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Un weekend de cul à la campagne

Un weekend de cul à la campagne



L’autre jour, ne sachant trop quoi faire de ma peau, je me décidai à aller rejoindre des amis dans un 5 à 7 dans l’un des bars du village gay. Comme toujours, l’endroit était bondé mais par chance, le soleil aidant, nous pouvions profiter de la terrasse. Et ce fut ce jour là qu’on me présenta Denis et Sylvain, un couple bien établi depuis près de trente ans. Leur réputation les précédant, on m’avait déjà vaguement parlé d’eux mais je n’y avais pas vraiment fait attention. On disait d’eux qu’ils étaient riches… et puis? On disait aussi d’eux qu’ils possédaient un domaine… et puis? Ces choses-là m’indiffèrent et c’est sans doute pourquoi je ne m’étais point attardé à ce dont on m’avait dit d’eux. Par contre, on avait omis de me préciser que ces deux mecs étaient tout à fait sympathiques et d’une culture si élargie que rien ne leur échappait lors d’une discussion. Si l’un ne connaissait pas à fond le sujet, on pouvait être certain que l’autre, lui, le possédait jusqu’à la plus petite cellule de son cerveau. Leur quotidien se plaisait à fréquenter des artistes, souvent connus sinon avec un talent certain, des hommes et des femmes d’affaires, des professionnels et pour terminer, des gens comme vous et moi. En fin de compte, ces mecs étaient tout à fait charmants et jamais l’idée d’un jugement sur quiconque ne leur passerait par la tête.

Donc, ils me furent présentés. Courtois comme toujours, je leur donner une poignée de main avec mon plus beau sourire. « Wow, laissa entendre Denis. C’est de la force brute cette poignée de main ». Je souris, sachant parfaitement que je venais de l’impressionner. Sans nul doute ce mec bandait-il sur la testostérone des mecs et plus il y en avait, plus il devenait excité. Je me doutais bien qu’en trente ans de vie commune, l’exclusivité n’avait pas dû être au rendez-vous tous les jours cependant, si ce Denis croyait que je terminerais dans son lit, il se trompait royalement. Non pas qu’il était repoussant mais je ne peux dire qu’il est le genre de mec pour qui je ferais des bassesses. Je n’ai jamais aimé les grands six pieds et mince en plus. Non, moi, c’était Sylvain qui pouvait me plaire mais je me disais que s’il avait passé trente ans de sa vie avec un grand mince, ma carrure musclée ne devait certes pas l’intéresser. De toute façon, je n’étais pas là pour me trouver un mec à planter et je n’avais jamais demandé à leur être présenté.

Nous discutâmes donc pendant quelques minutes, chacun à tour de rôle me posant des questions sur ma vie, mon emploi, mes loisirs. Je répondais tout bonnement, curieux par contre de savoir le but de toutes ces questions. Je pouvais comprendre qu’ils tentaient d’en savoir plus sur moi mais je demeurais tout de même perplexe. Bien entendu, et par chance, ils avaient trop de classe pour s’informer de ma vie sexuelle car souvent, dans ces bars, quand on fait las connaissance d’un mec, ce genre de questions reviennent plutôt assez souvent. Mais eux, non. Je me décidai donc, à mon tour, à m’informer de leur vie. Ils étaient tous deux dans les affaires. Les affaires de quoi, ça ne m’intéressait point. Ils vivaient dans un condo à Montréal la semaine et les weekends, ils les passaient en Estrie, dans une maison de campagne. Moi, on m’avait dit un domaine mais la représentation visuelle pouvait changer selon les gens. Je ne savais pas s’ils étaient riches comme Crésus mais je voyais bien qu’ils étaient à l’aise financièrement. Et puis? Ne l’étais-je pas moi aussi? Et c’est pourquoi je ne comprenais pas pourquoi les gens capotaient sur eux parce qu’ils étaient riches. Ok, sans doute millionnaires mais après? Tous mes amis paraissaient en émoi devant eux et je ne connaissais nullement la cause de toute cette effervescence. Je voyais bien que tous me lançaient des regards désapprobateurs mais pourquoi? Devais-je leur baiser les pieds et je l’ignorais? Je me surpris à vérifier si l’un d’eux ne portait pas la bague papale ou si leurs veines montraient une couleur bleuâtre. Je sais bien que c’est absurde mais le comportement de mes amis l’était tout aussi, si ce n’était pas plus. Je poursuivis donc ma discussion avec Denis et Sylvain, ignorant les coups de lapidation qui s’opéraient dans les yeux des autres. Le temps passa agréablement et enfin, ils décidèrent de quitter les lieux. Je dis enfin car je commençais à m’impatienter face aux agissements de mes amis. Je peux être patient quand il le faut mais là, j’avais affaire à une ribambelle de fous alliés qui m’entouraient et surtout, qui écoutaient tout ce que je disais comme s’il craignait que je fasse une bêtise. Je saluai donc Denis et Sylvain. Ce dernier, avec un large sourire, me précisa qu’il aimait bien ma compagnie et qu’il espérait qu’on se reverrait bientôt. Je lui répondis que seul l’avenir le savait et ils disparurent, main dans la main. Et tous se jetèrent sur moi comme une mouette sur une frite, me lançant presque des injures quand à ma conduite. « Plusieurs donneraient leur âme au diable pour leur être présenté et toi, tu agis comme un pur imbécile. C’est certain que tu as perdu toute chance d’être leur invité », me lança André, le regard sévère.

– Êtes-vous tous tombés sur la tête ou quoi? M’écriai-je, exaspéré par toutes ces paroles qui sortaient de leurs bouches comme un orchestre dans lequel aucun instrument n’était accordé. Ce sont des mecs comme vous et moi, rien de plus.

– Comme nous et toi, répéta un ami. Tu ne sais donc pas qui ils sont ou tu n’as pas de cervelle?

– Voilà, je ne sais pas qui ils sont et ça m’importe peu, répondis-je en tentant de quitter mais André me prit le bras pour me retenir.

– Écoute-moi bien. Ces mecs, comme tu dis, possède un domaine en Estrie où ils donnent des soirées magnifiques et même que souvent, ils invitent pour le weekend au complet.

– Et puis?

– Tu ne comprends pas. Ce ne sont pas des soirées habituelles, si tu vois ce que je veux dire.

– Pas du tout.

– Tu es exaspérant. Ce sont des soirées sexuelles à thématique et n’est pas invité qui veut. Ils sont très sélectifs et lorsqu’ils demandent à être présentés à quelqu’un, c’est que cette personne les intéresse pour leurs soirées.

– Et puis?

– Tu avais une chance de faire partie des invités mais là, avec ton attitude, je ne crois pas qu’ils t’inviteront.

– Et puis? Je ne connaissais même pas ces soirées et encore moins ces deux mecs et je me portais merveilleusement bien.

– Te connaissant très bien Etienne Guy, tu aurais parfaitement été à l’aise dans ce genre de soirée. Toi qui te passionne pour le sexe et pour les orgies, tu aurais trouvé ton compte, crois-moi, Et tu sais que personne ici même n’a jamais été invité?

– Désolé pour vous, dis-je tout simplement, me foutant tout à fait de cette folie qui les entourait quand à ces soirées où des mecs se baisaient sous le toît d’un manoir ou d’un château en Estrie. J’en ai assez entendu. Je suis fatigué alors je vous laisse le bonsoir, dis-je en les quittant, heureux de ne plus me retrouver au milieu de cette aliénation.

Maintenant que vous connaissez l’existence de Denis et Sylvain, c’est là que mon histoire commence réellement. Et je dois avouer que maintenant, je suis bien heureux d’avoir plus à ces deux mecs.

Quelques jours plus tard, je reçu un courriel, au bureau. Bizarrement, il provenait d’un Sylvain Moisan et l’objet était; invitation pour le weekend du 21 et 22 juin 2014. Je ne connaissais pas ce Sylvain Moisan et comme je n’ouvre jamais les courriels d’inconnu, je vins pour le supprimer mais je décidai de le garder, sans toutefois l’ouvrir immédiatement. Je pris le téléphone et appelai mon ami André qui me dit que ce fameux Sylvain Moisan était tout simplement le conjoint de Denis, s’écriant lorsque je lui lu l’objet de ce courriel. Il m’incita donc à l’ouvrir immédiatement pendant qu’il était en ligne. Ce que je fis. Je commençai par le lire dans ma tête mais André m’obligea à le lui lire.

Cher Etienne,

Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Le weekend prochain, notre domaine prend la forme d’un camp où les plus beaux bûcherons se retrouveront entre eux. Le camp ouvre ses portes samedi le 21 à 10h et fermera dimanche à 17h. Bien entendu, tous les bûcherons doivent porter une chemise à carreaux, un jeans et des bottes de travail. Pour le reste, tout sera fourni. Il ne reste qu’à nous aviser de ta présence par une simple réponse à ce courriel.

– Continue, me dit André avec impatience.

– C’est tout, répondis-je.

– Tu es invité à un weekend en Estrie mon chanceux, cria-t-il.

– Mais je ne comprends rien à cette invitation. Pourquoi parle-t-il de bûcheron?

– C’est la thématique du weekend. Tu vas te retrouver avec un tas de superbes mecs, tous vêtus comme des bûcherons.

– Je crois que j’ai besoin d’explication.

– Écoute bien. Il n’y a rien de compliqué. Tous les mecs qui sont invités doivent entrer dans le jeu. C’est comme un jeu de rôle.

– Tu veux dire que je devrai faire comme si j’étais un bûcheron?

– Tu as compris.

– Mais pourquoi?

– C’est le thème, s’écria-t-il, exaspéré. Ils auraient pu demander d’être vêtu en cuir, en cowboy, en habit, ça dépend de la thématique.

– Je ne comprends toujours pas, dis-je en soupirant.

– De toute façon, tu as juste à te vêtir comme demandé et à t’y rendre, c’est tout.

– Je ne connais pas l’adresse.

– Quand tu auras répondu par l’affirmative, ils t»»’enverront les coordonnées.

– Comment sais-tu tout cela si tu n’y as jamais été?

– Je connais un mec qui a été invité l’an passé. La thématique était les gars de la construction. Il a baisé des mecs musclés comme jamais. Et la nourriture est quelque chose. Tout provient d’un traiteur et la boisson coule à flots. Et en plus, ils louent des escortes qu’ils mêlent aux invités.

– Tu veux dire qu’on ne sait pas si tel mec ou tel mec est une escorte?

– En plein ça. Ne me dis pas que ça te choque, je ne te croirais pas.

– Pas du tout. Si je récapitule, nous serons tous des bûcherons qui baiserons entre nous?

– Et pas n’importe quel bûcheron, je te le dis. Tous les invités sont choisis selon des critères physiques, si tu vois ce que je veux dire.

– Serais-tu en train de me dire que je serai au beau milieu de bûcherons musclés?

– Yes sir, dit André en riant. Alors là, tu vas répondre tout de suite que tu seras au rendez-vous.

– C’est fait, dis-je en appuyant sur « envoyer ». J’ai accepté l’invitation.

Le samedi matin venu, je montai dans un camion que j’avais emprunté à un ami. Je ne me voyais pas arrivé là-bas en Mercédès avec mes bottes de travail, ma chemise à carreaux et mon jeans troué. Je roulai sur l’autoroute en direction de l’Estrie et suivit les indications du GPS. Après un peu plus d’une heure, j’empruntai une route bordée d’arbres et là, j’aperçu l’entrée du domaine. Grillagé, il y avait un mec, vêtu comme un bûcheron, qui me fit passer en me souhaitant un excellent weekend. Je repris la route car le manoir, sans doute était-ce un manoir, je ne pouvais m’imaginer rien d’autre, était encore loin. Je roulai et enfin, je l’aperçu. Et oui, c’était un manoir et quand je dis manoir, je dis manoir. Je ne pouvais dire combien il comptait de pièces mais sûrement assez pour jouer à cache-cache pendant des heures et des heures. Deux hommes, vêtus en habit noir de serveur, me firent signe d’arrêter. L’un d’eux m’interrogea sur mon identité et fit un signe affirmatif à l’autre qui m’invita à suivre la route qui me mènerait au camp. Je fronçai les sourcils, me demandant s’il y avait bel et bien un vrai camp de bûcheron. Je jetai un dernier coup d’oeil au manoir, bien malheureux de devoir me rendre ailleurs. Je dois avouer que j’étais curieux de voir l’intérieur de ce gigantesque bâtiment mais je me remis en marche lentement, très lentement. J’observais tout autour de moi; des fontaines d’eau, des jardins magnifiques. On se serait cru dans l’un des châteaux de la Loire… en plus petit, disons-le. Je roulai pendant près de deux minutes, rencontrant un autre employé qui me dirigea vers une route de terre pour enfin arrivé au fameux camp. Et oui, c’était un vrai camp, une grosse cabane de bois d’où sortait de la fumée d’une cheminée en tôle grise. Je descendis du camion et marchai vers la cabane. Étais-je le premier invité sur les lieux car seul mon camion se trouvait devant la cabane dont j’ouvris la porte. Je fus heureux de constater qu’il y avait des mecs, trois pour être plus précis. Ils se retournèrent tous pour me saluer. André avait parfaitement raison; ils étaient tous des mecs bandants au max mais je dus constater que j’étais le plus vieux. Je me dis donc qu’ils devaient être des escortes et que je ne serais pas le seul à l’aube de la cinquantaine.

– Choisis-toi une couchette, me dit l’un d’eux. La mienne est juste là, me signala-t-il en la pointant du doigt. Je choisis donc celle à sa gauche, ravi que le mec m’ait signalé son attrait pour moi. Ça commençait bien et je me dis que moi aussi j’avais été invité pour mon body.

– Je vais aller faire un tour, le temps que les autres arrivent, leur dis-je en sortant de la cabane pour emprunter un sentier tout juste derrière. Je souris, me remémorant le début du courriel d’invitation: Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Et c’était vrai. Le soleil transperçait les feuilles pour se jeter sur moi et je me débarrassai de ma chemise à carreaux. Je marchai quelques minutes jusqu’à ce que j’entende des pas derrière moi. Je me retournai pour voir le mec qui m’avait dit de choisir une couchette. Je m’arrêtai et le regardai s’approcher de moi.

– Ça te dérange si je marche avec toi?

– Pas du tout, répondis-je en reprenant le pas, sachant qu’il demeurait derrière moi pour me bigler le cul. Je ne doutais nullement du pourquoi de sa présence et, discrètement, je déboutonnai trois boutons de mon jeans. Je me disais que le weekend prenait son ampleur de bonne heure et pour faire aboutir le tout, je quittai le sentier pour marcher à travers les arbres.

– Attends-moi, dit-il. Ce n’est pas une course.

– Excuse-moi, dis-je en m’arrêtant. Je suis habitué de marcher à cette vitesse. Et je m’appuyai contre un arbre. Tout de suite, il vit que mon jeans était entrouvert et il porta sa main sur son jeans pour me faire voir qu’il était bandé au max. Il s’approcha lentement et, plaquant son corps contre le mien, m’embrassa avec fougue pendant que sa main s’insérait dans mon jeans pour y sortir ma queue. Il s’agenouilla et ouvrit la bouche pour y engloutir ma bite qu’il suçait avec expérience, l’enfonçant dans sa gorge. Je déboutonnai le premier bouton de mon jeans et il le baissa aussitôt, m’incitant à me retourner face à l’arbre. Je sentis alors la chaleur de sa langue entre mes fesses qui cherchait mon troufignon. Je me penchai vers l’avant pour lui laisser tout le loisir de me manger le cul à grands coups de langue humide qui tentait d’enfoncer ma rondelle. Je balançai lentement mon bassin d’avant en arrière et il comprit aussitôt ce dont j’avais envie. Il se releva et, sa queue entre mes fesses, me dit:  » J’aime les salopes dans ton genre. On va avoir un plaisir d’enfer tout le weekend, disait-il en glissant sa queue qu’il humidifiait en crachant dessus. Tu la veux ma queue? Tu aimerais que je te la rentre bien au fond? Tu aimes qu’un vrai mec te laboure à grands coups? Dis-le que tu veux que je t’encule ma salope ».

– Entre ta queue bien au fond, dis-je en balançant du bassin, je veux ta grosse queue dure dans mon cul.

Il s’exécuta sans trop de précaution mais j’étais si excité que la minime douleur me fit le plus grand bien. Je sentais ses mouvements de va-et-vient, ses grands coups et sa respiration de mâle en rut près de mon oreille. Il me chuchotait que j’étais une salope, une chienne en chaleur qui ne demandait qu’à ouvrir son cul à n’importe qui. Qu’il aviserait tous les autres mecs que je voulais leurs queues et surtout, surtout, qu’il me prendrait de force durant mon sommeil. Toutes ces paroles augmentaient mon excitation et je bougeais mon cul de sorte à ce qu’il me fourre le plus profondément possible jusqu’à ce que je sente son sperme coulé en moi. Ses gémissements s’entremêlaient de ses paroles où je n’étais qu’une salope au cul d’enfer, au cul faite pour des queues de mec et il la sortit pour aussitôt s’agenouiller pour me lécher son foutre qui coulait entre mes fesses qu’il écarta pour mieux tout manger avidement. Il se releva et me fixa quelques instants pendant qu’il refermait son jeans. Il me sourit et m’embrassa en caressant mon torse en sueur.

– Tu sais quoi, dit-il en prenant ma queue dans sa main. Je ne croyais pas trouver un mec dans ton genre en acceptant cette invitation. Dès que je t’ai vu dans la cabane, tout de suite j’ai su que tu adorais sentir une belle grosse queue dure se faufiler dans ton cul qui, j’en conviens, est des plus bandants. Me laisseras-tu te fourrer à nouveau ce weekend?

– Avec tous ces mecs, aurai-je le temps?

Il me regarda et se mit à rire, m’avouant qu’il m’aimait bien avant de quitter, me laissant seul appuyé contre l’arbre. Mais il s’arrêta et se retourna vers moi.

– De toute façon, je te prendrai, de gré ou de force.

Je ne répliquai point, sachant bien que je le laisserais me prendre à nouveau sans toutefois me fermer aux autres bûcherons qui devaient arriver au moment même.

Lorsque je revins au camp, je comptai douze autres mecs. Avec les trois que j’avais vus à mon arrivée plus moi, nous étions exactement seize. Seize bûcherons, tous aussi musclés les une que les autres, et je fus enchanté de constater que je n’étais pas le seul qui avait perdu ses vingt ans. Quelques uns me regardaient bizarrement et je me dis que le mec avait déjà conté sa petite aventure dans les bois et, si j’étais chanceux, ces mâles examinaient la marchandise en se disant qu’eux aussi pouvaient en profiter. N’étais-je pas là pour un weekend de cul?

Soudain, un mec, un bodybuilder, un de ces mâles qui effraie presque tellement il est musclé, entra dans la cabane et se présenta comme le contremaître de ce camp. Il s’assura que tout le monde avait sa couchette et nous signala que les patrons désiraient tous nous voir au manoir… immédiatement. Je savais bien que ce mec tenait un rôle mais je dois admettre qu’il était un excellent acteur car nous le suivîmes tous sans dire un seul mot.

Arrivé au manoir, il nous mena derrière, sur la terrasse, où nous attendaient Denis et Sylvain, vêtus que d’un simple maillot de bain. LA PISCINE… Je n’avais jamais vu une telle piscine, pas même dans les plus beaux hôtels du sud. Elle était en serpentin avec des rochers sur lesquels coulait une eau limpide. Et la terrasse était bondée de fleurs de toutes sortes.

– Soyez les bienvenus au manoir, dit Denis en se levant de sa chaise longue. Nous vous remercions tous d’avoir accepté notre incitation, nous permettant de vivre un weekend merveilleux en votre compagnie. J’espère que le camp vous plaît mais je vous avise tout de suite que vous n’êtes pas assignés à ce camp. Vous pouvez librement entrer au manoir, vous servir de la piscine et tous les repas seront servis sur cette terrasse, si la température le permet. Comme vous voyez, le dîner est servi alors, mangez avec appétit.

Le buffet du tonnerre. On y trouvait de tout, du porc au homard en passant par des salades d’endives. Tout était succulent et nous mangeâmes avec appétit. Une fois terminée, tout ce dont j’avais envie était d’entrer dans le manoir, par curiosité. C’était à couper le souffle. Ces mecs avaient un goût pour la décoration. Rien n’avait été laissé au hasard et tout était richement agencé. Je regardai le grand escalier et me décidai à le gravir, certain d’y trouver des chambres spacieuses mais je ne me doutais pas qu’il y avait autant de corridors. Ça ne semblait jamais s’arrêter. J’ouvris une porte pour y apercevoir une salle de bain immense avec une baignoire couleur ivoire, au beau milieu de la pièce, qui pouvait sûrement contenir six personnes. Je refermai la porte pour en ouvrir une autre; une chambre avec un énorme lit en baldaquin (je n’aime pas ce genre de lit mais il était impressionnant). Je continuai à suivre le corridor, ouvrant une porte ici et là et soudain, derrière l’une d’elle, j’y trouvai deux mecs. Je n’avais certes pas été le seul à avoir été piqué par ma curiosité. Deux bûcherons… je les avais vus se parler lors du dîner. L’un d’eux était sur le lit, en position du chien et l’autre, debout, l’enculait à grands coups. Tout ce que je voyais, c’était le cul du mec qui fourrait et je ne nierai pas que ce fessier bombé me tenta aussitôt. Lentement, je m’approchai, tout en déboutonnant mon jeans, et posai une main sur l’une des fesses. Le mec se retourna pour me regarder avant de me dire:  » Sers-toi à souhait ». Sans me faire prier, je sortis ma queue déjà bandée et l’appuyai contre son cul que j’entrouvris pour y glisser ma bite sur laquelle je crachai. Doucement, j’enfonçai sa rosette pour m’introduire au complet, y allant de légers mouvements pour ne pas le brusquer. Par ses mouvements, il me fit vite comprendre que je pouvais accélérer et j’accélérai et accélérai, tentant de le suivre dans ses mouvements pendant qu’il enfouraillait l’autre mec que j’entendais gémir, me disant qu’il actait peut-être un peu trop mais bon, s’il aimait ça comme cela, c’était son affaire. Moi, de mon côté, je sentais que j’allais venir et je ralentis donc mon action car j’aimais bien la sensation de savoir ma queue dans ce cul bombé, me disant même que je me devais de l’empétarder à nouveau au cours du weekend. Je suis un passif de préférence mais devant un cul comme celui-là, ma queue se laisse très bien diriger vers le trou. Ne pouvant contrôler les mouvements du mec qui prenaient toujours plus d’ampleur, je dus laisser ma bite se libérer de sa mitraille brûlante, lui remplissant le popotin à grands coups de complaintes. Je me retirai et quittai la chambre, les laissant terminer leur activité.

Descendant le grand escalier, je me décidai à profiter de la piscine. Je sortis donc du manoir pour me retrouver sur la terrasse. Déjà, des bûcherons se baignaient et ils étaient tous nus, le maillot de bain ne faisant pas partie du costume. Je me déshabillai donc, sentant les regards de Denis et Sylvain sur moi et me jetai dans la piscine. Pendant que je nageais, sans savoir pourquoi, je me demandai s’il y avait bel et bien des escortes parmi nous et si oui, lesquels de ces mâles en étaient. Et le mec que je venais de dauffer, en était-il un? Il était jeune, sans doute mi-vingtaine, musclé, beau bonhomme… Il possédait les caractéristiques pour être escorte. Mais bon, je ne le saurais sans doute jamais.

Après quelques minutes de nage, je montai sur un matelas et m’y couchai sur le ventre pour m’y faire bronzer. Les yeux fermés, j’écoutais la douce musique qui sortait de nulle part. C’était du baroque et j’adore le baroque. Oui, c’est vrai que ce n’est pas de la musique de bûcheron mais je ne pourrais dire quelle musique qualifie un bûcheron. un reel peut-être mais je ne voyais pas ni Denis, ni Sylvain écouter de la ruine-babine sur un fond d’harmonica. Donc, je me plaisais à écouter du baroque, les yeux fermés, recevant la chaleur du soleil sur mon corps lorsque je sentis une main me caresser le dos. J’ouvris aussitôt les yeux pour y apercevoir, bien sur, un superbe mec. Les cheveux ainsi que les yeux noirs, des lèvres pulpeuses et aussi rouge que des cerises mûres, une mâchoire carrée. Je lui donnais environ trente ans. Il souriait et le fait que je le regarde ne semblait nullement le gêner de me caresser le dos.

– Carlos, dit-il. Je m’appelle Carlos. Je me doutais bien qu’il était Italien. Tu aimes ou tu préfères que j’arrête?

– C’est toujours agréable de se faire caresser, répondis-je, ne sachant quoi dire d’autre.

– Tu es un mec super sexy mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.

– Et toi, tu es un charmeur mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.

– Non. On me dit plutôt que moi aussi, je suis sexy, répliqua-t-il en souriant, glissant lentement sa main vers le bas de mon dos. Mais pour toi, je peux être charmeur. Je peux?

– Tu peux quoi?

– Cela, répondit-il en se mettant à caressant mes fesses. Elles sont très attirantes et j’ai su à travers les branches qu’elles s’ouvraient quand une queue dure s’en approchait. Est-ce vrai ou seulement des suppositions?

– Si on le dit à travers les branches, c’est sans doute que les arbres en ont été témoins, répondis-je en prenant un grand plaisir à sentir sa main sur mes fesses.

– Bien dit, articula-t-il en approchant son visage du mien. Et crois-tu que ma queue peut devenir assez dure pour prendre l’escalier de service?

– Je suis certain qu’elle est déjà très dure et qu’elle ne pense qu’à me visiter le derrière. Il laissa entendre un rire, juste assez pour me faire comprendre que je n’avais point tort. Mais là, maintenant, tout de suite, ce sont tes lèvres que j’aimerais goûter. A peine avais-je terminé ma phrase qu’il les plaqua contre les miennes, profitant de ce moment pour presser son doigt contre mon moutardier. Sa langue contre la mienne, il appuyait toujours contre mon œillet avec son index jusqu’à ce qu’il le perce. Ce n’était pas une queue mais pour le moment présent, ça faisait l’affaire. La sensation de son doigt qui entrait et sortait était douce et sur ce matelas, à la vue de tous, mieux valait un peu de discrétion.

– C’est juste un petit avant-goût. Je vois dans tes yeux que tu apprécies alors, imagine quand ça sera ma queue en entier qui te fourrera, Mais pour l’instant, j’ai autre chose à faire, dit-il avant de se mettre à nager. Je le suivis des yeux, me demandant s’il ne s’était tout simplement pas moqué de moi. Il donnait l’impression d’avoir une confiance absolue en lui mais c’était mal me connaître de croire que je pourrais me jeter à ses pieds, tout bêtement parce qu’il avait une gueule d’ange.

Je passai le reste de l’après-midi à la piscine, tantôt à me faire dorer au soleil, tantôt en discutant avec des mecs supers intéressants et non pas que pour leur body musclé. Nous étions tous nus et personne ne semblait mal à l’aise, sauf, bien entendu Denis et Sylvain qui eux, avaient gardé leur maillot de bain. On nous promettait une activité pour le soir venu mais nos hôtes se gardèrent bien de nous la dévoiler. De quelle manigance consistait-elle, sachant bien pourtant que le sexe serait de la partie. N’étions-nous pas là pour cela?

Le souper arriva enfin et encore une fois, les plats furent tous délicieux. Rien ne me sert de dire que nous avions revêtu notre jeans et que les hôtes, eux, s’étaient débarrassés de leurs maillots pour un smoking blanc. Ils avaient fière allure mais juraient aux côtés de nous tous avec nos jeans déchirés et nos vestes à carreaux. La boisson coulant à flots, certains terminèrent le souper dans un état assez grisant, ce qui promettait pour la soirée. Moi, ne buvant jamais d’alcool, était plutôt fier d’avoir toute ma tête, ne sachant guère ce qui nous attendait dans quelques heures. On nous demanda de tous retourner au camp où l’on saurait enfin en quoi consistait la fameuse activité. Ce furent donc seize mecs qui suivirent la route et, ralentissant le pas pour tous les laisser passer devant moi, je me plu à observer le cul de chacun et tous, sans exception, pouvait en être fier. Denis et Sylvain avaient bien choisi.

Une fois entré au camp, je m’allongeai sur ma couchette et fermai les yeux. Le soleil m’avait quelque peu fatigué et peut-être aurais-je le temps de faire une petite sieste mais, comme j’aurais dû y penser, je fus dérangé dans le temps de le dire. Une main se promenait sur moi, plus particulièrement sur mon jeans, exactement là où ma queue, elle aussi, se reposait. Je gardai les yeux fermés, feignant l’ignorance mais ma bite, elle, ne put jouer la comédie. Cette main qui la tripotait était parvenue à la faire grossir sans trop de difficulté mais je gardai tout de même les yeux fermés. C’était plutôt agréable et je ne bougeai pas plus lorsque le mec déboutonna mon jeans, pas plus que lorsqu’il engloutit ma queue au complet. J’aimais bien le fait de le laisser faire sans broncher; il suçait divinement bien. Et là, j’entendis une voix qui s’approchait, laissant entendre qu’il devait y en avoir pour deux bouches. Dans le temps de le dire, je ne pu compter le nombre de bouches qui se prêtaient ma bite; peut-être quatre, cinq, je ne savais pas trop. Ce que je ne doutais pas par contre, c’était que mon engin allait exploser et sans aviser, je giclai mon foutre dans la bouche d’un mec qui avala tout, ne laissant rien aux autres et tout cela, les yeux toujours fermés. Ils s’éloignèrent, laissant ma bite hors de mon jeans. Je ne bougeai point, feignant toujours de dormir. Ça m’importait peu que tous la voient car, de toute façon, ils semblaient tous s’être mis en accord sur le fait que j’étais la salope du camp. C’est donc à ce moment que je décidai de jouer leur jeu et en plus, je ferai une pierre deux coups; je leur donnerais satisfaction mais plus qu’à moi-même. J’avais accepté cette invitation en sachant parfaitement dans quoi je m’embarquais et si tous ces mâles en chaleur avaient décidé que j’allais être à leur disposition, pourquoi pas? Aurais-je cette chance à nouveau? Je m’endormis donc (pour le vrai cette fois-ci) et je fus réveillé par le contremaître bodybuilder quelques minutes plus tard d’un long cri de gorille. J’ouvris les yeux et il se tenait là, devant moi, les bras croisés, à me regarder sévèrement. « Et monsieur croit qu’il est ici pour dormir? Allez, lève-toi et suis-moi ». Je fronçai les sourcils; il jouait bien son rôle mais là, il dépassait les bornes mais je m’exécutai tout de même, le suivant hors du camp. « Écoutez-moi bien vous tous. Ce cher monsieur croit qu’il est ici pour se reposer, criait-il en me pointant du doigt. Je vais lui montrer qu’ici, c’est moi qui décide et que cette leçon serve à vous tous ». Il se plaça droit devant moi, posa ses larges mains sur mes épaules et m’obligea à m’agenouiller. « Tu vois ce que j’ai là, dit-il en se tripotant la queue par-dessus son jeans, tu vas t’en occuper ». Et il prit ma tête entre ses mains et la plaqua violemment contre lui en se balançant le bassin. Il dézippa son jeans et en sortit une queue mais une queue énorme; elle devait faire 28 centimètres et sa circonférence était telle que même mon cul se serait sauvé. J’ouvris donc la bouche, sachant bien que je ne m’en sortirais pas mais je ne pus la prendre en entier car déjà, elle me griffait le fond de la gorge. Les autres observaient la scène, sans doute jaloux de moi; c’était à eux de faire une sieste. Ma mâchoire me faisait souffrir mais je m’en foutais car cette queue était bonne à sucer. Jamais je n’avais vu un tel mastodonte qui tentait de s’engouffrer au complet mais je n’y parvenais pas et je fus quelque peu soulagé lorsque je sentis son sperme coulé le long de ma gorge. Il était venu et je pourrais retrouver un semblant de mâchoire normale car après cela, je vous jure que mes articulations au niveau de la bouche étaient quelque peu défaillantes. Je me relevai en jetant un œil aux mecs, un large sourire pour leur prouver que oui, j’étais bel et bien la salope du camp et qu’ils pouvaient m’embrocher tant et aussi longtemps qu’ils en seraient aptes. Pendant ce temps, le contremaître, lui, zippa son jeans et partit je ne sais où, sans rien dire.

– Alors la plote, tu en as eu pour ton argent, me lança le mec qui m’avait enculé à notre arrivée. Une chance pour nous qu’il ne t’a pas péter la rondelle car nous aurions fourré dans le beurre avec le morceau qu’il a.

– Ne crains rien mon beau. Je suis habitué d’en prendre deux à la fois alors, ce n’est pas sa queue qui m’aurait agrandit le trou, lui répliquai-je en lui caressant une joue au passage.

– Bien entendu, j’aurais dû y penser. J’ai déjà hâte de voir cela.

– Quand tu veux, terminai-je la discussion en allant m’asseoir sur une bûche, non loin de là.

– Il est quelque peu barbant ce mec. Je me tournai pour savoir qui me parlait et fus surpris de constater qu’il s’agissait du mec que j’avais sodomisé dans la chambre. Il me sourit. Je m’appelle Éric. Tu sais, je ne crois pas que tu sois une salope comme ils disent. Ils sont tous jaloux de toi car ils savent qu’ils n’auront jamais ton allure lorsqu’ils auront ton âge.

– Merci du compliment. Je m’appelle Etienne, en lui tendant une poignée de main. Mais nous avons déjà fait connaissance.

– Effectivement et une sacrée belle connaissance. J’en aurais repris mais tu nous as quittés.

– A mon âge, je dois me reposer de temps en temps, dis-je en riant, ayant en tête l’image de son petit cul bombé.

– Et tu crois que nous aurions le temps d’aller marcher dans la forêt avant l’activité?

– Je ne crois pas et crois-moi, je n’ai nullement le goût de me faire réprimander par le contremaître.

– Ne me dis que tu as détesté cela.

– Non mais j’ai la mâchoire en bouillie.

Nous discutâmes encore quelques minutes, jusqu’à l’arrivée de Denis et Sylvain qui, pour l’occasion, s’étaient vêtus comme nous. Nous saurions enfin de quoi retournait cette activité.

(à suivre pour la fameuse activité du samedi soir)

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