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Mon désir pour ma mère (3)

Mon désir pour ma mère (3)



Les jours se suivaient et s’enchainaient sans que rien ne se passe. J’étais plongé dans mes révisions, le bac approchait à grands pas. Je continuais de travailler le soir après les cours, et je rentrais souvent après ma mère. Dès que j’étais seul et que l’occasion se présentait, j’allais dans sa chambre pour me branler fort sur son lit, ses culottes étalées autour de moi. Je les enroulais les unes après les autres autour de ma queue, et je m’astiquais, jusqu’à jouir.
Je jouissais tous les jours pour elle, sans exception. Je faisais parfois des allusions à ce sujet. Elle restait très bloquée sur ce sujet, passait rapidement à un autre sujet de conversation, ou me faisait la morale.
Le soir, je continuais de l’observer grace au reveil camera situé dans sa chambre. Je la regardais se promener les seins nus. J’arrêtais de respirer lorsqu’elle baissait sa culotte et que j’apercevais sa chatte. Je bandais comme un fou. Je savais que c’était pervers de surveiller ma mère de la sorte, mais j’en tirais un plaisir immense. Certains soirs, je voyais qu’elle passait sa main entre ses cuisses.
Ce n’était pas regulier. Mais ça le devenait de plus en plus.
La première fois que je l’avais surprise à la camera, elle ne s’était pas retouchée pendant une semaine. Elle avait été distante vis à vis de moi également. Elle me parlait peu, et s’éloignait rapidement quand je tentais de l’embrasser sur la joue ou lui prendre la main. Puis la semaine suivante, elle se masturba deux fois.
Elle commençait toujours doucement, c’était imperceptible, et ensuite sa main devenait completement frénetique et elle allait jusqu’au bout, se faisait jouir sans faire de bruit, sachant que je me trouvais dans la pièce à coté.
A présent, elle se masturbait trois fois par semaine. Mais malgré cela, elle restait très froide et distante lorsque je lui parlais de mon amour. Elle me retournait les mêmes arguments, elle ne comprenait pas, et qu’elle était ma mère. Quand je lui demandais si un homme ne lui manquait pas, elle me répondait que cela était sans importance pour elle.
Les résultats du bac coincidèrent avec mon anniversaire. J’eu la mention bien à mon examen. Ma mère m’avait accompagné à l’affichage du lycée, puis était restée un peu en retrait pour que je passe un moment avec mes copains de classe. De retour à la maison, elle me proposa de fêter cela au restaurant, en même temps que mon anniversaire.
Je lui répondis que je préferais que l’on fasse un diner à la maison, tous les deux. Ca reviendrait moins cher, et on mangerait certainement beaucoup mieux. Et je n’avais envi d’être qu’avec elle.
– Si tu veux. D’ailleurs, qu’est ce qui te ferait plaisir comme cadeau ?
Je regardais ma mère avec amour.
– Tu ne t’en doutes pas un peu ?…
-Arrête s’il te plait ne recommence pas.
– Ca ne te suffit pas ? Je ne te donne pas assez de preuves d’amour ? Je ne fais pas assez d’efforts ? Que faut il que je fasse de plus ??…
J’avais la voix légèrement étranglée en disant cette phrase. Ma mère fut un peu apitoyée et s’approcha un peu de moi.
– Cheri… Tu me demandes trop… Je suis ta mère.
– Maman… Avant on vivait dans une belle maison… On avait tout… On partait en vacances tous les ans… Je pouvais m’acheter ce que je voulais…
– Cheri…
– Tu as quitté papa et j’ai accepté de te suivre…
Ma mère me regardait sans rien dire.
– C’est quand même à cause de toi tout ça, continuais-je. Je suis sur qu’il y avait moyen de sauver ton couple avec papa. Tu n’as pas idée comme j’ai souffert, de tous ces changements.
– Arrête, tu me fais culpabiliser…
– C’est bien mon intention. Tu te rends compte tout ce que j’ai perdu à cause de toi ? J’en souffre tous les jours, je suis obligé de travailler dur, on a tout juste les moyens de vivre correctement, et j’ai perdu un équilibre. Et quand je te dis que je ne suis pas bien et que j’ai besoin de ton amour, tu me le refuses.
Je me mis à pleurer, et ma mère aussi. Elle avait la main devant sa bouche, et je la voyais perdue. On resta un long moment ainsi, à ne plus parler. Elle s’éloigna finalement, pris son sac, et sortit de la maison, disant qu’elle avait besoin de marcher.
Elle rentra vers 20h et ne mangea pas. Elle alla rapidement dans sa chambre. Par la camera reveil, je vis qu’elle se coucha de suite, et s’endormit.
Le lendemain matin, quand ma mère sortit de sa chambre, elle trouva le petit déjeuner prêt sur la table. J’étais en train de boire un café.
– Bonjour, fit elle doucement, en attachant bien la ceinture de sa robe de chambre.
– Assieds toi maman, et sers toi. Et j’espère que l’on va pouvoir parler aujourd’hui, sans que tu prennes la fuite.
– Ca m’a fait beaucoup de mal ce que tu as dit hier… J’ai tellement culpabilisé.
– C’est quand même bien de ta faute si on en est là… Et on ne fait que parler d’argent et de travail. Jamais d’amour. Et pourtant j’ai besoin de ton amour.
– Tu as mon amour… Tout mon amour mon grand… Je t’aime tellement…
– Tu m’aimes mais tu me fais souffrir ; et tu refuses de m’offrir du réconfort…
– Je ne peux pas changer les choses… Il y a le divorce… La vie est plus compliquée…
– Oui tu peux changer les choses. Tu pourrais me rendre heureux.
– Tu voudrais quoi ?
Je regardais ma mère dans les yeux.
– Peut etre déjà que tu sois plus complice avec moi. Tu es tellement sur la réserve. Que tu me parles un peu plus ouvertement… C’est comme cette robe de chambre, tu pourrais l’ouvrir un peu, il ne fait pas froid… A chaque fois j’ai l’impression que tu caches ton corps, je suis sur que si tu pouvais te mettre un pull par dessus tu le ferais.
– J’ai toujours été pudique, même avec ton père.
– C’est peut etre pour ça qu’on en est là, non ?
Ma mère baissa les yeux vers sa tasse de café au lait.
– Franchement, j’ai pas l’impression que tu m’aimes, dis-je à ma mère.
– Et je te retournes la même chose, pourquoi tu me tourmantes à ce point en ce moment ?
– Tu penses que je ne t’aime pas ?!! dis-je en levant le ton.
Je me levais, enervé, et montrait ma bosse dans le pyjama.
– Regarde comme je suis, je n’en peux plus d’avoir envi de toi… J’ai envi de tes seins maman… Tes seins, là, tout de suite…
Je m’approchais de ma mère en branlant un peu ma queue à travers mon pyjama.
– Attends… attends… fit ma mère qui devenait blème et qui reculait sur sa chaise.
– Donne moi tes seins, fais les voir…
Je me branlais à travers mon pyjama juste devant ma mère, et j’étais bien décidé de ne pas m’arrêter. Elle me regarda faire, sans un mot, incapable de prendre une décision pendant un moment.
– Maman… murmurais-je en me plaignant de son inactivité.
– Je suis désolée de te faire souffrir comme ça…
Elle dénoua sa ceinture, et ouvrit sa robe de chambre, faisant apparaitre une nuisette en soie grise avec des dentelles noires. Elle fit glisser les bretelles le long de ses bras, et fit apparaitre ses deux seins généreux face à moi. Elle ne dit rien et resta ainsi. J’accélerais la candence et me masturbait fort à travers mon pyjama.
– Oh maman… Ca me fait tellement du bien ce que tu fais là…
Ma mère leva un peu les yeux vers moi. Comme je croisais son regard, je ne pus controler mon orgasme et mon sperme gicla à l’interieur de mon pyjama. Ma mère put voir une grosse tache se former à l’extremité de la bosse que je tenais fermement.
– Oh maman, merci… tu es tellement belle.
Je retournais m’assoir et me servit un jus d’orange. Ma mère remontait doucement les bretelles de sa nuisette.
– Maman, tu peux rester comme ça s’il te plait ? les seins à l’air, pendant le petit déjeuner ? Je te parlais de complicité… J’ai besoin de sentir que tu me fais confiance. Que l’on se rapproche…
Ma mère me regarda. Elle prit sa tasse, but une gorgée.
Elle fit retomber les bretelles.

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