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La culpabilité d’Eva.2

La culpabilité d’Eva.2



La culpabilité d’Eva.
Chapitre 2
Une histoire érotique écrite par xicemanx
Fantasme publié le 2 août 2019
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Trash

Eva prenait son bain, essayant de se relaxer. Elle, la cadre supérieure, avec un haut niveau de vie sociale, n’était désormais plus qu’une moins que rien. Tout ce qu’elle avait pu construire, avoir. Tout cela était maintenant réduit à néant.
Il ne lui restait plus que son corps, avec l’étrange impression qu’il ne lui appartenait plus. Sa chevelure n’existait pour ainsi dire plus. Il voulait travailler ses seins. Elle serait épilée.
Elle avait avalé du sperme et bizarrement, cela ne l’avait pas dérangée.
Elle se lava. Elle en profita pour prendre un rasoir et raser la petite toison qu’il lui restait au-dessus du sexe.
Puis elle sortit du bain et s’enveloppa dans une serviette. Constatant à nouveau sa chevelure à trous, elle chercha dans les tiroirs de quoi arranger cela. Elle trouva une tondeuse. Elle décida de tondre ce qu’il restait.
Elle ressemblait maintenant à Sigourney Waver dans un des films d’Aliens… Une coupe ultra militaire avec 0.8mm de cheveux sur la tête. Au moins, c’était bien plus propre. Se regardant à nouveau dans le miroir, elle se trouva sexy.
Elle enfila un peignoir et retourna dans le salon.

Quand Christian la vit, il lui dit:
— « Je t’ai dit d’être à poil. Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans mes termes ? »
— « Rien Monsieur. J’ai juste pensé que… »
— « Je t’arrête tout de suite. Tu n’es pas là pour penser. Tu es là pour m’obéir et faire tout ce que je te dis. Tu es ma soumise, mon esclave. Ne l’oublie pas. »
— « Oui Monsieur Christian. Je tacherai de ne pas l’oublier » répondit elle en dénouant son peignoir, le laissant choir par terre.
Elle le ramassa et le ramena à la salle de bains.

Lorsqu’elle fut à nouveau de retour, Christian la félicita pour sa coupe de cheveux, mais lui demanda de remettre la perruque.
— « Il n’y a rien dans le frigo. On va aller faire des courses. Vas voir dans la chambre et trouve toi des habits. On va aller au supermarché. Il est encore ouvert. »
Elle alla dans la chambre, ouvrit des armoires. Les affaires de Rachel étaient toutes là. Que des fringues bas de gamme, des fringues de pute… Elle trouva néanmoins un jean et un tee-shirt. Vu qu’elle ne pouvait plus porter de sous-vêtements, elle enfila ces affaires tel quel.
Elle se rechaussa avec ses escarpins. Elle était prête.
Ils montèrent dans sa voiture. Christian prit le volant de sa nouvelle voiture et se rendirent au supermarché.
Les courses faites, le chariot rempli à ras bord, Christian sortit la carte bleue d’Eva pour payer.
— « C’est quoi le code ? »
— « 1295 »
Puis s’adressant à la caissière : « Elle est conne si vous saviez… mais bon !! On ne peut pas demander à un âne d’être un cheval de courses ! »
Il paya. En sortant, dans la galerie marchande, ils tombèrent sur un magasin de lingerie. Ils y entrèrent.

Christian s’adressa à une vendeuse.
— « Mademoiselle, s’il vous plait ? Avez-vous des tenues de soubrette ? »
— « De soubrette ? Non, je ne crois pas. J’ai de la lingerie un peu osée mais rien qui fasse soubrette. »
— « Et vous ne sauriez pas ou je pourrai trouver ça ? »
— « Là, comme ça, non. Mais à votre place, je chercherai sur internet. Vous devriez trouver tout ce qu’il vous faut pour madame. »
Christian remercia la vendeuse. Eva était rouge pivoine. Elle ne savait plus où se mettre. Quelle honte elle vivait !!

Ils rentrèrent dans le modeste pavillon, déchargèrent les courses. Christian s’installa dans le canapé et intima l’ordre à sa soumise de faire à manger.
Ils dinèrent. Lui habillé, elle nue. Rex, le berger allemand était assis tranquillement au pied de la table, attendant lui aussi sa pitance.
— « Je crois que le chien a faim. » dit Eva.
— « Oui, c’est vrai. Mais il est bien éduqué. Il attend que son maitre lui donner à manger. En attendant, tiens, j’ai une idée pour le faire patienter. »

Christian se leva et partit récupérer une longue corde de chanvre dans un carton. De retour à table, il lia les pieds et genoux d’Eva au pieds de la chaise. Ainsi, elle ne pouvait plus bouger les jambes.
Il recula la chaise plus loin de la table et appela Rex.
— « Rex, viens ici mon chien. Lèche ta chienne…  » en lui montrant le sexe d’Eva.
Le chien ne se fit pas prier et vint humer l’odeur de chatte qui se dégageait d’Eva. La truffe froide du chien fit sursauter Eva, mais elle ne dit rien. Au contraire même, cette situation, aussi dégueulasse soit-elle, l’excitait et la faisait un peu mouiller.
Après la truffe, c’est avec sa langue que Rex officia. Une grande langue râpeuse. Et plus Eva mouillait, plus le chien léchait. Le berger allemand accentuait encore la pression avec sa langue sur les lèvres d’Eva. Elle, de son côté, essayait d’ouvrir encore plus ses jambes. Le chien réussit à passer le barrage des lèvres et insinuait maintenant sa langue au plus profond qu’il pouvait, n’oubliant de lécher le clito à chaque lampée.
Christian ne perdait pas une miette du spectacle. Ca le faisait bander de voir son chien faire « ça » à sa nouvelle chienne. Surtout qu’il voyait bien qu’elle y prenait du plaisir.
— « Eh ben toi, t’es vraiment une sale perverse. Qui aurait cru que sous tes allures de bourge, tu n’étais qu’une chienne lubrique. T’as bien fait de venir ! Je vais bien m’occuper de ton cas ! »

Sur cet entrefaite, il enleva son pantalon ainsi que son boxer et plaça sa bite sous le nez d’Eva. Elle comprit tout de suite, et ouvrit la bouche, engloutissant comme elle le pouvait le membre bandé de son maitre.
L’action conjuguée de la langue du chien et de la pipe qu’elle faisait l’excitait au plus haut point. Dire qu’il y a encore une semaine, jour pour jour, elle sirotait des cocktails dans les restaurants huppés de la capitale…
Là, elle se retrouvée avilie… et elle aimait ça. Pourquoi ? Aucune réponse ne lui venait. Ce qu’elle savait, là, maintenant, c’est qu’elle avait envie de jouir.
Christian le sentit et arrêta Rex. Le chien obéit tout de suite et retourna s’asseoir un mètre plus loin. Il n’arrêta pas pour autant de se faire sucer.
Il lui dit : « Alors, on aime la langue du chien ? Elle fait du bien ? T’as envie de jouir, petite chienne ? »
Elle acquiesça d’un signe de tête.
— « Si tu arrives à me prendre complètement en bouche, à me faire une gorge profonde, alors, je laisserai le chien te baiser… et tu pourras jouir. Sinon, c’est le chien qui jouira seul dans ta bouche. »

Choix cornélien. Soit elle arrivait à faire une gorge profonde à son maitre, et elle pourrait jouir en se faisant sauter par le chien… Soit elle n’y arrivait pas, et dans ce cas, il faudrait qu’elle suce le chien !!
Elle n’était résolue à aucune des 2 actions… mais en tant que soumise, elle n’avait de toutes façons pas d’autres choix. Vaille que vaille, si elle pouvait jouir, ça serait toujours ça de gagné !
Elle tenta donc d’avaler le sexe de Christian, allant de plus en plus loin, centimètre par centimètre… mais quand le sexe buta sur sa luette, elle eut un mouvement de rejet… et de régurgitation.
Elle dégueula… en partie sur elle, en partie par terre. Des larmes coulaient. Christian lui présenta à nouveau son sexe qu’elle reprit en bouche. Elle essaya encore, mais le résultat final fut identique.
Avec toute sa bonne volonté, elle n’y arrivait pas. Christian lui dit alors : « T’as essayé. C’est déjà bien. Mais tu n’y arrives pas. Continue de faire normalement, que je puisse me décharger dans ta bouche, et après, on verra. »
Voyant une petite lueur d’espoir, elle suça le gland de son maitre jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Bien entendu, elle avala toute la semence et rendit un sexe propre à son maitre.
Christian la détacha alors. Puis il intima à Rex de se coucher. Ce que le chien fit dans la seconde.
S’adressant à son esclave, il lui dit : » Tu vas te mettre à 4 pattes, et tu vas aller sucer Rex. Son sexe est moins long que le mien mais il peut prendre une grosseur bien plus importante. Habitue toi avec lui.
Résignée, et à 4 pattes, elle si dirigea verse le chien. Son sexe sortait déjà de son fourreau. Elle caressa ce dernier avec la main, le faisant encore plus sortir. Puis elle approcha son visage, sa bouche et goba le sexe.

Quelle déchéance !

Elle suçait maintenant un chien.
Christian l’informa qu’il fallait là encore qu’elle avale la semence du chien. Qu’une hiérarchie était bien présente dans la maison. C’était lui, Christian, le maitre de la maison. Ensuite, il y avait Rex, et pour finir, elle, Eva, la soumise esclave… Esclave du maitre et du chien.
La voyant résignée à la tâche, Christian interrompit la fellation canine. Il demanda à Eva de rester à 4 pattes et ordonna soudainement à Rex d’aller prendre sa femelle.
Rex bondit d’un coup et se plaça derrière, le vit bien bandé. Il n’eut alors aucune difficulté à trouver le vagin totalement trempé d’Eva. Le chien pilonna sa chienne. Cela ne dura pas très longtemps, mais elle sentit le sexe du chien grossir et grossir encore dans sa chatte. Puis, après une énième poussée du chien, son nœud grossit jusqu’à son paroxysme et il éjacula dans son vagin. Il n’en fallait pas plus pour qu’Eva soit prise d’un violent orgasme.
Elle s’écroula, tremblante et heureuse de cette jouissance dévastatrice. Sous le sourire de Christian, du sperme canin s’échappait de son vagin pour s’écouler au sol, formant une flaque.
Christian l’interpella sur le sujet : « Dis-moi, petite chienne ! Mais tu es sale ! Regarde-moi cette flaque qui s’écoule. Nettoie moi ça ! Et avec ta langue ! »
Eva se tourna vers la flaque, et comme une chienne bien éduquée, lapa le sperme canin sur le sol.
Une fois que l’opération fut achevée, elle reçut l’ordre d’aller se laver.
Puis Christian lui montra l’ancienne chambre de sa fille. C’est ici qu’elle dormirait. Avant de la laisser, il lui indiqua qu’elle devrait se lever à 07h00 pour se doucher, prendre son petit déjeuner, pour lui préparer son café, qu’elle devrait lui amener au lit et que quoiqu’il en soit, elle devait attendre qu’il se réveille pour lui tailler sa pipe matinale.
Elle acquiesça.
Elle s’endormit finalement très vite, usée et fatiguée par cette journée.

Le lendemain, la matinée se déroula comme indiqué. Levée à 07h00, elle se rendit nue à la cuisine, se prépara un petit déjeuner, alla se laver et préparer le café de son maitre.
Une fois cela fait, elle se rendit dans la chambre de ce dernier et attendit, à genoux au pieds du lit que Christian sorte de sa torpeur. L’attente ne fut pas bien longue. L’odeur du café frais avait éveillé ses sens.
Il ouvrit les yeux et la vit. Rex, lui était allongé dans son panier, dans un coin de la chambre.
Il dit : « Allez, pour bien démarrer la journée, une bonne petite pipe. Viens me sucer, chienne ! »
Eva obtempéra. Il lui semblait que toute question morale s’était évanouie. Elle était maintenant là. Elle avait signé. C’était pour la vie.
Elle suça donc son maitre qui lui fit l’offrande d’éjaculer dans sa bouche. Elle avala. Il la renvoya à ses taches de ménage. Et lui put prendre son café.

Ce repas à peine avalé, qu’il fila à la douche. Une fois sorti, il s’habilla et on sonna à la porte. Christian alla ouvrir et fit entrer Carole, l’esthéticienne qu’il connaissait depuis longtemps. C’est elle qui s’occupait de Rachel.
— « Alors Christian. Ça fait un bail déjà. Contente de voir que tu vas mieux. »
— « Merci Carole. Et oui, ça fait quelques temps, c’est certain. Mais depuis que Rachel nous a quitté, tu sais… »
— « Oui, je sais. Désolé Christian. Alors, que puis-je faire pour toi. »
Christian siffla. Rien. Il siffla à nouveau. Toujours rien. Alors, il dit :
— « Oh, La soumise, l’esclave ! Viens ici ! »
Eva arriva dans le salon. Elle avait le regard fuyant et protégeait ses seins et son sexe avec ses mains.
— « Quand je siffle, tu rappliques illico. Pareil quand je t’appelle. C’est compris ? »
— « Oui monsieur. »
— « Et enlève tes mains de tes seins et de ta chatte, histoire que Carole puisse te voir. »
Eva obéit. Carole la détaillait de A à Z.
— « C’est ta nouvelle soumise ? »
— « C’est ça. Et j’aimerais que tu t’en occupes. Tu lui fais la totale. »
— « Tu es sûr ? Totale de chez Totale ? Parce qu’avec les produits et matériels que j’emploie, il n’y a pas de retour arrière possible. De plus, c’est cher ! »
— « T’inquiètes pas pour ça. J’ai du fric maintenant… » lui répondit-il, en regardant sournoisement Eva.
— « Ok. Je vais récupérer tout le matériel dans la voiture. Tu me donnes un coup de main ? »
Tous deux sortirent dans l’allée, récupérer le matériel dans la camionnette de Carole.

De retour, l’esthéticienne installa tout.
Elle dit alors : »Je suis prête, on peut commencer quand tu veux. On commence par quoi ? »
— « Epilation TOTALE au laser. » renchérit Christian.
Carole demanda alors à Eva de s’installer sur la table. Pour ne pas qu’elle puisse bouger, ses poignets et ses chevilles furent attachés à la table.
Puis, Carole activa son laser. Elle commença par les aisselles, puis s’attaqua au quelques poils qu’elle avait sur le haut des bras, puis ce fut au tour des jambes. Enfin, elle épila son sexe, ses lèvres et son anus.
Tout cela dans une douleur assez violente. Mais Eva n’avait pas crié une seule fois.
Lorsque Carole eut terminé, Eva avait le corps rougi et avait chaud. Très chaud. Le fait de se sentir prisonnière, de ne pas pouvoir bouger alors qu’on lui faisait des choses l’avait aussi quelque part, excitée.
Carole s’en rendu compte en voyant sa fente humide. Elle passa son index sur l’intégralité de la fente, recueillant un peu de liquide luisant, puis l’approcha des lèvres d’Eva. Cette dernière, ouvrit alors la bouche, engloutissant le doigt et le léchant.
Ce qui ne manqua pas de surprendre Christian.
— « Mais c’est qu’elle aime ça, en plus, ma soumise. Elle aime être dominée et maltraitée. Tu vois, finalement, on s’est bien trouvé… Parce qu’avec moi, tu vas en baver. » lui dit Christian.
Carole allait ranger son laser quand Christian la retint.
— « Attends ! Tu n’as pas terminé ! »
— « Comment ça, j’ai tout fait. »
— « Pas tout à fait. Je veux que tu lui fasses la TOTALE. Cela inclus aussi la tête ! »
— « Tu veux que je traite sa tête au laser. Ses cheveux ? »
— « Ses cheveux, mais aussi ses sourcils. Tu lui laisses juste les cils. »
— « Tu sais que c’est irréversible ? »
— « Oui, oui, je sais. T’inquiète ! »
— « Ca m’embête Christian. Je n’ai pas pour habitude de faire ça. Sauf si demande particulière de la cliente. »
— « Si ce n’est que ça, alors, elle va te le demander elle-même, n’est-ce pas soumise ? »
— « Faites ce qu’il dit madame Carole, s’il vous plait. De toutes façons, je lui appartiens, corps et âme dorénavant. »
— « Vous savez que si je fais ça, vous n’aurez plus jamais de cheveux, de sourcils. »
— « Oui, j’en suis consciente. »
— « Parfait. Alors, je vais continuer. »
Carole chercha dans sa trousse de la crème à raser dont elle enduisit l’intégralité du crâne d’Eva. Puis, elle lui rasa la tête. Dans un sens, puis dans l’autre. Elle l’essuya et passa son laser sur la surface totale de la tête, désormais lisse comme un miroir.
Les sourcils furent aussi faits. A la fin de l’opération, elle mouilla une grande serviette et l’entoura autour de la tête d’Eva, histoire de calmer la chaleur. Eva se sentait de plus en plus soumise. La cadre supérieure, hautaine et arriviste perdait pieds et se retrouvait esclave d’un homme, bonne à satisfaire tous ces désirs. Elle commençait à aimer ça.

Eva eut droit, en guise de récompense, à un massage complet du corps. Les mains expertes de Carole s’insinuaient partout. Eva adorait qu’on s’occupe de ses seins. Elle était friande de caresses sur ses globes mammaires. Elle aimait qu’on lui titille les tétons.
D’ailleurs, cela la faisait pointer et augmentait son excitation. Puis Carole descendit vers son sexe, laissant ses doigts glisser sur la fente luisante d’Eva et faisant des allers-retours incessants.
Carole ne se priva pas d’enfoncer un, puis deux, puis trois doigts dans sa chatte.
— « Mets lui la main entière, ça va passer » lui dit Christian, qui excité lui aussi, s’était déshabillé. Et alors qu’il plaçait son engin déjà bien bandé à hauteur de la table, directement sous les narines d’Eva, cette dernière ouvrit la bouche et commença à sucer le gland de son maître.
Carole avait passé la main et ramonait maintenant la chatte devenue poisseuse d’Eva. Christian malaxa ses seins, tirant sur les pointes.
— « J’aime beaucoup ses seins. Mais ce sont des seins d’une femme de bomme famille, entretenus, qui tiennent tout seul. Les seins de Rachel étaient plus gros et tombaient plus. Comment pourrais-je faire ? » s’interrogea Christian.
— « C’est vrai qu’elle a de très beaux seins. Et franchement, ce serait dommage de ne pas les garder ainsi. Cependant, je te comprends. Ceux de Rachel étaient très différents. J’ai des idées si tu veux ? »
Ils discutaient paisiblement de tout cela, tout en continuant à fister la chatte d’Eva dans un cas, et dans l’autre à se faire sucer. Eva, quant à elle, était comme sourde à ces propos. Sa jouissance montait de plus en plus.
Elle n’en put plus et lâcha d’un coup, un cri de jouissance terrible. Elle était prise de spasme. C’était certainement le plus gros orgasme qu’elle avait connu. Christian lui mit une petite claque sur la joue, histoire qu’elle reprenne sa fellation. Ce qu’elle fit.
Ne tenant plus, Christian éjacula alors dans la bouche qui le suçait et y resta planté.
— « Voilà soumise, avale bien ma semence. C’est ta récompense. C’est un mets précieux qu’il ne faudra jamais gâcher. »
Eva avala le sperme chaud et gluant, puis continua à sucer le gland pour le rendre bien propre. Au bout de 2 minutes, Christian sortit sa bite.
— « Alors Carole. j’attends. Quelles sont tes propositions pour ses seins ? »
— « Si tu veux qu’elle ait de plus gros seins, tu peux les lui faire refaire. Chirurgie ? »
— « Oui, mais non. Je préférai quelque chose de plus naturel. »
— « Tu peux la mettre en cloque ? »
— « C’était dans mes plans. Mais plus tard. Je veux d’abord en profiter. »
— « Je connais un chercheur qui bosse dans un labo. Ils ont mis au point une pilule hormonale qui permet d’aider les femmes à allaiter. En fait, cela stimule fortement la fabrication de lait. De ce fait, les seins grossissent. »
— « Ah, ça, ça me plait. Je prends. »
— « Cependant, il y a un inconvénient. Il faudra qu’elle soit traite tous les jours pour faire sortir le lait. »
— « Ce n’est pas un problème. Elle se fera traire tous les jours, comme une vache à lait. J’ai un ami agriculteur, justement. Je vais lui demander une trayeuse. »
— « Par contre, c’est pas tout ça, mais elle a joui. Tu as joui… et moi alors ? »
— « Désolé Carole. J’avais oublié… » dit-il en rigolant.
— « Tu crois qu’elle pourrait me lécher pour accentuer mon excitation ? Et après, tu pourrais peut-être me défoncer ? Qu’en penses-tu ? »
— « Pas de soucis, on va faire comme ça. Détache là. »

Eva fut détachée. Elle se remettait de ses émotions pendant que Carole se déshabillait. Carole était plutôt petite, avait une petite poitrine mais un cul fantasmagorique. Elle était bien sur parfaitement épilée.
Carole s’installa assise dans le canapé, les jambes bien écartées. Christian intima l’ordre à Eva de s’agenouiller entre ses jambes et lui faire un cunnilingus.
N’ayant jamais pratiquée, elle essaye de faire au mieux, essayant de se mettre à la place de l’autre. Pour une première, elle s’en sortait plus qu’honorablement… en tous cas, aux dires de Carole.
Quand elle fut à point, elle demanda à Christian de venir la limer.
— « Mets-toi à quatre pattes, en levrette. »
Carole se mit en position. Christian s’installa derrière elle, mit son gland à l’entrée de son vagin et la pénétra. Pas doucement, mais fortement. Doux était un mot qu’il ne connaissait pas.
Dans le même temps, il ordonna à sa nouvelle soumise de lui lécher le l’anus. Là, elle fût choquée et n’obtempéra pas.
Voyant le refus de son esclave, il lui décocha une claque qui la fit voler en arrière.
— « Viens ici, connasse ! Je t’ai dit de me bouffer le cul. Alors, exécution. »
Eva, se remit à 4 pattes et s’avança vers le cul de son maitre, toujours en train de baiser Carole.
Doucement, elle sortit sa langue et du bout de celle-ci, vint titiller l’anus de son maître.
— « Mieux que ça ! » rugit Christian.
Petit à petit, c’est avec la langue complète qu’Eva léchait le cul de son maître. A son plus grand plaisir.
— « Ben voilà ! Tu vois que ce n’est pas compliqué ! » Puis il rajouta : »Maintenant, à elle ! Bouffe lui le cul à Carole. »
Eva changea de place, passant au-dessus du corps de Carole, puis lui prodigua un anulingus bien baveux.

Christian décida alors qu’il était temps de mettre à mal ce magnifique petit cul.
— « Putain, je ne sais pas comment tu fais pour avoir un cul pareil. Magnifique. Mais je vais te le défoncer ! »
— « Vas y Christian, défonce moi, bourre moi le cul, encule moi. »
Christian ne se fit pas prier et l’encula sauvagement sous les cris de l’esthéticienne qui jouissait tant et plus.
Lui aussi jouit et se déchargea dans les entrailles de son cul.
Il sortit sa bite et la mit devant la bouche d’Eva. Elle savait ce que cela voulait dire. Elle ouvrit la bouche et suça le gland pour le nettoyer.
Une fois que cela fut fait, Christian lui ordonna de venir lécher le cul de Carole et de bien la nettoyer. Il ne devait plus rester aucune goutte de sperme dans son cul. Elle s’affaira de nouveau.
Elle commençait, petit à petit, à devenir chienne… Jamais, elle n’avait été traitée ainsi. Enfant unique, choyée. Au sein de toutes les attentions. Excellente élève, elle était adulée par ses camarades et ses professeurs.
Elle avait toujours été en haut de l’affiche. Là, depuis l’accident, elle vivait un enfer, et se retrouver à être finalement utile à quelque chose la faisait revivre. Elle était pardonnée. Si ce pardon avait un prix, et non des moindres, il lui permettait de se sentir à nouveau vivante. Différemment, mais vivante quand même.
Et lorsqu’elle se remémora sa jouissance quelques minutes plus tôt, elle comprit qu’au final, peut-être, elle était faite pour ça. Que toute sa vie n’avait été que farandole et que c’est en tant que soumise qu’elle se révèlerait…
L’avenir le dira. De toutes façons, il était maintenant trop tard. Elle avait fait son choix. Autant aller jusqu’au bout.

 

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