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ma première histoire d’amour

ma première histoire d’amour



A 18 ans,très timide et n’ayant reçu aucune éducation sexuelle,je n’avais eu que très peu d’expériences sexuelles,malgré un très intense désir, depuis plus de 2 ans, tant sur le plan affectif que par pulsion génitale. La masturbation chaque soir et 2 à 4 fois les après midis libres d’école et encore des rêves érotiques aboutissant à l’éjaculation étaient la seule issue pour soulager mes sens en feu. J’avais 4 ou 5 fois ,tiraillé par un désir incoercible,osé aborder quelques professionnelles,mais ces relations,connotées surtout à l’ aspect hygiénique et souvent hâtées par mes « conquêtes »,ne pouvaient suffire à m’épanouir ni à me calmer,d’autant que l’assise monétaire était très problématique et aléatoire.
Vint la préparation du Bac: un ami de classe,un peu plus âgé et disposant du permis et d’une 4L, m’invita ,sous le bon prétexte de réviser au calme,à passer les vacances de Pâques dans la maison de campagne de ses parents,à Amplepuis.Il proposait de m’emmener avec son amie,que les parents respectifs regardaient comme sa fiancée (ils s’épousèrent 2 ans après,elle enceinte) et une amie de celle-ci,que je connaissais déjà et dont la voix,les gestes et les yeux caressants me troublaient infiniment,mais à qui je n’avais osé confier mon émoi;mes parents donnèrent leur accord,les autres parties étant connues et favorables.
Durant le trajet,je me trouvais avec ma tant désirée (disons « Juju ») sur la banquette arrière et, je ne me souviens sous quel prétexte,elle me montra des photos d’elle (d’habitude toujours habillée très « pudique »),les seins nus;et quels seins:une splendeur aussi triomphante que généreuse! (j’appris par la suite qu’elle en était,à juste titre, très fière et conseillée par sa mère et sa tante pour en prendre grand soin) Instantanément,je m’empourprai, incapable de parler,mais mon érection,immédiate,me posa une gêne qui ne lui échappa pas, parce que la douleur qui s’installait m’obligea à mieux orienter mon pénis dans mon slip pour lui permettre de se développer avec une intensité de tension extrême,au point de le sentir palpiter . Durant tout le trajet (Lyon-Amplepuis),je fus quasi mutique,rouge-tomate et non seulement mon érection persistait,mais je sentais progressivement mes réservoirs se remplir de semence;durant la fin du trajet,je dus contracter mon périnée,surtout lors des cahots, pour m’opposer à la montée dans la tige de ce qui menaçait de déborder. Je la regardais,à la dérobée:un très doux sourire illuminait son visage rosi,ses yeux mouillés brillaient,ses cils palpitaient et je notai que son regard se portait souvent sur mon « tourment »;rassuré par la douceur de son visage et son épaule frôlant souvent la mienne,j’osai lui rendre son sourire.
Une fois arrivé et le tour du propriétaire fait,je pris possession de la chambre qui m’était dévolue (je notai qu’elle jouxtait la sienne) et je pus enfin libérer mon sexe, essuyer mon gland et mon slip déjà trempés et me rafraîchir avec des Kleenex humectés. Ensuite vint la préparation d’un pique-nique avec les aliments apportés, puis nous partîmes pour assurer l’intendance.
Au retour,mi-après midi,mon ami et sa fiancée s’absentèrent pour rencontrer des voisins et je me retrouvai seul avec « ma »Juju dans cette maison dotée,à l’arrière, d’un terrain pentu,herbu,ensoleillé et sans vis à vis.
Parcourant cette maison à étages et pleine de recoins,je passe dans un salon-bibliothèque ,près de nos chambres et j’aperçois par une fenêtre ma Juju prenant le soleil en maillot de bain.Je remarque aussi que ses vêtements de voyage sont posés sur une chaise,près de son sac;surmontant le petit tas bien plié de ses légers vêtements,un trésor:sa lingerie! Je ne peux résister:je m’en empare,personne ne me voyant,pour palper du coton fuschia, doux et fin, en fin réseau de mailles aérées (dentelle anglaise,il me semble) sauf pour le dos du soutien-gorge et l’entrejambe du slip,laquelle,à mon étonnement avivé porte une ligne verticale humide! Je les porte à mon nez : pour la première fois,je respire le parfum intime d’une femme,et celui de ma plus désirée;j’en suis pris de vertige.Tout en la regardant,je libère mon sexe,à nouveau hypertendu,en humant le soutien-gorge, imprégné de la senteur florale de son lait de beauté pour les seins (je l’apprendrai par la suite);le slip au niveau de ses fesses sent comme la bergamote, un peu plus « pimenté » à l’entrefesson;au niveau du mont de vénus:un mélange noisette- agrume;l’entrejambe sent plutôt le lait de toilette pour bébé (j’apprendrai qu’elle toilette sa vulve avec ce produit qu’elle a toujours dans son sac) et la ligne humide porte aussi une note légèrement iodée qui m’évoque l’eau des huîtres!
Mais je perds toute notion de mon environnement,totalement « drogué » par ces sensations qui m’envahissent et seule la tension et les palpitations de mon sexe enflammé percent ma conscience. Ma main qui tient son slip se porte comme hors de ma volonté sur la tige de ma verge et l’entoure du doux tissu;je me masturbe tout en dévorant du regard les courbes de ma beauté offerte au soleil. Je tente de faire durer au maximum ce moment si précieux,par des mouvements lents et doux ,mais mon sexe et mes réservoirs engorgés depuis ce matin font que j’explose en 2 minutes à peine. Et quelle explosion! une dizaine de jets dont les premiers,vrais missiles, s’écrasent sur le bas des vitres;j’essaie ensuite de canaliser la suite de l’éjaculation dans ce slip qui ,gorgé, laisse encore passer des éclaboussures.
Remis de mes émotions,je m’essuie comme je peux;son soutien-gorge est bienvenu,j’en éponge mon gland,ma verge et mes testicules;un mouchoir-tissu me permet d’absorber les traces sur mon ventre et mon slip. Je plane encore en me rajustant ,dopé par ce formidable plaisir,éprouvé comme en lui faisant don et je repose,sans notion de culpabilité, sa lingerie toute imprégnée de ma liqueur d’amour sur ses vêtements. Seule la vue de la fenêtre et de son appui,aspergés, me rappellent à mes devoirs de politesse;je vais à la cuisine ,trouve une éponge et dois faire 2 voyages pour éliminer les traces (il a fallu rincer 2 fois!).
Allégé et heureux,ravi de ne pas avoir été surpris,j’avise sa lingerie et une idée me vient,me libérant de ma timidité: je retourne dans ma chambre,coupe un morceau de papier où je dessine au feutre rouge un gros coeur et vais le déposer sur sa lingerie. Puis,je descends au rez de chaussée,avec de la lecture;peu après mes amis rentrent et nous nous retrouvons tous dehors,au soleil.Il fait bon, »ma » Juju reste en maillot jusqu’au dîner….
Le soleil se couchant,le dîner se prend à l’intérieur; « Juju » monte se changer,elle redescend peu après,en Tshirt et short,sans manifester la moindre contrariété. Nous dînons avec entrain et bon appétit. Puis,pour animer la soirée,nos hôtes sachant disposer d’un tourne-disques nous nous apprêtons à danser sur des slows et reggae; bien sûr,en couples. Alors, « ma » Juju ôte son Tshirt et,seins nus et triomphants,m’invite,radieuse,avec un sourire irrésistible, à un premier slow dans ses bras. Je m’empourpre,mais comme mes amis sont aussi très euphoriques,je me presse dans ses bras,mon sexe tendu sous mon short la frôlant. Jamais je n’ai tenu une fille aimée d’amour serrée contre moi;étrangement,ma timidité passe au second plan,captivé par la chaleur de son corps,sa senteur (elle a mis un parfum floral que j’adore) et la sublime caresse de ses seins qu’elle m’offre avec une joie lumineuse.
Je suis dans un état second et je sens fondre ma timidité grâce à la chaleur de notre petit groupe et surtout au plaisir merveilleux que j’éprouve à me serrer contre elle,à la joie qu’elle manifeste à m’offrir la vue et la caresse de ses seins,les frôlements de ses cuisses et de son ventre contre mon sexe qu’elle perçoit,à nouveau en tension maximale et palpitant, avec un plaisir évident et naturel.Peu à peu,je m’enhardis à lui embrasser le cou,les oreilles,la mèche de cheveux sur ses tempes;comble de l’audace,incendié par la caresse de ses pointes de seins tendues traversant ma chemisette,je caresse les courbes magnifiques de ses fesses puis ,reggae à l’appui ,elle s’offre de dos et m’apprend à me déhancher pressé contre ses fesses (mon sexe inséré dans son sillon) et mes mains en soutien-gorge sur ses seins,les pointes glissées entre mes doigts. Je pose des myriades de baisers papillons sur les mèches folles balayant sa nuque et sur ses lobes d’oreilles ; je bande comme un étalon prêt à remplir sa jument,je découvre l’ivresse merveilleuse de la promesse d’amour. Là encore,je dois contracter de plus en plus souvent mon périnée pour m’opposer à la montée de ma semence jusqu’à mon gland . Une chaleur langoureuse m’envahit,des cheveux aux chevilles;je perçois aussi la montée de sa fièvre et de sa langueur;mon sexe,trop longtemps et durement comprimé est douloureux,en crampe permanente;mon slip humide,colle à mon ventre.Une pause pipi-fraîcheur qui s’avère collective, assagit la soirée et nous finissons par nous reposer dans un canapé en discourant,elle lovée dans mes bras,ses seins dans mes mains caressantes;j’ai passé mon sexe sous l’eau fraîche du lavabo et me sens mieux.
Alanguis,nous décidons l’extinction des feux et nous nous souhaitons bonne nuit. Arrivés devant sa chambre,je suis indécis et n’ose m’y inviter ;nous nous séparons après de doux baisers lèvres à lèvres et moi lui embrassant tendrement ses pointes de seins; cela relance mon érection. Puis, elle se dirige vers la salle de bains et,déstabilisé par le manque d’expérience sexuelle (les professionnelles ne m’ayant jamais laissé prendre l’initiative, particulièrement pour trouver l’entrée vaginale) je rentre dans ma chambre,repris par un accès de timidité. Je me mets nu et,pour me rafraîchir,je me passe un mouchoir-tissu neuf imbibé d’eau de toilette sur le corps,en insistant,pour finir,sur mes aines,mes bourses et mon sillon fessier. Après,je m’allonge dos sur le lit et ,mon sexe étant lourd et engorgé,je ferme les yeux et entreprends une lente et douce masturbation,en pensant à elle et à tout ce qu’elle vient de me faire découvrir.
Un léger bruit me tire de mon petit nuage,j’ouvre les yeux,encore alangui, et je la vois,nue et souriante , refermer la porte et s’avancer vers moi ,les yeux braqués sur ma verge tendue qu’elle vient saisir avec délicatesse en me complimentant sur sa taille et sa beauté . Je suis totalement subjugué par son aisance souriante et naturelle (j’appris par la suite qu’elle m’avait observé par le trou de la serrure,de retour de la salle de bains, et que, devant ma timidité, elle avait décidé de prendre l’initiative) et m’offre ,heureux de la voir nue et si belle,à ses caresses. Ses mains délicieuses caressent affectueusement mes testicules et ma verge;je m’ouvre davantage et bientôt le velours de ses lèvres chaudes baguant ma verge,puis les arabesques de sa langue sur mon gland et mon frein me remplissent de bonheur et d’ardeur amoureuse.
Me sentant palpiter,prêt à exploser,elle me reprend dans sa main quasi immobile ,me laisse un instant reprendre souffle puis,me chevauche de face et ,guidé par sa main,m’introduit en elle et commence à mouvoir son bassin pour me faire éprouver l’exquise caresse de sa féminité. Quelques va et vient langoureux suffisent à me faire chavirer et une vague de chaleur monte de mes reins:je suis traversé par un tsunami impétueux ,brûlant comme de la lave et d’une générosité phénoménale. Je ne suis sous sa sublime caresse plus qu’un volcan éruptif,dépassé par l’intensité de l’évènement;ses mouvements continuent,accompagnant les vagues successives peu à peu décroissantes et,enfin soulagé du plaisir jailli et donné,je connais pour la première fois le bonheur de la fusion intime et ,heureux et épanoui dans ma virilité,la verge tendue et baignée par cette effusion chaude et débordante,je jouis de tout mon être de la caresse de son fourreau animé par la houle régulière de ses hanches. Ce « rapport » suivant sans aucune pause mon orgasme s’est prolongé pas loin de 12 à 15 minutes,le temps à mes réservoirs ,vidés si extrêmement par 2 fois en cet après midi,de se remplir progressivement de liqueur amoureuse peu à peu mise sous pression.
Moi toujours subjugué et reposant,heureux et jouissant d’une fatigue si bienfaisante,c’est elle qui peu à peu a ressenti le feu de la passion érotique l’aiguillonner et ses gémissements haletants comme ses mouvements vifs , intenses et appuyés nous ont amené ensemble à un orgasme partagé qui m’a fait découvrir les spasmes de ses cuisses ,de son ventre, de ses fesses sous mes caresses et de sa féminité,tout ce séisme déclenchant à nouveau le long jaillissement de ma semence . Comme elle prenait la pilule et que le sida ne sévissait pas alors,je lui dois la découverte du plaisir le plus sublime et le plus intensément partagé. Je l’ai renversé ensuite sous moi (elle était « sonnée »,anesthésiée par le plaisir) délicatement,pour ne pas sortir d’elle et,je l’ai délicatement ranimée de baisers en la tenant dans mes bras. Peu à peu elle a répondu à mes caresses,m’en prodiguant sur mon dos,mes fesses,mes épaules,me baisant avec une infinie tendresse;je lui ai fait part de mon émerveillement,elle m’a répondu par un sourire divin en me serrant très fort et longuement entre ses bras et ses cuisses croisées autour de mes reins et nous sommes restés soudés ainsi durant un grand moment. Puis ,trop fatiguée pour se lever et retourner à la salle de bains (libérée un peu avant par nos hôtes,aussi occupés d’amour que nous durant ce séjour champêtre),pour des ablutions bien nécessaires par l’abondance des effusions ayant coulé de son ventre,je m’y suis rendu pour une toilette aussi indispensable pour moi et je vins lui faire la sienne avec une fine éponge de toilette tirée de son vanity case. Nous nous sommes ensuite glissés,nus, sous les draps et nous nous sommes endormis très vite, moi le ventre collé contre ses fesses,ma poitrine à son dos et ses seins flattés par une de mes mains .
Nous avons dormi d’une seule traite .Le matin, tiré du sommeil par la clarté,je l’ai délicatement réveillée par mes caresses sur ses cuisses,son ventre et mes baisers sur sa nuque et ses oreilles;son sourire épanoui de bonheur m’a illuminé. Nous avons alors inauguré notre rituel du matin:nos hôtes se levant plus tard pour faire l’amour dans leur chambre,nous avons pris seulement nos shorts et espadrilles et,nus,nous nous sommes gorgés de caresses et d’amour au soleil,dans le terrain abrité derrière la maison,sur une nappe consacrée à cet usage.Nous prolongions ces délices jusqu’à la sortie de nos hôtes de la salle de bains,passions nos shorts juste avant leur apparition « officielle », pour,après un bonjour échangé, faire une rapide toilette,nous habiller un peu moins sommairement et déjeuner ensemble.
L’après midi,nous aimions nous balader en nature,avec nos hôtes;pendant cette sortie bucolique ,la moindre clairière,ou nid de verdure abrité nous incitait à une halte amoureuse;au retour,une sieste reposante en chambre nous servait de paravent à une nouvelle effusion sentimentale. Ainsi, durant 2 semaines (où nous révisâmes quand même un peu le Bac en vue)je m’initiai à l’amour,à raison de 3 à 4 délicieuses étreintes par jour,sous la férule si exquise de celle qui devint alors ma fiancée.

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