Vacances de ski
Chapitre 1
Je suis divorcé depuis plus de 5 ans et je partage la garde de ma fille Ninon – 16 ans – avec mon ex-femme. Ninon est une très belle jeune fille blonde aux cheveux longs. Elle est assez petite pour son âge, environ 1 m 60. Ses seins sont également tous petits, du 85B. Sa voix est très douce et son apparence est toute timide. Elle est très sérieuse au niveau scolaire et on peut dire qu’elle n’est pas trop du genre fêtarde, mais plutôt du genre à bouquiner toute la soirée.
Cette année c’est moi qui ai la garde de Ninon pour les vacances d’hiver. On a décidé de partir faire du ski dans les Alpes. Nous avons loué un petit chalet au pied des pistes. Sur la route, je m’amuse à la taquiner un peu sur sa vie sentimentale qui me semble bien pauvre. Elle argumente son célibat en prétendant que les garçons de son entourage sont tous immatures. Je lui lance ironiquement de tenter l’expérience avec une fille. Elle me répond que ceci la dégoûterait encore plus !! Elle me dit qu’elle ne veut pas se presser et qu’elle attend de trouver le bon pour lui offrir son intimité. J’en déduis donc sans grand étonnement que ma fille est toujours vierge.
Arrivés au chalet, nous installons nos affaires ; moi dans ma chambre et Ninon dans la sienne. Pendant que moi je me repose de la route, Ninon décide d’aller skier. Elle se dirige dans sa chambre et en ressort vêtue d’une combinaison moulante. Je lui rappelle les règles de sécurité et la laisse filer. Sa chambre étant restée ouverte je peux apercevoir déjà le bordel. Ses habits sont posés en vrac dans l’armoire et lorsqu’elle s’est changée, elle a tout mis sur son lit. Je ramasse son jean, son tee-shirt, ses chaussettes ainsi que ses sous-vêtements. Elle a un petit ensemble string, soutien-gorge rose en dentelle. Je remarque que son string est légèrement souillé au niveau de l’entrejambe ; chose normale pour son âge. Depuis quelques années, je suis devenu fétichiste des culottes odorantes. Lorsque je me trouve chez des amis, je me débrouille toujours pour aller dans la salle de bain récupérer, dans le linge sale, des culottes portées. Je m’enferme, ensuite, dans les toilettes et me masturbe, tout en respirant et léchant le gousset des culottes. Je les frotte à mon gland puis respire le mélange des odeurs. Je termine en éjaculant à l’intérieur et les remet discrètement à leur place.
Je n’avais jamais osé faire ce genre de pratique avec ma fille, mais là, pris d’une pulsion, c’est plus fort que ma morale et je ne peux m’empêcher de porter ce petit string rose à mon nez. Il est encore humide et sent assez fort. Quelques poils blonds sont collés sur la trainée gluante, laissée sur le gousset. Je me dis qu’elle ne doit pas se raser et qu’il doit y avoir du laisser-aller dans sa toilette intime, au vu de la forte odeur qui s’y dégage. Je me masturbe lentement, en pratiquant mes rituels de léchage et reniflage, pour aboutir à une éjaculation abondante. Soudain, je suis pris de honte. Comment ai-je pu faire ça, sur le string de ma propre fille. Je prends une douche, puis je décide de faire une petite sieste.
Mon portable se met à sonner, ce qui me réveille. Je suis un peu dans le brouillard, mais soudain, le stress s’empare de moi. Il s’agit d’un pisteur qui vient de m’informer que ma fille est tombée et qu’on l’amène à l’hôpital. Elle se serait, apparemment, cassé le bras. Je fonce, alors, aux urgences pour me porter à son chevet. À mon arrivée, l’infirmière me dit d’attendre car Ninon est en salle des plâtres et qu’elle va en sortir d’ici peu. Peu de temps après, un médecin m’appelle et me convoque dans son bureau. Il m’explique qu’en fait, Ninon ne s’est pas cassé un bras, mais les deux !!! Il me propose alors deux solutions. La première est de laisser Ninon en convalescence à l’hôpital. La deuxième est de la récupérer et soit, de m’occuper, moi-même, d’elle ou soit, de prendre une infirmière à domicile pour qu’elle m’assiste pour ces tâches. Je décide donc d’en parler avec elle et de donner ma décision après.
Quelques minutes plus tard, ma fille arrive à l’accueil avec deux énormes plâtres aux bras et les yeux remplis de larmes. Elle se jette dans mes bras et éclate en sanglots. Elle s’excuse et s’en veut d’avoir gâché mes vacances. Je la rassure et lui dit de pas s’inquiéter car ce aurait pu être beaucoup plus grave. Je lui parle alors du choix à faire et sans hésitation, elle me supplie de ne pas rester dans cet hôpital. Je me renseigne alors sur les prestations d’une aide à domicile, mais en voyant le tarif et la prise en charge par la sécu, j’y réfléchis à deux fois. Ninon me dit qu’elle ne veut pas, non plus, dépenser de l’argent pour une aide et que je pourrais, moi-même, m’occuper d’elle. Sans trop y réfléchir et me languissant de rentrer au chalet, j’accepte et nous voilà de retour au chalet.
La première des choses à faire est de l’aider à lui enlever sa salopette. Ninon se retrouve, devant moi, en sous-vêtements. Je réalise alors que je vais devoir m’occuper de toutes ses tâches quotidiennes, même les plus intimes. Sans mains disponibles, il va falloir l’assister pour toute ses actions. Très vite, le problème se pose. Ninon vient me voir avec un visage rouge de honte :
« Papa, comment vais-je faire pour aller aux toilettes ? »
Je sens qu’elle va pleurer. Je dois avouer que ce problème me gêne tout autant qu’elle, si ce n’est pas plus. Je réfléchis, mais ne vois pas d’autre façon que de l’assister, aussi, même pour ce genre de chose.
« Écoute ma chérie, je suis ton père. Quand tu étais bébé je te faisais ta toilette, t’habillais et changeais tes couches. Certes tu as grandi mais tu es toujours mon gros bébé, alors je ferai comme avant, à moins que tu ne trouves une autre solution. Je conçois que c’est gênant pour toi, mais rassure-toi, ça l’est aussi pour moi ! »
Elle cogite un moment, puis accepte, vu qu’il n’y a pas d’autre alternative. Elle est toujours en string lorsqu’elle s’approche de moi et me dit : « J’ai envie… ». Je lui dit d’y aller et de m’appeler quand elle aura fini. Je lui baisse son string et elle part en courant aux WC. Au moment où elle m’appelle, le stress m’envahit. Je tape à la porte et elle me dit d’entrer. Je la vois assise, morte de honte. Je la rassure en lui rappelant que c’est malheureusement la seule solution. Je déroule trois feuilles de papier toilette, les replie et m’agenouille devant elle. Elle écarte timidement les jambes. C’est la première fois, depuis qu’elle a passé l’adolescence, que je la vois nue. Je suis surpris de voir alors une énorme touffe de poils blonds. Je comprends mieux alors l’odeur forte de ses culottes. J’avance lentement ma main entre ses cuisses et essuie délicatement son sexe, en partant de son anus jusqu’en haut de ses poils. Elle tremblote et ferme les yeux pour se rassurer. Je lui remonte le string et tire la chasse. Tout en ayant les yeux baissées, j’entends une petite voix me dire merci !
Ses médicaments contre la douleur faisant effet, Ninon s’endort devant la TV. Elle se réveilla vers 18 heures.
« Je prendrais bien une douche Papou, tu m’aides ? »
Je sens de moins en moins de timidité lors de ses demandes, ce qui me rassure également. Elle se dirige dans la salle de bain et je la suis. Je lui retire à nouveau son string, puis son soutif, ce qui laisse apparaître ses minuscules seins. Elle enjambe la baignoire et je commence à lui faire couler de l’eau dessus en prenant soin de ne pas mouiller ses plâtres. Je prends alors du gel douche entre mes mains et commence à lui savonner la figure. Elle se tourne et je descends sur son dos pour m’arrêter sur ses petites fesses musclées. Elle se retourne et je remonte sur sa poitrine. Je n’insiste guère et frôle à peine sa peau avec mes mains. Je vois, cependant, ses seins pointer. Je descends sur son ventre pour arriver sur son sexe. Je rajoute un peu de gel douche et commence à frotter doucement sa toison. Je glisse en doigt le long de sa fente, ainsi que dans la raie de ses fesses. Ninon reste de marbre, comme si de rien n’était. Horriblement gêné, je ne m’attarde pas plus longtemps sur cette zone intime. Après l’avoir rincée je la sèche, puis lui enfile son pyjama. Elle me remercie et part se remettre devant la TV.
J’en profite pour prendre ma douche également. Au moment de me déshabiller je suis surpris de voir ma bite à moitié raide. Je ramasse le string de Ninon qui traine et en profite pour me masturber à l’intérieur. Mais cette fois-ci, je n’ai plus honte et repense à mes gestes pratiqués sur ma fille durant la journée. Le soir venu nous allons nous coucher dans nos chambres respectives.
« Papa, réveille-toi s’il te plait ! »
Ninon est sur les toilettes et m’appelle. Je me lève, un peu dans le cirage et m’approche d’elle. Une légère odeur arrive à mes narines et me fait comprendre que cette fois, elle n’a pas fait que pipi. Plus aucune gêne ne se fait ressentir, ni chez elle, ni chez moi. Je l’essuie naturellement, comme si c’était pour moi. Mes doigts appuient sur le pourtour de son anus et le long de sa fente. Après ça, direction la douche pour sa toilette matinale. Cette fois-ci, je lui demande pourquoi elle ne se rase pas le sexe car je trouve que c’est un manque d’hygiène. Elle me répond que du fait que ses poils sont blonds ils ne se voient pas à travers les maillots et qu’en plus, sa mère lui avait dit que ça faisait plus féminin d’en avoir. Je n’insistais donc pas. Après la douche, elle me signale qu’elle va bientôt avoir ses règles et qu’elle voudrait se mettre un tampon pour éviter toute mauvaise surprise. Elle est assise sur le rebord de la baignoire les jambes écartées. Je n’ai jamais introduit de tampon dans le sexe d’une femme, mais je me doute de la façon d’y procéder. Elle me guide pour la manœuvre.
« Tout d’abord, écarte mes lèvres ! Rentre l’applicateur, doucement, dans mon vagin ! Retire-le et tire légèrement la ficelle, voilà ! »
Le soir venu, je fais la manipulation inverse. Je retire alors un tampon plein de sang, à l’odeur assez âcre. Mes séances de masturbation solitaire s’accentuaient. La première semaine passa très vite, alternant assistance à Ninon et détente. La deuxième semaine débute, il n’y a, maintenant, plus aucune gêne entre ma fille et moi. Je connais par cœur toutes ses habitudes, manies et surtout, tous ses recoins les plus intimes. Je sens que mes gestes ne sont plus innocents. Je bande, quasiment tout le temps, après sa toilette ou son essuyage intime après être allée aux WC. Sans parler de ses culottes sales, aux mélanges d’urine, de sang et sûrement de mouille. Je me masturbe plusieurs fois par jour, en prenant soin de ne pas être démasqué.
Un soir, Ninon se cogne le bras et a très mal. Après une bonne dose d’antidouleurs, elle s’endort immédiatement. Elle est sur le canapé, avec juste un string et un débardeur. Elle dort tellement bien que je peux l’entendre ronfler. Ma main tire doucement son débardeur pour laisser apparaitre son mamelon. Lentement, j’écarte son string pour me laisser entrevoir sa petite chatte. Ses lèvres roses sont apparentes. Ses poils les recouvrent et descendent au niveau de son aine et jusqu’à son anus. Machinalement, je sors ma bite déjà bien tendue. Je tire sur ma queue pour faire apparaître mon gland écarlate. Mes mouvements et l’amplitude s’accélèrent. Je porte mon gland à quelques centimètres de son nez, de sa bouche, de son sein et de sa chatte. Je l’entends toujours ronfler, ce qui me rassure et me met en confiance. Mon gland est maintenant en contact avec sa bouche. Je le fais glisser sur ses lèvres, frotte ses narines et ses poils pubiens.
Je vais jouir… Je décharge ma semence sur sa toison d’or. Je réajuste son débardeur et son string sur sa motte remplie de mon sperme. Un peu plus tard, Ninon se réveille et a envie d’aller aux toilettes. En baissant son string, je peux voir la trace laissée par mon sperme. Elle la remarque et tente de la masquer. Faisant l’innocent, je lui demande ce que c’est. Elle me répond qu’elle a dû faire un rêve érotique et donc, sali sa culotte. Elle me dit que ça lui arrive souvent en ce moment, car ses hormones travaillent. Elle rajoute que, d’habitude, elle se caresse pour limiter ses excitations nocturnes, mais que là, elle ne peut plus à cause de ses plâtres. Alors que je lui essuie la chatte, je l’entends pousser un petit gémissement. Je la regarde, surpris et réitère ma caresse. Elle gémit de nouveau. Je suis tétanisé par la situation et je n’ose pas allez plus loin. Je ramasse son string et l’amène au linge sale.
Ninon va dans sa chambre, moi dans le salon. Un peu plus tard, j’entends un grincement provenant de la chambre. Je m’approche et regarde par la serrure. Ma fille est à cheval sur son coussin et se frotte à celui-ci. Mon sexe se dresse immédiatement. Cette fois, c’en est trop. Je décide de rentrer, comme si j’ignorais ce qu’elle fait. Je rentre d’un coup, sans frapper. Ninon est assise sur son coussin. Comme je rentre, elle se jette sur le ventre.
« Que fais tu ma chérie ? »
Ninon, rouge de honte, m’explique que son sexe la démange. Je lui demande alors de me le montrer de plus près, pour y voir une éventuelle rougeur. Elle se remet sur le dos et écarte ses cuisses. Ses poils sont encore tout collés. Ses lèvres sont grandes ouvertes et baveuses. Son clitoris est tout gonflé et tout rouge.
« Tu es sûre que ça te démange ? Ou étais-tu en train de te donner du plaisir ? »
Elle hésite à répondre, bégaie un peu, puis m’avoue finalement qu’elle essayait en fait de se masturber. Elle va même jusqu’à s’excuser.
« Ne t’excuses pas, ma puce, c’est normal, à ton âge ! Je retourne au salon, tu peux continuer, si tu veux !
– Attends papa, je n’y arrive pas seule ! Peut-être, pourrais tu m’aider ?
– Hein… !!!!
– Ben oui, tu m’as vu nue, tu m’as essuyé le sexe et l’anus. Tu m’as même enfoncé un tampon dans le vagin. Je n’ai plus de secret pour toi, maintenant. Alors si tu pouvais m’aider à me sentir mieux, ça serait gentil de part. Et je te jure que je ne le répéterai à personne ! »
Cette fois-ci, c’est moi qui bégaie.
« Mais enfin, Ninon, tu te rends compte de ce que tu me demandes. Tu es ma fille. Je ne peux pas faire ça ! »
Elle se met alors à écarter les cuisses et se cambre.
« S’il te plaît, juste un doigt ! »
Je m’avance en titubant. Je pose ma main sur son ventre, descends jusqu’au nombril puis m’arrête sur sa toison. Je frotte cette touffe épaisse de poils blonds. Je la sens se raidir. Je passe mon doigt sur son clito et amène mon autre main sur sa fente. J’ai, désormais, un doigt dans sa chatte et un autre qui joue avec son clito. Au bout de deux minutes, je sens son vagin se contracter et tous ses muscles se raidir. Elle est en train de jouir. Je retire doucement mes doigts et l’embrasse sur le front. Je suis sur le point de sortir de la chambre lorsqu’elle m’appelle. Elle me demande un autre baiser et alors, que je m’approche de son front, elle remonte sa tête et m’embrasse goulûment sur la bouche. Je me laisse faire et apprécie. Elle se retire et glisse en bas du lit. Sa tête se retrouve devant mon sexe qui est en train de forcer l’élastique de mon boxer. Elle passe son nez sur la pointe, puis commence à le mordiller. Sans qu’elle me dise quoi que ce soit, je baisse mon caleçon. Ma bite est énorme. Je sors mon gland et le porte à sa bouche. Elle le lèche, puis l’aspire. Elle insiste sur mon frein, puis avale ma tige complètement. Je suis étonné de la longueur qu’elle arrive à s’enfoncer. Je commence alors à me branler pendant que Ninon me suce. Sentant monter le désir, je la préviens que je vais jouir. Elle se retire et remonte dans le lit.
« Éjacule-moi sur la chatte, papou, je suis sûre que je vais adorer ! »
Je me branle alors à fond et laisse éclater ma jouissance. J’inonde ses poils et sa fente par de nombreux jets de sperme. Je lui redonne un baiser, puis prends une serviette pour l’essuyer.
« Merci papa, je t’aime !
– Moi aussi ma chérie ! »
Deux jours plus tard, il est temps de rentrer. Sa mère vient la récupérer.
La fois suivante où je la revois, elle n’a plus de plâtres et nous n’avons jamais plus parlé de cette aventure !
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