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Salope de tous les jours (Par Andrej)

Salope de tous les jours (Par Andrej)



Salope de tous les jours

Vous le savez, je suis une belle coquine, une belle salope même ! je porte des bas dim-up tous les jours la semaine pour aller travailler et le week-end pour mes sorties et soirées dansantes ou de baise. Comme en plus je mets souvent des petites jupes noires très ajustées qui moulent bien mes fesses ou aussi fendues sur le côté ou derrière, le liseré élastique de mes bas apparaît souvent au regard acéré des mâles en rut qui me reluquent ostensiblement ou même parfois viennent se frotter à moi dans le métro.

J’aime bien sentir la présence de mecs contre moi et je ne me dérobe pas, du moment que l’on me respecte et que les gars restent corrects. Alors, souvent il m’arrive de belles aventures, que je raconte le soir en rentrant à mon mari… ça l’excite et il se branle en m’écoutant.

La semaine dernière, la belle saison arrivant, je m’étais habillée « petite salope en chasse » : des superbes bas dim-up beiges irisés qui brillaient sous les rayons du soleil, une jupe courte noire ajustée sur mes fesses rebondies, avec une petite fente derrière qui permettait aux mecs qui me suivaient de voir que je portais des bas, des petits escarpins noirs sexy à talons et un chemisier blanc bien transparent qui laissait plus que deviner la forme et la dentelle de mon soutif balconnet ajusté au point que mes tétons affleuraient au ras de la corbeille et le dessus de mes globes étaient visibles de tous. Alors, quand j’arrivais à la station de métro, je m’aperçus que plusieurs types qui m’avaient suivie dans la rue trépignaient sur le quai dans mon dos en zyeutant comme des malades mes jambes et la fente de ma jupe, mes fesses moulées. Je les observais du coin de l’œil, un peu gourmande et fébrile, je souris même légèrement à deux d’entre eux… qui aussitôt s’approchèrent pour mieux lorgner mes seins en me souriant en retour.

Quand le métro arriva, déjà bien bondé, je fus littéralement propulsée à l’intérieur sur la plateforme, tant par des pognes inconnues qui en profitèrent pour bien peloter mes fesses, que par des corps entiers de mâles surchauffés. Rapidement je sentis une bosse bien dure s’appuyer contre mes fesses, puis une deuxième sur ma hanche gauche, alors que sur ma droite deux gars se bousculaient, l’un cherchant aussi à venir plaquer son pantalon contre ma jupe, alors que l’autre tentait d’immiscer sa main sous ma poitrine. Cette montée digne d’une mêlée de rugby me projeta et me plaqua contre un fonctionnaire binoclard qui n’en demandait pas tant, accroché au poteau central. Les premières trépidations du métro aidant, toutes les queues autour de moi se mirent en action. Dans mon cul, la bite du mec, probablement bien guidée par sa main, vint se placer verticalement entre mes deux fesses… et je sentis une belle et longue colonne s’agiter de plus en plus fermement contre ma jupe, accompagnée de mouvements du bas-ventre de son propriétaire… ce qui commença à me faire mouiller. Sur ma gauche, la queue commençait à s’astiquer contre le haut de ma cuisse comme un jeune chiot, alors que le gars me zyeutait intensément… heureux et surpris que je ne proteste pas. Sur ma droite, les deux gars s’enhardirent aussitôt et je sentis une pogne venir palucher la base de mes seins, alors que le bout des doigts partait à la recherche du téton pour venir l’agacer et le faire durcir immédiatement… je mouillais de plus en plus car je sentais aussi le bout de la bite de l’autre, peu à l’aise, qui venait tapoter contre le haut de ma cuisse.
A la première station, tout le monde se calma… sauf mon fonctionnaire car l’afflux de nouveaux voyageurs me colla totalement à lui… qui ne savait pas où mettre ses mains, alors que mon pubis en chaleur appuyait contre son bas-ventre devenu renflé d’une trique d’enfer dans son pantalon.
Le métro repartit et j’étais cernée de cinq bites qui bandaient toutes contre moi. Peu à peu les pognes des gars me visitaient et exploraient ma poitrine, que je leur offrais de plus en plus, un bouton de mon chemisier s’étant dégrafé, mais aussi mes hanches et mes fesses. Je sentis aussi que des doigts doux et fins s’étaient immiscés sous ma jupe sur le côté et caressaient mes bas… Derrière le gars m’avait empoignée par les hanches et vissait mon cul contre sa queue tout en accompagnant les trépidations du métro en feignant une pénétration… de plus en plus forte car je sentais les tissus s’incruster dans ma raie du cul et dans ma fente détrempée.
Les stations se succédant (j’allais devoir bientôt descendre pour rejoindre mon bureau), je me mis activement de la partie… mes mains partirent à la rencontre des deux queues latérales à travers les étoffes des pantalons et je les fis grossir encore plus, sentant bien les bandaisons ; derrière mon cul, le gars s’activait de plus en plus fort, me propulsant à chaque poussée contre le fonctionnaire binoclard dont je sentais la queue prête à exploser contre ma jupe car la fermeture éclair de sa braguette était descendue… je me demandais si son gland était à l’air contre ma jupe… tout comme celui du mec derrière. Alors que, salope dépravée et hyper excitée, je m’étais mise à branler en douceur mais fermement la bite sur ma gauche ma menotte experte enfouie dans le pantalon, je sentis deux doigts s’insinuer sous ma jupette sur ma droite et venir explorer ma toison sous ma jupe et à travers ma mini culotte en nylon pour finir par agacer mon clito, malgré la gêne du manque d’espace à cause de la présence de la bite du fonctionnaire qui s’appuyait de plus en plus fort.
Il ne me restait plus que deux stations. Les types l’avaient-ils compris ? A moins qu’ils ne me connaissaient et savaient que j’allais bientôt descendre ? En tout cas, tout le monde était tellement excité que l’explosion finale était imminente. Moi j’étais en train de jouir rien qu’à sentir toutes ces bites bandées contre moi… d’autant plus que les doigts habiles sur ma droite titillaient mon clito et que mes deux seins étaient maintenant possédés carrément dans la corbeille du soutif et que mes tétons érigés étaient bien agacés. Mon fonctionnaire s’arc-bouta contre mon bas-ventre et se crispa contre moi en me soufflant à l’oreille « ahhh ! je jouis, tu me fais jouir petite salope », ma main gauche se remplit de liquide gluant et chaud, le mec déchargeait dans ma main… je sentis des appuis percutants contre mon cul et ma hanche… ça avait dû décharger de tous côtés.

Tourneboulée, les jambes flageolantes, je descendis du métro… je me retournais au bout de quelques dizaines de mètres… plus de présence de mes frotteurs… enfin si ! je constatais quelques marques et trainées de foutre blanc sur ma jupette noire… j’étais en retard, je décidais de ne pas les essuyer (de toute façon je n’avais pas envie de les cacher… d’ailleurs pas mal de mecs me regardèrent avec insistance dans la rue) et j’arrivais ainsi au bureau.

Evidemment, alors que, debout, arrivant à mon poste, j’allumais mon ordi tout en rangeant mon sac, mon collègue mâle (celui qui m’avait guidée dans mon cinq à sept à l’hôtel) s’empressa de venir me voir et, les yeux brillants devant ces traces évidentes de luxure matinale sur ma jupette noire, me dit : « mais t’es couverte de foutre Mélanie ! t’en as partout sur ta jupe ! »
Je ne répondis pas tout de suite car je ne m’étais pas vraiment rendue compte à quel point j’étais maculée de sperme blanc (j’avais bien vu les traces du fonctionnaire sur le devant ! mais pas toutes les autres car tous les cinq mecs s’étaient lâchés sur ma jupe)
« là, là, et là aussi, t’en as partout ! et ton cul, il dégouline ! … c’était dans le métro ? »
« oui … je pense … »
« comment ça tu penses ? ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte ? »
« si, si, j’ai senti oui, les mecs qui bandaient contre moi »
« ils étaient combien ? »
« cinq je crois, peut-être six »
« ils ont dû se régaler les mecs … putain t’as la dose … »
« ouais, j’ai bien senti qu’ils aimaient ça… ça m’a fait jouir »
« ahhhh ! t’as joui petite salope… allez viens aux toilettes, on va nettoyer ça »
Il m’emporta vers les toilettes et, à peine entrés, il chercha à m’embrasser en me disant :
« mais aucun t’a prise, il ne te manque pas une queue dans ta chatte… elle doit être en feu ? »
Je ne sais plus ce que je balbutiais, je n’eus pas vraiment le temps car prestement il remonta ma jupe poisseuse, se débraguetta et sortit sa grosse tige bien bandée qu’il m’enfila d’un coup en levrette debout contre le lavabo. Surexcité mon collègue ne mit pas longtemps à m’arracher des gémissements de plaisir (qu’il s’empressa de masquer en plaquant sa main sur ma bouche, alors qu’il me pilonnait comme un soudard) et il ne mit pas bien longtemps non plus à décharger en moi, remplissant ma chatte détrempée et accueillante avec son foutre matinal.

Oufffff ! il ressortit, essuya brièvement sa queue, se rebraguetta et disparut… me laissant seule dans les toilettes, où épuisée et comblée de jouissance, je nettoyais à peu près ce que je pouvais.
J’en aurais à raconter à mon mari ce soir !… je crois que je vais d’abord le dire par mail à André (qui va se branler le salaud), il saura bien mieux lui raconter que moi !!!

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