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Julie ou Julien (11)

Julie ou Julien (11)



Nous voilà donc devant la porte de leur appartement. Les filles ont, en plus du regard interrogatif que je leurs connais déjà, l’air un peu inquiètes.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Vous semblez inquiètes
Aucune des deux ne semblent savoir quoi répondre. Leurs échanges de regards me laisse deviner que chacune d’elles espère que l’autre prendra la parole la première. c’est finalement Julie qui s’y colle.
– Je pense que Sophie comme moi a peur de ce que vous prévoyez… Nos parents… Vous savez… Moi, ce que je suis devenue, ce que nous faisons avec vous… Où comptez-vous aller ? Je ne veux pas paraitre impertinente, mais oui nous sommes inquiètes Maître…
-Encore une fois tu exprimes tes inquiétudes, ce que je comprends, mais là encore je te rappel ce que je t’ai déjà dit. Mss choix te concernant vous ont-ils mis dans des situations que vous regrettez ? En danger ? Non, donc laissez moi vous guider.
– Bien dit-elle en baissant le regard. L’inquiétude ne semble quitter aucune d’entre elles.
– Vous me laisser leur parler. Sophie tu va sonner, prétextant avoir égarer tes clés. Ma poupée, toi tu restes en retrait, légèrement dissimulée derrière moi. Aller sonne.
Hésitante, Sophie pose le doigt sur la sonnette. J’achève son mouvement en pressant son doigt pour faire sonner. On entends des pas approcher à l’intérieur, la porte s’ouvre sur leur mère.
– Sophie ? ben alors, vous deviez rentrer plus tard non ? t’as pas tes clés ? Et où est Julien ?
– Heu oui enfin, non je sais pas où je les ais mise, je crois les avoir oublier ici.
– ha c’est malin ! Et ton frère alors ?
– heu bafouille t’elle
Je prends la parole
– Il est pas bien loin, il arrive
Ayant pris la parole j’ai fait remarquer ma présence à la mère. Elle me regarde, sûrement étonnée de me voir. Elle jette un œil à Julie, blottie derrière moi, contre mon épaule.
– Bonjour me dit-elle
– Pardon, oui bonjour. On va pas vous déranger, Julie voulait juste récupérer quelque chose
– Ben entrez je vous en prie
Elle ouvre la porte ne plus grand, se dévoilant d’avantage. bien que l’ayant croisée plusieurs fois, je ne l’ai jamais réellement détaillée. j’avais remarqué qu’elle est plutôt belle femme. C’est un quadra je pense, peut-être quarante-cinq ans, blonde comme ses filles, assez élancée. Elle semble s’entretenir, on sent dans ses mouvements de l’énergie, du tonus. Différence majeur avec Sophie et Julie, elle a elle une poitrine bien plus généreuse. Le haut serré qu’elle porte la met très généreusement en valeur. Ses seins semblent fermes et ronds. Elle porte un jean, slim taille basse qui aide à bien mettre en évidence sa taille fine. Des bottines à petit talons carrés aux pieds lui font galber les jambes, et le cul qui lui aussi semble ferme.
Nous pénétrons dans l’appartement derrière elle, Julie toujours un peu en retrait, et la suivons vers le salon. Sur le canapé se trouve son mari, le père des filles. Quadra aussi, bien qu’à priori entretenu lui aussi, il n’a rien du mâle dominant. Fluet, pas l’armoire à glace de service. Il se lève pour biser sa fille me tends la main pour me saluer. Je lui la saisie
– Bonjour me dit-il
– Bonjour, ça va ?
– Oui merci et vous ?
– Moi ça va, et votre cul, pas trop dilaté ?
Sa main se fait molle dans la mienne. un grand blanc silencieux envahit la pièce, tout le monde me regarde, sans voix. La main du père quitte la mienne, son bras se fait pantois le long de son corps. Il regarde son épouse interrogateur. Sophie et sa mère me regarde-moi. Sophie très interrogative, sa mère hébétée, intriguée, en bafouillant me dit
– mais, heu, de quoi vous parlez ? Et pour qui vous vous prenez à nous parler comme ça ?
Je sens dans sa voix une pointe de colère. J’ai de toute évidence touché une corde sensible, amplifié je pense par le fait d’avoir cette discussion devant sa fille. Son visage rougit, par une part de gêne je pense et la colère met un peu plus en avant ses yeux vert émeraudes.
– de quoi je parle ? Mais de vos petites séances de défonce anal que vous faites subir à votre mari !
Sur la fin de ma phrase, je saisis le père par le paquet d’une poigne ferme
– Ça va ? pas trop à l’étroit ?
Encore une fois un silence pesant s’abat sur la pièce. je vois Sophie bouche bée et Julie qui s’est un peu dégagée de derrière moi semble perdue.
– Vous savez, votre patrimoine génétique à tous les deux a fait des émules et s’est très bien transmis à vos enfants.
En disant ça, je prends Sophie par les épaules et la place devant moi. Ma main droite saisit son sein, puis descend le long de son ventre, sur sa chatte au travers de sa robe. J’att**** le bas de sa robe et la soulève, exhibant ainsi sa chatte nue et lisse à ses parents
– Sophie, c’est quoi cette histoire ?! dis la mère
– Maman, heu, je sais pas… heu
– Voyons Sophie tu sais bien. Tu es une petite salope qui aime se faire baiser comme une chienne. Je me trompes ?
D’une petite voix elle répond en baissant les yeux
– Non vous avez raison, je suis une salope
Je la libère, et passe mon bras aux épaule de Julie, la plaçant là où était sa sœur, devant moi. La mère la regarde et soudain réalise
– Julien ?!! Mais c’est quoi ça ? Ces vêtements ! c’est quoi toute cette histoire bon sang !
– Je vous présente Julie. Ce qui était votre fils n’existe pour ainsi dire plus. regardez là, votre fille est magnifique non ?
Là aussi, je promène mes mains sur le corps de Julie, qui ne cache pas le plaisir que ça lui procure. Ma main descend à nouveau et remonte sa robe.
– Vous voyez, le patrimoine du père lui a été transmis
Et j’écarte le string dévoilant ainsi son clito encagé.
– Julien, mais c’est quoi toute cette histoire ! Et vous vous êtes qui bon sang, vous faites quoi à mes enfants ?!
– Moi ? Je suis celui qui a désormais un contrôle total sur leurs vies. Et je ne leur fait rien de plus que ce qu’elles attendent de moi. Elles se sont offertes délibérément à moi.
– c’est une histoire de fou. Les enfants aller dans vos chambres il faut qu’on parle avec, heu, avec lui
Julie et Sophie me regarde, attendant de savoir quoi faire.
– Non, vous restez ici. A genoux.
Elles se positionnement aussi tôt dit. Le regard tourné vers le sol.
– Allons, ne vous énervez pas. Je vous l’ai dit, elles n’ont fait qu’hériter de vos patrimoines génétiques. Deux salopes ne peuvent donner naissance qu’à des salopes
Prise de colère la mère me rétorque
– Mais pour qui vous vous prenez ?!
– Quoi, je me trompes selon vous ?
Je tends alors mon PC, l’ouvre et le démarre. Après quelques clic, je tourne l’écran vers les parents.
– N’est-ce pas deux salopes que nous voyons là ?
Sur la vidéo que j’ai lancé, apparaissent les parents. Le père, qu’on n’a pas entendu une seule fois depuis avant, apparait. Il n’a pour tenue qu’une espèce de harnais en cuir. On le voit, à quatre pattes sur le lit, tendant sa croupe à sa femme. Celle-ci porte ce qui semble être une tunique en latex et est équipée d’un strapon, qu’elle pointe vers l’anus de son époux. Le saisissant par les hanches, elle le lui plante profondément dans ses entrailles et démarre un véritable rodéo. Dans le montage que j’ai préparé, la  »mise en scène » change. Le père est à présent sur le dos, les jambes relevées au-dessus de la tête, offrant son cul. On le voit bâillonné d’un gagball, les poignets liés aux chevilles. dans cette position, on distingue clairement sa queue, toute aussi petite que celle de Julie, également en cage. Cette cage, métallique, comprime totalement son 3 pièces. A nouveau l’épouse vient défoncer le cul de son mari.
Les parents regardent la vidéo, sans voix, ne sachant plus quoi dire. Les filles aussi regardent, abasourdie de découvrir leurs parents ainsi. Dans une forme de couinement, Sophie dit
– Maman ? Papa ?
– mais… d’où vous avez cette vidéo ?
– De mes propres moyens
J’avais lors de notre sortie avec les filles été acheter quelques caméra Wifi que j’avais installées dans la chambre parental. Mes intuitions ayant été bonnes je n’ai pas été déçu en consultant les enregistrements. L’absence des filles pour le week-end avait permis aux parents de se lâcher comme je le pensais.
– ce n’est qu’un petit montage que je vous ai préparé, mais votre nuit dernière a été très agitée, n’est-ce pas ? Et vous avez une idée de ce que j’ai pu filmer d’autre… Dans l’absolu, ces vidéos n’ont pas vocations à quitter mon PC. Et nous finirons certainement par trouver l’arrangement qui va bien pour qu’elles y restent. Vous savez, vos filles sont loin d’être les enfants sages qu’elles paraissent. Sophie ne rate jamais une occasion que vous soyez absents pour ramener un plan cul rapide. Quant à Julie, hier encore pauvre pucelle s’est grâce à moi enfin découverte telle qu’elle est réellement. Et croyez-moi, elle n’est pas une sainte.
Sur ces mots je démarre une autre vidéo. Depuis mon aménagement dans mon appart, j’ai installé plusieurs caméras discrètes, me permettant de garder de doux souvenirs de mes conquêtes. jamais je n’aurais cru pour capter les moments qui se sont déroulés ces dernières heures. La vidéo montre en premier ce qui était avant Julien, se déshabillant pour la première fois devant moi pour me montrer son string. On le voit ensuite me faire sa première pipe gourmande. Le plan passe ensuite au moment où les deux sœurs s’empalaient sur le double god. Puis sur Julie équipée du strapon en train de baiser sa sœur. Passe ensuite la scène ou je doigte brutalement Sophie à la salle à manger.
– Là aussi c’est un extrait des capacités de mes petites poupées
– Mon dieu… dit la mère
– Nous allons à présent discuter tous ensemble.
Je me dirige vers le fauteuil et invite les parents à s’assoir sur le canapés. Les filles quand elles viennent naturellement se placer à genoux, chacune d’un de mes côtés.
– Commençons par les base, je m’appelle Jérôme et vous.
– Heu, moi c’est Isabelle. Et mon mari Pierre.
– Bien, ravi de te connaitre Isabelle. Alors dis-moi, depuis combien de temps tu défonce ton mari ?
A ma question, celui-ci baisse le regard. Il n’a toujours pas prononcé un seul mot depuis tout à l’heure, il semble vraiment ne plus savoir où se mettre.
– Ecoutez, c’est une partie très intime de notre vie, je ne vous connait pas, je veux pas parler de ça avec vous
– Voyons ma belle Isa, pas de ça entre nous. J’ai sur ce PC suffisamment d’images de votre intimité pour que nous ne soyons largement plus des inconnus. et de plus, je connais en profondeur l’intimité de tes filles. Alors, réponds à ma question.
– Ça fait un moment… Après la naissance de Julien, Pierre semblait ne plus être attiré par moi. Il a déjà au départ un pénis peu développé, mais je l’ai toujours aimé malgré ça. déjà avant que je sois enceinte de Julien, il avait du mal à bander, j’ai mis ça sur le coup de l’âge, la fatigue, le stress du boulot… C’est après la naissance de Julien, que j’ai découvert qu’il m’a trompé. D’après lui ce n’était que du cul, et avec une seule femme. Ça m’a mise en colère. Déjà qu’il n’avait pas beaucoup à m’offrir, il le donnait à quelqu’un d’autres. J’ai alors cherché à me venger, à prendre les choses en mains. J’ai découvert les cages de chastetés, et en ais acheté une. je l’ai mis au pied du mur, soit il la portait pour que je sois certaine qu’il n’aille plus voir ailleurs, soit je le quittais. Il a fini par accepté. Et il s’est avéré que ça a stimulé sa libido. Il est devenu plus attentif envers moi, s’intéressait soudainement plus à me donner du plaisir. Voulant le punir je l’ai privé de se servir de son, heu, de sa bite un temps, il ne me faisait jouir qu’avec sa bouche. Un jour, il a jouit ainsi, en me léchant, sans que je le touche. J’ai alors acheté un premier god, au départ pour moi, pour compenser le manque, et un jour j’ai eu envie de tester sur lui. Au fur et à mesure, il me donnait de plus en plus de plaisir plus je le godait. j’ai compris alors que mon plaisir passait par ce plaisir chez lui… J’ai trouvé un nouveau rôle dans notre relation, ce qu’on appelle Domina sur le net. J’ai pris le dessus dans notre couple, contrôlant nos ébats et les diversifiant. J’ai aussi commencer à prendre un réel plaisir au fait de l’enculer… Un plaisir nouveau mais intense… On a alors acheté différents accessoires… Je lui fais aussi parfois porter mes vêtements…
Isabelle a raconté tout ça, d’une seule traite, en regardant ses mains entrelacées. A la fin, elle semblait soulagée, peut-être d’avoir enfin pu le dire à quelqu’un ? Elle évitait ses enfants du regards. Pierre de son côté avait fondu sur sa place. Il ne savait plus où se mettre et ne me regardait à aucun moment.
– Isabelle, ma chérie, tu n’as pas à avoir honte de tout ça. Tu as pris une place qui t’étais naturelle dans votre couple et qui plus est, vous y avez découvert du plaisir. Toi non plus Pierre n’ai pas honte. T’es une petite fiotte qui aime se faire enculer par sa femme, et après ? Vous avez trouvé vos places respectives. Mais Isabelle, je crois que tu n’as pas encore découvert toutes l’ampleur de ton potentiel. Cette perversité qui est née en toi, n’est pas à son maximum selon moi. De plus, je pense que ta position dominante n’est réelle qu’auprès de ton mari. qu’en penses-tu ?
Ne me répondant pas, j’élève la voix, et presqu’en criant
– réponds moi !
cela la fait sursauter, presque trembler, ce qui confirme ce que je pense.
– Je ne sais pas murmure t’elle
– Nous allons vérifier
Sur ces mots, je sors ma queue déjà raide de mon pantalon et pose mes mains sur la tête des filles qui, comprenant mes attentes viennent me sucer à deux.
– Lève-toi Isabelle
Les yeux rivée sur ma queue et sur ses enfants me pompant, elle semble ailleurs
– Debout j’ai dit !!
Elle émerge d’un coup et sans vraiment réfléchir se lève.
– Toi petite fiotte, couche toi par terre, visage face au sol
Trop content de pouvoir plus se cacher, Pierre se précipite au sol.
– Bien ma belle, retire ton haut
Hésitante, sonnée, elle saisit doucement le bas de son top et le remonte lentement, puis le passe au-dessus de sa tête. Une fois son haut retiré, elle dissimule un peu sa poitrine.
– A présent, retire ton jean
Toujours l’air un peu hagard, elle commence à défaire sa ceinture, puis le bouton, puis la braguette. Elle réalise soudain qu’elle porte ses bottines, qu’il faut qu’elle enlève. elle se rassoit sur le canapé et se penche en avant pour les retirer. ce mouvement a pour effet de m’exposer pleinement ses seins sublimes. Les bottines retirées, elle se relève et fait descendre le jean qui lui colle à la peau et s’en dégage les pieds. Elle se tiens à présent debout, de son air gênée, les mains croisées devant son entrecuisse.
– Les bras le long du corps !
Elle les place comme demandé, le regard baissé. Je peux à présent admirer un peu plus la sculpture de son corps. Comme je le devinait sous ses vêtements, elle a un corps ferme, musclé. Sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration est effectivement généreuse et ronde. Bien portée et mise en valeur par le soutiens gorge de dentelles noires qu’elle porte. Son ventre, plat, ne laisse voir aucun dégâts de ses deux grossesses. Ses jambes, musclées également, lisses donnent l’impression d’être plus longues qu’elles ne le sont. Je note qu’elle est vernie tant aux pieds qu’aux mains, assortis. Juste sous son ventre, une pièce de lingerie, assortie au soutiens gorge dissimule sa chatte.
– tourne toi
Se plaçant dos à moi, je peux constater que c’est un string qu’elle porte. Le choix de toute la famille à priori. La partie de tissus arrière disparait entre deux globes parfaitement dessinés, rond, ferme. elle a d’une la peau bronzée et le peu de vêtement qu’elle porte n’est pas suffisant pour cacher d’éventuelles traces de bronzages. Elle fait de l’intégrale, certainement en cabine.
– Retourne toi et retire le reste.
– S’il vous plait.. non… pas devant les enfants…
– t’en fais pas ma chérie, les filles sont occupées avec leur friandise.
Elles regardent leur mère, toute souriante. Julie li dit
– Maman, laisse toi aller, le Maître sait ce dont nous avons besoin. et elle retourne à son ouvrage sur mon dard dressé, avec Sophie.
Isabelle commence alors, de plus en plus gênée, à défaire son soutiens gorge à l’arrière. Lorsqu’elle le retire, ses seins restent quasi à la même place. ces deux globes de chair sont aussi ferme qu’ils paraissaient. Elle att**** ensuite les bord de son string et le glisse doucement vers le bas. Apparait alors, une toute petite toison, taillée en ticket de métro. A présent totalement nue, la voilà, debout, bras ballant.
– Magnifique. Les filles, admirez votre mère. Voyez de qui vous tenez votre corps sublime.
Tout en gardant chacune une main active sur ma queue, les filles tournent la tête et admire leur mère, toute souriante. Isabelle en les voyant la regarder, rougie pleinement, baisse le regard et verse une larme.
– Ne pleure pas ma belle. C’est magnifique ce que nous vivons en ce moment. Tes filles semblent-elles malheureuses ? En souffrance ?
– non, répond-elle d’une petite voix
– Toi-même souffres tu ?
– Je ne sais pas… je crois que non…
– Alors pourquoi pleurer ?
– C’est…humiliant….gênant
– Même si elles ne s’en souviennent pas, elles sont déjà vu ta chatte, de très près !
Elle ne sait quoi répondre, et garde la tête basse. De leurs côtés, les filles retourne s’occuper de ma queue dressée.
– Bien, et si on inspectait cette lopette qui te sert de mari ? Mets le à poil
Sans lever la tête, elle se dirige vers Pierre, et commence par lui retirer son t-shirt
– Lève les bras lui murmure t’elle
– Hé, je crois pas que sur la vidéo tu t’adresses à lui comme ça. Parle lui comme il le mérite.
– Lève les bras, dit-elle plus fermement cette fois
Il s’exécute, toujours coucher par terre, et permet à Isabelle de lui retirer son t-shirt
– Retourne toi
Le ton s’affermit, je lui découvre une assurance qu’elle n’avait pas encore eut. Elle ouvre sa ceinture, défait son pantalon, et tirant par le bas le lui retire d’un coup sec, sans mangements. On découvre alors qu’il ne porte rien dessous sinon cette cage métallique qu’on voyait sur la vidée. Loin du modèle que Julie porte et qui est issue de la collection d’accessoires de ses parents, le modèle que porte Pierre est constitué d’anneaux métallique, serrés. La cage lui comprime totalement la vermicelle qui lui sert de pénis. Son gland est violet et boudine par les ouvertures
– Mais c’est que ça le fait bander tout ça ! ha haha Alors petite lopette, ça t’excite de voir ta femme à poil, devant un inconnu qui se fait sucer par tes gosses ?! fous toi à genoux !
Pierre se redresse, et effectivement on voit que sa petite queue, très compressée est très à l’étroit.
– Ma pauvre Isa, c’est avec ça qu’il t’as fait ces deux petites perles ? Incroyable ! et il arrivait à te faire jouir ?
– Pas toujours…
– tu m’étonnes ! rapproches toi Isabelle
Lorsqu’elle est à portée de main, je passe ma main sur sa chatte
– Mais on dirait que toi aussi tout ça t’excite ! tu mouilles petite salope
En guise de répondre elle se contente d’un soupir de soulagement.
– Alors dis-moi, depuis combien de temps le truc qui te sert d’homme ne t’a pas prise ?
– Quasiment depuis la naissance de Julien
– Appelle la Julie, Julien n’existe plus. donc ça va faire 18 ans qu’il n’a pas trempé sa nouille ?
– Oui, soupire-t’elle sous les caresses de mes doigts
– Et d’autres bites t’ont prises pendant ce temps ?
– Non…
– Vraiment ?! 18 ans qu’aucune bite ne t’a visitée ? Et quoi ? tu te contentes de jouets alors ?
– Oui…
– Ma pauvre, il est grand temps pour toi de remédier à ça… 18 ans sans bite, tu dois avoir faim. Viens par ici, mets-toi à genoux devant moi. Sophie, Julie, faites de la place à votre chère mère.
Les filles retirent leurs bouches baveuses de ma queue et s’écartent mais la tiennent toujours en main. Elles regardent leur mère s’agenouiller, entre elles, et s’approcher de moi.
– Alors ma grande, on va voir si tu n’as pas perdu la main, viens déguster une bite
– Mais je, heu, j’ai jamais fait ça… je.. j’ai jamais voulus
– Ah bon ? La pauvre fiotte dis-je en regardant Pierre. Et là, en as-tu envie ?
– Heu, non pas vraiment, je crois pas
– Tu crois pas ? Ou tu es sure que non ?
– Je sais pas…
– Maman, intervient Julie, goute la… tu verras tu vas adorer, comme Sophie et moi
Isabelle tends timidement la main, la place sur ma queue que les filles ont libérée, l’enserre doucement, trop à mon gout. Elle commence un mini va et vient, les yeux grand ouverts à regarder ce qu’elle fait, comme hypnotisée.
– Aller, suce moi maintenant, cesse de faire ta mijaurée
Je l’att**** par les cheveux et la rapproche de ma bite, mais je veux que ce soit d’elle-même qu’elle la met en bouche. Je la relâche donc, le visage à quelques centimètres au-dessus. Timidement elle tend la langue et y met un petit coup, puis un second, suivit d’un troisième plus appuyé. Elle se recule légèrement et amplifie son emprise et son mouvement sur mon dard. Elle se rapproche à nouveau et glisse mon gland entre ses lèvres, et le tète un peu.
– Maman, appliques toi ! Lui dit Julie. Laisses moi te montrer
d’un coup d’épaule elle pousse sa mère et se rue sur ma bite. La saisit à pleine main et se l’engouffre d’une traite et démarre un pompage en règle. Elle recrache ma queue, toute baveuse
– Tu vois, faut que ta bouche soit très humide, pleine de salive, comme ça ça glisse bien. Et ensuite tu la prend toute entière en bouche et avec les lèvre tu la serre, et t’aspire un peu, plus ou moins. Faut pas juste téter le bout !
– Calme toi Julie, laisse ta mère apprendre
– Mais Maître, vous méritez qu’elle fasse ça comme il faut
Je la gifle brutalement pour la punir de son insolence !
– Veuillez me pardonner Maître
Ebahit, Isabelle a observé la scène
– Mon Dieu, j’en reviens pas, ce qui se passe
– laisses Dieu où il est, et écoute les conseils de ta fille
Elle ressaisit ma queue de la main et cette fois se la met en bouche d’avantage, pas encore entièrement. sa bouche, plus humide commence alors un va et vient, bien plus gourmand. Petit à petit, elle se laisse aller, dévorant ma queue avec appétit, se basant sur mes réactions ou encouragement pour s’améliorer
– C’est très bien ma belle, tu apprends vite, et on dirait bien que tu aimes ça
– Tu peux aussi lui lécher les couilles maman, lui dit Sophie, il adore
Regardant sa fille ainée d’un regard gourmand, le visage barré d’un sourire plein de malice, elle descend sur mes couilles et les gobent d’un coup, les faisant rouler sur sa langue, puis replonge sur ma queue, l’avalant jusqu’à la base. Je la laisse me pomper ainsi un moment, savourant la scène terriblement excitante. Isabelle, à genoux, entre ses deux filles, ma queue en bouche à me pomper, son mari à genoux plus loin l’observant, sa queue gonflant dans son étroite cage.
– Arrêtes toi. Lève-toi, dos à moi
Toujours assis, je la tire vers moi, ma positionnant au-dessus de ma queue. je la fait s’assoir sur mon ventre, mon gland contre sa chatte qui coule
– S’il vous plait, pas devant les enfants
– Bien sûr que si, regarde les, elles attendent que ça !
Et doucement, je la fais glisser vers le bas, faisant ainsi entrer mon gland dans sa chatte. dans un mouvement continu, je la laisse descendre jusqu’à ce que ma queue soit entièrement en elle. Je ma maintien ainsi un moment, jusqu’à ce que je sente son bassin onduler lentement
– Alors, ça fait quoi d’avoir enfin une vraie queue en toi plutôt qu’un joujou en plastique ?
– C’est.. chaud, doux, c’est bon
Elle démarre alors une lente montée-descente sur ma tige tendue. Elle passe ses pieds sur l’assise du fauteuil, se retrouvant accroupie sur moi et elle commence à se baiser sur ma queue, couinant et râlant son plaisir. Je la saisie par les seins, bien plus ronds que ceux de ses filles. ils sont doux, fermes, ronds. Je lui pince les tétons qu’elle a aussi sensible que les filles, ce qui la fait gémir.
– Sophie, vient lécher le clito de maman
– Non…hunhun pas ça hun
Sophie bien sûr ne tient compte que de mon instruction et vient se jeter sur le bouton dressé de sa mère. C’est au profond gémissement que pousse Isabelle que je sais que Sophie lui le dévore. Isabelle, tout à son plaisir ne cherche pas à repousser sa fille
– Julie, vient téter le sein de maman
– Non, arrêtez hunhun
Là aussi Julie n’hésites pas un instant et vient manger le sein de sa mère, lui faisant lâcher de nouveaux gémissements de plaisir. tout au plaisir qu’elle prend, Isabelle se lâche pour de bon, et se baise aussi puissamment qu’elle le peut sur ma queue, poussant de réguliers et puissants râles de plaisir. sa chatte, trempée, se contracte fortement autour de ma bite. elle finit par, d’un coup se laisser tomber dessus dans un profond râle orgasmique, s’enfonçant ma queue au plus profond. Cette introduction soudaine me fait moi aussi partir et je lui tapisse le vagin de grosses giclées de sperme. A chaque giclée je la sent se contracter et gémir un peu plus. Je la sens ensuite se contracter volontairement pour me masser avec ses proies et aspirer ainsi les dernières gouttes.
Lorsque j’ai fini de me rependre en elle, je sors ma queue de sa chatte et dit au filles
– C’est vous, nettoyez
– Ho non pas ça, j’y crois pas, dit Isabelle.
Les filles se jettent aussi bien sur ma queue que sur la chatte de leur mère, la fouillant en profondeur de leur langue pour récupérer autant de sperme que possible. Je sens alors Isabelle partir dans un second orgasme, moins puissant mais là malgré tout.
– Alors ma belle, ça te fait quoi ?
– J’avais complètement oublié ce que ça fait d’avoir une vraie bite en moi, chaude, vigoureuse, de taille un peu plus respectable. Et ce que c’est que de sentir du sperme gicler en moi… tant de sensations que j’avais oublié…
– Et ? tu aimes ça ?
– oui répond-elle dans un soupire gêné
– Et tu sembles avoir aimé les langues de tes filles, je me trompe ?
– ….
– réponds !
– oui… c’est nouveau pour moi, des filles qui me lèchent. Oh mon dieu, je viens de dire fille en parlant de mon fils…
– C’est une femelle ! Mais tant mieux, il faut que tu te laisses ouvrir à de nouveaux plaisir. Et regarde ta lopette de mari, il coule… Il a aimé te voir te faire baiser.
Pour toute réponse elle se contente d’un ricanement.
– n’est-ce pas lopette, ça t’a plu ?
– heu, oui dit-il timidement
Je repousse doucement Isabelle de sur moi pour qu’elle descende. les filles se poussent pour lui permettre de se mettre debout. debout face à moi, je me penche pour passer un coup de langue sur sa chatte fraichement nettoyée à coups de langues.
– Tu as un gout délicieux
En passant ma langue, je glisse un doigt par dessous entre ses fesses et vient caresser son œillet. Elle se contracte aussi tôt
– Non pas là
– quoi pas là ?
– je veux pas. J’aime pas
– Comment ça tu veux pas ? et tu n’aimes pas ? T’as déjà essayé ?
– Non et j’ai pas envie
– Ca on verra, je choisirais tes envies. Maintenant suis moi.
Je me lève et me dirige vers leur chambre, vers le dressing. j’ouvre le placard que j’ai déjà visité et où j’ai trouvé quelques accessoires. Isabelle semble surprise que je me dirige directement vers ce placard.
– J’ai déjà exploré votre chambre et le dressing. c’est ici que j’ai trouvé la petite cage que porte Julie, tu ne l’a pas reconnue ?
– Ho…. non, mais maintenant que vous le dites, oui, c’est une des premières que Pierre a porté.
– Bien, une sorte d’héritage alors. Julie ne l’a pas retiré depuis hier. toute façon, comme son père c’est pas avec ce qu’elle a entre les jambes qu’elle va faire grand-chose. A présent explique moi, sur les vidéos je vous ai vu utiliser des accessoires que je n’ai pas trouvé ici. Où cachez-vous tout ça ?
Hésitante, elle s’approche néanmoins, mais au lieu de se placer face au dressing, elle me demande, poliment de me décaler, et se place face au mur. Elle place ses deux mains sur le mur et applique une petite pression. S’en suit un clic et la cloison bouge, et s’ouvre comme une armoire. Le regard tourné vers le sol, isabelle se recule, laissant la porte du compartiment dissimulé s’ouvrir. d’une petite voix elle me dit
– Pierre est au moins doué pour la menuiserie. On voulait pas que les enfants tombent dessus par hasard, il a donc fabriqué cette fausse cloison.
J’aide la double porte à s’ouvrir et de dévoile à mes yeux un compartiment de belle taille. faisant la largeur du mur, soit environ deux mètres, et profond d’environ quatre-vingt centimètres. Apparait alors une collection impressionnantes d’objets en tous genres mais aux usages très clairs. De multiples sortes de liens, sangle, harnais, menottes, chaines, barre d’écartement, ou autre moyen de contraintes. Une série variée en forme, couleur et taille de god, à ventouse ou à harnais. Des plugs en diverses matières, tailles, gonflables ou non. Des baillons, des pinces et des objets à n’en plus finir.
– Ben dis-donc ! Vous cachez bien votre jeux ! C’est une sacrée collection que vous avez là !
Toujours de sa petite voix, un peu dépitée, Isabelle me réponds
– depuis près de vingt ans que nous n’avons plus de rapports standards il a fallu varier les plaisirs. La colère de sa tromperie ne m’a jamais quittée, j’ai toujours plus envie de pouvoir maitriser, contrôler ses agissements…
– Mais avec une panoplie pareil, tu en fais profiter d’autres ?
– Quoi ? non mais ça va pas ? non, jamais ! ce n’est qu’entre nous deux…
– Plus maintenant.
J’att**** un petit panier dans ce placard et y dépose toute une série d’objet de ma sélection. Avec un sourire narquois, je regarde Isabelle, prise d’un mélange de gêne et d’inquiétude.
– Que comptez-vous faire de notre famille ?
– Avoir du plaisir avec vous. Vous en donner aussi. Mais aussi vous contrôler, totalement
isabelle s’effondre au sol, en pleure, et entre des sanglots
– Tout ça c’est ma faute… si j’avais contrôler mes pulsions, et pardonner à Pierre, on n’en serait pas là… Quelle honte, que sont devenus mes enfants. Ma fille se transforme en salope lesbienne, mon fils se prend pour une fille et bouffe de la queue… Et moi, je me laisse sauter par un inconnu et en plus j’y prends du plaisir….;
– Ne pleure pas Isabelle. Tu verras que grâce à tes choix, ta famille va se découvrir une nouvelle vie, une nouvelle âme ! Aller vient, suis moi.
Nous retournons au salon, où les filles et la lopettes sont toujours à genoux, à attendre. Je prends dans le panier, un bandeau ainsi qu’un bâillon écarteur que je tends à Isabelle.
– Mets lui ça, dis-je en pointant Pierre du menton.
Docile, Isabelle va lui mettre en place. Je lui tends ensuite une croix d’écartement extensible. Aux extrémité la croix est munie de sangles destinées à être passées au poignets et cheville. Isabelle s’en saisie , commence à fixer les chevilles de Pierre, puis le penchant en avant lui faire rejoindre les poignets. Je m’approche et place les écartements à leurs maximums. La lopette se trouve donc dans une position contrainte, à genoux, écarté des bras et jambes, incapable de se défaire de ses liens. je tends ensuite un premier harnais à Isabelle, équipé d’un double god, permettant à la porteuse de prendre sa dose de plaisir. j’en tends un identique à Sophie, et un simple à Julie.
– Mes amours, Isabelle, à présent il est temps que vous montriez qui est le seul et unique mâle dans cette pièce. Montrez-moi votre loyauté et prouvez à cette lopette qui commande ici.
Les trois finissent par s’équiper, non sans soupirer pour les filles qui s’insère l’extrémité en elle. je vais ensuite me placer devant Pierre. Ma queue a légèrement repris forme. Regardant Isabelle
– Il te suce le god des fois ?
Affolée, les yeux éberlués, elle me réponds
– oui…
– et une queue, il l’a déjà fait ?
– Ho mon dieu, non, jamais !
Sur ces mots, j’introduis ma queue dans la bouche de Pierre forcée en ouverture. Il tente vainement de se retirer, mais ses entraves ne lui permette pas de fuir. Je commence aller et venir dans sa bouche doucement.
– j’ai bien fait de le bâillonner, il me l’aurait croqué le gourmand. Aller suce petite lopette, suce
Je commence alors à lui baiser la bouche, ma queue ayant retrouvé sa vigueur, je la lui enfonce aussi profond que possible.
– Tu as bien entrainé sa bouche ma belle, il avale bien profond. Et toi, goutte à la mouille de ta femme sur ma queue, elle bonne ta femme hein ? Dommage que tu ne sois pas capable de la baiser. Mais t’en fais pas, je vais bien m’en occuper !
Je me déchaine un moment dans sa bouche, le poussant à plusieurs reprise jusqu’au bord du vomissement. Quand j’en ai assez de sa bouche, ma queue dégouline de sa bave, grasse et épaisse. je vais me positionner derrière lui, la queue toujours au garde à vous.
– Isabelle, retire lui son bâillon
Quand c’est fait, je commence à frotter mon gland contre sa rondelle
– Non pitié pas ça. Je suis pas pédé.
– hahaha, ben voyons, vu le pieds que je t’ai vu prendre quand ta femme te défonce le cul, avec une vraie queue tu vas aussi adorer. Je commence alors à pousser. Son cul, entrainé ne tarde pas à s’ouvrir et ma queue s’enfile en douceur
– non, s’il vous plait arrêtez, pas çaaaaa
Tout en me suppliant, il se dandine, cherchant à se dégager
– Hum oui c’est bon, remue ton petit cul de lopette
je commence alors à aller et venir en lui, enfonçant ma queue jusqu’à ce que mes couilles le cognent. je me mets à le baiser, sans retenue, défonçant son cul vierge de vraie queue
– Alors, c’est comment avec une vraie bite ? Mieux que le plastique non ?
– hanhan non, stop, nooon
Au fur et à mesure que je le besogne, ses râles se transforment en gémissements de plaisirs, les  »non » deviennent des  »hum », les « stop » des « encore ». Je regarde les filles qui admire le spectacle de leur père se faisant enculer sous leurs yeux. j’entends Julie murmurer
– Le veinard…
Isabelle quant à elle est encore et toujours bouche bée. Elle semble ne pas en revenir de voir son mari, réclamer mes coups de bites.
– Pierre, tu me dégoute. Tu as tout ce que tu mérites !
Isabelle vient se placer derrière moi et guide mes mouvements pour que j’y aille plus brutalement
– Baisez le, défoncez le, éclatez lui le cul !
En même temps elle se met à lui fesser le cul, fortement/ il finit par pousser un puissant râle, son cul se contractant sur ma queue, je me retire, je ne veux pas jouir tout de suite. Lui par contre coule à flot continu au travers de sa cage. Une flaque de son jus se forme par terre.
– Mais regardez-moi ça, la petite fiotte vient de jouir de ma queue !
Les filles se mettent à éclater de rire et à applaudir, telles deux gamines
– Aller isabelle, à toi, montre à tes filles comment leur père aime que le baise.
Sans rechigner, Isabelle se positionne et lui plante son god d’un traite au fond
– Alors petite lopette, c’est pour ça que t’arrivais plus à bander hein ? tu préfères te prendre des coups de bites en fait ?
Et elle se déchaine dans le cul de son tendre époux, lui défonçant le cul.
– han, Isa, chérie, doucement s’il te plait
– Non, ta gueule et encaisse
Elle y va tellement fort qu’il finit par avoir un nouvel orgasme, augmentant la taille de la flaque.
– Aller, laisses la place à Sophie maintenant
Isabelle se retire et Sophie, un peu maladroite, vient se placer derrière son père. Isabelle se saisit du god et le positionne
– Pousse ma chérie !
Ce que fait Sophie, s’enfonçant d’une traite elle aussi. elle démarre un petit va et viens dans le cul de son père. Je prends Isa par la main et la positionne derrière sa fille. Je pointe son god sur l’anus de Sophie. Isa me regarde extrêmement perplexe
– Toi aussi, pousse !
Les mouvements de Sophie font que le god vient cogner et entrer dans le cul de Sophie qui soupir de plaisir. Isabelle, inquiète demande à Sophie
– Ca va ma puce ?
en se retournant vers sa mère toute souriante
– Oui vas-y maman, c’est bon, j’encaisse hihihi
Sophie poussant en arrière vient s’empaler d’elle-même sur le god de sa mère. démarre alors une scène des plus bandante, Sophie enculant son père, elle-même enculée par sa mère. Un petit train se met en marche, le temps qu’elle trouve leur rythme, se synchronise. C’est au final un opéra de gémissements que les 3 nous offrent, prenant un plaisir non dissimulé. Prenant la main d’Isa, je la place sur le sein de Sophie et lui fait comprendre qu’elle doit lui pincer les tétons. elle le fait, gentiment au début, puis sous ma propre pression augmente le pincement, faisant couiner Sophie de plaisir. Je saisis Isabelle par l’arrière de la tête et plonge ma langue dans sa bouche qui s’offre sans hésitation. Elles finissent par jouir ensemble toutes les deux, stimulée tant par la situation que par le god envahissant leurs chattes, et le cul pour Sophie. Elles s’effondrent, épuisée.
– A toi ma poupée, dis-je à Julie
Elle vient se placer derrière son père, place le god, le saisit par les hanches et d’un puissant coup de reins lui perfore les entrailles. Julie semble s’amuser et lui assène plusieurs gros coups identiques. je viens à présent me placer derrière Julie, et pointe ma queue sur son œillet. Elle tourne la tête, ravie de ce qui l’attend. elle me tend son derrière pour m’en faciliter l’accès. Je m’introduis en elle sans difficultés et à notre tour nous démarrons une salsa endiablée, sous les regards de Sophie et Isabelle qui se sont à présent blotties l’une contre l’autre. Notre danse s’enflamme et je sens Julie jouir sous mes coups de reins, contractant son cul. La petite sait à présent mieux se servir de ses muscles et arrive à nous mener tous les deux à un orgasme synchrone. Je propulse ma purée au fond de son petit cul étroit. Julie finit par se retirer du cul de son père, à bout de souffle aussi. Je quitte celui de Julie et lui dit
– Donne la becquetée à papa
Son sourire sadique apparait sur son visage et allant tendre son cul à son père, se colle à lui
– Bouffe lui le cul lopette !
Il met de petits coups de langues, sans convictions. je lui éclate donc la main sur le cul pour le motiver, au bout de 5 coup il y met plus cœur. Je vois Julie pousser pour expulser mon sperme de son cul qui finit par couler et que Pierre lèche et avale.
Nous voilà tous épuisé de cette partie, je nous accorde donc un moment de répit avant la suite…

***A SUIVRE***

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