Après ma première expérience dans les taillis de la plage naturiste j’étais impatient de recommencer avec mon ami mais cette fois je voulais me dépasser. Je n’en pouvais plus de fantasmer sur lui en imaginant des situations toutes les plus excitantes les unes que les autres. Je devais me dépasser il le fallait je me sentais le cœur battant la chamade. Il fallait que je fasse plus encore je devais être dominant et dominé, soumis et le soumettre.
En arrivant sur la plage il était déjà là. Il me salua ainsi que sa compagne, nous leurs rendions leurs salutations. Puis je m’installais sur le sable en étant toujours bien visible de lui. Rapidement je décidais de partir me promener au bord en prenant une serviette sur le épaules, car j’avais une idée en tête me surpasser, réaliser un maximum de fantasmes, même les plus fous, les plus inavouables, les plus excitants, les plus audacieux, les plus hardis. J’en avais besoin, je me sentais capable de tout faire, de tout accepter de lui, me dépasser tant mon excitation était grande.
Ma tension devait être très élevée, et je me disais que je n’aurais peut-être plus l’occasion de rencontrer un homme si beau, avec un corps intégralement et merveilleusement épilé comme je les adore, musclé comme il le faut ni trop ni trop peu, bronzé partout, et surtout une queue impressionnante par ses mensurations bien épaisse veineuse longue, et un gland doux luisant qui était bien décalotté à l’extrémité de cette superbe tige de chair courbée en haut par une profonde excitation, et elle aussi bien bronzée. Une merveille que l’on ne rencontre que dans des magazines mais qui était bien là devant moi et se tendant à ma vue comme pour me dire de la satisfaire de toutes les façons possibles.
Je décidais de partir me balader au bord de l’eau, mais je prenais une serviette en disant que cela protégeait mes épaules, en fait j’avais une idée en tête, faire aujourd’hui tout ce que je n’avais jamais osé faire dans mes fantasmes les plus fous. Je remarquais, comme l’autre fois que mon amis se levait lui aussi pour aller au bord de la mer et s’éloignait en sens contraire, puis bifurqua rapidement à l’intérieur des dunes dans les taillis. J’avais déjà remarqué qu’il avait le sexe bien tendu, ce qui me ravi présageant une rencontre intense.
Je le retrouvais dans le petit sentier ou la dernière fois je l’avais retrouvé. Il m’attendait se caressant la queue de façon bien visible et me fixant du regard. Arrivé à sa hauteur je le saluais en lui prenant la queue, et lui aussi, mais de plus il m’embrassa. C’était la première fois je j’embrassais un homme. J’ai trouvé cela agréable et très excitant d’autant qu’il y avait d’autres hommes qui passait mais aussi une femme. Je bandais un maximum. Je lui ai déclaré être tout à fait sain et vouloir faire avec lui les pires folies, de celles que l’on envisage que si le partenaire ne risque pas de transmettre des maladies inavouable. Lui aussi m’a précisé avoir ce désir à mon égard en se déclarant parfaitement sûr de lui, et me considérer tout à fait responsable dans mon propos et digne de satisfaire sans crainte tous ses fantasmes comme il me les ferait en retour.
Nous avons continué de nous caresser, j’éprouvais son dos musclé et bronzé descendant jusqu’au sillon inter fessier insérant de temps à autre un doigt dans son trou fripé, puis le goutant et introduisant ensuite deux doigts, lui me rendant la pareille. C’était un pur bonheur que de le sentir me pénétrer avec un puis deux puis trois doigts dans l’anus. Il l’a bien senti et alors il m’a retourné m’a appuyé sur la tête afin que je cambre bien les reins pour ouvrir au maximum mon autre anale. Je ne me suis pas fait prié et j’ai écarté au maximum les fesses afin qu’il puisse bien me pénétrer. J’ai senti son délicieux gland entrer en moi délicatement je sentais ensuite sa queue pousser ce gland plus profond puis revenir en arrière jusqu’au niveau de mon anneau anal que je serrais alternativement pour lui donner encore plus de plaisir, mais c’était un plaisir partagé car sentir en moi ce bâton de chair dur et doux à la fois me provoquait une montée d’adrénaline intense. Je sentais au début son va et viens lent puis s’accélérant progressivement, pour ensuite devenir très intense. Je sentais sa queue aller de plus en plus profond en moi, comme c’était bon, et aussi sentir ses couilles me frapper les fesses à chaque mouvement de pénétration, comme des frappes délicieuses. C’était adorable j’étais en extase. Mais je sentais qu’il allait jouir dans mon antre anale, alors je lui ai dit pas tout de suite, laisses moi faire. Doucement il est ressorti de mon anus et aussitôt je me suis mis à genoux devant lui pour prendre dans ma bouche son merveilleux sexe gonflé du de mon cul. J’ai gouté à cette barre de chair avec un peu de mon goût ce qui n’arrêtait pas de me faire bander encore plus. Et je lui ai glissé un puis deux doigts dans son superbe trou fripé passant mes lèvres autour de son gland puis enfonçant son bâton au fond de ma gorge malaxant ses couilles et enfonçant mes doigts en lui très profondément. Mais je ne voulais pas encore le faire jouir. Je lui ai demandé de se pencher en avant afin que je puisse lui enfoncer ma queue et sentir le fond de son antre anale je lui ai dit que j’allais éjaculer dans son délicieux cul, mais que je n’allais pas jouir, cela me permettant de toujours bander et de pourvoir éjaculer à nouveau jusqu’à ce que je décide de jouir et là il faut que j’attende un peu pour une remontée du désir.
En fait il m’arrive souvent de faire ainsi lorsque je me masturbe j’attends de sentir monter ma semence et à ce moment brutalement je décalotte un maximum mon gland sans ne plus me branler. Mon sperme sort sans que j’ai une jouissance, et je peux recommencer aussitôt et ainsi avoir une deux ou trois éjaculations (c’est le maximum que j’ai réalisé) avant de jouir. Ainsi je lèche mon sperme en avalant tout ce qui est particulièrement excitant. J’aime beaucoup le goût de ma semence, il m’arrive d’en mettre sur des aliments puis de manger avec délectation les aliments ainsi saucés.
J’ai donc dis à mon amis que j’allais lui spermer son délicieux trou anal, puis ensuite il faudra qu’il exécute rapidement mes demandes pour avoir une situation très intense et excitante à souhait. J’ai donc commencé à enfoncer ma queue dans son trou fripé puis de plus en plus rapidement, et lorsque j’ai senti monter en moi le besoin de l’éjaculation je me suis enfoncé un maximum dans son cul sans bouger ni lui aussi. J’ai senti mon sperme qui partait dans son tréfonds. Alors je me suis retiré en m’allongeant sur la serviette. Je lui ai demandé de venir s’assoir sur ma bouche en plaçant bien son trou fripé au-dessus. Mon sperme a commencé de couler sur moi avec en plus un gout subtil et délicieux de son antre anale. Je m’en suis délecté jusqu’à la dernière goutte. Alors mon ami s’est placé sur moi en « 69 » en me disant que nous allions cette fois jouir ensemble. Il m’a avalé la queue et j’ai aussi aspiré la sienne en cette fois faisant en sorte qu’il jouisse. Nos explosions furent rapides et presque simultanées tant nous avions envie de cette satisfaction sexuelle tellement formidable et belle.
Cette histoire peut paraitre rocambolesque, mais elle est bien réelle. Elle s’est déroulée l’an passée dans le sud de la France. Mon amis et moi avons fait un test pour être certains de n’avoir aucune séquelle de cette période de notre vie. Nous sommes tous les deux rassurés bien qu’étant au départ confiant en l’autre, mais il faut mieux s’en assurer. Nous communiquons par messagerie et aussi téléphone en restant discret avec les sms. Nous n’habitons pas la même région mais nous allons essayer de nous rencontrer à nouveau afin de poursuivre la réalisation de tous nos fantasmes car nous savons être sains l’un et l’autre. Je t’embrasse mon amis « André » tu sais combien j’ai été heureux de notre rencontre et je n’attends qu’une chose c’est de pouvoir à nouveau de gouter tous de toi.
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