Voici ce que sont devenues mes journées depuis que je suis le soumis de ma femme :
Le matin, dès que le réveil sonne, j’embrasse Nadia puis je sors nu du lit, enfile mes mules et passe mon tablier. Souvent, un début d’érection me met au supplice à cause de la cage de chasteté.
Je me dépêche de préparer le petit-déjeuner que je viens porter au chevet de ma femme. Je m’agenouille et l’embrasse doucement. Quand elle a envie de se faire lécher, Nadia me désigne un bandeau que je passe devant les yeux, après quoi, je glisse la tête sous la couette pour lui prodiguer une gâterie. Pendant ce temps là, elle prend son petit-déjeuner. Si elle n’est pas contente ou veut se lever, elle me chasse sans ménagement. Je dois attendre qu’elle se rhabille, dans la position la plus humble possible, ensuite je peux enlever le bandeau. Parfois, elle m’envoie quelques coups sur le dos ou les fesses.
Je l’accompagne à la salle de bains et l’aide à se préparer, puis elle part travailler. Durant la journée, je m’occupe du ménage et je travaille moi aussi (sur Internet). Je ne peux m’habiller que pour sortir. Il m’est, par ailleurs, interdit de porter un slip.
En fin d’après-midi, nous faisons souvent les courses ensemble. C’est l’occasion pour Nadia d’exercer une domination soft en public : remontrances, promesses de punition (Tu vas voir tes fesses !), humiliation, moqueries, etc. Elle aime me donner des ordres, me faire accourir d’un claquement de doigts, me gifler en public et me contraindre à m’agenouiller (pour demander quelque chose, pour demander pardon).
Le soir, je suis entièrement à son service : apéritif, service à table, sous la table, autres services ménagers, mais aussi massages. A ce moment là, je suis nu sous mon tablier.
Dès que j’ai un peu de temps, je dois vérifier mon épilation parfaite et m’administrer un lavement, au cas où Nadia voudrait me sodomiser.
Vient alors l’heure de la confession. J’enlève mon tablier, me prosterne et tends mon carnet de fautes à Nadia. Elle le lit et je lui demande de bien vouloir me corriger et de s’amuser comme il lui plaira avec moi. Elle détermine un « tarif » de punition et m’ordonne d’aller chercher l’instrument de mon châtiment, le plus souvent à genoux.
Puis en général, elle me fait relever et m’attache en nouant une ficelle à ma cage de chasteté, en la passant à un anneau au plafond puis en terminant par les bracelets. Je dois me mettre sur la pointe des pieds. Elle préfère cette manière parce qu’elle aime bien me voir « danser sous les coups ». J’ai un peu de liberté de mouvement, mais pas assez pour échapper à ses instruments. En outre, les mouvements provoquent une traction sur mes bourses et la position bras levés devient vite très inconfortable.
Puis au lit, je sers son plaisir humblement, à l’aide surtout de ma langue, mes doigts et son gode préféré. Bien souvent, elle m’inflige une séance de sodomie. Je n’aimais pas ça au début mais à présent, je le désire. Je me suis habitué à son gros gode-ceinture et j’y ai pris goût.
Entre autres insultes, Nadia m’appelle maintenant « enculé », même devant d’autres personnes. Une amie lui avait demandé pourquoi et elle lui a répondu : « Mais parce que je l’encule très souvent ! Tu devrais voir comme il aime ça ! ».
Le soir même, l’amie assistait à une démonstration.
Après toute sodomie, je dois nettoyer le gode, parfois avec la langue. Heureusement que je me fais un lavement chaque soir !
Bien entendu, le week-end, Nadia a plus de temps pour s’amuser avec moi.
L’après-midi, il lui arrive de recevoir des amies. Je ne peux pas pour autant couvrir mes fesses. Certaines invitées ont les mains baladeuses. Toutes les amies de ma femme ont déjà assisté à une confession et ont pu corriger les fautes que j’avais commises envers elles. Depuis le début de ma soumission, j’ai léché les chaussures de la plupart d’entre elles et l’une a même pris l’habitude de se faire servir oralement par moi.
Nadia fréquente les dancings le samedi soir. Je dois l’attendre dans la voiture. Quand je l’accompagne, c’est toujours pour être humilié publiquement. Quand elle sort avec un homme, je dois soit les suivre pour la ramener après, soit conduire tout le monde chez nous. Ces soirs là, je dors sur le canapé et le matin, je dois apporter le petit-déjeuner au lit, vêtu d’un simple tablier. Ces hommes n’hésitent pas à se moquer de moi, surtout que Nadia les y encourage ! L’un d’entre eux m’a pissé dessus, dans la douche ! Je dois souvent servir sexuellement Nadia pendant qu’elle est avec un autre homme. Je lui lèche la chatte pendant que l’autre la pénètre, ou je suce son amant d’un soir, ou encore je lui lèche les bourses ou le cul.
De temps en temps, Nadia m’attache les mains dans le dos et enlève ma cage. Elle vérifie mon épilation et me lave mon petit zizi sans me faire jouir. Enfin, nous allons au lit où elle m’attache sur le dos, les jambes en l’air, puis me sodomise longuement. Je jouis sans même me toucher !
Parfois, elle ramasse mon sperme et me le fait déguster. D’autres fois, je suis à quatre pattes et je dois lécher les draps après avoir joui.
Il arrive aussi qu’elle me laisse regarder ses cuisses et me frotter le sexe entre ses bottes ou entre ses pieds. Ensuite je dois tout lécher.
Je suis terriblement humilié de tout cela, mais j’adore ça et je n’ai jamais joui si fort !
Ajouter un commentaire