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Moi Louise / Itinéraire d’une femme infidèle

Moi Louise / Itinéraire d’une femme infidèle



Suite à mon aventure collective dans les vestiaires du gymnase, Jean-Phi a démissionné. Impossible de revenir dans l’ entreprise où j’avais baisé et sucé plusieurs de ses collègues ! Il a eu néanmoins la délicatesse de ne jamais me tenir rigueur de cette vengeance. Il était bien conscient que s’il ne m’avait pas trompée je ne serais jamais allée voir ailleurs.
Le calme est revenu dans notre couple. Une forme de sérénité même.
Sa nouvelle boite  (il n’a jamais manqué de propositions d’embauche) lui plaisait beaucoup, il s’y investissait et notre vie familiale reprit sa douce insouciance.
Sexuellement il n’avait pas à s’en plaindre, j’étais devenue accro à la sodomie. Il pouvait me choper le cul quand il voulait, j’étais toujours ravie. Je suis même devenue depuis ma première fois une bonne éjaculatrice, une vraie femme fontaine ! Le plaisir anal déclenchait ma source par petits jets et j’ai vécu à cette époque avec mon mari des orgasmes délicieux !

J’étais bien, heureuse. Jean-Philippe aussi. Tu parles, une femme qui suce et qui avale, qui jouit sans cesse, fan de sodomie à toute heure, amoureuse, il n’avait vraiment aucune raison de me tromper.

C’est moi qui me trompais encore.

Monsieur avait entamé une liaison buccale avec sa nouvelle secrétaire, décidément ! et se faisait sucer sous le bureau tous les matins par cette jeune femme avide de progression hiérarchique, prête à tout pour monter en grade !
Sauf qu’il ne me l’a pas dit cette fois, craignant sans doute ma vengeance. Je l’ai appris d’un de ses collègues qui aurait bien voulu me baiser lui aussi et qui cherchait là un moyen de chantage.
L’affront était total.

Ok chéri, tu vas l’avoir ta vengeance ! On dirait même que tu le fais exprès, que tu me donnes le passeport pour aller chercher des bites…
Je n’ai pas dit à mon mari que je savais tout de sa relation. Travaillant à la maison, j’avais beaucoup de temps à moi. J’ai décidé de l’utiliser très librement et en cachette de lui.

Ma première virée de débauche s’est déroulée dans un petit cinéma porno, comme il y en avait à l’époque, et qui ont malheureusement disparu avec l’arrivée d’internet.
Il y avait un quartier chaud dans le Bordeaux un peu glauque des années 80, et je m’y rendais de plus en plus souvent, légèrement vêtue, visitant les sex shop sous le regard intéressé des hommes qui venaient chercher là des belles images. Rares étaient les femmes mariées qui s’aventuraient seules  dans ce quartier.

« LES PIPEUSES » était écrit au guichet du petit cinéma x, avec une photo en gros plan d’une bouche bien rouge comme affiche. Séance à 14H30, indiquait le menu du jour.
Il était déjà 15h.
Je prends une place, le vendeur me prévient que je serai la seule femme.
« Il y a beaucoup de spectateurs ? »
« Une quinzaine » me répond-il, « prenez l’escalier qui descend et c’est à droite »

Je descends. Le petit couloir qui mène à la salle est sombre, couvert de tapisserie rouge un peu sale. Mon coeur bat fort. Mon excitation monte. Je retire ma culotte, la fourre dans ma poche et pousse la porte battante de la salle de projection.

Captivés par l’écran, personne ne semble m’avoir remarquée. Je m’assois sagement au dernier rang, qui est vide, pour observer.
Le scénario du film est simplissime. Des femmes sucent, tout ce qui bouge, sucent encore et toujours, se gavent de bites, de foutre, vident des couilles en se bâfrant.
Les hommes sont éparpillés dans la salle, deux-trois par rangée, et soufflent fort à chaque fois qu’une actrice termine sa fellation en beauté. Certains rient comme des gosses, applaudissent, font les machos « oh la salope !!!’ « elle aime la bite celle-là ! » etc….dès qu’une femme se régale de foutre.
Je me sens comme une bombe à retardement, confortablement installée dans mon siège, ni vue ni connue, à les mater s’exciter. Je commence à sentir mon sexe se gorger de mouille.

Sur le rang devant moi il y a un grand jeune homme agité, seul. Je me baisse pour faire le tour de la rangée entre les sièges et le voir de profil discrètement.
Comme je m’en doutais, il se branle, son sexe dépassant de sa braguette, une main énergique l’astiquant, la bouche ouverte, les yeux écarquillés.
Toujours à genoux, je me faufile dans la rangée heureusement pas trop étroite, pour m’approcher encore. Les lumières de la projection défilent sur son visage dans l’obscurité de la salle. Il a l’air d’avoir une bonne bouille, un peu juvénile, je situerai son âge dans les 25-30 ans.
Les femmes sucent donc si peu qu’un si charmant jeune homme vienne ici pour soulager ses fantasmes ? Peut-être est-il tout simplement timide…
Je le touche presque maintenant. Il me voit. Tente de cacher son sexe, un peu affolé. Je lui fais « chut » en posant mon index sur mes lèvres. Il se calme, me regarde sans comprendre.
Je me mets à genoux devant lui entre les sièges, ressors sa queue qu’il avait cachée et lui fait la pipe de sa vie, à toute vitesse, comme une morte de faim, sa bite est de taille moyenne, incroyablement tendue, je le dégorge en trente secondes chrono pendant qu’il halète bruyamment. Je bois son sperme sans attendre, ça me met dans une grande excitation. Au suivant !

Je repars toujours à quatre pattes dans la rangée suivante, je jette un oeil : ils sont deux, séparés par un siège vide. Ils ne se caressent pas, sont captivés par le film. Je me lève et viens m’assoir entre les deux, avec beaucoup de naturel. Ils sont surpris, évidemment !
Avant qu’ils aient pu dire ouf je pose une main sur chaque braguette et je les caresse doucement. Ils se laissent faire en silence. Leurs sexes sont déjà tendus et durcissent encore à mon contact. Ces deux-là sont des hommes mûrs, d’une soixantaine d’années, ma bouche touche fraîche est prête à les gâter. Je sors les bites, les branle, malaxe les bourses avec soin puis je me baisse pour déguster le premier. Il sent fort. Ça ne me dérange pas, je vais bien le nettoyer. J’invite le deuxième d’un regard à prendre place sur le siège vacant. Il s’installe bien vite, la queue à la main. Celle-ci est courte mais très épaisse et ses couilles sont énormes. Je les suce tous les deux sans relâche, les yeux fermés, ils n’en peuvent plus, se lèvent dans un même élan pour mettre leurs deux queues dans la bouche en même temps.

Ça commence à bouger dans la salle, des hommes se retournent, s’exclament, s’approchent.
« Branlez vous sur mon visage »

Il reprennent leurs affaires en main, se branlent énergiquement et au même instant jouissent tous les deux, arrosant ma bouche, mes joues, mon nez. Je passe ma langue sur mes lèvres, pour bien leur montrer que j’aime ça, leur foutre chaud !
« Merci messieurs… »

Je me lève. L’assistance est moite de désir. L’écran diffuse toujours des bouches enfournant des queues prêtes à jouir mais plus personne ne regarde. Ne regarde que moi.
Je me lève et traverse la salle en jouant un peu des hanches, la tête bien droite.
J’ai repéré que les wc sont indiqués en bas à gauche de l’écran, près de la sortie. J’y vais.
Se sont des urinoirs à l’ancienne, en enfilade. 

J’attends. Personne n’arrive. Ils doivent se regarder comme chiens de faïence dans la salle, je suis un peu vexée qu’ils ne m’aient pas suivis en courant la bite à la main !
Enfin, il y en a deux qui me rejoignent, des militaires en uniforme. Ils sont tout jeunes, assez grands, ils me regardent comme une proie. Depuis combien de temps une femme ne les a pas fait jouir ?

Ils se jettent sur moi, arrachent mes vêtements, le plus grand me soulève comme un jouet et m’enfile sans prévenir, debout, en m’écartant bien les fesses pendant que je m’accroche à ses épaules. Sa grosse queue va et vient sans mal dans ma chatte détrempée. Quelle puissance, quelle fougue ! je suis au bord de l’orgasme quand je sens son complice qui entre un doigt humide dans mon anus, me fouillant sans ménagement. Je jouis une première fois quand il commence à m’enculer avec autorité et que je sens les deux bites prendre toute la place dans mon ventre, aller et venir avec délice. J’arrose leurs treillis de ma jouissance, par longs jets puissants, ma fontaine éclate, le barrage cède et libère ses eaux. 

Ils me liment toujours, debout, quand les autres hommes entrent enfin dans les wc, la queue tendue. Mes deux militaires jouissent en moi, d’abord dans mon cul, puis dans ma chatte, dans une dernière ruade, et m’assoient délicatement sur le sol carrelé dont la fraicheur me fait du bien. 
Les autres se rapprochent, m’encerclent, une quantité incroyable de mains me fouillent, me caressent, s’insinuent en moi. Des premiers jets de foutre commencent à jaillir sur mes seins, mon visage, on m’ouvre la bouche en grand pour recueillir les jus, me gaver comme une oie, pendant que d’autres éjaculent partout sur mon corps, en un temps record.

Ils ont tous finis je crois. Ils remontent leurs pantalon, sortent des wc pas très fiers d’eux pour se réinstaller sur leurs sièges. Un dernier est resté pour soulager sa vessie, un tout jeune lui aussi.
« Merci madame »
Et il sort.
Mon dieu que les hommes semblent fragiles parfois. 

Un peu troublée, plus par leur comportement que par le mien, je me nettoie vite fait au lavabo, me rhabille et passe par la sortie de secours pour me retrouver dans la lumière aveuglante du jour.
Fière de moi.

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