah ! Bin toi, quand on te dit de remplir, tu fais pas semblant ! Mais j’aurais bien voulu y gouter un peu, dommage, lui dis-je avec un sourire, on peut le dire, de salope.
– Ca peut s’arranger…

Il se saisi d’un gobelet tombé au sol, me prends par les hanches et me fait glisser au pied de la table, à croupie, cuisse écartée. Je pense d’abord qu’il veut me faire nettoyer sa bite mais il place le gobelet sous ma chatte et y recueille le sperme qui se met à sortir de mon trou béant. Il m’enfile 3 doigts et racle l’intérieur de mon vagin pour retirer un maximum de jus puis, fait tomber les gouttes ainsi récupérées dans le gobelet. Il se relève, je demande (je m’en doutais) de lui nettoyer la bite et, alors que j’essaie péniblement de d’avaler ce sexe encore énorme, il regarde le niveau de foutre et dit :

– moitié d’un gobelet, ça vous ira ? 
– vous êtes tous plus pervers les unes que les autres, les gars, dis-je en me dégageant de son sexe, un peu dépitée par cette nouvelle expérience imposée, pour le coup carrément dégradante. Et sur ces mots, il me tend le verre et m’invite à boire.

Je regarde Hugo qui acquiesce et, l’air curieux, attend de voir si je vais tout boire.

– A la votre ! J’avale une petite gorgée de ce breuvage, le trouve parfaitement à mon gout bien que très épais, et finis le gobelet d’une traite. Et de 3 ! 
– Voilà, c’est vide, dis-je fièrement en retendant le gobelet à JB. 
– Attendez, je vais vous faire le plein, Séverine. 

C’était un des 2 gars que je branlais qui avait parlé, sans doute au bord de l’éjaculation depuis un moment. Il prend le gobelet, le place sous son gland et m’invite à la branler. Il n’est pas long à venir grâce à ma main experte et lui aussi déverse une belle quantité de sperme dans le verre. Je lui pompe le gland pour récupérer la dernière goutte et je regarde le niveau du gobelet : un bon tiers. 

– d’autres volontaires avant que ça refroidisse, demandais-je ?
– Oui, moi madame. Mais vous pouvez me sucer pour me faire venir ?
– Bien sûr mon chéri, répondis-je tendrement au garçon, Seb je crois, un pote de lycée d’Hugo mignon mais timide.

Tenant toujours le gobelet d’une main, je saisi son sexe de l’autre, le branle puis l’avale pour lui faire la meilleur pipe possible, tant ce beau jeune homme me fait craquer. Je suis toujours accroupie, cuisse écartée, et un autre gamin en profite pour me caresser le clito en se masturbant. C’est divin et je mouille encore abondamment, mais je me fais la réflexion qu’on ne me laisse aucun répit depuis 2h et que j’ai encore 6 ados à faire jouir. 

Seb semble adorer ma fellation, il me saisi un sein, me le palpe comme si il n’en n’avait jamais vu d’aussi gros et me tire sur le téton, d’abord délicatement puis, me sentant réceptive, me le pince franchement. Il me fait mal mais j’aime ça. Pour jouer, je lui mords la queue autant qu’il me pince le téton et referme ma mâchoire au fur et à mesure qu’il accentue sa pression. La douleur se fait vive mais je n’ai pas envie d’arrêter, j’ai juste envie de le mordre encore plus fort. A posteriori, je me rends compte qu’en 2H, ces gamins m’ont transformé en une nymphomane SM avide de foutre ! Nous lâchons prise ensemble et, ne voulant pas que le sperme dans mon gobelet refroidisse trop, j’accélère ma pipe, le finit à la main et recueille sa semence dans le verre. Je mélange les 2 jus avec mon doigt, y goute (j’adore et me dit que, décidément, ce doit être le sperme de mon mari qui est mauvais) et commence à boire le breuvage tiède. Je finis le verre en le tenant haut au dessus de ma bouche grande ouverte pour que tout le monde puisse bien me voir avaler cette quantité industrielle de foutre.

Je jette le gobelet vide au sol, sous les applaudissements des garçons et, l’espace d’un instant pense que nous avons finit. Mais 5 gaillards encore insatisfaits me font face en se branlant et je constate aussi avec surprise que Hugo, Valentin et JB, mes « gros calibre » bandent à nouveau fièrement et sont prêts pour le deuxième round. 

Il est 18h, je suis en plein gangbang depuis 2h et seule la moitié de mes amants me sont passés dessus, sans compter que les premiers vont vouloir du rab ! Je commence à me demander quand cela va finir et surtout dans quel état je serrais…

2 garçons m’att****nt par les bras, me place à quatre patte au milieu du salon et reprennent les hostilités. J’ai une bite dans la chatte et une autre dans la bouche. Ils me baisent aussi efficacement que je les suce, sauf qu’ils sont 5 et moi seule. Ils changent donc régulièrement de place, s’échangeant mes orifices au grès de leurs envies. A un moment, j’ai même 2 bites dans la bouche et ne pouvant évidement pas les prendre à fond, je joue habilement avec ma langue. J’avoue que sentir 2 glands à la fois dans ma bouche m’excite terriblement. Je sens à nouveau monter la jouissance, d’autant que les bites se succèdent également dans mon vagin. Un premier jute dans ma chatte, se retire et est immédiatement remplacé par un autre qui ne sembla pas gêné par la présence du sperme de son copain qui suinte de mon vagin. Celui-ci, Anto, le jeune à la canette, est plus brutal et me défonce sans ménagement en tapant très fort contre mon cul. Il me met également des claques sur les fesses de plus en plus fortes sans que je réagisse vraiment (je vous rappelle que j’ai actuellement 2 glands dans la bouche). Puis il me crie :

– On dirait que t’aime ça te faire claquer le cul, salope ! Et sur cette insulte, il me fouette le cul le plus fort qu’il peut, ce qui m’arrache un cri de douleur. 
– Hé tu te calme mon pote ! Intervint alors Hugo qui surveillait toujours le cours des évènements. 

Profitant de cette pause dans ma fellation, l’un des garçons que je suçais, Kevin, celui-ci qui m’a fister le premier, me jute à la figure une quantité impressionnante de sperme qui me recouvre le visage, m’en met plein les cheveux et dans les yeux, si bien que je ne peux plus les ouvrir. Le garçon dit alors :

– Attendez, je vais vous arranger, dit-il en nettoyant avec ses doigts le sperme qui recouvrait mes yeux. Puis il les présenta devant ma bouche et ajouta :
– Goutez-y et dites moi si je suis à votre gout ! 

Je suce donc ses doigts, avale son jus et secoue la tête en disant :
– Pas mal du tout ! 

Deux éjac faciales en 15 min, pas mal pour quelqu’un qui l’a toujours refusé à son mari car « seules des salopes peuvent accepter ça » comme je le pensais à une époque…

Ils ne sont plus que trois, 1 dans ma bouche, 1 dans ma chatte et un qui attend à coté. Celui-ci s’allonge sur le dos à coté de moi et sans demander à ses copains leur avis m’att**** par le ventre et me place à cheval sur lui. Il me fourre sa queue dans la foulée et commence à me matraquer. Anto se place devant moi et, décidément violent, m’enfonce son sexe le plus loin possible pour avoir droit, lui aussi, à une gorge profonde. 

Celui qui je suçais passe alors derrière moi je sens alors un doigt se présenter sur mon anus. Il commence à enfoncer son doigt, d’abord une phalange puis 2. Son doigt me semble interminable et chaque centimètre est pour moi une sensation nouvelle, étant vierge de cet orifice. Il a, à présent, son doigt tout entier dans mon cul et ce n’est pas si désagréable (mais c’est surtout la pression sur mon vagin en train de se faire pénétrer qui me fait de l’effet). Je pousse de léger gémissement et il doit prendre cela pour un acquiescement car il retire son doigt et présente son gland à l’entrée de mon trou.

Je retire vivement le sexe dans ma bouche et lance à celui derrière :

– Ah non, ça tu rêve ! Je ne me suis jamais fait enculer et c’est pas prêt d’arriver ! Mais il continue sa poussée malgré mes sphincters serrés à fond.
-NON je te dis ! N’importe où mais pas dans le cul !

Hugo intervient alors, lui pose une main sur l’épaule et lui dit :
– Elle t’a dit non, Leo, t’es sourd ?
– Excuse-moi…
– Par contre tu peux la prendre dans la chatte… elle a aussi dit « n’importe où ». 
– Oui, sauf que c’est occupé ! 
– Et alors, tu crois qu’après mon poing et la bite de JB, vos 2 spaghettis vont lui faire peur ?? 
– Sérieux ? Tu veux qu’on fasse une double vaginale à ta mère ? 
– Heu, je crois pas que ce soit une bonne idée… dis-je avant d’être interrompue par Hugo
– je suis sur qu’elle va adorer… 

Leo me plaque contre son pote pour que je lève un peu plus les fesses et présente son gland contre l’autre bite. Il commence à s’enfoncer en moi et je sens mes chairs s’étirer comme lorsque Kevin m’a enfiler son poing la première fois. Il continue sa progression tandis que j’ai les yeux écarquillés, bouche grande ouverte, incapable de sortir un son, tant la sensation de déchirure me coupe le souffle. Le plaisir à fait place à la douleur et, durant ces longues secondes d’intromission, je suis convaincue que ma chatte restera ravagée à vie. Finalement, Leo arrive à me l’enfiler à fond et commence, en même temps que son pote en dessous à aller et venir. Leurs sexe collés l’un à l’autre dans un même trou ne les dérangent pas (ils ont l’âge des nouvelles expériences !) et je les sens durs comme du bois. D’abord synchronisés, leurs sexes vont et viennent à des vitesses différentes, l’un accélérant pendant que l’autre se calme et vice versa. Cette double pénétration magistrale me refait mouiller et cet afflux de cyprine rend le tout de moins en moins douloureux, de plus en plus jouissif.

Anto que je suce, ou plutôt qui me baise la bouche, dit alors à Leo :

-Faut absolument que j’essaie ça ! Tu me laisse la place 2 minutes ?
-Vas-y ! 

Leo se retire alors doucement puis prend place dans ma bouche tandis que l’autre, aussi bourrin que d’habitude, m’enfile sa queue sans ménagement. Heureusement, je suis complètement dilatée. En dessous de moi, le gamin assiste à cet échange en souriant et continue de me limer. Le double pilonnage reprend avec ardeur tandis que Leo doit se contenter d’une pipe médiocre, tant je suis épuisée et concentrée sur ce qui se passe dans mon vagin. Les deux sexes dans mon orifice déformé se chevauchent, se croisent… Quand un se met en retrait, l’autre me prend à fond si bien je n’ai aucun répit, j’hurle de plaisir et de douleur et je sens, une nouvelle fois un orgasme venir. 

Je n’en reviens pas… je vais jouir une troisième fois avec 2 sexes dans mon vagin, dans un gangbang avec mon fils et 10 de ses amis ! Je suis la pire des mères et des épouses mais probablement la plus grosse salope qu’on puisse faire…

Je sens que l’explosion approche alors que mon orgasme monte et que les 2 pervers dans ma chatte accélèrent de plus en plus. La brute dit alors à son comparse :
– On la rempli ensemble ?
– Ouai, on y va, je suis pas loin ! 

Ils me pilonnent encore quelques coups et je sens les premiers jets de foutre jaillir et m’inonder. Cette formidable sensation déclenche mon troisième orgasme et leurs cris de jouissance et les miens se mêlent : 
-Haaaaaa putain ! Je te remplis chiennasse ! 
-OH MON DIEUUUUU, je jouis !!! Hurlais-je.

Alors que nous étions tous les trois emboités et pétris de plaisir, Leo dit à Anto de dégager, qu’il allait finir de me remplir. Il passa alors derrière, s’engouffra dans mon vagin suintant de sperme et éjacula à son tour en quelques secondes.

– La vache, vous débordez de jute, Séverine !
-Je m’en doute, pervers, soupirais-je péniblement.

Leo se retira alors, pris le gobelet de tout à l’heure, puis me redressa. Il fit sortir le sexe de son pote de ma chatte et plaça immédiatement le gobelet en dessous qui recueilli le foutre de ses 3 étalons. Le verre fut très vite rempli et il me le donna pour que je boive tout. L’excitation était retombée et je n’avais absolument pas envie d’avaler un quart de litre de sperme maintenant !

– Allez, même punition que tout à l’heure, vous avalez tout ça et vous nettoyez nos queues ! 
– Non, je ne peux pas… j’en peux plus, me lamentais-je. Je crois que je vais vomir si j’avale encore une goutte de sperme. Je veux juste aller me nettoyer… Désolée…
– D’accord mais qu’est qu’on va faire de ça, dit-il a ses potes en désignant le gobelet ?
– Donne j’ai une idée, s’écria Anto ! Puisque vous allez faire votre toilette, autant que ça vaille le coup. Et sans que je puisse réagir, il me renverse le gobelet sur le visage me recouvrant ainsi de sperme qui dégouline sur ma poitrine, mon ventre et mes poils pubiens. 

Ce spectacle avilissant et dégradant devait être incroyablement excitant pour les garçons : j’étais à genoux, littéralement recouverte de sperme et de ma chatte dégoulinaient encore des gouttes de foutre chaud…

– t’es vraiment dégeulasse lui dit alors Hugo qui s’approcha de moi avec un torchon, m’essuya le visage et m’aida à me redresser. Va prendre une douche, Maman, et récupère un peu parce que j’en connais qui veulent une deuxième tournée…

Je me dirigeai donc vers la douche avec difficulté et commença par me débarbouiller le visage dans le lavabo. Ce fut un choc de me voir ainsi dans la vitre : mon maquillage avait coulé, du sperme me maculait les cheveux et la poitrine. J’avais envie de pleurer. Je continuai ma toilette en me nettoyant le sexe dans le bidet (notre vieille maison en était encore équipé…) et le sperme sortait en même temps que l’air accumulé dans ma chatte par les nombreuses pénétrations, le tout avec un bruit assez disgracieux…

Puis j’entrai dans la douche et fit couler l’eau très chaude pour me débarrasser du sperme qui me souillait. Je suis restée ainsi de longues minutes, à songer à ce qui venait de se passer en me disant que si ça se savait, ma vie serait foutue. J’ai pas mal pleuré durant cette douche.

C’est Hugo qui m’a tiré de mes pensées en entrant dans la salle de bain et en me demandant si ça allait. 

– Ca va mon chéri… Tes amis sont partis ? Demandais-je en sortant de la douche et prenant une serviette pour me sécher.
– Non maman, ils sont encore là et commencent à s’impatienter. Ils en veulent encore, désolé.
– Je ne sais pas si je peux en endurer plus ! 
– Je pense qu’ils seront moins bourrin que la première fois et je les calmerai s’il faut.
– Mais je n’ai plus envie, Hugo ! 
– Je peux arranger ça, maman… 
– Je ne sais vraiment pas si je…
– Laisse-toi faire et fait moi confiance. D’accord ?

Et sur ces mots, il m’embrasse tendrement, d’abord juste sur les lèvres puis avec sa langue. C’est la première fois que nos langues se touchent alors qu’il ma fait l’amour et que j’ai bu son sperme. Pourtant ce baiser me fait rougir et m’émoustille. Tout en m’embrassant, il fait tomber ma serviette au sol et je caresse délicatement les seins. 

– Je n’imaginais pas que tu étais si belle, maman, me chuchote-il à l’oreille. Ton corps est absolument magnifique. 

Il me regardait comme si j’étais une merveille, il me rendait belle et me faisant oublier la débauche passée et à venir. Il m’embrassa le cou, les seins, le ventre puis le sexe. Il commença à me donner des petits coups de langue sur le clito entre deux baisers sur ma vulve ou mes cuisses. Mon sexe était encore sensible mais il était très délicat… et très efficace ! Rapidement la chaleur revint dans mes chairs tandis que je passais ma main dans ses cheveux. Je m’appuie contre le lavabo, pose un pied sur le bac de la baignoire pour ouvrir d’avantage mon vagin aux coups de langue de Hugo. Je mouille à présent abondamment et me fait la réflexion que le cunnilingus que mon fils me fait est le meilleur que je n’ai jamais eu ! 

Il me lèche avidement la chatte, tournoie sa langue sur mon clito et, vu les bruit de déglutition, il n’hésite pas à avaler ma mouille qui coule abondamment. 

Il se relève et déclare :
– je crois que tu es prête ! 
– On dirait, mmmmmhhh constatais-je en insérant un doigt dans mon sexe brulant. 
– Alors on y va M’man.
– On y va, dis-je en respirant très fort. J’étais concentrée comme un sportif s’apprêtant à rentrer dans un stade. Et si j’enfilais un truc sexy ? lui demandais-je. 
– Excellente idée !

Nous sortons donc de la salle de bain et, alors que je marche (nue) pour aller dans ma chambre, Hugo me plaque contre le mur, me lève une jambe et je pénètre d’un coup de son gros engin. Il m’embrasse goulument et fait quelques allers-retours puis se retire. 

– Mmmmhh, tu veux jouer avec moi, ptit salaud ! 
– t’es vraiment trop bandante ! J’ai envie de te baiser partout dans la maison !
– On a le temps, mon chéri. On a tout notre temps.

Je vais donc dans ma chambre pour enfiler de la lingerie sexy et devant la pauvreté du choix, opte pour des bas et une vieille guêpière blanche. J’attache les accroches à mes bas mais ne mets pas de culotte. Je me présente ainsi devant mon fils, assis sur mon lit avec une érection impressionnante. Je fais un tour complet pour bien me montrer et au passage je m’écarte les fesses devant son nez. 

– Superbe ! 
– Tant mieux… Je me mets alors à genoux, lui att**** le sexe et le suce sauvagement. J’enfonce sa bite loin dans ma bouche, ma gorge plutôt, et lui masse les couilles. Puis je me retire, dépose un baiser sur son gland et me relève.

-Tu t’arrête ?? me lance-t-il d’un air désespéré. Tu veux me torturer ?
– Comme toi il y a 2 minutes ! 

Puis, chacun plotant les fesses de l’autre, nous nous dirigeons ensemble vers le salon où nous attendent les garçons. Certains ont remis un T-shirt et jouent à la console, d’autres m’attendent sur le canapé avec leurs sexes plus ou moins en érection. Mais les regards se tournent immédiatement vers moi et ma tenue sexy.

– Haaaaa ! Génial, c’est repartit ! s’exclament-ils. Certains sifflent devant ma lingerie. Hugo lève alors la main et dit :
– les gars, comme tout à l’heure : pas de brutalité et pas d’insultes. On vient tous une fois et après stop, sinon on en finira jamais ! 

Ce qui a suivi fut alors une énorme orgie et je serais incapable de vous en donner tous les détails. Je sais que j’ai commencé par me masturber devant eux jusqu’à l’orgasme pour les faire tous bien rebander et qu’ils me sont tous tombés dessus juste après. 

Ils m’ont baisés en tournante, à quatre patte, allongée par terre, sur le canapé, debout contre la table… partout dans le salon ! J’avais en permanence des bites en moi ou dans les mains, les moments de pauses étaient rares. J’ai encore pris des poings dans la chatte et j’ai subis de nombreuses doubles vaginales. Tout le monde voulait essayer ces trucs qu’ils ne pourraient revoir que sur internet ! Ils m’ont prise en double par derrière et par devant (allongée de dos, jambe en l’air, empalée sur un jeune, et l’autre sur moi) ce que je n’imaginais pas possible. Tous ont eu droit à une gorge profonde, même JB qui a eu plus de mal mais qui a finit par me mettre son énorme queue presque toute entière dans le gosier. Je dois avouer que j’ai été très inactive car les choses allaient trop vite. J’étais un objet dont ils ont usé et abusé pendant 1 heure au moins. Il n’y a jamais eu de v******e (même si c’était parfois brutal…) mais je me suis quand même fait traiter de chienne et de salope de nombreuses fois, ce qui n’était pas déplacé vu la situation ! J’ai jouis plusieurs fois, j’étais en transe et j’ai gémis et hurler de plaisir du début à la fin. Aujourd’hui cette séance est assez confuse pour moi mais je me souviens bien de quelques passages particuliers « marquants »…

D’abord les 2 doigts que Hugo, seul autorisé à approcher de cette zone, m’a enfoncé dans le cul… Il m’a littéralement doigté le fion alors que JB me défonçait la chatte. Cette pénétration fut révélatrice pour moi car j’ai apprécié. Mais j’ai tout de même interdis qu’on me sodomise… Je n’imagine même pas ce qu’ils auraient fait de mon cul !

Autre point marquant, la double vaginale avec JB et Hugo, et donc les 2 plus grosses bites que je n’ai jamais vu. Alors que JB me baisait et qu’Hugo finissait de me doigter le cul, il a approché son gland de ma chatte déjà bien dilatée. Il forçe l’entrée de mon vagin avec l’aide de JB qui m’écarte les fesses le plus possible. L’énorme engin de mon fils progresse avec difficulté (et douleur…) dans mon orifice déjà occupé par un énorme morceau. A coté de ce que j’endurais alors, le petit poing de Kévin de tout à l’heure me paraissait insignifiant. Cela dit, Hugo était habile, doux et, à grand renfort de crachats pour lubrifier, il a finalement réussit l’exploit de m’enfiler sa bite en plus de celle de JB. La sensation de déchirure était intense mais m’excitait au plus haut point. Je me sentais abusée et mon corps se résumait à des orifices endurant tous les outrages. Je ressentais également une certaine fierté malsaine d’avoir pu absorber ces 2 bestiaux ! Ils m’ont ensuite baisé la chatte doucement, Hugo restant attentif à ne pas me blesser. Cette double était éprouvante et n’a pas duré longtemps mais elle a eu le mérite de rendre celles qui ont suivis plus « faciles »…

Le troisième truc que je ne suis pas prête d’oublier, c’est quand, après cette double vaginale dantesque et d’autres nombreuses pénétrations, Anto (la brute) a voulu retenter son expérience de tout à l’heure : m’enfoncer une bouteille de vin ! Il convainc Hugo d’accepter à condition que je ne souffre pas trop et va chercher une bouteille de blanc (d’Alsace, heureusement) dans le frigo. Ils m’ont allongée sur la table, jambes bien écartées et Anto m’a enfilée le goulot puis une partie de la bouteille sans difficulté, jusqu’à buter contre le fond de mon vagin. Mais dans ce sens cela ne représentait pas un challenge pour moi et il semblait déçu. Il ressortit donc la bouteille et la présenta par le fond. Il me lubrifia beaucoup (en fait il me crachat dessus !) et manipulant habilement la bouteille, parvint à me l’insérer. Puis il se recula pour observer son œuvre, content de lui… Il voulu prendre une photo avec son portable mais Hugo l’en empêcha.

– Le premier qui filme ou photographie ma mère, je vous jure que je l’explose ! Vous me connaissez, vous savez que je le ferai.
– Attends, c’est trop beau ça, il nous faut un souvenir ! 
– Alors je prends la photo pour qu’on ne voie pas son visage ou la maison et je vous l’enverrai… peut être. 

Il prit alors son portable fit un gros plan sur ma chatte dilatée par cette bouteille de grand Cru et enleva en douceur la bouteille. Les gars se jetèrent à nouveau sur moi après cette pause et l’orgie pu reprendre. 

Aucun d’eux n’a joui car ils s’étaient donné comme consigne de tous venir ensemble sur moi dans un grand final. Ce fut surréaliste : j’étais allongée au sol, entourée de mon fils et ses 10 copains et des flots de spermes s’abattirent alors sur mon corps. Ils jouissaient les unes après les autres dan

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