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Initiation d’une vacancière

Initiation d’une vacancière



Jeune pucelle, n’ayant jusque-là joué qu’au doigt mouillé, Claire va découvrir au cours de ses vacances que les choses du sexe ne sont pas aussi simples qu’elle le croyait. Jouant les voyeuses, elle épie avec une curiosité de plus en plus perverse les ébats amoureux de son oncle et sa tante. Et ils en font, des galipettes, tonton et tata ! A lui remuer le sang et lui faire passer des nuits blanches… qui ne tarderont pas à devenir roses quand ses éducateurs sexuels bénévoles se décideront à lui expliquer que si la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a… il y a mille façons plus agréables les unes que les autres de le faire. Et contrairement à ce qu’on raconte, plus c’est « gênant », plus c’est agréable. En outre, comme on peut mettre les petits plats dans les grands, quand il y en a pour deux, il suffit de se serrer pour qu’il y en ait pour trois. Et pas question de se mettre la ceinture… de sécurité ! Il faut oser, encore oser, toujours oser… Voici donc un récit d’initiation très « osé ».

Claire venait d’avoir dix-sept ans. C’était une jeune fille aux cheveux blonds mi-longs et aux beaux yeux bleu azur. La sveltesse de son corps attirait le regard des hommes qui, souvent, se retournaient sur son passage. Depuis quatre ans, elle passait ses vacances d’été chez son oncle Marc dans une jolie maison située en pleine campagne normande, un peu à l’écart du village de Banville. Les distractions étaient rares. Il n’y avait pas de discothèque à moins de cinquante kilomètres à la ronde, mais Claire aimait cet endroit. Y passer ses congés était devenu en quelque sorte un rituel pour elle. D’autant que Marc et sa femme, Sophie, faisaient tout pour lui être agréables.

Claire avait toujours été très proche d’eux. Cependant, cette année, elle sentait que quelque chose avait changé. Il lui semblait que sa tante, et surtout son oncle, tout en étant toujours aussi gentils, la considéraient d’un autre œil. De son côté, elle était fréquemment envahie par une mélancolie qu’elle n’avait jamais éprouvée et dont elle ne parvenait pas à déterminer la cause. Le matin, elle restait au lit jusqu’au milieu de la matinée, alors que les autres années, c’est elle qui se levait la première et qui, parfois, pour faire plaisir à ses hôtes, préparait le petit déjeuner.

Un matin, alors qu’elle paressait encore plus que d’habitude, son oncle entra dans sa chambre. Sans trop savoir pourquoi, elle décida de faire semblant de dormir.

Marc s’approcha du lit et la regarda. Les draps repoussés à la taille à cause de la chaleur, elle ne bougeait pas et s’appliquait à respirer régulièrement. Comme elle gardait les yeux fermés, elle ne pouvait voir la façon dont son oncle contemplait sa poitrine qui s’était singulièrement développée depuis l’année dernière, et que la légère chemise de nuit ne cachait guère. Tout de même, elle trouva qu’il restait bien longtemps. Elle s’imagina qu’il s’inquiétait pour sa santé et fut tentée de faire semblant de se réveiller. Un obscur instinct l’en dissuada. Après tout, il ne faisait rien de mal. Et puis, ce n’était pas si désagréable de se laisser regarder. Elle se contenta de respirer plus fort, juste pour faire comprendre à son oncle qu’elle allait bien, sans avoir conscience qu’ainsi ses seins remuaient.

Marc partit aussi silencieusement qu’il était venu. Claire se leva et s’étira. Une étrange lourdeur pesait sur son corps. Pourtant, elle avait les nerfs à fleur de peau. Elle ôta sa chemise de nuit, en regrettant qu’il n’y ait pas de glace dans la chambre. Elle aurait aimé s’examiner. Elle s’approcha de la haute fenêtre et appuya son corps nu au vitrage à petits carreaux. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait ça, et se doutait que c’était mal, mais le lourd rideau de dentelle au crochet la dissimulait. De toute manière, la ferme était isolée.

Claire resta un long moment à contempler le jardin derrière la maison et, au-delà, les prairies grasses et les haies touffues de la campagne normande. Bien qu’il fût à peine dix heures le soleil cognait fort. La jeune fille sentait la chaleur imprégner le voilage de coton. Cette tiédeur gagnait son corps, surtout son ventre. Ses bouts de seins durcissaient, phénomène qu’elle avait rarement connu jusque-là. Elle les frottait contre la dentelle épaisse et rugueuse des rideaux, attentive aux sensations bizarres qui naissaient en elle.

A un moment, elle crut entendre du bruit du côté de la porte. Elle tourna vivement la tête, mais personne n’entra. Rassurée, elle reprit son manège. Une sensation de gêne s’installait entre ses cuisses. Un poids comprimait son bas-ventre, comme une envie de faire pipi, mais qui n’était pas désagréable.

Claire mit les mains aux hanches. Une impulsion inexplicable la poussait à porter ses doigts à son sexe. Ce n’était pas la première fois qu’elle en avait envie, mais elle n’avait jamais osé passer à l’acte. Ses parents ne lui avaient-ils pas répété que c’était sale de se toucher là ? Cette fois, la tentation fut trop forte. Elle effleura les bords de sa fente, surprise de les sentir mouillés. Pourtant, elle n’avait pas l’impression de s’être oubliée.

Elle aurait sans doute poussé son exploration plus loin si, à cet instant, sa tante n’avait frappé à la porte.

— Claire ? Tu dors encore ? Tu ne vas pas rester au lit par une si belle journée !

— J’arrive, tatie Sophie. J’allais justement m’habiller.

A regret, Claire s’écarta de la fenêtre et rejoignit la chaise où étaient posés ses vêtements.

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