A une certaine époque je vivais seul dans un deux-pièces de la rue Daumesnil. N’ayant jamais eu le goût des tâches ménagères je m’étais décidé de scotcher des petites annonces sur les murs de mon quartier. Mon travail me permettait de passer tout mon temps chez moi avec mon ordinateur et pendant plusieurs semaines je guettais régulièrement mon téléphone portable. Je commençais à perdre espoir au bout de quatre semaines lorsqu’enfin j’eus une réponse.
C’était une voix féminine que je jugeais d’une cinquantaine d’années environ marquée d’un très fort accent ibérique. Elle s’appelait madame Lopes, disait avoir des références dans le domaine du nettoyage et avait une expérience dans la conciergerie. L’on se mit d’accord pour un rendez-vous d’entretien chez moi. Je raccrochais tout heureux de bientôt pouvoir me débarrasser de cette question pénible du nettoyage.
Le jour où je reçevais madame Lopes je tombais sur une dame un peu plus jeune que je m’étais imaginé. Elle avait des cheveux courts couleur boue permanentée d’une manière désuette, ses yeux noirs comme des pruneaux me fixaient d’une manière décidée. Sa voix et son accent restaient ceux du téléphone; je la faisais rentrer et elle pénétra dans l’entrée avec l’aisance d’une matrone. Elle était de taille assez petite mais de carrure très forte laissant penser une maternité des plus fertiles. Pour l’occasion elle s’était habillée coquète; un tailleur un peu hors-d’âge, un pull discret grisâtre surmonté d’une courte veste de cuir couleur acajou. Je la fis asseoir au salon face à moi et ce fut à ce moment-là que je me rendis compte de sa poitrine énorme. Je tentais de détourner les yeux de ce spectacle pour me rendre compte de ses cuisses et de ses jambes généreuses qui s’offraient.
Je tentais de détourner mon trouble en allant dans la cuisine préparer un café lorsque je sentis que je commençais à bander, et bander très fort.
Je n’avais que vingt-cinq ans à cette époque et je pratiquais le sport d’une manière intensive. Mon célibat prolongé m’obligeais à l’abstinence. La honte m’envahit de ressentir une excitation sexuelle envers une femme qui avait deux fois mon âge mais j’avais toujours été attiré par les femmes dont les formes débordaient de générosité. Je me sentis comme un petit garçon pris au piège.
Je rapportais les cafés et je vis qu’elle s’était allumée une cigarette sans que je lui autorise. Elle avait croisé ses jambes et s’était davantage adossée au canapé. Ses gros jambons croisés perpendiculairement étiraient sa jupe elle l’on pouvait deviner avec un peu d’imagination le fond et tout les trésors que cela cachait.
-« Je propose que nous abordons la question du revenu.
-Je suppose que tout se fera au black vu que vous n’avez pas posté d’annonce vraiment officielle… »
Décontenancé, je lui proposais les tarifs qui se pratiquaient habituellement. Elle accepta en jettant un nuage de fumée dans la pièce.
-« …vous aurez le droit d’utiliser les toilettes, dans le cadre de vos besoins personnels.
-comme c’est joliment dit ça ! »… elle me regardait un petit sourire aux lèvres, tirant sur sa clope avant d’écraser le mégot sur le coquillage que je lui avais remis à cette intention.
-« Quand pouvez-vous commençer?…
-Demain si ça vous va !. »
Le lendemain elle se présenta. Toujours ce charme désuet, toujours cette poitrine énorme qui jaillissait malgré plusieurs épaisseurs, toujours ces jambes voluptueuses et onctueuses qui me provoquèrent à nouveau la trique. Elle s’en aperçut mais n’en affecta rien. Quelques minutes plus tard elle se changea pour une sommaire tenue d’entretien.
Et les heures de ménages se suivirent, régulières: deux fois par semaine, le mardi et le vendredi. Mon appartement devint plus propre que je ne l’avais jamais connu, madame Lopes était vraiment une femme d’entretien compétente et je déposais à chaque fois en liquide la somme de la séance. Les troubles lors de notre premier entretien, je les avais progressivement oublié et à chaque fois qu’elle était là j’étais plongé dans le travail. De temps à autre nous prenions ensemble un café et je l’autorisais à fumer au balcon.
Ce fut un mardi que les choses finirent par dé****r. Elle s’occupait de la salle de bain quand je me rendis compte que ma cartouche d’imprimante était quasiment vide. J’indiquais à madame Lopes que je devais sortir, en bas de chez moi se trouvait un magasin qui remplissait les cartouches d’encre. »Pas de problème » me dit-elle de son gros accent portugais, occupée à nettoyer ma baignoire ce qui l’obligeait à se pencher, supportant la lourdeur de ses seins. Son regard croisa le mien et je sus dès cet instant qu’elle avait saisi la noirceur de mes pensées. Elle me fit un petit rictus que j’interprétais comme un sourire.
L’affaire dura plus longtemps que prévu et il se passa plus d’une demi-heure pour simplement remplir une cartouche d’imprimante. Comme madame Lopes avait sa propre clé de mon appartement je me dis qu’elle était déjà partie mais en rentrant je vis son sac. Me demandant où elle était j’entendis comme des gémissement provenant des cabinets et je vis la porte ouverte. Je tombais nez à nez sur une madame Lopes rubiconde en train de se caresser l’entrejambe. Je demeurais médusé mais elle ne se démontait pas, elle finit par me sourire.
-« Alors, qu’est ce qu’on fait maintenant. C’est la fin de la période d’éssai?. »
Je tentais de bredouiller quelque chose alors elle leva l’index devant sa bouche.
-« Sinon tu peux profiter du spectacle !… »
Et elle se remit à l’ouvrir, caressant une chatte à la largeur impressionnante entourée d’appétissants replis de chair. Elle agitait ses énormes jambes, les ouvrant et les refermant, parfois elle alternait les sursauts de haut en bas, jouissant sans retenue. Elle sortit ses énormes pis de vache de son pull; une main occupée à pinçer un de ses gros tétons, l’autre pour se caresser l’entrejambe. La fête dura ainsi une dizaine de minutes jusqu’à ce que convulsée de spasmes elle s’arrête, la chatte et la main dégoulinant de mouille. Lorsqu’elle reprit ses esprit elle pissa à gros bouillon dans le fond de la cuvette en lâchant de larges soupirs obscènes.
-« Hé ben. Vu la grosse bosse sur ton pantalon tu en as bien profité. Comme d’habitude, on se revoit vendredi. »
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