Chapitre 9 : Marilyn et Stéphanie !
Le lendemain matin, Stéphanie est sous la douche et je suis dans la cuisine avec ma nièce.
– Alors Tonton, t’es content que ma copine soit venue me voir ?
Me demande Marilyn avec un sourire qui en dit long sur ce qu’elle pense en posant sa question.
– Oui et…non. Oui pour son coté petite salope que tout homme ne peut qu’apprécier et non car j’aime bien être seul avec toi pour t’aimer à ma guise et quand je veux. Tu n’es surement pas aussi marie salope qu’elle malgré ce que tu m’as raconté.
– Il faut que je te dise quelque chose, Tonton. Mais tout d’abord je dois te demander quelque chose. Les trucs que je fais avec Stéphanie… est-ce que ça te dérange ? Penses-tu que je sois dépravée ou quelque chose comme ça ?
– Aucunement mon cœur, tu es une belle femme, et je pense que c’est merveilleux que tu puisses profiter des filles autant que des garçons. De cette façon tu peux voir toutes les facettes de l’amour et de l’acte sexuel.
– Je suis contente de t’entendre dire ça. Je ne voudrais surtout pas que tu penses que je suis une cochonne…une salope…
– Si je t’ai dit hier soir que tu es une fille très particulière, je n’ai pas du tout voulu dire ça.
– Je sais, mais je voulais être sûr que ce n’était même pas une supposition.
– Bon, et maintenant qu’est-ce que tu as à me dire de spécial.
– Tu te rappelles, quand nous avons commencé à faire l’amour…je t’ai parlé des garçons et de ce que j’ai fait avec eux…
– Bien sûr je me souviens, Qu’est ce qui te préoccupe,
– Et bien… j’ai menti à ce sujet.
– Que veux-tu dire mon cœur ?
– J’ai… j’ai bien flirté avec des garçons, enfin tu vois…plus que flirter… comme sucer leurs bites et les branler … mais je n’ai jamais permis qu’ils me pénètrent.
– Tu…tu veux dire que tu étais vierge ?
– Oui, enfin…pas tout à fait…à force de jouer avec ma chatte et les godes de Stéphanie, j’ai dû déchirer mon hymen…mais aucun homme ne m’a pénétré entièrement. Même mon prof de gym ne m’a mis que le bout de son gland.je t’ai menti sur ce sujet car j’avais peur que tu ne veuilles pas faire l’amour avec ta nièce et prendre ma presque virginité, dit Marilyn. Je ne dis aussi toujours pas tout à Stéphanie et je ne voulais pas qu’elle me prenne pour une gourde. Mais je voulais me garder pour toi que j’aime depuis longtemps. Tu es mon premier amant tonton.
– Oh Marilyn, mon bébé, et je la serre fort dans mes bras.
– Tu n’es pas en colère contre moi pour avoir menti ? C’est Stéphanie qui m’a conseillé de faire comme si j’étais une petite salope pour que tu me baises sans penser que tu fais çà avec ta nièce. Tu ne m’en veux pas ?
– Pas du tout ! Bien sûr que non, je ne pourrais jamais être en colère contre toi. Tu m’as offert le plus beau des cadeaux. Ta belle chatte pour ainsi dire vierge. Avant que tu viennes j’étais presque mort, sans raison de vivre. Maintenant j’aime la vie, et même si ce que nous faisons n’est pas très bien…je m’en fous complètement ! Je t’aime !
Et serrés l’un contre l’autre nous nous embrassons longuement et Marilyn essuie une larme qui perle au coin de sa paupière.
– Je me sens mieux maintenant Tonton, Nous allons avoir de bons moments ensemble et je vais faire tout ce qui faut pour te rendre vraiment heureux.
– Oh, mais je suis sûr que tu peux.
Nous montons à l’étage et le bruit de la douche a cessé nous indiquant que nous n’allons pas tarder à voir Stéphanie.
– Sans vouloir me plaindre je suis quand même moins femme que Stéphanie. Elle est plus vielle que moi mais elle fait plus jeune avec ses petites fesses. Par contre elle à une poitrine superbe, hein Tonton ? Tu as aimé sa paire de fesses et ses gros seins ? Ils sont beaux, hein ?
– Oui, mais un peu maigre quand même du bas. Je préfère ton superbe cul qui me fait bander dès que je le vois. Et n’oublie pas ce que je t’ai dit hier soir.
– Je sais, mais elle est si bien développée… comme l’est une vraie femme, dit Marilyn. Moi, je suis juste une…
– Vraie femme aussi, Dis-je en lui coupant la parole. Tu es aussi femme qu’elle, mais d’un genre différent. Et pour moi tu es la plus belle et la plus désirable. Ne t’attache pas à des choses superficielles. Rappelle-toi que dans un troupeau de femelles en chaleur, tu seras toujours ma reine.
Une minute après Stéphanie déboule dans le couloir et entre dans la chambre où Marilyn et moi sommes assis.
– Je pensais que seriez déjà nus, dit Stéphanie elle-même complètement nue et mouillée, souriante, une serviette à la main.
En plein jour est encore plus impressionnante que lorsque que je l’ai vue la veille au soir. Ces énormes seins semblent encore plus gros que jamais, captant mon attention, avec ses grandes auréoles pourpres et de gros tétons épais déjà bien tendus.
– Veux-tu que je t’essuie, Stéphanie ? Demande Marilyn.
Hochant de la tête pour un accord silencieux, Marilyn prend la serviette et commence à sécher son dos.
Stéphanie me regarde en souriant et passe ses doigts dans ses cheveux courts, luisants et humides, qui semblent encore plus noir que possible. Ces bras maigres, avec leur tatouage sur l’arrondi de l’épaule, sont soulevés en hauteur comme pour mettre en valeur sa sexualité a****le et signaler qu’elle est prête à se faire monter.
Marilyn rie lorsqu’elle frotte sa serviette sous le bras de Stéphanie, pour sécher et démêler l’épaisse touffe de poils qui remplit les profondes crevasses avec une densité et un volume que j’ai rarement vu chez une femme et même un homme.
– Stéphanie a comme une chevelure sous les bras. Je pense que mon Tonton devrait raser notre Stéphanie…
– Non ! Moi j’aime bien mes poils. Déclare Stéphanie. Qu’en pense notre Tonton ?
Je hoche la tête et avale avec difficulté ma salive. Maintenant mon érection palpite dans mon pantalon.
– Jacques m’a rasé plusieurs fois et c’était très amusant, n’est-ce pas Tonton. Et maintenant ça commence à repousser. Regarde.
Stéphanie glousse quand Marilyn lève les bras pour montrer à son amie les petits feux follets de fourrure à peine visible même après quelques jours.
Marilyn reprend son séchage et s’occupe des seins de Stéphanie qu’elle a soulevés pour permettre à Marilyn d’essuyer en dessous. Deux torpilles me narguent avant que Marilyn frotte l’épaisse toison qui entoure sa chatte.
– Muuummm, roucoule Stéphanie en écartant ses cuisses.
– Maintenant enlève moi ça.
Marilyn soulève ses bras pour permettre à Stéphanie de lui retirer son teeshirt au-dessus de sa tête, et maintenant, ma nièce est nue jusqu’à la taille.
Stéphanie est légèrement plus grande que Marilyn, et quand elles se sont embrassées, les seins massifs de Stéphanie s’écrasent contre les petits bourgeons de Marilyn. Ma nièce à de beaux seins mais à coté de ceux de Stéphanie ils paraissent petits.
Je ne peux détourner mes yeux de ce tableau idyllique et je suis resté figé devant tant de beauté.
– T’as un problème, Tonton ? Me demande Marilyn.
– Non mon cœur, vous êtes très belles enlacées ensemble.
– Notre Tonton peut aussi se déshabiller. Dit Stéphanie pendant qu’elle retire le slip de Marilyn,
– Nous allons l’aider, d’accord Marilyn ?
Debout, les deux jeunes filles s’approchent de moi et Stéphanie déboutonne ma chemise, tandis que Marilyn la tire par le haut et m’embrasse dans le cou. Torse nu, Stéphanie laisse courir ses doigts dans mes poils gris qui couvrent ma poitrine, et taquine légèrement mes tétons. Marilyn regarde Stéphanie, imite ses actions et maintenant elles sont toutes deux en train de sucer mes tétons.
– Ooooooh !
Je n’ai pu m’empêcher de gémir quand elles ont mordillé mes mamelons. Tout mon corps frissonne quand cette coquine de Stéphanie embrasse et mordille ma peau jusqu’à mon épaule et mon cou. Elle lève même mon bras pour grignoter mon aisselle, et bien sûr Marilyn copie et mes genoux flageolent.
Stéphanie tombe à genoux, détache ma ceinture et mon pantalon tombe au sol, me laissant juste en slip et chaussettes.
– Regarde l’effet que nous avons sur ton Tonton, Marilyn,
Dit Stéphanie en passant sa main sur le renflement de mon slip qui présente déjà une belle tache devant.
– On dirait que Tonton à des fuites. Ses couilles doivent être pleines et ça déborde déjà.
Avec une main de Marilyn sur une hanche et une de Stéphanie sur l’autre mon slip a vite fait de disparaitre. Ma bite voit le jour, arrogante, la veine qui court au milieu de ma queue n’a jamais été aussi boursouflée et mon gland est rouge violacé et gonflé.
– Aaaahhhhh, ouiii…
C’est sorti tout seul quand j’ai vu Marilyn et Stéphanie lécher les côtés de ma queue, à partir de la base rasée et sur toute la longueur de celle-ci, jusqu’à la couronne du prépuce avant de glisser vers le bas jusqu’à sa base.
Elles recommencent encore et encore, et ma bite saute et tressaute, à chaque coup de langue de ces beautés nues.
Je mets mes mains au sommet de leurs têtes, caressant leurs cheveux de mes doigts en regardant ce fantasme devenu réalité. 2 filles pour mon plaisir.
– Regarde Tonton, ça coule un peu au bout. Attend, nous allons te nettoyer.
Leurs langues glissent sur la couronne du prépuce et se réunissent à la pointe de mon gland. Les deux jeunes filles tamponnent et lèchent mon méat entrouvert et entre dans un duel pour recueillir les gouttelettes qui suintent.
Des filaments de sperme s’étirent et sont lapés par les filles, en attendant l’écoulement suivant. La main de Stéphanie est allée prendre mes couilles, pour les pétrir et accentuer mes fuites au bout de mon gland.
J’ai envie de jouir mais je veux que ça dure encore et je serre les dents. J’ai tellement de choses que je veux leur faire. Tant d’endroits que je veux baiser.
Je tire leurs têtes légèrement vers le haut, et elles se lèvent.
– On n’arrive pas à se décider qui va passer la première. Toi, tu as une idée, Tonton…
Puis Stéphanie ajoute comme si elle lisait dans mon esprit.
– Moi j’aimerais bien te regarder enculer Marilyn avec cette belle grosse chose, et moi ensuite. Marilyn a sûrement envie…à moins qu’elle se dégonfle.
– Je ne vais pas me dégonfler.
Répond Marilyn avec un air de défi en me regardant avec ces beaux yeux de biche.
– T’as envie de me la mettre dans le cul, ce soir.
Mon cœur s’arrête un instant pendant que je regarde Marilyn en voyant dans ses yeux un mélange d’excitation et de peur. Ce minuscule orifice, virginal et délicat, objet de mes rêves ces dernières nuits, va donc m’appartenir.
– On verra plus tard pour ton petit cul.
Annonce Stéphanie devenue le maitre des opérations de toutes sortes.
– Tout d’abord je veux vous voir baiser ensemble !
Stéphanie pousse Marilyn sur le lit et laisse courir sa main sur son monticule lisse et se retourne vers moi.
– Ooooooh ! Mais elle mouille la petite coquine !
Et elle plonge sa figure entre ses cuisses et commence à lui bouffer sa chatte.
Rien que de regarder le visage de Marilyn, je vois ce qu’elle ressent sous les coups de langue de Stéphanie. Ma main caresse négligemment ma bite, comme si j’avais besoin de la garder en forme. La bouche humide Stéphanie s’écrit ;
– À toi, Tonton ! Elle est prête. Baise-là !
Je grimpe sur le lit et me place entre les belles cuisses de Marilyn. Je vois son mont de vénus lisse briller par sa cyprine et la salive de Stéphanie, et lorsque je prends ma bite pour frotter mon gland le long de sa fente humide, j’entends Stéphanie gémir.
Stéphanie est à genoux sur le lit à côté de nous avec ses jambes écartées. Une main serre sa poitrine tandis que son autre main s’agite furieusement entre ses jambes. Ses doigts enfuis dans sa toison noire, elle nous regarde.
– Allez…mets là !
– Ouiii, tonton, prends-moi !
Je glisse mon gland dans le sexe de Marilyn et sous ses halètements j’entends Stéphanie gémir. Je m’enfonce lentement dans sa jeune chatte qui n’a connu que ma bite et lorsque mon nœud cogne sur son utérus ma nièce feule de plaisir.
– AAAAaaaaahhh…ouiiiiiiiii tonton ! Baise-moi !
Mon attention est détournée par les hurlements de Stéphanie. Je la regarde, incrédule, car elle est déjà entrain de jouir et des filets de cyprine coulent autour de sa main qui branle sa chatte sauvagement. Son corps tout entier est secoué par les spasmes de son orgasme.
Enfin, je détourne mes yeux pour revenir dans ceux de Marilyn dont le visage exprime le plaisir qu’elle a quand je l’empale de mon pieu de chair. Je ferme mes yeux et je goute moi aussi à ce plaisir merveilleux d’aller et venir lentement dans son puits d’amour.
– Ouiii ! Baise là ! Plus fort ! crie Stéphanie quand elle a récupéré. Putain ! C’est chaud ! Tu la sens bébé ?
– Ouiii, elle est grosse et j’en ai plein la chatte ! Oooohhhh,
Répond de justesse Marilyn avant que j’augmente le tempo de mes allers-retours dans sa chatte étroite.
– Mets tout dedans ! Bien à fond ! Gueule Stéphanie. Défonce sa chatte de petite fille.
Je vais un peu plus fort mais je ne veux pas la blesser et je la baise de la manière que je sais qui lui plait. Stéphanie att**** la main de Marilyn et la tire entre ses cuisses dans son buisson qui goutte.
– Vas-y ! tu sais ce que je veux.
Apparemment Marilyn le sait car elle joint ses doigts et glisse sa fine main entière dans la chatte de Stéphanie et se met à la baiser avec ! Elle la baise au même rythme que moi.
Pendant quelques minutes, toutes les deux couinent de plaisir et Marilyn a son orgasme lorsque Stéphanie jouis une nouvelle fois avec la main de ma nièce enfoncée dans son sexe qu’elle maintien de ses deux mains.
Dès qu’elle se calme, Stéphanie annonce que c’est son tour.
– Mets là moi, Tonton. Comme hier soir mais par devant. À fond, vite et fort !
Je m’extrais de Marilyn et c’est elle qui met ma queue dans la chatte de sa copine qui s’est couchée sur le dos, cuisses relevées et ouverte. Sa chatte, après le fisting de ma nièce est loin d’être aussi serrée que de celle de Marilyn, et je glisse très facilement en elle.
– Met tout, Tonton ! Crie Stéphanie. Je veux que toute cette grosse queue soit en moi.
Stéphanie est une chaude jeune fille, une véritable salope à la recherche de tout ce qui peut lui apporter le sexe, mais sa manière de se comporter et de décider pour moi m’énerve un peu. Alors je décide de la baiser comme une pute.
Je la bourre jusqu’aux couilles en claquant mon pubis contre sa chatte le plus fort que je peux. J’écartèle encore plus ses cuisses de gamine et je m’enfonce violemment dans son con trempé. Je sens mon gland qui s’écrase violemment sur son utérus. Stéphanie pousse un cri si sauvage qu’un frisson court le long de ma colonne vertébrale.
– AAAAAHHHHHH !!!
Crie Stéphanie quand je me retire et que je l’empale de nouveau de toute la puissance de ma queue tendue et dure.
Je la tringle tellement vite et fort que son crane cogne dans la tête de lit. Elle n’arrête pas de gueuler comme une truie qu’on égorge et malgré mon dos qui me fait mal, je la possède avec une sauvagerie qui nous surprend tous les trois.
Stéphanie se tend et se raidit. Un nouvel orgasme balaye son corps. Sa chatte enserre le bas de ma bite mais cela ne m’empêche pas de continuer.
Je suis en sueur mais je continue de baiser Stéphanie, tandis que Marilyn nous regarde avec un sourire sur son doux visage et ses mains pincent ses petits nichons.
Je n’essaye même pas de jouir, d’ailleurs je ne peux pas. Même en regardant Marilyn qui tripote ses tétons, un spectacle qui habituellement m’envoie par-dessus bord, ça ne fonctionne pas.
Enfin, Stéphanie se détend et relève son torse et me regarde comme une possédée du diable, le visage tordu et torturé. Sa chatte se contracte encore sur ma bite plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle retombe sur le lit, yeux révulsés, sa tête roulant de droite à gauche.
– Putain de salaud…qu’est-ce que tu m’as mis !
Gémit faiblement Stéphanie. Son attitude provocatrice et impertinente a disparue.
– Et si je t’enculais maintenant, Stéphanie ?
Dis-je en m’extrayant de sa chatte dégoulinante de jus.
– Plus tard… répond faiblement Stéphanie.
-A Moi, Tonton. dit Marilyn. Mets-toi sur le dos et laisse-moi monter sur toi. Tu pourras te reposer un peu et me regarder.
C’est l’euphémisme de l’année, et je me laisse tomber sur mon dos. Je suis épuisé et surtout j’ai envie de jouir. Marilyn me chevauche et prend délicatement ma queue toute dure en main.
Je reconnais à peine ma propre bite tellement elle est gonflée et violette dans la main pâle de ma nièce. Je ne sais même pas combien de temps j’ai baisé comme un dingue cette petite salope de Stéphanie.
Maintenant Marilyn baisse ses hanches et ma bite disparait dans sa chatte serrée avec cette sensation familière que j’adore. Elle va et vient à son rythme, lentement, prenant la longueur qu’elle veut sentir dans son corps si chaud. Elle a presque entièrement mon pénis en elle et elle fait une sorte de danse lascive avec son cul me souriant, étudiant mes réactions.
– Tu peux venir si tu veux, déclare Marilyn.
– Les hommes ne marchent pas à la commande, Ton oncle est un sacré coup et il tient la distance !
Dit Stéphanie avec un degré de respect dans sa voix, que je ne reconnais pas venant d’elle.
J’ai envie de jouir, mais j’ai combattu mon désir depuis si longtemps que j’ai du mal à me lâcher Je suis toujours dur comme un roc et aussi longtemps que ça dure je ne vais pas me plaindre. Surtout à mon âge !
Marilyn baise gentiment sa chatte pendant un certain temps, et Stéphanie qui a récupéré de l’énergie grimpe au-dessus de ma tête pour se mettre à cheval sur mon visage. Sa toison épaisse caresse mes joues et je glisse ma langue à l’intérieur de sa chatte rougie et glissante qu’elle entrouvre avec ses doigts.
Je la langue le plus loin possible mais j’entends Marilyn brailler et s’affoler sur ma bite. Sa chatte écrase ma queue quand son orgasme éclate et qu’elle crie :
– Ouiiiiii…OOoohhhhh…ouiiiiii ! Aaaahhh, Tontooonnnn…
Puis je la sens se retirer suivi par Stéphanie qui me dit,
– Je sais ce qu’il faut à Tonton pour le finir.
Elle caresse du bout des doigts ma queue cramoisie au gland pourpre, tellement tendue qu’elle semble prête à éclater.
– Il va te défoncer ton petit cul !
Je regarde Marilyn, qui regarde ma bite et se mord sa lèvre inférieure. Lorsqu’elle me regarde elle hoche la tête laconiquement.
– Tu n’es pas obligée de le faire, mon ange.
– Je suis sure qu’elle veut, dit tout de suite Stéphanie, mais je veux l’entendre de la bouche de Marilyn.
– Ou…oui, Tonton. Oui Je veux.
– Je vais te la préparer pour toi. S’empresse de dire Stéphanie en prenant la bouteille d’huile pour bébé.
Marilyn se met à quatre pattes sur le lit, avec ce corps de femme-enfant pâle et si vulnérable, presque innocent, à la recherche de plaisirs immoraux. Stéphanie arrose ses mains d’huile et en met entre les fesses de Marilyn. Sa rondelle rose plissée est maintenant pleinement exposée et Stéphanie ne perd pas une seconde pour introduire son index dans son petit trou pour le lubrifier.
– Ouuuhhhhh, glapit Marilyn.
– Va doucement, dis-je à Stéphanie,
Qui extrait son doigt, regarde ma bite tremblante et dit ;
– Oh, elle n’a pas encore mal mais il faut que j’agrandisse un peu plus sa rosette.
Stéphanie remet son doigt dedans, le tourne à droite et à gauche, le ressort et en rentre deux pour les faire aller venir dans son anus qui se détend. Marilyn commence à remuer son cul en rythme avec la pénétration des doigts. Stéphanie me regarde, cligne de l’œil et soudainement sort ses doigts, écarte ses fesses, et plonge sa bouche entre elles. Cette fille est incroyable, quelle perversion !
– Ooooohhhh ! Crie Marilyn quand la langue de Stéphanie entre dans son cul, ressort et lèche son trou du cul en écartant bien ses fesses avant de replonger sa langue dedans. Superbe anulingus avant qu’elle se retire de son cul pour me dire ;
– Voila ! Elle est toute à toi !
Je lui souris et grimpe sur le lit pour me placer en bonne position derrière les belles fesses de mon adorable nièce. Je pose mon gland entre cette couronne rose qui palpite et je donne quelques coups timides, m’efforçant de faire le moindre mal à Marilyn. Marilyn pousse elle aussi son petit cul vers ma bite en essayant de le forcer à s’ouvrir pour accueillir mon gland.
– Je la veux, Tonton, dit Marilyn. Ne t’inquiète pas, je sais qu’elle ne me fera que du bien.
– Pousse comme si t’étais sur les toilettes.
Sur ce conseil, je vois sa rosette s’ouvrir et j’en profite pour introduire mon gland qui repousse un peu les parois de celle magnifique corolle généralement interdite par beaucoup de femmes. Prenant en main ma bite, je pousse plus fort.
Mon gros champignon tout rouge force l’entrée de son petit trou du cul et je chasse de mes pensées les dommages éventuels que je pourrais faire à ma petite princesse. Mon dieu… elle a un gros cul mais son anus est encore plus étroit que sa chatte.
Plop ! Mon gland est absorbé et son anneau se referme un peu sur ma bite. Je pousse et plusieurs cms s’enfilent dans son charmant trou du cul. Marilyn crie et ça sonne comme une douleur. Je recule vite fait.
– Non ! C’est bon Tonton. Gémit Marilyn. Vas-y, enfonce-toi.
En baissant mes yeux je m’aperçois que son trou de balle n’est plus plissé et qu’il est devenu tellement large qu’on pourrait faire tomber sans problème une balle de ping-pong dedans. Je remets mon gland dans ce boyau rose et il est comme aspiré lorsque le muscle anal se referme après la couronne de mon sexe. Ma bite s’enfonce beaucoup plus facilement cette fois, et après quelques petits allers-retours dans son petit trou, je baise ma petite chérie dans le cul.
J’ai quand même gardé mon poing enroulé autour de ma bite pour ne pas aller plus loin et risquer de la déchirer. Ma bite est dans un étau… son cul est incroyablement étroit et…bouillant.
Marilyn me crie de la baiser plus fort et plus loin. Stéphanie en dessous de moi me serre les couilles et tire dessus sauvagement.
Les minutes suivantes sont floues et je me souviens d’une série d’images des plus pornographiques.
Marilyn hurlait contre moi, mais je ne me souviens pas si elle hurlait pour que j’arrête ou que je n’arrête pas.
Dans le miroir je vois nos corps luisants s’écraser l’un contre l’autre, et moi accroupi au-dessus d’elle comme un fauve qui va dévorer ses proies.
Stéphanie criait aussi et elle est derrière moi. Je sens ses doigts qui entrent dans mon cul et qui remuent cherchant le point particulier de la prostate que finalement elle trouve.
Marilyn est entrain de jouir, je pense… car son cul broie ma bite en contractions successives.
Stéphanie ressort ses doigts et je sens qu’elle écarte mes fesses. Aaahhh, sa langue me fouille !
Je crie et je les traite de salopes toute les deux. Je sodomise ma nièce ! Je suis le pire des salops.
Et je jouis ! Putain je jouis ! Et je crache comme un volcan mon sperme dans ses entrailles pendant que la langue de Stéphanie me fait des choses inimaginables pour moi quelques instants plus tôt. Enfin, mon orgasme commence à s’estomper après ce qui semble une éternité.
Et puis…
Un autre cri emplit la pièce. Un cri d’horreur, d’une voix que je ne reconnais immédiatement. Après le cri, un bruit sourd mais assez fort qui vient du couloir.
Quand je regarde je vois des chaussures de tennis bleus familières et les chevilles enflées, enfermées dans des chaussettes blanches. Le reste de Carole est étendu sur le sol du couloir.
– Putain quelle baraque ! crie Stéphanie avant de s’enfuir de la chambre sous les gémissements et les pleurs de Marilyn.
Les médecins m’ont dit que Carole a eu un AVC. Sa tension artérielle lui causait des problèmes depuis un certain temps, et que cela aurait pu lui arriver à n’importe quel instant. Elle a dû avoir un choc, me dit le médecin après que je lui explique que Carole est arrivée à la maison ce soir-là, tout excitée.
– Elle avait remporté le dernier loto et gagné 500 € et elle est rentrée toute excitée pour me le dire.
Que pouvais-je dire d’autre…
– Que la vieille est rentrée trop tôt et que j’avais perdu la notion du temps. Qu’elle est arrivée dans la chambre ou je copulais avec deux jeunes filles dont l’une est ma jeune nièce, Que j’avais ma bite qui remplissait le cul de ma nièce de sperme et que sa copine Stéphanie léchait mon trou du cul… en pelotant mes couilles d’une main et en se masturbant de l’autre…
Non, cela ne pouvait se dire.
– Dans quelques jours ça ira mieux, me dit le médecin, mais il est probable qu’il y aura de petites séquelles. Ou qu’elle soit par moment dans son petit monde…
– Pauvre Carole, dis-je tristement. Que dois-je faire ? Comment dois-je me comporter avec elle ?
– Juste lui rendre la vie aussi confortable que possible.
– Même sexuellement ?
– Rien n’est interdit. Elle peut même se rappeler de bons souvenirs. Il ne faut rien négliger, m’assure le médecin.
Stéphanie a disparu depuis cet incident. Marilyn est restée avec moi pendant quelques jours. Elle a été un peu secouée mais elle est restée courageusement près de moi pendant les jours passés à l’hôpital, assis tous deux dans la chambre de Carole.
La nuit nous nous aimions comme de jeunes amants.
Quelques jours plus tard, le père et la mère de Marilyn sont venus voir Carole et ils ont ramenés leur fille avec eux. De mon côté j’étais prêt pour une pause.
Je commence à sentir mon âge et je me rends compte que je n’aurais pas pu garder un rythme sexuel de la sorte plus longtemps, si non, je vais finir comme Carole.
Carole est rentrée à la maison et je prends soin d’elle car elle reste inerte comme dans un autre monde. J’ai décidé d’embaucher quelqu’un pour m’aider à prendre soin de Carole, afin que je puisse faire une pause dans la journée.
L’Agence a envoyé sur une jeune femme d’une ville voisine, qui vient pendant environ six heures par jour, quatre ou cinq jours par semaine.
Elle s’appelle Joëlle, et c’est grande fille, maigre, quelconque. Ce n’est pas une beauté lumineuse, mais au moins ça me fait une personne à qui parler dans la journée.
Au fil des jours je m’habitue à Joëlle et je la trouve plus attrayante chaque jour. Je remarque qu’elle a fait des efforts sur sa tenue et qu’elle se maquille un peu. Elle m’est agréable de converser avec elle et elle est de bonne compagnie. Ce sentiment s’accroît quand elle m’explique qu’elle vient juste d’avoir 20 ans.
– C’est aussi l’âge de votre Nièce, je crois ?
Dit Joëlle en nettoyant Carole sur son lit.
Une pensée traverse mon esprit amoral en regardant Joëlle essuyer le corps nu de Carole, et je n’en reviens pas encore de ce que j’ai dit.
– Dites, vous pouvez attendre un peu pour finir. Généralement, le mardi c’est journée sexe, alors il vaudrait mieux lui faire sa toilette après…
– Vous avez des relations sexuelles avec votre femme… Dit Joëlle d’un ton monocorde comme si elle n’était pas surprise plus que ça.
– Bien sûr, et de retour de la chambre d’amis, avec une bouteille d’huile pour bébé.
– C’est son médecin qui me l’a recommandé.
– Bon alors, je vous laisse tous les deux seuls et je reviens après.
– Non ! Vous n’êtes pas obligée se sortir. Ce n’est pas érotique, c’est juste pour son bien, pour essayer de ramener ses souvenirs enfouis. En fait, je venais d’avoir un orgasme quand Carole a eu son accident vasculaire cérébral.
– Vraiment…
– Bien sûr et je suis sûr que Carole aimerait que vous restiez près d’elle, dis-je en lubrifiant la chatte de Carole.
– Okay, dit Joëlle en s’asseyant sur le bord du lit pour essuyer le front de Carole.
– Je ne regarderais pas.
– Oh, vous faites comme vous voulez. Moi ça ne me dérange pas que vous regardiez.
Dis-je en laissant tomber mon pantalon et en huilant ma bite, qui est déjà en l’air à l’idée de ce qui pourrait effectivement arriver.
– Ça serait même plus intéressant pour moi si vous regardez, parce que ce n’est pas très excitant de le faire. C’est plus une obligation pour moi.
Joëlle ne veut peut-être pas regarder, mais quand elle lève ses yeux et voit ma bite qui se balance en face d’elle, elle semble, d’un seul coup, plus intéressée !
Sans perdre de temps, je glisse ma bite dans le trou inerte de Carole qui me regarde sans comprendre et je commence à la baiser.
Pendant ce temps, Joëlle, bien qu’elle regarde ma bite avec sa bouche ouverte, aller et venir, ne dit pas un mot jusqu’à ce que je jouisse et que je me retire de Carole.
– Voila…pas trop choquée j’espère. Pour moi c’est plus facile avec vous à mes côtés.
Je me dirige vers la salle de bains et Joëlle me suit.
– Je peux me servir de ça ?
Dit Joëlle la main tendue avec son gant de toilette, son regard toujours fixé sur mon membre maintenant mou qui se balance entre mes jambes.
– Si… si vous voulez…
Et à ma grande joie Joëlle commence à nettoyer ma bite.
– Vous avez un gros pénis quand vous bandez, déclare Joëlle. Je n’en ai pas vu d’aussi gros avant. Celle de mon copain est plus petite et moins grosse.
– Peut-être, mais il a de la chance d’avoir une jolie fille comme toi…
Et j’apprécie la couleur qui apparait sur ses joues, quand elle rince le gant sous l’eau chaude et reprend le nettoyage.
– Oh, monsieur…je ne suis pas jolie. Déclare Joëlle timidement. Je suis laide et je n’ai pas de poitrine.
Je réponds en lui écartant ses cheveux qui sont devant son visage.
– Ne soyez pas stupide, vous avez un charme particulier et vous êtes loin d’avoir une poitrine plate !
Et ma main a glissé sur sa poitrine à travers le tissu de son uniforme.
– Je ne me trompe pas. Elle doit être charmante et d’ailleurs j’aime les petits seins aux petits tétons. En fait, la plus sexy des filles que j’ai aimées avait encore des seins plus petits que les vôtres.
– Vraiment ? Vous dites cela pour me faire plaisir.
-Vous croyez ? Regardez plus bas.
Son gant de toilette est entrain de frotter une queue très dure.
– Heuuu, monsieur…et votre femme ?
– Elle a eu sa dose, maintenant je pense qu’il faut que je m’occupe de vous…
Je l’entraine dans la chambre d’amis et en déboutonnant sa blouse je lui dis ;
– Et faite-moi une faveur…s’il vous plaît, ne m’appelez pas Monsieur.
– Comment dois-je vous appeler ?
Demande Joëlle qui laisse tomber sa blouse d’infirmière à domicile et me révèle son corps svelte et ses mignons petits seins aux tétons tendus
– Appelez-moi Tonton, lui dis-je avec un sourire paternel sur mon visage, en la couchant lentement sur le lit.
Marilyn est tombée amoureuse d’un garçon de son âge et je n’ai plus eu de relations sexuelles avec elle.
Par contre, sa jeune sœur Chantal est venue passer, elle aussi, des vacances chez moi…
Sa sœur lui a dit que j’étais un Tonton d’amour…
Ça vous intéresse ?
Phantome
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