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mia en mousse

mia en mousse



Important, les aventures de mia se passent au début des années 1980, avant l’apparirio du HIV0

Résumé des épisodes précédant, mia une jeune femme délurée (moi!) est invitée par un scientifique à passer quelques jours à Sète.
Elle est invitée, mais elle doit payer son séjour… en nature.

Le lendemain matin, je suis réveillée par Tin-tin : « Toc-toc!! » dit il, en cognant mes fesses avec sa bite « Bonjour, mia…le petit coup du matin? ».
Bof, je ne suis pas du matin, mais bon…comme sa voix est celle du Tin-tin sympa, je fais un petit effort et je joue le jeu, « Oh oui, avec plaisir ».
Je tends mes fesses et lui prête un derrière distrait. Au moment où il le faut, je fais, « Oh oui, oh oui, c’est booon…. », tout en jetant un coup d’oeil à ma montre.
7 h du matin, il est matinal l’a****l!
Il jouit…moi, je fais semblant…ben oui, pour jouir il me manque : l’odeur de Laurence, ou les humiliations d’Iris, ou, au moins, un collier de chien à clochette qui accompagnerait mon orgasme d’un joyeux tintement
Il me dit, « C’était bon, hein?? ». « Suu-peerr! », je réponds!
Petit déjeuner avec le prof, il parle un peu de la veille, mais il ne donne pas assez de détails scabreux pour que ça m’émeuve. D’un côté, tant mieux, car je ne suis pas du matin, comme vous savez…
On a des choses sérieuses à faire. On va au port et on embarque sur un chalutier « Le Ressac ». C’est un bateau de taille moyenne avec un capitaine et deux hommes d’équipage, des solides gaillards. Le capitaine doit approcher la soixantaine, un des hommes d’équipage aussi0 Le plus jeune a une vingtaine d’année à tout casser. Plus jeune que moi, sûrement.
Pour l’occasion, j’ai mis un petit maillot, pour pouvoir bronzer, et au dessus le top et la minijupe, le tout, cadeaux de Tin-tin ou je l’apprendrai plus tard, d’Iris, via Tin-tin.
On navigue vers les lieux de pêche. Il fait très beau, mais à cette heure matinale, le vent est frais. Pour se réchauffer et parce qu’il a une fameuse descente, Tin-tin a prévu des provisions, genre Ricard, whisky, vodka…Le matin, c’est spécial.
Deux heures plus tard, on arrive sur les lieux de pèche. Pendant plusieurs dizaines de minutes, le filet racle le fond. Quand on le remonte, le bruit est assourdissant. Pour finir, une grosse poche, la fin du filet, se déverse sur le pont du bateau. En sort une masse grouillante de poissons, crustacés, coquillages, algues.
On pêche à la bonne profondeur et il y a déjà deux des petits requins qu’on cherche. Tin-tin et le Prof s’affairent à les placer dans des récipients spéciaux.
Les deux pêcheurs trient les poissons et les crustacés. Normalement, ils rejettent à la mer tout ce qui n’est pas monnayable, mais aujourd’hui, ils mettent tout dans un coin afin que les scientifiques gardent ce qui les intéresse. L’ambiance est plus cool que d’habitude parce que l’université du Prof participe largement aux frais.
Ce qui fait qu’ils s’arrêtent de temps en temps pour boire un coup. Je les accompagne et on a déjà vidé la bouteille de Ricard.
Il commence à faire chaud et je me mets en maillot.
J’essaye de m’intéresser à ce que cherche Tin-tin, mais, ça l’énerve plus qu’autre chose. Même les questions que je pose, genre,  » C’est quoi ça? C’est végétal ou a****l ? Et ça, c’est comestible? Ça pique? Ça mange quoi, un oursin?? »
Comme, il me répond à peine, je décide de mettre un peu de poésie dans mes questions, genre, « Est-ce que les étoiles de mer, elles sont tombées du ciel? »
C’est mignon, non? Ben, on dirait que non, car le méchant Tin-tin refait surface, bon je ne dirais pas « enfin » mais, je commençais un peu à me faire chier pour parler franc. Il me prend par une oreille, c’est dingue cette manie des mecs, et m’amène chez les 2 pêcheurs qui trient les prises.
« Les gars, cette gamine nous casse les pieds, faites la travailler, dur de préférence! »
Le plus vieux demande, « Comme un mousse? »
« Voilà, » répond Tin-tin, « comme un mousse à l’ancienne! ».
Moi je suis là, à me frotter l’oreille…Mousse à l’ancienne? C’est quoi, ça???
Oh, ils ne demandent pas mieux qu’avoir un mousse. « Pour le faire travailler et pour s’amuser ensuite ». Je fais celle qui ne voit pas ce qu’ils veulent dire
Ils me montrent d’abord les poissons dangereux : la torpille qui vous envoie une méchante décharge, la pastenague qui a un aiguillon venimeux à la base de la queue et les rascasses aux épines venimeuses, elles aussi. Chouette ambiance, je trie les poissons, en rigolant avec eux.
Faut dire, qu’on boit en douce des petits coups de vodka.
Le jeune se met à me lancer des petits projectiles, puis des plus gros…moi je riposte, on se marre bien! Le Capitaine de sa cabine a gueulé, « Arrêtez de faire les cons, merde!! », mais je crois que mon petit maillot lui a tapé dans l’œil et il ne râle que pour la forme. Je les aide aussi à ranger les casiers de poissons et de crustacés. Comme un vrai mousse– oui, mais je me demande toujours, c’est quoi à l’ancienne???
On continue à pêcher, le filet se déverse et on trie les poissons. Après la vodka on a attaqué le whisky et je me sens en pleine forme. Le plus jeune prend un concombre de mer et fait semblant de le sortir de sa braguette. « Presse-le! », me dit il, en me montrant la base du concombre. Au moment où je le fais, un long jet d’eau en sort. Rire général : c’est de l’humour de pêcheurs! Après ça, alors que je me penche pour att****r un grondin, il tire sur ma culotte et me met des petits poissons tous frétillants dedans. Cris de ma part : « Héééé!! Ça chatouille!! ». Je baisse ma culotte pour enlever les poissons. Là j’ai un franc succès, même le capitaine qui nous crie depuis sa cabine, « J’en ai déjà vu de toutes les couleurs, des raies, mais celle là c’est la plus belle! » Ambiance de plus en plus relax et sexe, la boisson aidant.
Quand on a fini de trier le dernier filet, je suis couverte de jus de poisson et d’écailles. « Attends, le mousse, » me dit le jeune, « je vais te rincer. » Il prend un tuyau relié à une pompe qui envoie de l’eau de mer. Je dois enlever mon maillot qui est tout sale et je tourne sur moi-même, toute nue, sous le jet d’eau froide. Brrrr!! Ça réveille!! J’ai la chair de poule et je pourrais rayer un carreau avec le bout de mes seins!
Du coup, même les scientifiques s’arrêtent pour me regarder. On me sèche avec une serviette, mais impossible de bien rincer le maillot. Comme je ne peux pas rester toute nue, ce ne serait pas convenable, je remets le top et la mini jupe. Je vous ai dit qu’il y a une petite brise?? Ma jupe s’envole régulièrement, pour la plus grande joie de tout le monde.
Le capitaine m’appelle de sa cabine. Aïe! je me dis, il va peut être me passer un savon… Mais non, « Je vois que tu aimes donner un coup de main, tu veux conduire le bateau?? » Ah ça oui, bien sûr, que je veux. Je m’installe derrière la barre. Une vraie barre qui tourne comme dans les bateaux de pirates. Il est derrière moi et il met ses mains sur les miennes pour me montrer comment faire. Un peu comme on montre à quelqu’un comment jouer au flipper en se collant à lui, pour diriger la bille en donnant des petits coups de reins. Je sentais le sexe du capitaine dur et dressé contre mes fesses. « Eh!! C’est pas convenable ce que vous me faites là, Capitaine. »
« C’est de ta faute si j’ai la gaule, petit mousse ». Oui, ça c’est un peu vrai. Il continue, « Et ne bouge pas tes mains sinon on risque de chavirer ». Il me prend vraiment pour une… blonde! Chavirer!!…N’empêche, je fais gaffe! Le Capitaine en profite pour lâcher mes mains et caresser mes fesses nues sous ma jupe. Bon, le Ricard et la vodka aidant, et puis mon tempérament…curieux, je le laisse faire. D’ailleurs, je ne peux pas lâcher la barre, la vie de l’équipage est quasi entre mes mains… J’écarte un peu les jambes, il me caresse la chatte… Impossible pour une fille qui a du tempérament de cacher qu’elle est…émue. Ma chatte toute mouillée me trahit, et ses doigts glissent tous seuls en moi. Le Capitaine me fait un doigt de cour…
On est en hauteur dans la cabine, mais les deux autres pêcheurs nous regardent en rigolant. Les scientifiques, eux, récoltent des choses bizarres sur le pont. Le capitaine sort son sexe et me dit en me prenant par les hanches, « Allez
penche-toi! ». C’est quand même le seul maître à bord après Dieu, alors j’obéi. Il met son sexe dressé entre mes fesses. « Hé!! Pas par là Capitaine! ». Mais il accentue la pression en disant, « C’est toujours par là avec les mousses ». Aïe! Aïe! La vie de mousse, je vous jure, je la sens bien passer sa barre!! Je me retrouve avec 20 bon cm de Capitaine en moi.
Au lieu d’apprécier ma docilité, il me dit, « Allez remue ton cul, petit feignant!! » Ma parole, il se croit encore au temps des galères ou quoi?… Mais bon, puisque c’est la coutume dans la marine… J’accompagne ses mouvements du mieux que je peux tout en tenant la barre, le regard fixé sur la mer pour éviter les …euh … icebergs ou les…baleines….
Le Capitaine me baise à grands coups de bite, ressortant presque à chaque fois. Franchement il fait ça bien! Hélas, il ne se préoccupe pas de donner du plaisir au mousse et trop rapidement, je sens qu’il va…larguer les amarres. Après quelques coups de reins encore plus énergiques, il reste enfoncé à fond et jouit en moi. Il reste immobile un moment, puis se retire en disant, « Tu peux lâcher la barre, il y a le pilote automatique. »
Ah la la!! Les hommes, ils sont prêts à tout, même à vous mentir, pour vous en…. euh… emberlificoter!
Quand je reviens sur le pont, Tin-tin discute avec les 2 pêcheurs.
Il me dit, « Dis donc le mousse, pour te faire sauter tu es toujours prête, mais tu as mal fait ton boulot : tu as mis des mulets avec les maquereaux et des castagnoles avec les pagres! ».
Je ne suis même pas sûre que ce soit vrai, déjà, que je ne sais plus ce que c’est. Je dois quand même avouer que par moments, je n’ai pas fait très attention.
« Il a picolé, le mousse et ça, c’est pas sérieux », dit le vieux.
« Elle mérite une bonne fessée », répond Tin-tin, « Il y a un volontaire? Moi je dois continuer à trier ».
BLINK!!! Une énorme lueur d’intérêt s’allume dans les yeux des deux pêcheurs, fesser un mousse, qui en réalité, est…une mousse, tu parles, qu’ils sont d’accord!
« Donnez lui 20 claques chacun », dit Tin-tin.
Ppppfff… je pousse un gros soupir… c’est quand même toujours moi qui l’ai dans ou sur le cul. « 
Tin-tin ma dit, « Tu penses, que ce n’est pas justifié, mia? ».
Je m’empresse de répondre, « Non, non! ».
« Fais une phrase » dit Tin-tin sèchement.
« Je n’ai pas fait attention, je mérite une punition. »
Le vieux m’att**** par un bras et me couche sur ses genoux.
Il relève ma jupe et tout le monde regarde mes fesses, même les goélands dans le ciel, je parie. Il prend un paquet d’algues qui se trouve sur le pont et le frotte sur mes fesses jusqu’à ce qu’elles soient bien mouillées. Puis, il lève sa grosse main qui vient claquer sur mes fesses mouillées. « Aaaiiiieeee!!! ouiiiillle!!! » Il a une de ces poignes et ses claques me font vraiment mal. Je le crie bien fort, « ça fait maaaaaal »!!!. Il me fesse à toute vitesse et en quelques minutes c’est fini. Je me relève, d’une main je me frotte les fesses et de l’autre les yeux. Sur les fesses mouillées, ça fait nettement plus mal. Elles sont brûlantes maintenant. Je regarde Tin-tin, « Je ferai attention, je serai sage… ».
Il me sourit, « On est qu’à la moitié, mia… ».
Oui, oui…bon… Je vais chez le jeune lui dit, « S’il te plait pas trop fort, j’ai eu vraiment mal, je serai… euh… très gentille ».
Il me répond, « Tu le seras de toute façon, puisque tu es le mousse ».
Ce n’est pas la première fois que je vais me faire fesser par un mec plus jeune que moi!
Il me couche à son tour sur ses genoux et il pose sa main sur mes fesses. Je les serre d’appréhension et puis je les relâche avec soumission. Je ne sais pas s’il joue à ça avec sa copine, mais il sait y faire. Il lève la main. Je vais à sa rencontre, pour que ça tombe de moins haut. PAF!! Sur mes fesses déjà rouges, ça claque et ça fait mal. « Aiiiie, aiie!! ». Mais il a autant de compassion pour moi que pour une girelle se tortille sur le pont du bateau. Il espace ses claques de quelques secondes, le temps pour mon cul se serrer puis de s’offrir, inconsciemment. Et les autres de compter en chœur :
« 1 ». Moi : « Aiiiie ».
« 2 » « Ouille, aie »
« 3 » « ça fait trop maaal!!! » …
Si on était dans une bd, les étoiles de la douleur se mettraient à scintiller autour de mes fesses toutes rouges.
Les spectateurs autour de nous, comptent et applaudissent. Le bruit des paumes de mains qui claquent se mêle à celui, nettement plus fort des claques sur mes fesses. Après celle que je viens de recevoir, ça fait un mal de chien et je piaille comme un… congrès de moineaux! Je sais que je me souviendrai de ces bruits avec… émotion, mais pour le moment je souhaite juste que ça s’arrête! Mon derrière danse dans tous les sens…
Enfin… « 20 », ils gueulent tous. Le jeune me fait me relever. Je me frotte les fesses à deux mains en pleurnichant.
Il dit, « Tu n’as rien à me dire? ».
« Merci, Monsieur ». J’ai murmuré ça, en baissant les yeux. Il me prend par le menton, me relève la tête, « Plus fort, il faut que tout le monde entende! ». Toute rouge, en tout cas un peu les joues et beaucoup les fesses, je répète bien fort, « Merci, Monsieur, de m’avoir donné une fessée ».
Évidemment, les autres se marrent, le félicite, genre, « Comment il a maté le mousse, le p’tit gars!! ».
Oui, c’est vrai, il a la manière…
Le jeune pécheur dit aux autres : « Je vais lui montrer… euh… »
Le vieux l’interrompt, « Te fatigues pas, on sait ce que tu vas lui montrer!! »
Il m’entraîne à l’arrière du bateau où on est un peu plus tranquille. On s’embrasse. Il sent le poisson mais sa bouche est fraîche et sa langue douce. Je m’agenouille et sors son sexe. Oh la! Il a une très grosse envie.
J’embrasse le bout mouillé puis je tire sur la peau, son odeur est forte et marine, logique. Je le prends en bouche… Je le suce un peu, mais rapidement, il me relève et je me penche sur le bord du bateau, jupe relevée, jambes écartées. Son sexe est tout de suite contre ma chatte qui est… plus mouillée que… la mer qui nous entoure. Les manœuvres du Capitaine m’ont bien allumée, mais en me laissant sur ma faim, ce coup ci le mousse réclame sa part du butin!
Pêcheur, c’est manuel comme boulot et en plus, malgré son âge, il baise aussi bien qu’il fesse (un surdoué!)…I l me tient fermement par les hanches et je sens mes fesses toutes chaudes contre sa peau fraîche.
En plus, il me pince le bout des seins… et je suis très sensible des tétons et ça fait mal et je dis, « Pincez-moi plus fort Monsieur… ».
Il dit, « Je vais jouir en toi! ». Là c’est le mâle qui parle et la femelle en moi répond, « Ouuuiii!! Inonde moi… j e suis en pleine ovu – la – tiooon… ».
Ce genre de chose, on ne peut pas dire les dire impunément, c’est trop… Je sens son sexe gonfler et mon vagin se contracter pour faire jaillir tout le sperme possible et le sucer avec mon utérus… Il pousse des grognements, moi je gémis presque aussi bruyamment que sous la fessée…
Pour faire simple : on prend un super pied ensemble à la gloire de la… perpétuation de l’espèce…
Il se retire et crie, « Paco, c’est à toi! ». Eh, oh!! On me prend vraiment pour…euh… un mousse à l’ancienne. Il me donne une claque sur les fesses. « Aiiie, noooon!! ».
« Pas bouger!! », me dit-il. Oh non, je ne vais pas bouger, mais plus de fessée!!! Le vieux arrive, la bite au vent et aux embruns. Et paf (!), sans un mot il s’enfonce dans ma chatte… Eh! Fais comme chez toi!! Mais, il est un peu moins bien monté que le jeune et puis je suis très mouillée, d’autant plus que je viens de me faire bien arroser…
« Putain de merde, » grogne t’il, « je sens rien! ». Bon…je sais ce que ça veut dire, c’est mon cul qui va devenir la cible!
Heureusement, il s’est bien humidifié dans ma chatte et puis le Capitaine a déjà ouvert… la voie… Ouch!! Je le sens quand même bien passer!
Il a un bon coup de rein, le vieux loup de mer et moi, malgré mes déclarations… d’allégeance et de… fécondité à son jeune collègue, j’y réponds comme une… chienne en chaleur…
Et puis, il parle aussi, surprenant chez quelqu’un de plutôt manuels. Il m’att**** par les fesses et dit, « T’aimes bien te faire enculer, hein, petit mousse? ».
Joli!! Juste ce qu’il fallait dire… « Oui… j’adore me faire enculer, Monsieur ».
Et voilà… je me laisse aller et je reprends mon pied… Lui, aussi. Après quelques soubresauts, il se retire… et rabat ma jupe qui était autour de ma taille, voilà, ni vu ni connu… enfin, si par les quatre autres qui étaient venus assister au spectacle et y vont de leurs commentaires en rigolant…
« Bravo, le mousse! », dit le Capitaine. Ça me fait plaisir.
« Quelle salope!! », dit un pêcheur. Bah, ça aussi!
J’ai un petit coup de mou… pppfff… le métier de mousse, faut de la santé… mais ça a des bons côtés, genre côté pile! J’aide à nettoyer le pont avec le jet… Malgré qu’ils connaissent mon cul…intimement, le capitaine, les pêcheurs et même Tin-tin et le Prof sont toujours aussi intéressés quand un petit coup de vent soulève ma jupe.
C’est vrai qu’ils m’ont tous tirée. Ben, oui, je suis une fille facile, même très facile, dans la vie de tous les jours. Alors, en mousse, c’est… pire!
On arrive au port et on se dit au revoir, ils me disent qu’il y aura toujours une place de mousse pour moi sur le bateau. Le jeune me donne un papier avec son nom et son téléphone… Peut être, que…
En débarquant, je fais attention que ma jupe ne s’envole pas. Ce n’est pas que ça me dérange de montrer mes fesses, mais ça me gêne quand elles sont toutes rouges.

A suivre…

C’est un extrait de mon blog www.miasansdessous.com
Si ça vous plait, j’en publierai d’autres…
Dans les dessins de Bruce Morgan, que j’ai publiés ici, vous pouvez retrouver ceux qui illustrent cette histoire.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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