Je m’étais offerte un voyage aux Etats-Unis l’été dernier. Je louais des voitures ou bien prenais l’avion. Dans ce pays on prend l’avion comme on prend un autobus. Au milieu de la cabine, il y avait trois fauteuils qui se faisait face. Je m’y installais le plus souvent possible, car ce système favorise la conversation et cela me permettait d’améliorer mon Anglais.
Je me souviendrais toujours d’un certain vol qui dura deux heures. D’habitude, je voyageais toujours relax, en tee-shirt et jean, mais cette fois là j’étais sortie d’un restaurant en catastrophe et ne m’étais pas changée. Je portais donc un chemisier en soie légèrement transparent, une minijupe noir et des bas. Cette fois ci il y avait aussi que des filles qui m’entouraient. Elles discutaient au début entre elle me laissant de côté. Ma voisine de face semblait fascinée par mon chemisier. Elles étaient aussi belles les unes que les autres. La conversation prit fin et la blonde assise à ma droite commença à discuter avec moi. J’avais couru toute la journée et j’étais vannée. Malgré tout je répondais à ses questions. La fille en face se pencha pour me parler et posa discrètement une main sur ma cuisse. Ce contact à travers le tissus de mes bas, m’électrisa. La blonde se fit plus douce, et dans la pénombre de la cabine, je sentis sa main m’effleurer la poitrine. Elle avait pris pour excuse d’admirer la broche que je portais. Sachant la cause de ma fatigue, la brune face à moi me proposa de masser mes pieds. J’hésitais un court instant. Elle prit mon pied, retira ma chaussure et le posa entre ses cuisses. Son autre voisine fit de même ce qui écarta mes jambes. La blonde jeta une couverture sur mon intimité ainsi dévoilé. Les deux filles avait eu le temps d’admirer mon string rouge. Je fermais les yeux les laissant s’occuper de moi. Je sentis une main déboutonner mon chemiser et libérer ainsi mes seins. Elle les caressa avec douceur se qui me donna la chair de poule. Je sentis la brune rapprocher son bassin de mon pied et se frotter dessus. C’était chaud et humide malgré l’épaisseur du jean et de mon bas. Malgré moi je laissais échapper un petit gémissement.
Les mains qui massaient mon pied glissèrent lentement sous la couverture, puis sous ma jupe trop serrée. Elle la défit afin que je sois plus à mon aise et s’empara de mon string qu’elle retira avec mon aide. Ce fut très rapide. J’étais trempée. La main revint pour me caresser plus intimement. Cette caresse, si douce, me détendit complètement. Les doigts fouillaient à l’intérieur de mon sexe, ce qui provoqua un tangage de tout mon corps. Heureusement que l’on était dans la pénombre. Malgré tout nos voisin les plus proches ne pouvait rien manquer du spectacle. La pointe de mes tétons bandait outrageusement sous les caresse de la blonde assise à côté de moi. Elle se pencha pour les lécher. J’ouvris les yeux et dans un nuage de bien-être, je regardais autour de moi. Elles étaient toutes concentré à leur affaires. Sur les sièges, prés du hublot à droite, il y avait un jeune garçons qui nous regardait et ne perdait pas une miette. Sa mère dormait profondément. Je lui souris et fis un clin d’œil. Il rougit instantanément, comme pris en flagrant délit, mais il n’abandonna pas son acte de voyeurisme. Me sachant regardé par une personne aussi jeune et étrangère à mon plaisir, cela m’excita encore plus.
Je sentis alors un objet froid en caoutchouc glisser entre mes seins. Je regardais le temps de voir disparaître sous la couverture un superbe godemiché d’une taille acceptable. C’était la blonde qui le maniait. Doucement il glissa sur mon ventre. Mon bassin avançait malgré moi vers lui. La fille qui me fouillait intimement, écarta mes lèvres afin de l’aider à pénétrer en moi. La blonde avait l’habitude de son maniement. Elle le faisait entrer et sortir de mes chairs humides avec beaucoup de dextérité. Je jouis en silence sous les yeux de la fille qui avait repris sa caresse le long de mes cuisses. Elle souriait heureuse de mon bien-être.
Je fus très désappointée, lorsque j’entendis le commandant de bord annoncer notre arrivée. La blonde retira le godemiché qui fit un « plop » en sortant de ma grotte. J’eus le temps de le voir disparaître tout gluant de mes liqueurs dans son sac.
Je remis de l’ordre dans mes vêtements, reboutonnant mon chemisier, rezippant ma jupe. La fille en face de moi me dit quelque chose en me montrant sa main. Elle avait toujours mon string rouge. La blonde me proposa alors de les accompagner se soir. Je n’avais nul endroit où aller et vivre une nuit de plaisir avec ses cinq femmes n’était pas pour me déplaire. Je regardais alors la fille en face de moi et lui dis, avec un sourire, qu’elle aura l’occasion de me le remettre demain matin. Je leur annonçais ainsi mon accord.
Alors que je me dirigeais vers la sorti de l’appareil, je remarquais que le jeune garçon me suivait. Rapidement, je glissais mes doigt sur ma chatte humide et lui tendit mes doigts sous son nez. Il les renifla avec avidité et je les glissais dans sa bouche, qu’il s’empressa de sucer. Sa mère ne vit rien, mais mes compagnes oui. Elles arboraient de grand sourire pensant sûrement à la suite de nos ébats.
On grimpa dans un taxi et on se rendit dans un hôtel. La blonde qui m’avait prise avec son godemiché prit une chambre et on monta dans l’ascenseur. On était serrée comme des sardines. Les filles en profitèrent pour me caresser. J’étais déjà bien brûlante et mon corps fondait de plus en plus. Sur mes fesses je ressenti une grosseur qui me rappela un sexe mâle et pourtant il n’y avait que des filles. Je regardais surprise derrière moi et le fille qui m’avait caressé l’autre pied me sourit.
Arrivée dans la chambre, deux groupe se formèrent. L’un autour de moi et l’autre autour de la fille. Nos corps étaient violentés par les filles. On était l’une en face de l’autre, et petit à petit nos vêtements furent retirés. Je finis par me retrouver nue mis à part mes bas. On retira la jupe de la fille en dernier et je vis un superbe godemiché fixé à sa taille. Voilà l’origine de la grosseur. Nos partenaires se déshabillèrent également et ne nous laissèrent pas un moment de tranquillité. Leurs mains s’affairaient sur nos corps. La pointe de mes seins étaient dur sous leur main et leur bouche. Les soupirs que j’avais tant contenu dans l’avion finirent par sortir. L’une d’elle était agenouillé devant la fille et suçait l’engin voracement. Je me sentis basculer en arrière sur le grand lit. L’autre groupe se rapprocha et la fille me regarda dominatrice avec son excroissance arrogante. Elle s’agenouilla et pointa le bout de l’engin devant mon sexe. Elle le frotta dessus provocant en moi des cris de supplique, puis me pénétra en douceur.
Elle s’enfonça jusqu’à la garde, puis comme un mâle l’aurait fait, elle commença un long va et vient. J’étais comme folle, et nos compagnes ne faisait rien pour calmer la chose. J’étais fouillée de toute part. Une vulve béante se présenta devant mes yeux. Je la gobais immédiatement et suçait comme si ma vie en dépendait. Les deux filles s’embrassaient. Elle grimpèrent sur moi chacune à leur tour. J’avais différentes odeurs dans la bouche.
J’eus de nombreux orgasme. Je perdis le court de la réalité et m’enfonçais dans un monde de stupre, de plaisir et de jouissance.
On resta ensembles plusieurs jour, elles me faisant découvrir le coin et moi mon expérience sur le saphisme.
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