Qui ne connait pas Nabilla? Star de la téléréalité d’origine maghrébine, elle s’est rendue célèbre à moitié par ses répliques dignes d’une bimbo décérébrée et à moitié par son physique aguicheur. A propos de ce dernier, ce qu’on remarquait en premier en regardant cette starlette, avant même son épaisse chevelure noire, ses traits plutôt flatteurs ou sa peau mate et lisse, ce sont ses deux seins aussi énormes (95E!) que factices. Tellement gros que la plupart des gens ne remarquent qu’eux en rencontrant cette jeune femme. Ils déséquilibrent même sa silhouette au point de faire oublier qu’elle possède aussi une jolie paire de fesses bien fermes et rebondies.
Cette fameuse paire de seins, Nabilla en a fait sa marque de fabrique et son ticket d’entrée pour bien des castings et des émissions. Elle la met toujours « en valeur » avec des tenues décolletées frisant souvent le vulgaire : tops moulants et échancrés, soutien-gorges push-up, minijupes au ras des fesses, etc. Les magazines peoples adorent étaler sa silhouette sur leur couverture et publier ses interviews toutes plus vides d’intérêts les unes que les autres.
Voilà l’image que renvoie Nabilla au monde et aux gens qui suivent ses « aventures » à la télévision : l’image d’une poufiasse pas très fine et carrément vulgaire. Cependant, les gens qui ne s’arrêtent pas à son image simplette se rendent rapidement compte d’une chose : aussi superficielle et stupide qu’elle peut sembler, Nabilla est loin d’être une idiote complète. En effet, une idiote aurait tôt fait de tomber dans l’oubli alors que Nabilla prend soin de toujours faire en sorte qu’on parle d’elle en bien ou en mal. La jeune femme suit pour cela un plan longuement réfléchi qui doit lui assurer une célébrité longue et surtout rentable. Malheureusement pour elle, ce plan n’a pas pris en compte la détermination et les fantasmes de certains de ses fans…
Perchée sur des talons de 10cm de haut, Nabilla traversait d’un air hautain les rues de Genève, la ville où résidait une partie de sa famille. C’était son après-midi shopping et shooting pour les paparazzis et elle comptait bien en profiter pour faire encore parler d’elle! Pour cela, la jeune femme portait une robe-bustier noire ridiculement courte, ne couvrant que l’essentiel, et mettant encore plus en valeur ses seins énormes. Elle avait aussi choisi des talons aiguilles d’une douzaine de centimètres complétant son look de salope savamment étudié.
Elle savourait les regards envieux et admiratifs que pouvaient lui lancer des gamines de 15ans, décochait des sourires coquins aux jeunes adolescents qui devaient se branler tous les soirs en pensant à elle et ne daignait même pas regarder les vieux qui la regardaient passer avec mépris. En fait, la jeune femme se fichait de ce qu’ils pouvaient tous penser d’elle, du moment qu’ils pensaient à elle et lui permettait de rester célèbre.
Soudain, Nabilla entendit un moteur qui rugissait et des gens qui criaient derrière elle. Tournant la tête pour voir ce qui se passait, elle aperçut un van noir qui montait sur le trottoir à toute vitesse et des passants qui se jetaient hors de sa trajectoire. Poussant un cri de surprise, elle voulut se jeter hors de portée du véhicule mais elle trébucha à cause de ses talons. S’attendant à être écrasée par le van, la jeune femme leva les bras pour se protéger. Mais elle fut soulagée d’entendre les freins du van hurler et de voir le véhicule s’arrêter juste à côté d’elle.
Tout aussi brutalement que le van était arrivé, sa portière latérale coulissa dans un grand bruit et deux hommes cagoulés en sortirent. Pétrifiée, Nabilla réagit à peine quand ils l’attrapèrent chacun par un bras et la soulevèrent sans ménagement. Le cri qu’elle voulut pousser s’étrangla dans sa gorge au moment où ils la jetèrent vers l’intérieur du van. Un troisième homme la réceptionna rudement et se chargea de l’immobiliser d’une main experte. Les deux autres grimpèrent aussi vite qu’ils avaient déboulé sur le trottoir et refermèrent la porte derrière eux. Démarrant en trombe, le van disparut aussi vite qu’il était apparu, laissant derrière lui une vingtaine de passants choqués et abasourdis par ce qu’ils venaient de voir.
Dans le van, après s’être débattue comme elle pouvait, Nabilla sentit qu’on lui appliquait un chiffon sur le visage et elle perdit rapidement connaissance…
La jeune femme émergea difficilement de sa perte de connaissance, tout autour d’elle était sombre et cotonneux. Il lui semblait entendre des gens murmurer mais elle ne comprenait pas ce qu’ils disaient. Elle déglutit péniblement et tenta de rassembler ses esprits afin de se débarrasser des dernières vapeurs de la drogue qu’on lui avait administrée. Ses ravisseurs l’avaient installé sur une chaise et, lorsqu’elle tenta de bouger, elle se rendit rapidement compte qu’on lui avait soigneusement attaché les bras et les jambes à cette chaise. Nabilla tenta de se débattre, d’abord faiblement puis, au fur et à mesure qu’elle terminait de reprendre connaissance, de plus en plus énergétiquement.
Quelques rires retentirent autours d’elle et elle redressa la tête. Ce qu’elle vit la fit déglutir tandis qu’une boule d’angoisse se formait dans son ventre. Il y avait beaucoup de gens autour d’elle, Nabilla ne prit pas le temps de les compter mais il devait y en avoir au moins une bonne vingtaine. Ils portaient tous des cagoules pour masquer leurs visages et la jeune femme pouvait distinguer plusieurs caméras. Certains prenaient même des photos avec une excitation palpable.
« On dirait que Madame la salope se réveille enfin! » Annonça d’une voix forte un grand homme un peu ventru tout en la saisissant par les cheveux.
Les autres rigolèrent un bon coup, parfois un peu nerveusement, et Nabilla se débattit pour échapper à la poigne de l’homme. Elle cria :
« Putain mais lâche-moi connard! Détachez-moi bande de fils de pute sans couilles ou je vous jure que…
– Ta gueule sale pute! » Lâcha le premier homme.
Sans réfléchir, la jeune femme lui cracha au visage, atteignant sans difficulté l’un des yeux non protégé par la cagoule. L’autre recula, un peu surpris et s’essuya en grognant. Ses yeux étincelaient, remplis d’une colère haineuse et la jeune starlette se dit rapidement qu’elle n’aurait peut-être pas dû faire ça. Le coup de poing l’atteignit juste sous la pommette et les envoya s’écraser au sol elle et sa chaise. Nabilla laissa échapper un glapissement de surprise et de douleur. Dans le public certains semblèrent un peu mal à l’aise.
« Depuis le temps que j’en rêvais, rigola l’homme qui l’avait frappé. Mais ne t’inquiète pas, ça ne fais que commencer… »
Encore sous le choc du coup, Nabilla ne réagit pas quand il remit la chaise sur ses pieds. Elle ne bougea pas non plus avant qu’il ne l’att**** à nouveau par les cheveux et qu’il ne la force à ouvrir la bouche. Il sortit un truc de sa poche et entreprit de le faire rentrer dans la bouche de la starlette qui tenta de refermer sa mâchoire. Mais malgré ses efforts, elle ne put l’empêcher de glisser un écarteur de mâchoires entre ses dents. Puis il rigola tout en reculant pour dévoiler le résultat à ses comparses.
L’accessoire dans sa bouche forçait Nabilla à garder sa bouche grande ouverte et elle ne parvenait plus qu’à pousser des gémissements plaintifs. Elle tenta de secouer la tête pour faire tomber l’appareil mais celui-ci avait été soigneusement sanglé autour de sa tête.
« Et voilà messieurs! Remarquez que pour ce qu’elle dit d’habitude nous n’avons pas perdu grand-chose au change! »
La remarque de l’homme fut accueillie par une nouvelle vague de rires gras, plus détendus que quelques instants plus tôt. La starlette vit que certains des hommes masqués s’approchaient avec les caméras l’épaule, ne perdant pas une miette de la scène. Sur sa chaise la jeune s’agitait de plus en plus, sentant bien que les choses n’allaient vraiment pas évoluer dans le bon sens…
L’homme vint se placer juste derrière elle, regroupant l’épaisse tignasse noire de la jeune femme d’une seule main tandis qu’il plaçait ses lèvres juste à côté de l’oreille gauche de Nabilla. Celle-ci continuait de gémir en tentant vainement de demander à ses agresseurs de la laisser repartir. L’homme la prit par les épaules, presque délicatement, puis il lui susurra :
« Ca fait si longtemps que je vois ces deux beautés s’agiter sous mes yeux… Aujourd’hui c’est le plus beau jour de ma vie… »
Il empoigna alors les seins de Nabilla à pleines mains. La jeune femme poussa un cri de surprise qui fut déformé par l’écarteur entre ses dents. L’homme commença par les soupeser doucement, appréciant leur poids et leur taille à travers le tissu fin de sa robe moulante. Puis il entreprit de les malaxer et de les pétrir avec rudesse, les écrasant alternativement de ses grosses mains, et ensuite les pressant l’un contre l’autre, faisant encore plus ressortir son incroyable décolleté. Pour finir, il jongla avec eux, les faisant sauter l’un après l’autre avec ses mains jusqu’à ce qu’ils échappent au tissu de la robe-bustier sensé les retenir.
Le public siffla et rigola comme une bande d’adolescents en rut en voyant apparaitre les mamelons légèrement foncés. A force de de gémir en tentant de protester et à cause de l’écarteur qui lui maintenait la bouche ouverte, Nabilla commençait à baver, sa salive dégoulinant sur son menton, sa robe et sur ses deux grosses mamelles généreuses. L’autre arrêta de jongler avec ses seins et reporta son attention sur ses mamelons. Il les tritura entre ses doigts, les pinça durement en faisant couiner Nabilla et les étira vers le haut, le bas, la gauche, la droite… Un des spectateurs voulut s’approcher pour se joindre au jeu mais il fut retenu par les autres : leur tour n’était pas encore venu.
Au bout d’une poignée de minutes, l’homme délaissa finalement ses seins pour passer devant elle. Il se plaça à peine à une vingtaine de centimètres du visage de la starlette et ouvrit lentement sa braguette.
« Il est temps pour toi de prendre ta dose de bonne bite 100% pur porc! » Annonça-t-il fièrement en exhibant son sexe.
Sa queue devait approcher les 20 cm de long, était bien épaisse et soigneusement rasée et deux grosses couilles bien rondes complétaient le tableau. Nabilla avait beau n’être qu’une bimbo, elle n’était pas assez stupide pour ne pas comprendre ce qu’il allait faire. Elle tenta de détourner la tête et redoubla de gémissements. L’autre se marra encore une fois et saisit sa chevelure d’une main pour maintenir la tête de la jeune femme en place. De l’autre il attrapa sa queue et la présenta devant la bouche grande ouverte de Nabilla.
« 3… 2… 1… Bouffe ça salope!!! »
Il lui enfonça sa bite toute entière dans la gorge, d’un seul coup. Aussitôt la captive commença à tousser, sa gorge se contractant autour du sexe qu’on lui imposait. Poussant un râle de plaisir d’avoir enfin sa queue plongée dans la bouche de cette beurette, l’homme ferma les yeux pour mieux apprécier le moment. Puis, lentement, il tira sur les cheveux de Nabilla pour faire ressortir son sexe de sa bouche. Arrivé à la moitié de la longueur, il renfonça à nouveau la tête de la jeune femme sur sa queue. Puis il recommença, se servant de la tête de la starlette comme d’un sextoy.
Nabilla était dégoutée par cette queue sentant la sueur qu’on venait de lui fourrer dans la bouche mais elle était trop bien entravée pour parvenir à résister. Résignée, elle se concentrait sur l’idée de rendre cette fellation la moins désagréable possible… Soumise, elle n’émettait plus de gémissements que pour la forme.
« Regardes-moi dans les yeux sale pute! » lui cracha alors son tortionnaire.
La jeune femme leva les yeux vers le visage cagoulé de son agresseur. Ils brillaient de haine et de dégout pour cet homme et il le remarqua rapidement.
« Oh oh… C’est qu’on dirait bien que Madame n’est pas contente! Ricana-t-il. En même temps, en tant que ton plus grand fan, j’aurais été déçu qu’une simple fellation suffise à te mater… Par contre ce qui va suivre… »
La menace dans sa voix suffit à elle seule à faire tiquer Nabilla qui tenta brusquement de résister à nouveau. Mais elle ne fut pas assez rapide, et de toute façon trop bien attachée, pour empêcher son « plus grand fan » de saisir sa tête entre ses deux mains, de l’avancer brutalement sur sa queue, puis de se mettre à baiser sa gueule de toutes ses forces.
Il fallut à peine une seconde pour que la jeune femme se mette à pousser des hurlements de douleur étranglés sous les coups de boutoirs sadiques qu’il lui infligeait. La gorge de la starlette laissait échapper d’écœurants bruits humides à chaque fois que la bite du bourreau entrait et ressortait de celle-ci. Celui-ci n’arrêtait pas de l’insulter :
« Ah putain salope, t’aimes ça hein???!!!! Grosse pute, comme c’est bon de t’baiser ta putain d’gueule d’arabe de merde!!! »
Nabilla était prise de haut-le-cœurs, des spasmes lui saisirent les tripes mais elle parvint à se retenir de vomir. Par contre, elle bavait de plus en plus abondamment, ça coulait sur ses seins jusqu’à les rendre brillants de salive et ça détrempait sa robe. Son violeur utilisa ses pouces pour la forcer à garder les yeux ouverts et lui cracha trois fois sur le visage pour faire bonne mesure. Autour d’eux, les autres hommes criaient des encouragements à leur camarade et des insultes à la star de la téléréalité. Mais leurs propres cris étaient couverts par le hurlement strident de douleur qui s’échappait presque en continu de la gorge de Nabilla. L’homme qui avait entrepris de lui baiser la gueule semblait d’ailleurs s’énerver de plus en plus…
Après moins de 5 minutes de baise intensive, alors que les cris de la jeune femme avaient atteints un niveau sonore insupportable. L’homme laissa alors éclater sa colère :
« Mais tu vas la fermer ta putain de gueule de bougnoule???!!! »
En un instant, il vint caler sa queue au fond de la gorge de Nabilla et, bloquant sa tête d’une main, il vint lui pincer le nez pour l’empêcher d’inspirer de l’air par cette voix. La jeune femme se trouva encore plus paniquée qu’elle ne l’était l’instant d’avant. Incapable de respirer normalement par le nez ou par la bouche, elle commença à suffoquer. De nouveaux spasmes traversèrent sa cage thoracique alors que ses poumons luttaient pour faire passer un peu d’air par sa gorge. Bien trop peu pour que cela soit suffisant. La starlette devint rapidement bleue et ses yeux commencèrent à se révulser en arrière tandis qu’elle perdait progressivement connaissance…
Alors qu’une part d’elle-même s’apprêtait à accueillir la mort avec soulagement, Nabilla crut entendre des cris de protestations lointains. Brusquement, elle parvint enfin à respirer normalement et elle sentit sa chaise s’effondrer par terre.
« Faites chier bordel!!!
– On était d’accord merde! Faut en laisser pour les autres, tu pourras en faire ce que tu veux quand tout le monde aura passé son tour… »
Sur le sol, Nabilla sanglotait abondamment, la gorge douloureuse et la voix brisée… Le pire était encore à venir…
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