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Mes aventures 3 Le sex-shop

Mes aventures 3 Le sex-shop



Arrivée à la maison, je me glissais dans un bain chaud quand le téléphone sonnât.

Je ressortit en catastrophe de mon bain de mousse en enfilant rapidement une sorti de bain et vais décrocher le téléphone. C’était Alain qui m’annonçait qu’il rentrerait tard à cause d’une réunion importante. J’étais soulagée car je serais libre de me rendre au sex-shop, sans avoir de prétexte à fournir.

Le soir, l’heure du rendez-vous arrivait vite et je commençais à être très stressée. J’avais une boule au ventre en enfilant mes bas résille, ma mini-jupe et un chemisier trop transparent. Comme Ali me l’avait demandé, je ne mettais pas de sous vêtements. Je me maquillais outrageusement et, au moment de partir, je m’aperçus que j’avais oublier de mettre un collier de chien qu’il m’avait donné. Ouf ! J’étais prête. Mais prête à quoi exactement ? C’était bien ça qui m’inquiétait. C’était habillée comme une pute que je me rendis dans ce magasin.

Arrivée au sex-shop, le vendeur m’interpelle :
«  Approche, Michèle ! Voilà ce que tu es venue chercher. »
Il posât sur le comptoir une sorte de guépiére BDSM et me dit :
« Essaye ça ! »
Je regardais où se trouvait la cabine d’essayage mais il me reprit aussitôt :
« Cherche pas ! A poil et essaye ça ! ».
Je le regardais avec de grands yeux étonnés en lui disant, comme une supplique :
« Mais… Mais c’est pas possible,il y a des clients ? »
Justement les clients avaient commencé à s’agglutiner autour de moi et espéraient bien avoir du spectacle gratuit.
« Et alors ? Allez ! Grouille-toi ! »
Je sursautais presque tant sa phrase avait claqué comme un coup de fouet. Je me déshabillais, rouge de honte et rapidement je fût totalement nue, excepté le collier de chien, devant ce public de vicieux.

J’avais peur, mais je devais continuer.
« Bon alors ? Qu’es ce t’attends pour enfiler ta tenue de pute ? »
Je pris le corset en tremblant et l’enfilât. Je le trouvais vulgaire et il ne cachait reine de mon anatomie bien au contraire.
« Mets-toi devant le miroir ! Cambre-toi ! Tourne-toi. ! Mets tes mains aux chevilles, jambes écartées ! »
Je vis dans le miroir tous ces mecs qui me matent et certains qui se branlent. Je découvris également le reflet d’une pute qui présentait ses fesses, soulignées par le porte-jarretelles et encadrées par des bas noirs. Je me demandais à ce moment si c’était bien moi. C’était comme si mon esprit avait quitté mon corps et regardait une enveloppe charnel.

Les commentaires fusaient derrière moi.
« Elle est bandante, la salope ! »
«  Waouh !!! Et ses nichons ! Ça doit être bon de se branler entre ses mamelles ! »
« Elle a une cramouille qui appelle la bite ! »
Le vendeur trouvait la situation amusante et vendeuse. Alors il faisait un peu traîner le plaisir, puis il me lançât :
«  Approche ! Ali m’a dit qu’t’aimais recevoir du foutre ? A genoux devant moi ! »
Docile j’obéis. Au point où j’en étais…..Je me retrovais avec plusieurs hommes entrain de se masturber autour de moi. Les clients continuaient de m’invectiver en se branlant.
« On va l’asperger de foutre cette chienne. »
« Ouai ! On va lui graisser les mamelles à cette truie ! »
Dans de multiples râles de jouissances, les éjacs vinrent s’écraser qui sur mes seins, qui sur mon visage ou mes cheveux.

Un fois que le vendeur et les autres m’avaient bien aspergé, il me demandât :
« T’as l’habitude de prendre su sperme et de jouer aux salopes ! Masses-toi les mamelles avec le sperme ! »
L’humiliation touchait à son comble et c’est en baissant la tête morte de honte que je me mis à étaler tout ça sur mes seins qui deviennent luisant de foutre. J’avais presque envie de vomir. Mais cette exhibition forcée me faisait de l’effet et mes tétons durcissaient. Ils se moquaient tous de moi !

« Allez salope ! Tu ne me dois rien, aujourd’hui. Mais n’oublie pas de laver tes fringues ! Il faut qu’tu sois nickel demain, pour Ali ! ».
Je ne demandais pas mon reste et filais à moitié à poil en me rhabillant dans la rue.
Sur le chemin du retour, j’avais la net impression que tous les passants savaient ce que je venais de subir. En plus je puais le sperme. Heureusement, quand je suis rentrée chez moi, Alain n’était pas encore revenu. Je plongeais toute habillée dans la baignoire et me dévêtissais dedans.

J’étais déjà couchée et je dormais quand Alain est rentré.

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