J’étais en Amérique du sud depuis un mois pour affaires et mes soirées solitaires commençaient à me peser. Je suis parti me promener en voiture assez tard au centre-ville. Il faisait nuit et il y avait autour de la place centrale des jeunes hommes noirs qui discutaient par groupes de deux ou trois en attendant que le temps passe. Je les observais depuis un moment quand je vis arriver une petite voiture conduite par une femme dans la trentaine à la peau claire, elle était peut-être métisse. Elle n’était pas vilaine sans être vraiment jolie. Je l’ai vue tourner une ou deux fois à vitesse lente autour du square en observant bien tous les acteurs de cette scène nocturne. Elle s’arrêta au niveau d’un jeune homme et discuta un peu avec lui sans descendre de voiture. Elle repartit et renouvela avec un autre jeune un peu plus loin. Puis continua avec une troisième assez baraqué à l’angle suivant. La conversation avait dû être concluante car il fit le tour et monta à côté d’elle. La voiture repartit en s’éloignant en direction du bord de mer. Je l’ai suivie de loin et la vis se garer le long de la plage dans un endroit sombre. Le couple descendit pour aller marcher sur le sable puis s’y assit comme s’ils discutaient. Je me postais à distance et descendu de ma voiture je les observais discrètement. En regardant mieux et de plus près, caché par un arbuste, je vis que l’homme avait mis sa main entre les cuisses de la femme et l’embrassait. Puis ils s’allongèrent et l’homme la chevaucha et la pénétra. Il était vigoureux et ses coups de rein la secouaient. Je l’entendis bientôt la femme gémir puis carrément émettre des sons rauques qui s’étalaient sur l’étendue de la grande plage vide. Elle remonta ses cuisses en les écartant et mis ses mains sur les fesses de l’homme pour lui imprimer le rythme. Lorsqu’elle jouit elle se cambra pour mieux être pénétrée. Puis l’homme se dégagea d’elle et se branla prêt de son visage en lui envoyant son foutre sur la bouche. Elle se lécha les lèvres. Puis elle sorti son argent et le lui remis. Ils sont repartis ensemble vers le centre-ville. J’avais compris ce que les jeunes hommes de la place centrale attendaient en palabrant tranquillement.
En rejoignant ma voiture je fus interpellé par une toute jeune femme aux longs cheveux crépus qui me dit avec le sourire « alors l’homme blanc tu te rinces l’œil ; tu ne préfères pas venir avec moi sur la plage». Elle s’appelait Josepha et m’expliqua que les gens aisés de la ville venaient souvent sur cette plage isolée accompagnés de jeunes ramassés sur les trottoirs de la ville. Les clients étaient des voyageurs étrangers mais aussi des gens du coin qui se payaient un extra. Je la fis monter dans ma voiture pour continuer la discussion. Elle me dit « moi j’ai besoin d’argent si tu en donnes pour discuter alors ça va ».
Elle était jeune, sympa et jolie avec sa peau ébène, ses yeux rieurs, sa tenue traditionnelle colorée. En continuant de me parler elle ouvrit sa robe et me fit voir un corps attirant, ses seins agressifs surmontant un ventre musclé et plat. Son pubis était très poilu quasiment jusqu’au nombril avec de petits poils frisés très noirs. Je lui caressai les tétons qui durcirent puis le clitoris qui se mis en érection comme un petit pénis. Elle ouvrit les cuisses et me dit « tu peux venir mais faut payer d’abord ». Je l’ai ramenée à mon hôtel et nous avons fait l’amour longtemps. Elle sentait fort et j’ai aimé ça.
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