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Wifi, exhibition et abris bus !

Wifi, exhibition et abris bus !



En ce moment j’habite dans une ville de la petite couronne Parisienne, au sud de Paris.

En ce magnifique début de soirée je trainais sur un tchat à la recherche d’un plan cul. Après y avoir passez une bonne vingtaine de minutes, je suis tombé sur une black de mon âge, open pour la soirée. Au moment de lui communiquer mon numéro de téléphone ce #*$ !& de wifi me déconnecta d’internet et pas moyen de m’y reconnecter. Autant vous dire que j’avais la rage. Pour passer ma frustration je décidais donc d’aller marcher un peu en ville histoire de faire passer tout ça.

J’ai décidé de m’habiller normal, veste en laine, blue jean avec un grand manteau noir de ville par dessus avec une petite écharpe car en ce moment vous l’aurez remarqué il ne fais pas très chaud en France.
Je marchais nonchalamment quand tout à coup me pris l’idée de faire une petite exhib au niveau d’un abris bus. Je m’assis sur le banc de l’abris bus, ouvris discrètement ma braguette, sortis ma verge et commença à me masturber, la main dans la poche de mon manteau et ma verge sous le manteau (Il faisait froid quand même).

A ce moment là l’abris bus était désert. Quelques minutes après est venu s’asseoir à l’abris bus, une dame asiatique dans la fleur de l’âge (je l’ai estimé de prime abord à la cinquantaine).
Me voyant sans doute gesticuler sous mon manteau, elle commençait à « z’yeuter » furtivement. La voyant jeter ses coups d’œil intempestif, je décidais de sortir ma verge au grand jour (enfin là c’était le soir) et de me branler à pleine main. Et là, ses coups d’œil non plus rien eu de furtif, elle regardais avec insistance, je la regardais alors et lui souriais tout en allant plus rapidement sur ma verge. Je lui fis alors un mime de branle, l’invitant ainsi à venir me masturber.

Après une courte hésitation celle ci approcha doucement sa main et la posa sur ma verge bien raide. Sa main froide immobile sur ma verge bien chaude, quel délice. Elle commença alors un timide va et vient sur ma hampe. C’est alors que j’en profitais pour passer ma main dans son décolleté, sa poitrine était de taille raisonnable, à l’œil un petit 95B. Je commençais à lui caresser le sein gauche tout doucement histoire de ne rien brusquer, ensuite, je lui pinçais gentiment le téton. Est ce le froid ou l’excitation ? En tout cas il était bien dur. Alors qu’elle s’afférait sur ma verge, je me penche au creux de son oreille et lui dit tout bas que si elle voulais aller plus loin dans notre ébat, que je n’habitais pas très loin.

Après un moment de réflexion elle ce décida à me suivre.
Une dizaine de minutes plus tard nous voilà devant mon appartement, elle me dit qu’elle n’avait jamais fait ce genre de chose auparavant, que c’est la première fois etc etc.

Nous rentrons. Directement j’ai commençais à ôter mon manteau, descendre mon pantalon et l’invitant à faire de même. Elle s’exécuta sans un mot.
Une fois nue, j’ai pu constater que la quinqua était plutôt bien conservée. C’est alors que nous reprenions les choses là où nous les avions laissés sous l’abri-bus. J’invitais alors la dame (remarquez je n’ai jamais su son prénom) à user de sa bouche pendant que je la doigté à un rythme soutenu, qu’elle avait l’air d’aimer.

A peine le temps d’enfiler une capote, la nippone était déjà à quatre pattes sur mon lit les jambes bien écartées. Voyant son mont de Vénus en éruption je décidais alors de m’empaler d’un coup en elle sans autre forme de procès. Elle décocha un petit cri strident, qui m’incita à la ramoner aussi durement que possible tel le mâle en rut.
Soit elle en rajoutait soit j’étais tombé sur une vrai crieuse, à ce moment là j’eu une courte pensée pour mes voisins.
Sans dire mot, je profitais de sa position pour inspecter la dunette arrière, je recueillis un peu de sa mouille en fis couler quelques gouttes sur sa rosette et y présenter mon gland. C’est alors qu’elle sursauta sans dire un mot, elle avais compris mes intentions et loin de me réprimer, elle m’encouragea en faisant un mouvement de bassin qui eu pour effet de faire rentrer mon gland.

Après une courte attente je commençais les va et vient doucement, puis accélérant jusqu’à atteindre un rythme effréné qui eu pour effet de lui faire reprendre ses cris. Jusqu’à la garde, les boules tapaient sur le cochonné, avec sa petite odeur de moule, nous voilà projeté dans le sud de la France. Trêve de plaisanterie la dame semblait apprécié mes faveurs.
Nous alternions ensuite les positions sans rien faire d’extravaguant, que du classique.

C’est alors que je me suis redressait, j’ai enfournais mon membre dans la bouche de madame lui tenant la tête, je lui ai littéralement baisé la bouche, lui laissant tout juste reprendre son souffle, son visage était rouge. Au moment où je me suis senti venir, elle me senti aussi et tenta de se dégager. Je lui maintenais fermement la tête et commençais à lui déverser quelques giclés au fond de la gorge avant de me retirer et de lui déverser le reste sur son visage encore rouge.

Après quelques secondes à reprendre notre souffle, je lui intimais l’ordre de nettoyer ma verge ruisselante. Elle s’exécuta de manière consciencieuse.
Après lui avoir donné mon numéro de téléphone au cas où, la belle quinqua s’en est allé prendre son bus.

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