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Madeleine aime les oiseaux, les oiseaux aiment Mad

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Chapitre 2

Quelques jours se passent et une nuit, Madeleine, vient tremblante dans la chambre de son fils, au milieu de la nuit.

– Garde-moi, je viens de faire un horrible cauchemar, j’ai rêvé que Julot était revenu, je suis toute retournée !
– Allons plutôt dans ta chambre, il y a plus de place que dans ma petite chambre et mon petit lit !

Sitôt dit, sitôt fait, les deux déménagent dans la chambre et se mettent au lit. Là-dessus, Madeleine, encore toute secouée par son cauchemar, se fait câline et vient se blottir contre son fils, pour y sentir la force et le réconfort.

– J’ai encore mal au derrière depuis qu’il m’a sodomisée, tu ne veux pas regarder s’il y a quelque chose qui ne va pas ?
– Si tu veux, mets bien la lumière que je voie bien… !

Comme précédemment, Madeleine se met à 4 pattes et présente en pleine lumière son postérieur et le reste aussi. Adrien ne peut ignorer le parfum qui se dégage du sexe de sa mère et commence à bien regarder, remet sur son doigt un peu de Bétadine pour lubrifier et toucher un peu l’intérieur. Doucement, il commence par apprivoiser l’anneau culier qui réagit bien à ses attouchements, lentement, il pénètre son majeur dans le gros colon pour voir s’il remarque quelque chose, mais il a beau masser et tâter de toutes parts, il ne remarque rien de spécial, si ce n’est que le sexe de sa mère devient de plus en plus moite pour ne pas dire plus.

– Je ne vois, ni ne sens rien de spécial, je pense que tu es pratiquement guérie, les plaies ne sont plus visibles !
– Essaye de mettre deux doigts pour voir si la douleur est vraiment partie !
– Si tu veux, mais j’ai l’impression que tu n’es pas indifférente à mes doigts dans ton rectum…, ton odeur me perturbe fortement… !
– C’est vrai, quand je vois ton pyjama déformé, j’ai l’impression que tu es fortement perturbé ! Est-ce que cette situation te trouble si fort ?
– Oui Mam, tu es tellement belle et tu sens tellement bon entre tes cuisses que j’ai envie de t’embrasser où je ne devrais pas !
– Fais, mon chéri, on ne dira rien à personne, mais attends, on va mieux s’installer pour cela, car, moi aussi, j’ai envie de goûter quelque chose !
– Tu ferais cela, mais je ne suis pas sûr de pouvoir me contrôler !
– On verra, qui vivra verra… !

Les deux se mettent en position de 69 et se jettent avidement dans la dégustation du sexe de l’autre.

– Maman, comme ta cramouille est délicieuse, j’ai jamais goûté quelque chose d’aussi bon !
– Ton bâton de berger me satisfait aussi bien, nous sommes partis pour devenir amants, tant pis pour la morale, tant que cela reste entre nous, j’ai trop besoin d’un homme et qui pourrais-je trouver de meilleur que toi, mon fils adoré… !
– Je t’aime aussi, ma mère et je veux bien essayer de te satisfaire à ce niveau !

La tension monte, monte – comme la petite bête – elle monte pour finir par éclater dans un feu d’artifice de sens et de luxure.Adrien inonde le palais de sa mère de sa semence qui déguste l’offrande, tout en ayant un orgasme ravageur.

– D’habitude, je n’aime pas avaler la fumée, mais ton cigare était trop bon et ta fumée m’a bien plu !
– Mère chérie, ton miel a été, pour moi, le meilleur que je n’aie jamais goûté ?
– Tu en as gouté d’autre ?
– Non, mais c’est pour dire que j’ai adoré !
– Ce n’est pas tout cela, après les hors-d’œuvre, il reste le plat de résistance, viens contre moi, dans le même sens, qu’on se câline un peu !

Les deux amants se lèchent le visage qui sent fortement le goût de l’autre, délicatement, Adrien commence à palper les jolis seins de sa mère, qui présentent un mamelon bistre extrêmement développé.

– Maman, j’aimerai te sucer les seins comme quand j’étais petit !
– Fais mon poussin, tu me feras un très grand plaisir, mais vas-y doucement, ils sont encore un peu douloureux du traitement que leur a fait subir l’autre brute !

Doucement, avec amour, Adrien de sa bouche, happe le bourgeon et plutôt le lèche qu’il l’aspire, il tourne autour de cette petite tour, puis passe à son voisin.

– C’est bon comme tu le fais, tu es vraiment un bon amant comme je n’en ai jamais eu, tendre et dur en même temps, si tu veux, tu peux y aller un peu plus fort !
– Oui maman, je n’osais pas, de peur de te faire mal !
– Oh non, tu ne me fais que du bien… !

Il continue un moment à lui lécher les tétons, puis remonte à hauteur de son visage qu’il regarde émerveillé par la chance qu’il a de pouvoir aimer l’objet de ses rêves les plus fous.
Il serre contre lui sa mère amoureusement et reste un grand moment ainsi en lui caressant les épaules, les bras la taille.
Finalement, Madeleine, bien chauffée, n’en peut plus des préliminaires et le couche sur le dos, son sexe se dresse à nouveau bien droit et elle l’enjambe pour placer le sien à la verticale de celui de son enfant et lentement s’empale dessus.
D’abord doucement, elle a un mouvement de houle qui se déclenche dans ses reins et elle sent cette bite aimée lui écarter les parois de son sexe, c’est ainsi qu’elle aime pratiquer. La houle devient de plus en plus marquée et Adrien essaye de suivre le mouvement, mais elle lui dit :

– Reste tranquille pour cette fois, c’est moi qui dirige la manœuvre !

Adrien serre un peu les dents, pour ne pas se laisser trop aller car la tension est vive, même si le premier lait a été tiré. Ses testicules sont en ébullition, heureusement qu’il est sur le dos, car autrement, il aurait déjà tout lâché.
Madeleine contrôle la vitesse du navire et quand elle sent que le mât est sur le point d’exploser, vite, elle ramène un peu la voilure en diminuant ou même en arrêtant le mouvement de houle. Pour une première fois, elle veut que ce soit mémorable.
Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse et finalement les deux, presque simultanément, explosent dans un orgasme merveilleux.

– Maman, quelle merveilleuse amante tu fais, je crois que je vais toujours rester avec toi comme ton aman, c’est vraiment merveilleux ce que nous venons de vivre !
– Oui mon fils, je crois qu’on s’est bien trouvé, tu es endurant, c’est bien, je pense que plus jamais je ne vais voir d’autres hommes que toi !
– Que dirais-tu si on déménageait où personne ne nous connaît, on pourrait vivre comme mari et femme ?
– Mais tes études ? Et mon travail ? Notre revenu… ?
– Pour mes études, si on va dans une autre ville avec une uni, cela ne pose pas de problème, pour ton travail, c’est toi qui vois si tu ne pourrais pas trouver, dans une autre ville, où personne ne nous connaît !
.. Bientôt, je vais commencer interne dans un hôpital, cela ne devait pas poser de problème, même financier, ce n’est pas très bien payé, mais, quand-même, mieux que balayeur !
– Bon on en reparlera demain, je suis exténuée de bonheur, bonne nuit, mon chéri ! – Bonne nuit, maman chérie… !

Il prend, à ce moment-là, sa mère dans ses bras et ils s’endorment, heureux du plaisir qu’ils se sont donné.
Le lendemain, un peu fatigués, ils se lèvent ensemble et, ensemble, ils prennent la douche et chacun lavant l’autre, la tension recommence à monter.

– Mon chéri, il faut qu’on se calme, il faut que j’aille au travail et toi à l’uni !
– C’est vrai, Mam, mais quand je suis avec toi, je ne peux m’empêcher de te désirer, de te posséder, de ne faire qu’un avec toi !
– Moi aussi, mon poussin, mais il faut rester un peu raisonnable et ce soir, on va remettre cela, c’est tellement bon d’avoir un bon amant sous la main !
– Pareil pour moi, d’avoir une maîtresse attentionnée !

Le soir venu, Madeleine, arrivée la première, s’apprête pour séduire son nouvel amant, elle revêt une tenue légère et prépare un bon souper bien relevé pour augmenter un peu le désir.
Arrive Julien, tout content de revenir au bercail et de retrouver sa mère maîtresse.

– Comment s’est passée la journée, mon poussin ? Fait Madeleine, en minaudant un peu.
– Bien, mais un peu pénible les labos…, je me suis un peu gouré dans l’analyse de selles, j’ai vu un cancer du colon alors que ce n’était, en fait, que des dents mal entretenues !
.. Mais le prof sympa a quand même apprécié que j’aie diagnostiqué un cancer suite à la présence de sang des les selles, mais ce n’est pas le genre d’analyse que je fais volontiers, à moins d’être enrhumé !
– Viens, on va souper, puis ensuite, on regarde les nouvelles et hop au dodo !
– On est vraiment obligé de regarder les nouvelles ? Je suis un peu fatigué !
– Mais non, mon poussin, je suis aussi affamée que toi de la suite, mais je ne voulais pas le dire, voilà, c’est fait !

Sitôt le souper expédié – cette histoire se passe en Suisse et le soir, on ne dîne pas, on soupe – Adrien soulève sa mère dans ses bras et la porte dans la chambre, comme de jeunes mariés.

– Oh, je revis avec toi ! Dit-elle, enamourée.

Les habits volent à travers la chambre et Adrien se dit :

« tiens, je me verrais bien subir un petit massage, cela doit être bon et original. »

– Mam, je suis un peu tendu !
– Je le vois, mon fils !
– Pas seulement là, mais mes muscles du dos sont tout noués, tu ne me ferais pas un petit massage ?
– Oui, si tu veux, je vais chercher de l’huile de massage… !

Il s’installe à plat ventre sur le lit et elle se met devant son visage pour lui masser les épaules et le dos, mais ce faisant, elle présente son bas-ventre au regard cupide de son fils.
Doucement d’abord, elle masse les épaules, puis le dos, avec force d’huiles essentielles (à la baise), elle se déplace maintenant vers ses jambes et admire ses jolies fesses qu’elle caresse amoureusement, puis descend en direction des pieds, lentement, en massant ce tas de muscles.
Elle remonte en massant l’intérieur des mollets, puis des genoux, ce qui provoque un écartement des cuisses d’Adrien, lui laissant voir sa rosette. Elle prend un peu plus d’huile et commence à masser méticuleusement les cuisses en s’attardant un peu à l’entre fesse et commence à lui masser l’oignon et, d’un doigt curieux, le pénètre légèrement, ce qui a pour effet de le faire se retourner en présentant sa bitte conquérante.

– Je pense que le massage est terminé, on va passer aux choses sérieuses !
– Tu n’aimes pas quand je te caresse les fesses ou ton petit trou ?
– Pas trop, je ne suis pas une fiotte !
– Mais jamais je ne le penserai, mais tu devrais savoir, toi qui es futur médecin, que le tissu de nerfs est très dense dans cette région et que tout est bon en amour ! .. Il faudra bien que tu m’appartiennes à 100%, y compris ton cul. !
– Mais maman, mon cul t’appartient et tout le reste !
– On verra cela demain, pour le moment, j’ai envie d’explorer quelques positions du Kamasutra !
– Intéressant, je ne les connais pratiquement pas !
– On va commencer par la position la brouette thaïs !

– Là, il faudra être à la hauteur, tu auras besoin de tous tes muscles !
– Là, je sens qu’on va bien rigoler, mais c’est athlétique comme position !
– Évidement, cela demande plus que de sucer le jonc !

Les 2 partenaires se mettent en position, pour les deux, c’est une première, car elle n’avait jamais trouvé un partenaire capable de le faire et lui, l’occasion.
Les sensations sont très spéciales, Comme dirait mémé, c’est réservé aux jeunes sportifs.

– Waouh ! Tu te débrouilles super bien, trésor, ce n’est plus l’orgasme violent et brutal, mais un effet long que je n’ai jamais connu… ! .. Je commence quand même un peu à fatiguée, tu as bien passé ton premier examen Kama, on va passer, sans débrancher, à la position du chien, c’est moins fatiguant et on pourra finir !

Adrien, tout en admirant le dos de sa mère, pioche fébrilement son entrejambe en arrachant des jolis couinements à sa mère qui commence à accumuler les sensations orgasmiques. À chaque coup de butoir, les seins qui pendent un peu du fait de la position, entament une valse à un temps délirante.

Il est endurant le gamin et il ne rend les armes qu’après le 4ème orgasme de sa mère.
Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre, fatigués par cette gymnastique intensive, mais heureux.

Balista

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