Je correspondais par mail avec une fille que j’avais connu en vacances. Je l’avais surtout remarquée à cause de sa plastique. Elle était avec ses parents et avec sa mère, elles étaient seins nus sur la plage. Toutes les deux avaient une sacrée paire de nichons. Presque la perfection et avec des aréoles sombres et immenses pour des femmes aux cheveux châtain clair.
J’avais installé ma rabanne à quelques mètres de cette famille, de façon à pouvoir les regarder mais quelqu’un s’était installé entre nous et j’avais du mal à voir.
Quand ils sont allés se baigner, je les ai suivis et j’ai nagé derrière le trio en me demandant comment je pourrais parler à la fille. J’allais me lasser quand les parents sont rentrés et la fille est restée seule et tout à coup, quelqu’un a crié à la méduse. Ça a été l’hystérie. La fille a failli se noyer et je l’ai secourue. Disons plutôt que je l’ai aidée à regagner le sable et sans le faire exprès, j’ai touché sa poitrine mais elle ne m’en a pas voulu. Une fois qu’elle a rejoint ses parents, ils sont partis et je suis resté seul avec le reste de la foule des estivants.
Je suis revenu le lendemain à la même heure en me disant qu’avec un peu de chance… Le trio était là. Je me suis installé auprès d’eux. La fille a fini par m’apercevoir et elle m’a envoyé un baiser furtif avec sa main. Un peu plus tard, la mère a voulu aller se baigner. Le père s’est levé le cul de sa serviette et la fille a refusé.
Là, j’ai senti que ma bite se réveillait. Je commençais à bander. Ses parents ont disparu dans la mer. Je n’étais qu’à trois mètres de leur fille. Elle m’a demandé si ça va. Je lui ai répondu que c’est elle qui devrait me dire comment elle va. Elle a tapoté avec sa main sur le sable pour me dire de me rapprocher et je me suis assis à côté d’elle.
Je ne savais pas quoi lui dire et je me disais qu’elle devait bien voir la barre dans mon maillot de bain. En fait, elle l’avait vue et elle m’a demandé si c’est elle qui me fait cet effet-là.
Je me suis dit que ce doit être une belle petite salope mais elle se penchait vers moi, la bouche en avant et elle m’a dit que je peux les toucher. De quoi me parlait-elle ? De ses lèvres ou de ses seins ? Plus elle se penchait et plus ses ogives se redressaient vers moi. J’ai tendu la main. A peine ai-je touché ses seins qu’elle a repoussé mon bras en me disant que ça va pas puis elle a posé ses lèvres sur les miennes.
Ça n’a pas duré bien longtemps car elle m’a dit de me reculer et j’ai compris qu’elle avait vu que ses parents revenaient. Je n’ai rien pu faire de plus ce jour-là mais le lendemain, j’ai eu plus de temps. A peine installé sur la plage, j’ai fait signe à la fille que je vais au bar et elle n’a pas tardé à me suivre. Elle s’est installé à un mètre de moi pour éviter toute compromission et nous avons pu parler. J’ai fini par lui dire qu’elle me plaît et que je veux sortir avec elle mais elle m’a répondu que c’est leur dernière journée et qu’ils rentrent chez eux le lendemain. Elle allait repartir quand elle a demandé un stylo à bille au barman et elle m’a noté quelque chose sur le bras. Quand elle est retournée avec ses parents, j’ai regardé. C’était une adresse mail. J’ai essayé de m’en rappeler.
La fille m’avait dit la vérité car le lendemain et les jours suivants, je ne l’ai pas revue. De retour chez moi, je lui ai envoyé un mail mais je n’ai pas eu de réponse. Je me souvenais très bien du début mais pas de la fin et j’ai fait plusieurs essais avec plusieurs combinaison. Au bout d’une semaine, j’ai eu une réponse. Je lui écrivais. Elle me répondait. Jamais elle ne prenait l’initiative et moi je ne pensais qu’à… Je me suis décidé à la provoquer en lui écrivant qu’elle a des seins magnifiques. La fille m’a répondu qu’il n’y a pas que ça. J’ai essayé avec chaque partie de son corps et à chaque fois, elle me répondait qu’il n’y a pas que ça et quand j’ai épuisé le sujet, elle m’a répondu qu’il n’y a pas que le physique.
J’ai fini par lui demander comment elle s’appelle vraiment et pas cette adresse mail qui ne voulait rien dire. C’est ainsi que j’ai su que c’était Sonia. Je lui ai demandé de m’envoyer des photos mais elle ne le faisait pas et j’ai passé un an à me branler sur son souvenir mais je ne pouvais pas lui dire.
En janvier, l’année suivante, Sonia m’a écrit que ses parents lui ont offert un ordinateur portable. Je l’ai félicité et elle m’a demandé si je veux toujours des photos. J’ai accepté. Elle m’a envoyé de vieilles photos d’elle qu’elle avait scanné. Je tournais en rond. Je lui ai demandé si des fois elle avait Skype mais elle ne l’avait pas. Un peu plus tard, elle m’a envoyé un message pour me dire d’attendre un peu, que ce sera une surprise.
J’ai attendu une semaine et j’ai reçu un message avec un fichier joint. Je l’ai lancé. C’était Sonia qui dansait et qui faisait un striptease. A la fin, elle me demandait si c’était ça que je voulais. J’ai dit oui.
Elle s’est moquée de moi en me disant que tout ce qui m’intéresse ce sont ses fesses. Sans vouloir me moquer, je lui ai répondu que ce sont surtout ses seins. Elle m’a répondu que c’est plutôt son minou. J’ai toujours trouvé cette expression ridicule.
Sonia m’a envoyé un nouveau message quelques minutes plus tard en me demandant si je veux le voir. J’ai accepté. Quelques minutes plus tard, j’ai reçu un autre fichier. Je l’ai lancé. La qualité n’était pas terrible et ça manquait de luminosité mais c’était bien une chatte et sur la vidéo, Sonia écartait ses grandes lèvres avec ses doigts pour bien me montrer.
J’en suis tombé sur le cul. Elle m’a encore écrit pour me demander si ça m’a plu. Je lui ai répondu que la qualité… Elle m’a dit que ses parents sont là et qu’elle ne peut pas faire mieux, et elle a ajouté que quand elle sera seule…
Elle se filmait avec la webcam intégrée et ce ne devait pas être très pratique. Trois heures plus tard, nouveau message avec fichier joint. Le message me demandait si ça me plaît. Sur la vidéo, c’était sa chatte. Elle écartait ses grandes lèvres puis elle a enfoncé son index avant d’enfoncer un crayon dans son vagin puis de dégager son clitoris.
Bon, il y avait tous ces poils. J’ai demandé à Sonia si elle peut se raser. Elle m’a répondu qu’elle fera ça dimanche. Ça faisait quatre jours à attendre. Elle m’a demandé si la vidéo m’a plu. Elle m’a aussi demandé ce que je veux qu’elle fasse. Je lui ai répondu de se reculer pour apparaître entièrement avec son visage puis de se masturber.
J’attendais sa réponse avec impatience. Elle a fini par arriver. Pour le visage, c’était non. Pour la masturbation, c’était oui. Elle ajoutait qu’elle n’avait jamais fait l’amour et qu’elle est toujours vierge. Nous n’avions jamais parlé de ça parce que je n’osais pas, sans doute. Elle ajoutait qu’elle va se raser dimanche mais peut-être pas parce que c’est son anniversaire.
Dire que je ne savais pas quel âge elle pouvait avoir. Je lui ai demandé. Elle m’a répondu qu’elle va avoir vingt ans. Je lui ai demandé l’âge de sa mère : trente-sept ans. De son père : quarante-cinq. Le mien : vingt-deux.
Maintenant, elle savait tout de moi.
Dans un autre message, elle m’a dit qu’elle se rasera plutôt samedi parce qu’elle sera seule et je lui ai demandé de filmer l’événement. Je n’ai pas eu de réponse. Le dimanche, j’ai attendu toute la journée. Le lundi matin, j’ai eu un nouveau mail : J’espère que tu vas être content, m’écrivait-elle.
J’ai lancé la vidéo. Au début, elle se rasait le pubis puis elle s’est masturbée avec ses doigts avant d’utiliser le manche d’une brosse à cheveux puis elle a joui. Ça durait un bon quart d’heure et ça a été la dernière fois que j’ai reçu des messages de cette fille.
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