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Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (4)

Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (4)



Les amants pervers 4 : notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (4ème partie)

J’effeuille une salade et des tomates, Greg confectionne la petite sauce dont il a le secret. Nous faisons griller des gambas pour compléter notre repas. Pour Manon, je verse une bonne dose de pâtée de porc dans une coupelle.

– On va lui faire croire que c’est de la bouffe pour chien.

Je détache Manon et lui retire le bâillon. Il est couvert de bave. Je lui ordonne de se mettre à quatre pattes et la guide jusqu’à la salle à manger en la tenant par la laisse. Greg est à table. Il nous sert l’apéritif. Je le rejoins. Manon s’accroupit sagement à mes pieds.

Pendant que Greg se lève pour aller chercher la salade je dis à Manon : « viens sous la table me lécher. »

J’écarte les jambes et sa douce langue vient se poser sur ma fente. Greg me sourit en voyant le spectacle. La capacité de Manon à bouffer des chattes s’est améliorée. Je ne vais pas aller jusqu’à lui faire des compliments mais je dois bien avouer que je passe un moment très agréable. Greg, quant à lui, doit se dire qu’elle n’y met pas assez d’entrain : il la pousse vers moi avec le pied. Se faisant, il appuie sur le plug et l’enfonce plus profondément dans son cul. Elle gémit.

– Ne t’arrête pas bordel ! J’y suis presque.

Je m’accroche des deux mains à la nappe et serre les dents pour ne pas crier. Cette petite salope me fait jouir.

Nous entamons ensuite notre repas comme si de rien n’était.

– Flûte, dis-je, j’ai oublié de nourrir notre petite chienne. Viens ici, toi, fais le beau.
– Comment ?
– Tu te redresses un peu, tu mets les papattes devant toi et tu tires la langue ! Oui, très bien. Tu vas avoir ta récompense.

Je prends une crevette décortiquée et l’enfonce dans sa bouche. Elle mâche le crustacé et suce mes doigts.

– Elle est bonne la sauce de Greg, n’est-ce pas ?
– Oui Madame.
– Une petite bâtarde comme celle-là, même si elle n’est pas bien grosse, une bouchée ne lui suffira pas. Je vais lui donner un vrai repas.

La guidant avec la laisse, je l’amène devant la gamelle. Elle ne bouge pas.

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu ne veux pas de ta pâtée ?

Les yeux chargés de haine, elle se tourne vers moi en criant :

– Allez-vous faire foutre ! J’en ai marre de vos jeux pervers. Vous pouvez bien me menacer, je ne vous obéirai plus.

Je ne lui réponds pas. Je fais un signe à Gregory. Il s’absente quelques secondes et revient pour me tendre un martinet. Toujours sans un mot, je l’abats de toutes mes forces. Elle se met à hurler. Je continue, en visant ses cuisses, ses fesses et son dos. Quand j’estime l’avoir assez corrigée, que mon bras me fait mal à force d’avoir cogné, je me penche vers elle, la saisis par les cheveux sans ménagement et lui dis :

– Laisse-moi clarifier la situation. Tu es notre esclave, un point c’est tout. Si tu es serviable, nous te récompenserons mais si tu désobéis, on te corrigera. Ce n’était qu’un avant-goût, je peux te faire bien plus mal que ces quelques coups de martinet. N’oublie pas que nous avons non seulement des vidéos mais également des photos de toi, baisée dans toutes les positions et même avec une bite dans le cul. Si tu ne veux pas les retrouver sur les réseaux sociaux, tu as intérêt à changer de ton. Maintenant, mange ta pâtée !

Elle s’exécute en pleurnichant, en commençant par une petite portion qu’elle goûte du bout des lèvres. Tu parles qu’elle apprécie… Du bon pâté premier choix. Je me fournis chez un charcutier du coin, pas question d’acheter de la camelote de supermarché.

– Tu manges tout ! Sans les mains. Lèche bien la gamelle, je veux qu’elle soit toute propre, qu’elle brille. Tu vois quand tu veux ?

Je me tourne vers Gregory.

– Je t’adore, dit-il, toujours à trouver des nouveaux jeux… J’ai hâte de faire un tour en mer avec notre petite protégée.
– En attendant, elle mérite une bonne punition.

Je lui remets le bâillon. En la tenant par la laisse, je la traîne jusqu’à la penderie. Avec une paire de menotte je l’attache à la barre. « Tu connais ? » dis-je en lui montrant un cintre à pantalon. Elle fait oui de la tête. Je lis la peur dans ses yeux. « J’ai trouvé un usage amusant aux deux pinces. » Je les referme sur ses pointes de seins. Elle gémit. « Allez, on te laisse réfléchir un peu dans le noir… » et je referme la porte de la penderie.

La bosse qui tend le pantalon de Greg depuis la fin de matinée n’a pas diminué de volume. Je le touche, j’apprécie sa dureté. Il baisse son pantalon. Je caresse son sexe d’une main et glisse l’autre entre ses fesses.

– Et si nous reprenions là où nous en étions avant d’être dérangés ? me demande-t-il.

Tout en continuant de le branler, je chatouille ses bourses avec la langue. Je lèche le bout du gland. La peau est si douce à cet endroit. J’aime le goût de son sexe. Je le prends en entier dans ma bouche, enfonce sa queue jusqu’au fond de ma gorge. Je bouge la tête de plus en vite. Je m’arrête pour cracher sur un de mes doigts. Je recommence à le sucer tout en introduisant le doigt dans son cul. Il ne peut plus se retenir et jouis dans ma bouche. J’avale consciencieusement son sperme sans en laisser échapper une goutte.

– Je vais libérer notre esclave, dis-je. Il faudra la ménager demain, elle est sur le point de craquer.
– Je t’ai connue moins clémente.
– Il faut croire que ses yeux de biche m’ont attendrie…
– Tu parles…
– Et elle se méfiera moins de la prochaine séance de domination.

Greg ne peut réprimer son hilarité.

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