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Sexe sauvage sur un parking

Sexe sauvage sur un parking



En ce moment la routine m’ennuie.
Je décide de m’inspirer d’histoires lues sur un site porno et de faire une expérience.
Je vais remplacer la qualité d’un bon amant par la quantité de partenaires.

Dans la journée je circule en voiture sur des routes à grande circulation et je visite des parkings.
Deux correspondent aux critères que je me suis fixés.
En soirée je visite de nouveau ces lieux une fois que la nuit commence à tomber, j’y stationne un moment au milieu des poids lourds, des utilitaires et de quelques autos pour voir s’il sont assez fréquentés et aussi un peu voir ce qui s’y passe et comment c’est éclairé.

Je dois composer avec le temps car s’il pleut comme cela a été souvent le cas ces derniers temps ce ne sera pas une réussite.

Depuis quelques jours il fait beau et chaud dans la journée et le soir la température est douce, je mets mon projet à exécution.
Décidée à tenter une expérience, je me rends sur le parking que j’ai sélectionné.
J’ai acheté des préservatifs, je compte m’en servir dans le cas présent.
Je me suis habillée de façon qu’on me prenne vraiment pour une salope: jupe rouge courte, pas de soutien-gorge, maillot à bretelles blanc ajusté qui laisse à l’air une partie de ma poitrine et avec lequel mes tétons ressortent à travers le tissu, bas blancs auto-fixants, bottines rouges à talons hauts.

Je me gare à un endroit ou je suis sûre d’être vue par des personnes qui sont stationnées sur le parking.
Je sors de ma voiture et m’adosse contre la portière puis j’attends.

Je ne patiente pas longtemps, un homme m’aborde.
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Nous parlons un peu, il vante ses qualités et voudrait me faire croire qu’il est un étalon de premier ordre.
Il ne faut peu de temps avant que d’autres hommes s’approchent de nous>>.
Je me mets à parler fort pour être entendue par tout le monde.
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Ils s’approchent encore et se mêlent à la conversation.
En tout cela fait cinq mâles.

Evidemment tous se montrent intéressés.
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Les propositions fusent.
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L’un d’eux propose une solution:
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Il désigne le véhicule du doigt.
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Nous gagnons le fourgon.
L’homme ouvre les portes arrières, pour faire de la place un autre range des cartons éparpillés sur le plancher puis ils étalent un plaid que le propriétaire du véhicule a pris dans la cabine.

Comme ils ont tendance à se précipiter sur moi je les calme.
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Je m’assieds sur le plaid et je me retrouve avec la meute autour de moi.
Il se mettent à genoux et sans attendre baissent le zip de leur pantalon et sortent leur queue.
Me servant de mes deux mains je les masturbe passant de l’un à l’autre sans m’attarder sur une queue en particulier ni chercher à les faire éjaculer, ce petit jeu dure un moment ce qui a le don de bien les énerver.

Ils sont très excités et s’impatientent.
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Une voix s’élève:
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Il s’entête dans son refus et conclut par:
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Il prend un préservatif, déchire l’emballage et commence à le mettre en râlant.
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Très énervé il insiste et commence à être grossier.
Je me lève et j’informe les participants que c’est terminé pour aujourd’hui, que dans ces conditions je laisse tomber.
Ne voulant pas rater l’occasion que je leur offre c’est eux qui menacent le mal embouché et le poussent à l’extérieur du fourgon.
Résigné il s’éloigne en râlant et disant que j’allais le payer.
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Je baisse les bretelles de mon maillot que je fais descendre jusqu’à ma taille, ils louchent sur ma poitrine.
Je me mets à genoux, j’enlève mon string et je retrousse ma jupe.
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Après une bousculade, car chacun veut être le premier, deux hommes sont en place.
Je prends un pénis dans ma bouche pendant qu’un autre pénètre ma chatte.
Pendant que je fais une fellation je sens les aller-retour d’une queue dans mon intimité.
Certains se sont mis à peloter ma poitrine et triturer mes tétons.

Quand un partenaire a éjaculé dans la capote il se retire et un autre prend sa place.
Arrive un moment ou la position à genoux devient difficile à supporter car la tôle du plancher n’est pas un matelas, je me couche sur le côté et replie les jambes.
Les deux mâles qui s’occupent de moi adoptent une position permettant à l’un allongé derrrière moi de pénétrer ma chatte pendant que l’autre se met de façon ou il peut coller sa queue contre mon visage pour que je puisse la prendre dans ma bouche et la sucer.
La ronde des verges se poursuit un moment.

Une seule éjaculation par personne ne leur suffit pas, ils continuent à se servir de mon corps.
Cela ne me dérange pas mais je ne veux plus être active.
Je m’allonge sur le dos et j’écarte les jambes.
Chacun leur tour ils se vautrent sur moi, pénètrent ma chatte et s’activent à coups de reins plus ou moins rapides pendant que je ressens les va-et-vient des pénis en moi.

Je m’aperçois que deux autres hommes attendent maintenant sur le parking à côté du fourgon.
Je ne les empêche pas de venir se soulager dans mon sexe eux aussi.
Simplement de temps en temps je prends une pause pour boire ce que l’on m’offre, cela m’évite d’avoir trop d’orgasmes car les pénétrations successives font monter le plaisir dans mon ventre.
Deux fois je ne peux plus contrôler mon plaisir qui devient trop fort et je jouis mouillant le plaid avec la cyprine qui gicle de mon vagin.
Puis il arrive le moment ou je décide que ça suffit.
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D’autres hommes, récemment prévenus de ce qui se passe, qui attendent à l’extérieur râlent mais je reste ferme.
Quand le dernier mâle s’est soulagé, toujours dans un préservatif, je me relève et rajuste ma tenue puis tenant mon string roulé en boule dans une main je descends du fourgon.

Pendant que je regagne ma voiture trois hommes qui ont attendus en vain veulent eux aussi que je leur accorde mes faveurs mais, malgré leur insistance, je refuse.
Ils persistent dans leur intention mais des hommes qui ont profité de mon corps font en sorte qu’ils me laissent tranquille.

Comme c’était prévisible nous tombons sur l’homme qui ne voulait pas mettre de capote et est parti furieux. Il m’attend sur le parking les bras croisés et les jambes un peu écartées avec un air méchant.
Il a juste le temps de dire:
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Il se retrouve entouré par mes gardes du corps qui le menacent, le poussent et l’accompagnent jusqu’à son véhicule en l’empoignant par les épaules.
Il monte dans sa camionnette et quitte le parking en laissant de la gomme sur le macadam car il ne démarre pas en douceur.
Tous les hommes regagnent leur véhicule après m’avoir informée des jours ou ils stationnent ici et m’avoir demandé les jours ou je viens sur ce parking.

Un routier qui poireaute devant son véhicule vient vers moi et m’invite à monter dans sa cabine.
Je refuse arguant que j’en ai assez pour ce soir.
Il insiste me disant que cela fait un moment qu’il n’est pas rentré chez lui et que faire l’amour lui manque.
Devant ma réticence il me propose de l’argent.
J’hésite, il sort son porte-feuilles, l’ouvre et en extirpe des billets qu’il me tend.
Il est brun, pas mal de sa personne bien qu’un peu enveloppé, après tout pourquoi pas.
Finalement j’accepte sa proposition.

Il me dit se prénommer Aurélien.
Il m’aide à monter dans la cabine tout en matant mon cul car je n’ai pas remis ma culotte.
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Une fois dans la cabine, la prtière refermée, il ne perd pas de temps.
Il m’enlace, ses lèvres sont sur mes miennes. Sa langue cherche la mienne, elles se mêlent dans de longs baisers pendant qu’une de mes mains caresse par dessus le pantalon son sexe bien gonflé.
Pressé il baisse mon maillot et met mes seins à l’air puis les caresse avant de les lécher puis il suce et mordille les tétons.
Ensuite il retrousse ma jupe et sa main s’égare entre mes cuisses. Il caresse mon sexe puis introduit un doigt à l’intérieur.
J’écarte les jambes pour lui permettre de mieux me doigter, ce qu’il fait tout en me tenant par la taille avec son bras inoccupé.

Impatient, après s’être déchaussé, il ne perd pas de temps et m’entraîne sur la couchette sur laquelle il s’allonge.
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Je déboutonne son pantalon et le fais glisser vers ses pieds pendant qu’il soulève ses fessses puis ses jambes. Son caleçon prend le même chemin.
Je le débarrasse des vêtements devenus gênants.
A genoux entre ses jambes je caresse un peu le pénis de taille moyenne mais bien raide puis je le masturbe doucement.
Je me penche en avant et prends la queue dans ma bouche dans laquelle je la fais pénétrer complètement, mon nez se perd dans les poils de son pubis.
Ma bouche fait des aller-retour sur le membre mais comme il a trop envie il est rapidement secoué par des soubresauts pendant qu’une bonne quantité de sperme envahit ma bouche.
J’avale le liquide puis je lui dis:
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Puis je reprends la fellation pour ne pas laisser la verge débander.

Satisfaite du comportement du pénis qui reste en érection pendant la caresse buccale je décide de passer à la phase accouplement.
Je me couche sur le dos, Aurélien s’allonge sur moi.
Sa verge bute contre mon sexe, il cherche à me pénétrer mais ne trouve pas l’entrée de mon intimité.
Avec une main je positionne sa queue, avec le poids de son corps il la fait coulisser dans ma chatte puis il commence à remuer en donnant des coups de reins.
Je fais bouger mon bassin en rythme avec lui pour accompagner les va-et-vient de son membre en moi.
Ses testicules tapent contre mes fesses.
Sans cesser de nous activer de temps en temps nous nous embrassons ou caressons.
Notre étreinte dure un moment puis il se raidit et se queue est agitée par des soubresauts pendant que mon vagin reçoit des giclées de sperme.
Il se retire, prend une serviette et s’essuie puis me la tend pour que j’en fasse autant.

Il est couché sur le dos et son pénis a perdu de sa splendeur. Je le caresse puis le masturbe d’abord doucement puis vigoureusement pendant un moment.
Enfin son membre réagit et finit par reprendre de bonnes proportions.
De nouveau je lui fais une fellation, les aller-retour de ma bouche sur la queue sont rapides.
Aurélien caresse mon corps et masturbe mon clitoris.
Au bout d’un moment j’estime que j’ai assez sucé.
Aurélien est toujours allongé sur le dos.
Je m’accroupis au dessus de lui, les jambes de chaque côté de son corps.
Je prends son pénis dans une main et l’introduis dans ma chatte puis en me baissant je le fais coulisser à l’intérieur.
Je donne des coups de reins de plus en plus rapides pour le faire aller-venir en moi pendant qu’il pelote mes seins et triture mes tétons. En regardant son visage je vois qu’il apprécie ce que je lui fais.
Je m’active pendant un moment et le plaisir monte de plus en plus dans mon ventre.

Je me soulève un peu est je prends dans une main sa queue visqueuse qui est sortie de mon intimité puis je la positionne contre mon anus.
Je laisse descendre doucement mon corps et je m’empale sur le membre.
J’att**** sa main droite et la colle contre mon sexe.
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Aurélien ne se fait pas prier et le masturbe d’abord doucement puis vigoureusement pendant que je fais monter et descendre mon corps pour faire aller et venir sa queue dans mon cul.
Au bout d’un moment je ne tiens plus, le plaisir n’a pas cessé de monter en moi et la jouissance arrive, je me crispe, je suis prise de spasmes et de la cyprine sort de mon vagin.
Profitant que je reste inactive pendant un instant Aurélien me repousse et me demande de me mettre à genoux.
J’obéis, creusant les reins et posant ma tête sur mes bras repliés.
Il se positionne à genoux derrière moi, je sens sa verge pénétrer dans mon anus.
Les mains agrippées à mes hanches il me sodomise à grands coups de reins.
Il me défonce pendant un bon moment pendant qu’avec une main je triture ses testicules.
Enfin sa queue grossit encore dans mon cul et s’y agite pendant qu’il y déverse son sperme.
Il se retire et s’allonge.

Pour aujourd’hui j’ai assez donnée, je descends de la couchette, je me rhabille correctement et cette fois remettant mon string.
Il est toujours allongé, nous échangeons quelques phrases puis j’ouvre la portière de la cabine du poids lourd et j’en sors.
Le parking est calme. Je me dirige vers ma voiture, je démarre et prends la route pour rentrer chez moi.

Finalement ce n’était peut-être pas une si bonne idée le sexe en groupe sur un parking très fréquenté, mais comme d’habitude je n’ai pas réfléchi aux conséquences.

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