Comme expliqué dans Manuela 1, sur base de ce début je propose 2 suites différentes. Voici la version « épicée ». La version douce est disponible aussi ici. Dites moi laquelle vous préférez…
Puis….
_ Ding Dong ! TOC TOC TOC ! Chou? T’es Là?
Manuela sursaute. Merde! complètement oublié celui là!
_ Chhht! Vitchè! Vite! C’est mon mec! Enfin, je t’expliquerai! Cache toi dans le placard! Il est super jaloux!
Complètement nu, abasourdi, Vincent prend place derrière les robes, dans la penderie du placard. Manuela en profite pour enfiler une nuisette de satin noir, et vite planquer les affaires de Vincent sous le lit.
_ Oui J’arrive!
Les portes du placard sont ajourées de persiennes, et vincent voit Manuela s’éloigner en claudiquant vers la porte d’entrée. Vincent entend tout de la conversation. Manuela explique comment elle s’est « pèté le pied », puis des histoires auxquelles Vincent ne comprend rien, dans un mélange d’Italien et de Français, puis des bruits de baisers, des soupirs. Des meubles qui bougent. Puis un murmure.
_ Non, pas maintenant!
_ Allez, j’ai envie de toi!
_ Mais j’ai mal au pied!
_ C’est pas ton pied que je veux…Tu le sais ce que je veux hein?
_ Oui, mais, Hmmm….
_ Tu sens comme je le veux?
Les pas se dirigent vers le lit. Vincent voit Manuela y entrer à reculons, protestant mollement, poussée par Gianni. Mâle italien tatoué, macho de magazine. La quarantaine grisonnante et soignée. Manuela vient buter sur le lit, gianni la retourne, la met à 4 pattes.
_ Non, arrête!!
A travers les persiennes, Vincent voit tout de profil, parfaitement placé. Son bat si fort qu’il a peur que Gianni l’entende. Il est tétanisé, fasciné, et il lui semble la défense de Manuela manque d’agressivité…
Gianni lui prend la tête et la pousse contre le matelas. Il baisse sa braguette et sort une queue impressionnante. Puis il relève la nuisette sur les hanches de Manuela, dévoilant ses fesses nues. Sans attendre, il la pénètre sans douceur, dans un « han » viril. Vaincue, Manuela gémit.
_ Tu dis non, mais je sens bien que tu veux!
Et il s’enfonce complètement en elle qui pousse un petit cri en agrippant les draps. Vincent est là, elle le sait, elle le sent. Il la regarde, et cette sensation vient lui chauffer le bas ventre et lui faire perdre la tête! Elle ne s’est jamais axhibée ainsi, elle se salope comme jamais. Elle regarde à travers les persiennes, passant la langue sur ses lèvres, poussant ses fesses à la rencontre de l’épais foret qui la transperce. Elle imagine les grands yeux doux et innocents de Vincent. Elle gémit fort, en exagérant un peu. Elle sent que ça excite Gianni qui la baise comme un a****l. Et en regardant le placard :
_ Oui! Vas y! Hanmmmm encore! Plus fort! baise moi!!
Derrière les persiennes, Vincent bande de nouveau comme un âne. Son sexe vient caresser le satin des nuisettes. Hmmm c’est très agréable! Doucement, le jeune homme prend le tissus et en caresse doucement son membre comme pour le refroidir, mais c’est bon et il n’en bande que plus! « Quelle salope! » Il n’aurait jamais imaginé un truc pareil. Il l’observe. Cambrée, offerte, soumise. Chienne en chaleur. Ses seins, à moitié sortis de la nuisette, ballottent au rythme des coups de boutoir, les tetons frottent sur les draps. Les 2 italiens entrent dans un crescendo irrésistible. Gianni envoie de toutes ses forces son sexe fendre le cul de Manuela, qui se débride complètement, parle en italien. Elle regarde toujours vers Vincent avec un regard incandescent, se lèchant les doigts, l’ excitant consciemment. Puis c’est Gianni qui part dans les aigus.
_ Oui! Jute moi dessus! Vas y!
Le bel italien ne se gène pas. Il sort sa lance et arrose ce cul qui brûle. Accompagnées d’un long grognement, de longues giclées brûlantes s’écrasent sur la croupe bien ronde et le bas du dos bien cambré. Pusieurs longs gémissements ponctuent la fin de ce coit rapide et brutal. Vincent manque d’air, fait un effort désespéré pour rester immobile et silencieux. Gianni, la mine satisfaite, donne une bonne claque sur la croupe de sa pouliche.
_ Alors, c’atait bon, non?
Avec un petit sourire gêné, elle s’approche et l’embrasse, l’air reconnaissante. Gianni rayonne…S’il savait! Doucement, le couple retourne vers le living, et Gianni demande un café…Vite parcequ’il a foot avec ses potes…
_ Non mais hé! Tu crois pas que je dois aller prendre une douche d’abord? Je suis pas ta femme!
Le ton monte vite, l’Italien vient de nouveau s’insérer dans le Français, et n’importe qui comprend que ce ne sont pas des mots d’amour. La porte claque sur une dernière invective lancée par Manuela. Au fond de son placard, Vincent n’ose toujours pas bouger, mais il voit vite revenir Manuela, nue, qui claudique toujours. Elle ouvre la porte, et doigt sur la bouche, adresse un nouveau « chht » au jeune homme emprisonné derrière la penderie. Elle parle doucement à son oreille en le caressant.
_ Voilà, il est parti… Tu n’as pas eu trop peur?
Et elle l’embrasse doucement. Puis sa main descend vers le sexe de Vincent, semble surprise de le trouver si haut.
_ Oh, mais qui est là?
Elle le caresse un peu à travers le satin, comprend la situation…Elle sussure toujours, distillant de petits coups de langue dans l’oreille et le cou du jeune homme qui se sent repris d’une envie irrésistible de sexe.
_ Hmm je vois, tu as joué avec mes affaires! Sans ma permission, ce n’est pas bien ça!
Elle le caresse très doucement avec le satin.
_ Tu aimes ça?
_ Ou…oui!
_ Mmmm petit vicieux…
Manuela se met à genou devant lui et au satin joint la caresse de sa langue. Vincent part dans dans un grand « oooaaaaahhhhh ».
_ Tu n’aimes pas?
_ Oooh! Si!
L’idée de le voir gicler dans le satin immaculé lui plait, mais elle a autre chose en tête. Elle plonge la main dans une boite et la ressort gainée d’un bas nylon noir, comme une moufle. Elle commence à en caresser le sexe qui palpite. Vincent gémit de plus belle. Puis avec le bas sur les testicules, et le satin caressant toujours la hampe de marbre, elle commence une fellation très douce. Vincent est au bord de la rupture, mais sa maîtresse gère. Ce petit jeu pervers la remet en incandescence, son ventre est de nouveau en ébullition. Elle se relève doucement, prend Vincent par la main et l’amène vers le lit. Elle se couche sur le flanc droit, la jambe gauche repliée à angle droit, offrant son corps. Vincent semble hésiter, mais, guidé par Manuela, se place très vite au bon endroit.
Il sent ses testicules se poser doucement à l’intérieur de la cuisse gauche, s’y frotter en suivant son sexe se diriger vers sa cible. Quand la tête du vit bien dur vien se poser entre les lèvres, celles si sont déja très humides, et ouvertes. Vincent sent cette chaleur moite si agréable sur son gland. En soupirant, Manuela fait bouger imperceptiblement sa croupe, regardant Vincent d’un regard trouble, semblable à celui de tout à l’heure. Il la pénètre très naturellement, presque sans y penser. Cette position, il ne la connaissait pas (et pour cause), et il en découvre tous les avantages. Outre la mise en évidence de la très belle croupe se sa partenaire, son placement est idéal. Ses mains sont libres d’aller et venir, de se livrer à tous les attouchements. De poigner dans les chairs généreuses des fesses, des seins. De se faire lècher les doigts, de caresser doucement le visage de son amante… Vincent s’active, accélère. Manuela lui répond. Les fesses claquent en rythme, les gémissements montent. Sur le fessier bien rond, la main de Vincent se perd, descend dans la raie… Manuela lui prend la main, et plutôt que de la retirer, la guide… Elle regarde Vincent dans les yeux et articule, sans le prononcer un « Vas y! » brûlant.
Vincent dégage le majeur de sa main, et, avec précautions, l’enfonce dans l’anus de l’italienne. Impatientée, elle prend la main du jeune homme et pousse le doigt vigoureusement dans le petit trou dans un grognement. Vincent est étonné de le sentir glisser ainsi. En poignant vigoureusement dans les seins qui ballottent, Vincent coordonne ses mouvements qui se font de plus en plus puissants. Manuela se perd, sa tête est prise de mouvements désordonnés. Vincent hésite un instant, puis, sortant son sexe, revient le placer contre l’anus. Quant Manuela croise son regard, il est noir et froid comme celui de ce matin. Elle s’abandonne dans un « doucement » suppliant et presque inausdible.
La première poussée de Vincent, incontrôlée arrache un cri à sa maîtresse. Il reprend son sang froid jusqu’à ce que les mouvements des hanches de Manuela l’invitent à continuer. Il s’enfonce jusqu’à la garde dans le cul offert. Quelle sensation exquise! Ce gland si serré, cette griserie de la possession totale. Il reprend un va et vient accélérant progressivement. Les tonalités de Manuela changent, plus longues, plus suppliantes, plus aigues. Elle caresse le torse de son amant avec sensualité. Il lui attrappe un main, en lèche les doigts. leurs corps se mettent à vibrer à l’unisson dans un crescendo puissant, digne d’un grand opéra, jusqu’à une dernière note sublime. Vincent vient décharger sa semances brûlante au plus ptofond de ce cul rond, provocant. Manuela, presqu’inconciente reçoit en elle cette onde brûlante qui la porte au paroxysme du plaisir.
Ils restent de longes minutes imbriqués, reprenant leur souffle, tentant de retenir encore ce plaisir si fort qui s’en va doucement. Vincent s’ effondre à côté d’elle, collant son corps au sien pour encore ressentir da chaleur. Entre caresses et baisers doux, ils s’endorment de nouveau.
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