Les jours suivants se sont déroulés dans la fièvre des préparatifs de l’esclavage sexuel de Maman. Elle se faisait belle, est passée chez l’esthéticienne, chantonnait tout le temps. Bref, elle voyait la vie en rose, et sa bonne humeur était contagieuse. De mon côté, je ne pensais plus à rien d’autre, surtout pas au bac pourtant imminent, et ne retournait au lycée que pour retrouver les copains auxquels j’avais discrètement évoqué cet incroyable projet. Afin de ne pas passer pour un affabulateur, je leur ai même montré des photos dénudées de Maman, des images totalement impudiques où elle me laisser la mitrailler sous tous les angles, surtout les moins convenables pour une mère de famille. Puis je l’ai présentée en chair et en os, dans un café, pour qu’elle leur confirme qu’elle était bien disposée à s’abandonner à la volonté de quiconque voudrait la soumettre, et ceci l’espace d’une demi-journée. Nous étions installés dans une arrière-salle discrète, et en gage de bonne volonté, elle se laissait peloter les seins libres de tout soutien-gorge par des mains qui se glissaient sous son corsage. Les entrejambes de pantalon étaient déjà bien gonflés.
Le reste du temps, lorsque nous n’étions tous les deux dans l’appartement familial, nous restions nus. Cependant, je refusais tout contact physique avec ma mère qui, en même temps, faisait tout pour me provoquer. Je lui ai pourtant offert quelques concessions, notamment en ne fermant pas la porte des toilettes, ce qui lui permettait de me regarder pisser nu, debout, avec une belle parabole dorée qui tombait dans la cuvette. Ce spectacle tout simple l’excitait beaucoup.
Puisque les invités allaient arriver, il fallait faire le ménage. Maman passait l’aspirateur avec ses boules de Geiha dans le vagin ou bien dans l’anus, ce qui, après quelques minutes, provoquait des orgasmes qui l’obligeaient à s’interrompre, parfois tellement violents qu’elle se roulait par terre. Rares sont les cadeaux aussi bien appréciés. Je frottais l’évier en la regardant dans cet état, et je bandais à plein temps, les sexe à l’air pour le plaisir des yeux de mère. Parfois, je faisais une pause afin de me masturber, debout, et elle s’agenouillait devant moi, la bouche grande ouverte, pour boire le sperme qui s’écoulait, sans jamais avoir le droit de me toucher. Puis nous reprenions notre travail, et à la fin, nous pouvions dire que jamais notre appartement n’avait été aussi propre.
Trois jours plus tard, ponctuels à notre rendez-vous, Adrienne, Pedro, John et Markus sont venus nous rendre visite. Nous sommes tous les cinq dans la même classe. Quand je leur ai parlé de la proposition de ma mère, ils n’en croyaient pas leurs oreilles, et je crois que trois bites ont bondi d’un coup dans les caleçons. Adrienne, qui est lesbienne, a admis avoir ressenti un spasme dans son ventre.
Markus est un grand blond, Allemand d’origine. Toujours propre sur lui, c’est aussi un blagueur né, et un irrésistible tombeur de fille, qu’il sait charmer depuis tout petit – on dit de lui qu’étant bébé, il a sauté sa nounou dans son berceau, et qu’il a su la satisfaire.
John est un Sud-Africain noir, et l’anglais est sa langue maternelle. Du haut de son double mètre, il envisage une carrière de basketteur professionnel. Le lecteur comprendra facilement que, de même que ses baskets affichent du quarante-huit, le contenu de son calbut n’est pas précisément un modèle réduit.
Pedro est péruvien, hispanophone donc, et s’il est loin d’être un géant comme les deux précédents, il n’a pas la langue dans sa poche pour conter fleurette à tout ce qui porte jupon, et aussi pour pratiquer le cunni, ce qui est sa passion du moment. D’ailleurs, son ambition professionnelle est d’être gigolo ; il a déjà commencé avec les enseignantes de notre lycée, à titre d’entrainement.
Quant à Adrienne, la seule fille du groupe, que dire de plus sur elle, sinon qu’elle est grande, rousse, avec des seins à rendre fous, d’autant qu’elle portait toujours de généreux décolletés. Elle est ma demi-sœur : nous avons tous les deux le même père (enfin, probablement), qu’elle ne voyait pas plus que moi, et aussi qu’elle vivait aussi chez sa mère. J’ai su par la suite qu’elle tournait, depuis ses dix-huit ans – elle en avait dix-neuf à moment-là – dans des pornos lesbiens et que ses scènes de masturbations mutuelles avec des partenaires féminines étaient à tomber par terre, tellement elle savait s’abandonner devant la caméra à des vraies jouissances.
Maman s’est mise nue pour les recevoir, avec un collier de chien qu’elle s’était elle-même passé autour du cou, relié à une chaîne dont elle a tendu l’autre extrémité à Adrienne. Puis elle s’est mise à genoux devant eux, en signe de totale soumission. La fille et les trois garçons savaient qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient d’elle. Attention : avant qu’ils viennent, je les ai prévenus qu’ils avaient le droit de se faire plaisir, mais certainement pas celui de l’abimer, et que je les surveillerais afin qu’ils n’aillent pas trop loin. Parce que j’aime ma maman chérie, et que je ne veux pas qu’on lui fasse du mal.
Autre consigne stricte : ils avaient l’interdiction d’injurier ma mère avec le mot de six lettres commençant par un S et finissant par un E, sous peine d’être eux-mêmes punis, ou bien exclus de la partie.
À suivre… enfin, si vous en avez envie ; dites-le-moi en commentaire. Cet épisode, vous l’aurez constaté, est plutôt cool et constitue une transition. Mais attention : par la suite, cela va devenir très, très hard.
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