Lors de la dernière soirée avec Christian et mon mari, j’ai perdu la tête et me suis comporté comme une femme objet, une vrai salope
Invités chez un couple d’amis,j’ai envie de me défouler. Je met de la musique et commence à me déhancher très sensuellement. Après quelques verres,bar, je suis plutôt allumée. Séverine, la femme de notre hôte, s’approche et m’accompagne dans une danse trop lascive pour ne pas être innocente. Les trois hommes nous regardent intéressé par ce spectacle érotique inattendu. Après une dizaine de minutes, nous sommes toutes les deux très excitées. j’ai envie de la déshabiller et de lui bouffer la chatte. Son mari nous lance sur le ton de la rigolade :
« Vous savez que vous êtes bonnes toutes les deux ? Si vous dansiez nues l’une contre l’autre, vous seriez encore plus bandante ! »
L’alcool et l’ambiance aidant, sa réflexion un peu déplacée me fait un effet certain. Provocatrice en regardant les réaction d’Alain et de Christian, je lui réponds :
« Ah bon ? Comme ça tu nous trouves bonnes ? »
« Ouais ! Vous seriez à poil, je kifferais encore plus ! Pas vrai les mecs ? » C’est Séverine qui prend l’initiative et fait glisser ma robe. Comme je n’ai pas de sous vêtement, je me retrouve aussitôt nue sous les sifflet des trois mecs. J’en fait autant avec ma partenaire et en me frottant contre elle ma main s’égare sur ses fesses. Elle me laisse faire. Christian pousse le bouchon plus loin en nous voyant nous trémousser.
« Faite nous un spectacle de lesbiennes toutes les deux ! »
Les trois hommes nous encourage en rigolant. On trouve qu’ils poussent un peu trop mais dans l’euphorie, on se met à jouer le jeux.
Les hommes, ravis de nous voir docilement obéir et nous gouiner sous leurs yeux, sortent leurs sexes et en s’approchant de nous, ils se mettent à nous peloter. Rapidement, Bernard glisse sa queue entre mes fesses en me disant à l’oreille:
« Alain m’a dit que t’étais une chaude du cul ! »
Je me laisse faire et sans lui répondre, je lui pelote les couilles. Là il me retourne et m’embrasse virilement. Je fonds de me sentir ainsi désirée par notre ami. Pendant que sa main s’aventure dans ma fente trempée, je vois Alain et Christian qui s’occupe sérieusement de Séverine. A genoux, elle suce les deux queues avec une expertise certaine.
Je suis dans un tel état d’excitation que sans qu’il me le demande, à mon tour je prends son sexe dur comme le rock dans la bouche. Je savais qu’à ce moment mon mari appréciait ma docilité et mon initiative. Bernard est aux anges et Christian l’encourage à aller plus loin :
« Michèle aime le sexe brutal. Baise-lui la bouche sauvagement ! Tu vas voir, elle va adorer ! »
Tenant compte des conseille de Christian, il m’empoigne par les cheveux, me regarde avec un petit sourire de vainqueur et me dit :
« J’vais t’baiser la bouche salope! «
Ma soumission est totale et Alain confirme :
« j’te l’avais bien dit. Ma femme est chaude comme la braise. »
Il me tire par les cheveux, sort de ma bouche et avant que j’ai le temps de comprendre, il me retourne comme une crêpe et d’un coup sec, sans ménagement, il me bourre la chatte. Ses coups de boutoir puissants, me font pousser de petits cris. Je ressens toute la virilité de notre ami qui me rempli bien. Dans ma position, je vois Alain et Christian qui défonce Séverine en sandwich. Elle se pâme de plaisir autant que moi.
Je lance à Bernard :
« Vas y, baise moi comme une salope, continu tu va me faire jouir ! »
Il se retire aussi brutalement qu’il m’avait pénétré et me dit arogant et macho :
« Tu veux que je te baise comme une grosse salope ? »
« Oui défonce-moi la chatte ! »
« Non ! J’vais t’éclater le cul salope ! »
Sur ces mots, il pousse son dard sur ma rosette et d’un coup de rein me pénètre profondément. Sous la v******e de cette pénétration, je hurle de douleur. Il se met à rigoler. :
« Elle te plaît ma grosse bite dans ton cul de pute ! T’aime te faire défoncer le cul par de grosses queues comme la mienne salope ! Tu vois comme ma femme se fait bien troncher par ton mec ? »
Mon petit trou s’habitue à ceet énorme engin et la douleur remplace un plaisir indescriptible.
Il ne voit en moi qu’une pute prête à se faire remplir. Ces paroles insultantes et blessantes décuplent mon plaisir.Je suis dans un état d’excitation extrême. Je mouille comme jamais. Me sentir un objet sexuel, une salope à sa merci devant mon mari et Christian qui baisent sa femme me plaît.
Telle une nymphomane en chaleur, Séverine doit ressentir les mêmes choses que moi quand je l’entends scander :
« Plus fort!!!Oui défoncez-moi avec vos grosse queues ! »
Séverine et moi crions comme des chiennes sous leurs coups de boutoirs.
« Ouiiiiiiiiii c’est bon, défoncez-nous, ouiiiiiii ! »
Nous jouissons presque ensembles. Nos mecs se mettent alors devant nous et nous giclent au visage.
Engluée de sperme, épuisée par tant de jouissance, Alain nous ordonne :
« Partagez-vous le sperme et nettoyez-vous comme des chiennes avec vos langues ! »
Nous restons un instant par terre, prostrées, humiliées et détruite par la jouissance que nous venons d’avoir. Sous les regards goguenards des trois hommes, nous commençons à laper leurs sperme sur nos visages.
Bernard nous remercie pour notre docilité.
« Merci pour le spectacle ! Vous êtes deux belles salope ! »
Après ce nettoyage humiliant et les quolibets du groupe, ils nous offre à boire et nous trinquons joyeusement.
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