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Un soir de blues

Un soir de blues



Je me morfond. Certainement un coup de cafard temporaire. Je m’évade dans des fantasmes qui deviennent inavouables. Dans ma rêverie, je parcours mon corps de mes doigts délicats. Rapidement je m’évade et mes seins durcissent. Mon coquillage s’ouvre laissant filtrer une humidité suggestive.
Je voudrais à ce moment me blottir dans les bras de Marina ou de Katia, mes deux amies préférées avec lesquelles je partage tant de secrets et d’ébat sensuels.
Je décide de me rendre dans une boite de la cité pour m’éclater et me changer les idées.
Une demi-heure plus tard, je me gare devant l’une d’entre elles. Aussitôt, je suis siffler par deux zonards qui me lancent :
« Yo ! La bourge ! T’es bonne ! Tu viens sucer du beur ? »
Provocatrice je leurs réponds :
«  Pourquoi pas. J’ai besoin de compagnie ! »
Le beur et le black en restent un instant sans voix. Quel aubaine pour eux.
« Super la salope ! Moi c’est Mohammed, et mon pote c’est Abdou ! Et toi c’est quoi ton blase ? »
« Michèle ! »
Mohamed me met la main aux fesses en me poussant dans la boite.
« Viens petite pute ! J’vais te présenter à mes potes ! »
Ils sont rustres mais ça me plaît. Tout en laissant traîner leurs pattes sur moi, il m’offrent un verre. Après quelques verres, je suis grise. Je leurs dis :
« J’ai envie de pisser.Je vais aux toilettes messieurs ! »
Mohammed dit à ses potes :
« J’vous laisse ! J’vais lui mettre une pétée à cette pute ! »
Quand j’entre dans les toilettes, Mohammed s’y engouffre et sans que j’ai le temps de m’en apercevoir, il me plaque contre le mur. Il baisse brusquement mon bustier dévoilant mes seins. Il les suce et je me laisse faire en gémissant. Mohammed baisse son pantalon dégageant son énorme barre et, me prenant par les fesses, il me soulève et m’empale d’un coup m’arrachant un cri de surprise mêlé de plaisir. Ses coups de boutoir me combles. Moi qui adore me faire prendre à la Hussarde, je suis servis. La v******e de cette saillie réveille en moi la femelle assoiffée de sexe sous mes airs de femme BCBG inaccessible. J’adore me faire ainsi défoncer la chatte contre le mur malodorant de ces toilettes empestant l’urine. Soudain, Mohammed se retire et m’ordonne :
«  A genoux, la bourge ! Et suce ! »
Docile, je ne me fais pas prier. Je me met à genoux, sur le carrelage souillé des toilettes et me met à sucer le jeune beur. Rapidement, il me baise la bouche. Puis il me relève par les cheveux et me retourne en lançant :
« J’vais t’enculer salle pute ! »
Sans aucun ménagement, il me dilate la rosette. Ses coups de boutoir me font crier et mes seins ballottent en tout sens.
Pour le zonard de banlieue, défoncer cette aristo le rend fou de désir.

Ravie par l’outrage qu’il me fait subir, je n’entends pas entrer un Arabe. Le spectacle qui s’offre à lui est inespéré. D’un coup d’œil, Mohammed lui fait comprendre qu’il peut s’occuper de ma bouche. Je pousse de petit cris de plaisir et ouvre grand la bouche d’être ainsi remplie quand une poigne ferme me saisit de les cheveux et qu’une bite force ma bouche. Le goût fort de l’engin m’excite encore plus. A ce rythme, les deux Arabes éjaculent quasiment en même temps en poussant des grognements de bête. Ils ressortent des toilettes me laissant à poil sur les carreaux pour aller se taper une bière et rigoler d’avoir sauter une bourge. Dans ma torpeur, je ne me rends pas compte que plusieurs mecs m’avaient regardé me faire prendre comme une salope et n’attendaient que le départ des deux arabes pour se faire cette petite pute d’aristo à leur tour. Une bite s’introduit aussitôt dans ma chatte graissée de sperme et me ramoner puissamment. Un black me pétrit les seins. Une sarabande infernale recommence à coups de bites et d’insultes.
« Sale petite pute, tu la sens ma grosse queue dans ta chatte ? C’est pas les pédés de ton quartier qui peuvent te niquer comme ça ?! Je vais te défoncer, petite salope de bourge ! »
Je prends vraiment un immense plaisir à être réduite à l’état d’objet sexuel excitant le désir d’êtres frustres et primaires. Ma morosité s’est envolée. Ces bêtes primitives me saute et profite de moi sans vergogne. Je n’ai que faire de la délicatesse et de la tendresse, il me faut ce soir du sexe bestial et là, je suis servie.
Ils jouissent sur moi et s’essuient la queue sur ma robe avant de sortir. Je me relève les jambes en coton et tente de me rajuster. Ma robe ne ressemble plus à rien souillée par leurs spermes.
Je regagne en essayant de rester digne le groupe de racailles.Encore toute bouleversée des sensations que je viens de vivre, les commentaires fusent : 
« Alors la bourge on s’est pris une bonne pétée ? T’aime sucer du beur salope ! »
A ce moment, un des leaders de la bande décide de m’emmener dans la cité. Ils me jettent à l’arrière d’une bagnole et Abdou démarre en trombe, suivi par deux autres voitures remplies de lascars surexcités. Une vraie orgie commence sur la banquette arrière.
Pour on plus grand plaisir, ils me force à pomper un beur pendant qu’un autre me fourre la chatte. Il déchargent juste avant d’arriver dans la cité. Les lascars des deux voitures suiveuses en sortent, très excités. Je suis transportée, nue vers les caves sans que je ne touche terre. J’angoisse un peu mais dans se délire, je suis si excitée que je me laisse aller à leurs bon grès. Abdou sans préparation m’encule le premier.
«  Tu la sens bien ma grosse bite de nègre dans ton cul ? C’est pas assez peut-être pour toi ? Hassan, viens la prendre par la chatte ! »
Un autre black aussi balaise que celui qui était en train de m’enculer vient se positionner devant moi et a vite fait d’introduire son énorme bite dans mon vagin.

Mon cul et ma chatte sont soumis à de véritables coups de bélier. Dans un hurlement, le black qui m’encule gicle longuement dans mon intestin en m’insultant. Peu après ce fut le tour de celui qui me pistonnait la chatte. Je pousse un long feulement de plaisir alors qu’un orgasme d’une rare intensité me submerge.
À ce moment là, j’entends un sifflement admiratif :
«  Ben ma salope, tu boudes pas ton plaisir avec les blacks ! »
« Putain de sale pute de merde. Une vraie nympho cette bourge ! »
À peine revenue à moi que l’un d’eux me fiste le con et le cul. Ensuite, ils sont nombreux à se relayer entre mes nichons, ma bouche, ma chatte et mon cul. À la fin, je suis recouverte d’une épaisse couche de foutre gluant. J’entends alors un jeune crier :
« Les keufs ! Les keufs ! »
Aussitôt, tel une nuée d’étourneaux, tous les mecs disparaissent. J’avale le reste de sperme que j’ai dans la bouche quand je vois deux flics entrer dans la cave. En me couvrant d’une couverture ils me rassurent :
« Vous êtes en sécurité maintenant madame. »
Ils me relèvent délicatement et me déposent dans une voiture de police pour m’amener au commissariat et déposer plainte. Mais je refuse et leurs demande de me déposer chez moi. Malgré la rudesses de ces assauts, il faut reconnaître que j’avais pris mon pied. Accroc au sexe dans des situations extrêmes, j’ai besoin d’être quasiment violée pour jouir.

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