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Trois jours près d’elle

Trois jours près d’elle



Trois jours près d’elle

J’étais arrivé en fin de matinée ce jour-là chez mon ami. Il m’invitait à passer le week-end, chez lui, et me conviait à un accueil confortable dans une vaste demeure XIXe , pour nous adonner à l’une de ses passions, l’équitation.

Ce garçon réservé et sensible que j’avais appris à apprécier, lors des cours d’histoire que nous partagions à l’université, m’avait avoué qu’il était très rare qu’il invite quelqu’un chez lui.
Il avait une relation très forte mais aussi compliqué avec sa mère, avec qui il vivait seul.
Son père les avait quittés pour la jeune étudiante qui le gardait le soir alors qu’il avait dix ans.
Il avait été traumatisé pour avoir surpris ce dernier dans une position sans équivoque avec celle qui allait être encore quelques temps sa jeune fille au pair.

Sous la menace, il avait bien sûr juré de ne rien dire à sa mère, et c’était montré ainsi complice de cette relation adultère, qui s’accomplissait régulièrement à la porte de sa chambre . Il devait ainsi pendant de longs mois entendre la porte du salon s’ouvrir alors qu’il était forcé à la sieste , puis ces mêmes rires étouffés et enfin ces soupirs et ces petits cris aigus qui raisonnaient dans sa tête assourdissants et qui faisaient revenir obsédantes les images de la jeune fille et de son père entièrement nus…

Lorsqu’ils étaient partis , sa mère qui avait appris les circonstances de la relation, lui en avait voulu.
Aujourd’hui encore, il se sentait responsable de ce qui était arrivé. Et celle-ci faisait jouer sur lui une sorte de chantage affectif. Dès qu’il exprimait la volonté de faire une activité indépendante d’elle, alors qu’il venait comme moi d’avoir vingt ans, celle-ci cherchait à le culpabiliser en lui reprochant de vouloir l’abandonner lui aussi…

En arrivant donc ce matin là , à vélo devant la porte de la grande maison, j’avais des raisons d’être intimidé. Florient avait insisté sur le fait qu’il était rarissime qu’il accueille quelqu’un chez lui. Il m’avait répété également plusieurs fois qu’il ne fallait pas que je me formalise de l’attitude souvent imprévisible de sa mère et de l’éventualité d’un accueil glacial de sa part.

Lorsque la porte s’ouvrit ,avant même que ne m’apparaisse sa silhouette et son visage, mes sens étaient enveloppés de cette odeur à la fois puissante et raffinée que je devais toujours associer à sa présence. Pendant quelques secondes, c’était comme si je ne la voyais pas.

Je montais quelques marches, pour me retrouver à sa hauteur.
Une silhouette sombre et longiligne me faisait face. Elle était presque aussi grande que moi.
Je fus surpris en effet par l’accueil.
Elle m’offrit la beauté d’un doux visage au teint clair, éclairé encore par un sourire chaleureux.

En m’invitant à entrer, comme emporté par son effluve, je découvrais les formes élancées et féminine de mon hôtesse , enveloppée d’une robe satinée d’une grande sobriété, fendue sur le côté jusqu’à mi-cuisse, découvrant la peau somptueuse et blanche de longues jambes fines et musclées.

Elle m’accompagna alors à la chambre de Florient et j’eu le plaisir d’observer à porté de mon regard le dessin de ses fesses moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude de choses insignifiantes…
Elle faisait au moins l’effort d’être avenante, ce à quoi je ne m’attendais pas.

Florient me dis, presque aussitôt qu’elle fut partie, que je devais être dans un bon jour, mais qu’il ne fallait pas s’y fier…
Après nous avons joué avec ses logiciels, et sommes partis faire une balade à cheval.
Ce n’est que le soir au repas que je l’ai revue.
Elle était déjà moins souriante.

Quelque chose d’indéfinissable me mettait mal à l’aise . En fait je me rendis compte que j’avais une envie folle de faire l’amour avec cette femme. Son apparence était maintenant plus secrète et mystérieuse. Mon désir était sauvage, irraisonné. Je l’attribuais en partie à ce que je savais d’elle, sans pourtant la connaître. Elle était belle sans doute, mais peut-être ne l’aurais-je pas remarquée dans la rue.
Ici et ce soir-là , la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. J’étais totalement sous le charme.

Je m’étais masturbé lentement le soir venu, à peine couché sur le dos dans la chambre attenante à celle de Florient. Mais le sommeil m’avait rattrapé avant que je ne m’extirpe de mes douces rêveries.
Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
La sensation et le souvenir d’enfance se télescopaient.
Il me semblait avoir à nouveau dix ans, et me réveiller comme lors des nuits d’angoisse, tour à tour apaisé et anxieux, me détachant lentement d’un rêve délicieux, pour sentir la réalité confuse émerger. Celle de l’odeur et de la chaleur de mon urine entre mes cuisses.

Pourtant mon réveil n’était pas achevé, et la sensation était différente. Sur le haut de mes jambes aucun liquide ne coulait tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau.
L’odeur qui me fit sursauter, n’était pas celle de mon urine bien que mon sexe me semble comme immergé dans un liquide épais , presque brûlant. Cette odeur c’était celle qui m’avait presqu’ennivré le matin même .

Le parfum capiteux de la mère de Florient flottait dans l’espace de la chambre. C’était comme une présence invisible. Je me disais qu’elle était là. Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi. Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce pour me ramener à l’évidence que j’étais seul.

Son odeur témoignait pourtant de son passage, et cette seule idée décupla mon excitation.
Epuisé, je me sentais à peine glisser vers le sommeil, le sourire au lèvres, m’abandonnant à l’idée qu’elle était venue m’observer alors que je dormais. C’est le souvenir de son apparition le matin même, qui emplissait mon demi-rêve.

Je m’assoupissais à nouveau. C’est alors que j’eu un léger sursaut nerveux.
Mon sexe me brûlait comme si j’allais éjaculer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre. Bientôt mes doigts se glissèrent dans une texture fine et soyeuse qui couvrait mon corps.
C’était une longue chevelure , la chevelure d’une femme.

Mes mains caressèrent la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède.
Son odeur, c’était bien son odeur !
Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers.
La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était la bouche de la mère de Florient !

Alors que mon camarade dormait dans la chambre à côté , mon hôtesse c’était glissée discrètement dans ma pièce , puis sous mes draps, pour me prodiguer cette sublime fellation.
Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur, et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue, j’avais été un instant abusé.

Maintenant sa langue fougueuse léchait mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
Je glissais ma main sous son aisselle. Mes doigts trempés de sa sueur, je les portais bientôt à mes narines, mélange des saveurs poivrées de son plaisir de femme et de cette flagrance capiteuse désormais familière.
Je portais une partie de mes doigts à la bouche, pour en sucer la saveur épicée, lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément en accélérant la cadence.

Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer, mon liquide se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte.
J’allais lui susurrer des mots tendres. Mais brusquement elle se redressa et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette disparaissant dans l’embrasure de la porte.

Le lendemain matin c’est avec impatience et appréhension que je descendais l’escalier pour gagner la vaste cuisine où il était convenu que nous allions prendre le petit-déjeuner.
J’avais pas mal fantasmé sur l’attitude qu’aurait, et la tenue que porterait cette maîtresse de maison si compréhensive…

Mais bientôt je devais me retrouver seul à manger alors que Florient n’était pas encore levé.
C’est au bout de quelques minutes que je vis (et sentis), celle que j’attendais.
Je l’espérais en tenue hyper sexy et provocante .Elle se montra à moi en culotte de cheval, ce qui ne mettait vraiment pas en valeur les charmes qu’elle m’avait laisser deviner la veille, et en haut blanc classique. Je savais au moins l’activité à laquelle elle souhaitait s’adonner.

Elle ne m’adressa tout d’abord pas la parole.
Je me risquais à un timide bonjour, auquel elle ne répondit pas. Un peu décontenancé je lui disais combien je serais heureux qu’elle se joigne à nous pour notre randonnée équestre. Elle se tourna vers moi , et curieusement ce n’est qu’à cet instant que je vis réellement la profondeur presque glacée de ses yeux bleus limpides.« Je préfère me promener seule ! » et cela d’une voix à la fois douce et dure.

Elle se baissa alors pour chausser ses bottes. Je distinguais sous son corsage, une poitrine plus forte que je ne l’avais devinée jusqu’alors. Un décolleté léger me laissait percevoir la naissance d’un sillon profond entre ses seins parsemés de quelques taches de rousseur.
Bientôt la voix de Florient me tirait de mes rêveries. Nous avons pris des nouvelles de nos nuits respectives. Il m’était difficile en présence de sa mère de réprimer un rougissement . En me retournant elle avait disparu.

Toute le journée de promenade, à travers les silhouettes des arbres, au-dessus des haies, je guettais son apparition.
A vrai dire je la vis plusieurs fois, dès que j’apercevais le contour vague d’une cavalière au loin, mais ce n’était jamais elle…
En rentrant à la maison , un mot était laissé sur un buffet . Elle disait simplement qu’elle rentrerait tard.
Il me fallait retourner chez moi, et je n’avais pas obtenu d’elle un seul mot pour me dire au revoir…

Les jours de la semaine qui suivirent, j’étais torturé par sa présence. Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle. Je ne faisais plus attention aux filles , même les plus mignonnes autour de moi.
J’évitais même la présence de Florient, de peur qu’il ne soit détenteur d’un secret entre nous. Je ne sais pour quelle raison j’imaginais qu’il avait tout entendu, comme lorsqu’il était enfant avec son père…
Jamais je n’avais aimé une femme comme elle.
L’absurde de la situation, c’est que je ne connaissais même pas son prénom, que je n’avais même pas pensé à le demander à mon ami.

« La mère de Florient », voila comment j’étais réduit à appeler la femme que je prétendais aimer. Mais comment faire pour la revoir ?
Mon camarade qui m’avait permis de la rencontrer était maintenant pour moi comme un obstacle. Comment revoir la créature de tout mes désirs , sans que Florient ne se doute de quelque chose?
De toute façon j’avais été ridicule, et elle s’était servie de moi comme d’un objet, pour satisfaire un caprice de femme esseulée.

Quinze jours s’étaient écoulés, c’était un vendredi soir.
En répondant au téléphone j’entendis la voix que je n’attendais plus. « Bonjour, c’est la mère de Florient. »
Je ne sais même plus ce que j’ai bredouillé. Je me souviens seulement précisément de ces quelques mots :

— «Florient est absent ce week-end, il va habiter quelque temps chez son père. J’ai envie que vous veniez dormir chez moi. Je déteste la solitude. »

Vendredi

Deux heures plus tard j’étais chez elle. J’étais plus intimidé encore que la première fois. Je tenais à peine sur mes jambes en montant les marches qui me conduisaient à elle.
Elle m’ouvrit sans chaleur excessive cette fois.

Elle portait une tenue encore différente. Un tailleur cintré au large décolleté , couvrant en partie seulement, un corsage blanc, strictement boutonné et fermé au col. Ce corsage contenait avec peine une poitrine qui révélait désormais sa véritable opulence.
Elle me conduisit au salon, sans un mot.

Je patientais dans un fauteuil un peu trop profond à mon goût. Elle revint au bout d’un instant avec un plateau et deux tasses.
C’est elle qui parla la première :

— «Je ne supporte pas ces moments de solitude. Je vous ai demandé de venir par ce que vous êtes le seul homme actuellement qui ne me fasse pas peur. »

J’étais quant à moi terrifié par la situation.

— « Si cela c’est passé l’autre nuit entre nous, c’est parce que vous êtes l’ami de mon fils. Vous, vous ne m’abandonnerez pas parce que vous ne pouvez pas m’aimer. Si vous m’aimez, ça ne peut être que comme on aime une mère. Une mère ça ne s’abandonne pas n’est-ce pas ? »

Je n’eus que ces mots d’une voix tremblante : « Je vous aime, et cela depuis l’instant où je vous ai vue.».

Brusquement elle se leva. Dévorée par la colère : « Ne me dites plus jamais ces mots. Vous aimez peut-être mon corps, certaines parties de mon corps. Mais vous ne pouvez pas m’aimer, vous ne savez pas ce que c’est que l’amour ! Vous ne savez pas qui je suis , ce que j’ai vécu ! »
Elle monta alors l’escalier et claqua la porte de sa chambre.

J’étais enfoncé dans ce satané fauteuil à ne plus pouvoir bouger , déstabilisé encore par une réaction que je n’avais pas prévu.
Au bout d’un instant , je me décidais enfin à réagir, j’allais me lever pour la rejoindre, quand je l’entendis rouvrir sa porte et descendre l’escalier.

Elle vint s’asseoir en face de moi, visiblement apaisée.

— « Excusez-moi, pardonnez-moi, vous n’êtes pas responsable de ce que j’ai vécu.»

C’est alors que je constatais qu’elle avait totalement refermé la veste de son tailleur. Elle me regardais maintenant de ses beaux yeux clairs, d’un air calme et doux. J’étais terriblement troublé.

— « Dis-moi, tu as envie de les voir ? »

Un sourire léger s’était dessiné sur ses lèvres. Et l’étincelle de son regard témoignait que je n’avais pas mal entendu. C’était de plus la première fois qu’elle me tutoyait.

— « Je t’ai vu plusieurs fois chercher à les deviner sous mes vêtements avec insistance. Ce soir je veux bien te les montrer, mais en échange je veux que tu me donnes du plaisir sans partage, comme je t’ai donné du plaisir l’autre soir. Je vais juste te les montrer, je ne veux pas que tu y touches. Pas ce soir. Après nous irons dans ma chambre dans le noir. Je veux que tu m’embrasses sous ma jupe. »

Doucement, elle a déboutonné sa veste. À chaque étape elle me dévoilait davantage sa profonde vallée et ses fiers mamelons. Sa peau diaphane laissait entrevoir le dessin léger de quelques veines d’un bleu à peine esquissé. Sa poitrine généreuse et légèrement tombante, souple comme le sont celles des femmes mûres, offrait à ma vue de ravissants contours en forme de poire. À l’extrémité de larges aréoles sombres et des tétons pointus accentuaient l’impression de ces fruits succulents qui semblaient à point pour se loger entre les lèvres gourmandes d’un homme.

Elle m’offrit à l’envie, tout en me servant un café accompagné de chocolats noirs, la vision de ses tétines balottants souplement à chacun de ses gestes. Il faisait chaud, et quelques gouttes de sueur perlaient entre ses seins.
Puis elle s’assit bien en face de moi , adossée au canapé. Sa poitrine était majestueuse, et alors qu’elle me parlait de ce qui lui plaisait chez moi ( je l’écoutais à peine), j’avais l’impression que les deux pointes dressées en ma direction étaient comme une deuxième paire d’yeux qui me regardaient fixement.

En même temps je devinais sous la jupe serrée qui remontait à mi-cuisse, cet autre fruit qui s’offrirait bientôt au contact de ma bouche.
Des porte-jarretelles soutenaient des bas clairs, proches de la couleur de sa peau.
Elle posa ses pieds sur le rebord de la table basse qui nous séparait et écarta ses longues et superbes jambes de façon impudique.

La lumière du lustre projetait des reflets entre ses cuisses tout près de sa culotte, ce qui trahissait encore la moiteur de sa chair.
C’était une culotte blanche, transparente qui recouvrait parfaitement le triangle étroit et sombre de sa toison.
Elle rajusta ses chaussures à talons hauts et me dit seulement, alors qu’elle se dirigeait vers l’escalier : « Rejoins-moi dans cinq minutes ! ».

Le temps me parut interminable.
Je montai bientôt l’escalier fébrilement. Dans l’obscurité de sa chambre, une fois encore, seule son odeur m’assurait de sa présence. Il me fallut un certain temps avant de distinguer l’endroit où elle m’attendait.
Elle était debout adossée à l’un des murs près de la fenêtre. Ses jambes étaient tendues, légèrement écartées, ses hauts talons fermement plaqués au sol. Elle s’était à nouveau habillée de son tailleur cintré qui la rendait terriblement désirable.

C’est alors qu’elle me chuchota, alors que je m’approchais d’elle. «Viens blottir ton beau visage de garçon sous ma jupe, occupe toi de ma chatte, je veux jouir sous les caresses de ta bouche . Je veux que tu ne t’occupe de rien d’autre que de ce qui est sous ma jupe.. Viens, je suis toute mouillée.»
Je tombais à ses genoux d’une façon un peu ridicule .

Déjà je lovais mon visage dans l’obscurité plus profonde encore de son entrecuisse. La puissance de son odeur, sorte de mélange divin de liquide de jouissance, de sueur et d’urine, m’enivrait littéralement.
J’effleurais lentement de mes mains les abords de son sexe tout en approchant plus doucement encore ma bouche de l’étoffe transparente qui recouvrait son duvet intime. À l’instant où ma bouche atteignait le tissus , elle poussa un petit cri délicieux. De légers soupirs accompagnaient les mouvements de ma langue le long des lèvres de son sexe.

J’empoignais bientôt à pleines mains ses globes fessiers fermes et souples à la fois. Je les pétrissais de toutes mes forces. Et elle m’encouragea à continuer alors que je fourrais ma langue dans son con.
Je ne pu pas résister longtemps au désir de déchirer sa fine culotte.
Elle balança son bassin en mouvement de plus en plus vifs pour accentuer encore le trajet de ma langue sur la raie profonde de ses chairs brûlantes.

Je la léchais, la suçais, la mordillais tout le long du sillon profond qui va de la base du clitoris à l’anus.
Quelquefois j’insinuais ma langue dans le trou de son cul, puis lapant à nouveau ses chairs féminines frémissantes et gluantes, je remontais jusqu’à son bouton d’amour pour le sucer et le mordiller fortement.
Elle écrasait maintenant par à coups violents, sa forêt pubienne et ses chairs juteuses contre mon visage, se branlant littéralement sur ma bouche, mon nez , mon front. Et elle se mit à crier de plus en plus fort.

Et puis elle s’arrêta brusquement. Mon nez au contact de son clitoris, ma bouche ouverte sur l’orifice de son sexe.
Le silence n’était entrecoupé que par sa respiration haletante.
J’eus à peine le temps de l’entendre chuchoter : « Pardonne-moi », que j’entendis et sentis bientôt dans ma bouche la chaleur d’un mince filet d’urine qu’elle n’avait pu réprimer.

Alors elle me fit basculer en arrière. Allongé sur le dos je distinguais le spectacle de sa moule luisante et broussailleuse se rapprochant à nouveau de mon visage. Elle s’accroupit sur moi, enveloppa ma face de son sexe et de son postérieur et comme une cavalière en furie se frotta de façon plus frénétique encore sur ma tête qu’elle utilisait maintenant comme unique objet de sa jouissance.
Par l’accélération et l’amplitude des saccades et puis par le liquide à la saveur nouvelle qui perlait bientôt à ses lèvres charnues je sus qu’elle avait jouit.

Là encore elle ne s’abandonna pas longtemps elle se releva.
Sans avoir eu le temps de reprendre mes esprits, j’entendais maintenant le claquement de ses talons sur les marches de l’escalier.

Le soir venu, un traiteur nous apporta un délicieux repas. Et c’est ainsi que pendant tout le week-end nous nous restaurions, sans autre soucis que de nous laisser aller à la satisfaction de nos désirs.

Ce premier soir, nous étions comme intimidés tous les deux, par cette situation nouvelle. Nos regards se croisaient comme ceux de jeunes amoureux qui se sentent seuls au monde. Nous évoquions les sujets les plus divers, mais surtout pas ceux qui occupaient notre esprit. Cette complicité sexuelle était là d’évidence, elle nous liait l’un à l’autre. Ne faire que l’évoquer risquait d’en rompre le charme.

Nous ne parlions jamais de nos sensations passées, mais exprimions simplement la v******e de nos désirs futurs.
Ainsi elle voulait que ce soir nous échangions beaucoup de tendresse, que nous prenions vraiment le temps de nous caresser .

Je lui exprimais quant à moi le désir de la voir entièrement nue, en pleine lumière.
Alors simplement, au moment du dessert, elle a commencé à se déshabiller, avec une lenteur savamment contrôlée.

Elle était debout, tout à côté de moi. Sa poitrine libérée me fascinait décidément, mais je prenais soin de réprimer le moindre geste pour savourer mieux cet instant.
En un geste élégant, elle dégagea sa jupe étroite de la main. Elle n’était plus couverte que de son ravissant porte-jarretelles blancs , de ses bas couleur chair légèrement satinés, et de petites bottines à lacets qu’elle avait enfilées pour venir à table.

Penchée vers moi, alors que ses mamelles caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller avec la même sûreté de gestes et la même lenteur, toute de sensualité.
Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains.
Ces ongles effilés étaient parés d’un ravissant vernis grenat.

Par deux fois, et sans doute par inadvertance elle me griffa légèrement, en faisant glisser chacun de mes vêtements à mes pieds. Cela provoqua chez moi de brefs frissons et la sensation accrue du désir puissant que j’avais pour elle. Je dus me lever pour qu’elle libère mon sexe. Je commençais déjà à bander.
Mais ses premières caresses s’adressaient à d’autres parties de mon corps.

Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. En fait elle m’effleurait à peine. C’était plutôt les poils de mon torse qu’elle caressait en de petits mouvements circulaires. Et alors qu’elle se livrait à cet exercice, comme une élève appliquée, elle était dans une position qui me permettait pour la première fois de l’observer entièrement nue. Elle paraissait si concentrée dans l’accomplissement de ses gestes que j’avais vraiment l’impression de la découvrir à son insu.

A chaque fois que se révélait une part nouvelle de sa nudité, elle m’apparaissait plus belle.
Ce qui était remarquable c’était cette alliance de finesse et de courbe pleines qui se dégageait de sa silhouette
Elle avait des bras menus, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé, et tous ces attributs pouvaient être ceux d’une jeune fille.
En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse et supportait ses mamelons impudiquement dressés. À cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine.
En la voyant, en la sentant si justement s’affairer à chacun de ses gestes, je réalisais combien cette femme si mystérieuse encore pour moi, semblait connaître ses plus profond désirs, comme si elle se sentait libérée des fausses pudeurs de la jeunesse.

Elle caressait maintenant mes jambes, agenouillée à mes pieds. Je passais ma main dans ses cheveux qui me rappelaient à de si doux souvenirs puis je massais doucement sa nuque. Je contemplais son dos, les courbes de ses reins et de ses fesses.
Alors qu’elle déposait de petits baisers sur mes cuisses, je caressais maintenant ses épaules et son dos. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sans effort sur toute la longueur de son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson.

Je me plaçais bientôt à genoux face à elle, et entrepris de lui caresser les cuisses. Elle m’embrassa la nuque, et bientôt flatta de petits coups de langues circulaires le lobe, puis le creux de mon oreille. Le souffle chaud de son haleine me fit tressaillir et en un geste réflexe je m’agrippai à son bras.
Je m’assis en tailleur de sorte que je me trouvais maintenant à hauteur de sa poitrine.

Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. Ses lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice.
Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir le fruit défendu.
Elle me dit alors d’une voix douce et maternante : « Caresse-les si tu veux, ils sont très sensibles mais ne les embrasse pas Pas ce soir. »

A l’instant où mes doigts effleuraient le dessous de ses globes laiteux et souples, elle entrouvrit sa bouche pour laisser échapper d’un tendre soupir : « Tes mains sont douces ! .demain matin, tu pourras les téter si tu veux. » Et elle glissa sa main dans mes cheveux.

Elle posait toujours sur moi ce regard maternant comme une douce caresse, mais bientôt je n’avais plus d’yeux que pour ces magnifiques mamelles qui palpitaient sous mes doigts comme deux délicieux fruits mûrs gorgés de jus. Je malaxais la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites.

Bientôt je frottais et pinçais ses tétines brunes et gonflées comme ceux d’une africaine. Elle poussa un cri aigu. Aussitôt, comme pour s’en excuser, elle vint se blottir dans mes bras, sa poitrine contre mon torse.
Elle s’était assise sur mes jambes tendues. Ses cuisses chaudes et humides de sa transpiration emprisonnaient les miennes. Son sexe brûlant était placé juste au contact du mien.

Elle approcha alors sa bouche pour m’embrasser avec fougue. En petits mouvements brefs, elle suçait ma langue comme lors d’une fellation. Son souffle chaud me caressait les lèvres. Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe.

Elle empala sa gaine gluante et douce autour de mon gland. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à téter les miennes comme le ferait un petit bébé. J’avais d’ailleurs la sensation étrange qu’elle se blottissait contre moi comme une petite enfant.

Alors elle fit coulisser son fourreau poisseux et étroit autour de ma verge. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière.
Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle. Elle s’effondra littéralement sur moi.

Je m’endormais ainsi , une main lovée dans la raie de son cul, l’autre empoignant sa tétine turgescente.

Samedi

Je me retrouvais le matin sans même savoir comment, allongé sur son lit. Je tendis la main elle n’était pas là.
Je fus bientôt rassuré par le bruit de la douche dans la pièce voisine.

Je me décidais à descendre pour nous préparer un brunch copieux. Je remontais avec mon plateau, et la trouvais assise dans son lit en train de lire un roman. Ses jambes étaient entièrement recouvertes par les draps. Son buste était voilé d’une ravissante nuisette transparente qui magnifiait ses charmes plus qu’elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . Le motif de leur pointe surmontait fièrement les larges aréoles sombres, dont les contours apparaissaient plus impudiques encore à travers l’étoffe diaphane.

En m’entendant m’approcher, le plateau dans les mains, elle m’offrit son éclatant sourire, et la douceur de son regard, comme une caresse. Elle posa le livre à ses cotés et me demanda de faire de même avec le plateau. C’est alors que me regardant droit dans les yeux , elle découvrit tout en le caressant, délicatement, son sein droit. Le disque brun, enflé se dessinait à merveille sur le relief généreux , ample , d’une blancheur immaculée.
Et j’entendis sa voix chaude et sensuelle :  » Viens prendre ta tétée il a besoin de ta bouche viens me boire, j’ai envie de sentir ta chaleur… »

Elle avait maintenant enlacé sa mamelle à pleines mains pour m’en offrir l’éminence érectile. J’approchais mon visage , je m ’imprégnais de son odeur subtile, fraîche et sensuelle. Bientôt je déposais de tendres baisers sur les contours de sa rondeur . Mes lèvres effleurant sa tétine, je l’engloutis tel un fruit succulent dans le creux de ma bouche.

J’étais blottis contre elle, les jambes repliées, comme un bébé . Déjà je savourais la douceur sucrée-salée du bouton de son sein , dur et ferme contre ma langue. J’imprimais de petits mouvements de succion.
Elle glissa tendrement une main dans mes cheveux. Elle accompagnait les mouvements de ma tétée en appuyant régulièrement ma bouche contre sa mamelle. Elle glissa son autre main le long de mon ventre et empoigna doucement mon sexe qu’elle entreprit de masser délicatement.

Son souffle était maintenant une plainte. « Suce-moi, suce-moi plus fort! »
J’aspirais l’embout durci de toutes mes forces. Bientôt je le mâchais, le mastiquais, serrant de plus en plus mes dents. Je tirais sur la tige élastique de cette poire d’amour, tout en empoignant fermement sa sœur à travers le tissu.

Alors je libérai l’autre sein, et ma bouche se mit à aspirer tour à tour chacun des mamelons, mes mains pinçant et pétrissant celui qui se trouvait libre. Mes doigts frôlèrent la chaleur de ses reins cambrés. Tout en la suçant, je malaxais maintenant ses fesses.
C’est alors que contre toute attente, elle se dégagea vivement de mon étreinte.

Nous étions tous deux assis face à face, essoufflés de jouissance.
Sans que j’eus le temps de réagir, elle fit glisser le drap à ses pieds, découvrant ses jambes superbes. Ses pieds menus étaient habillés de ravissants mocassins roses à talons qui en accentuaient la délicate cambrure.

C’est alors qu’elle écarta les cuisses doucement, et offrit à ma vue le spectacle fascinant de son sexe lisse, entièrement rasé, frais comme celui d’une jeune fille, au sommet duquel trônait un splendide bouton d’amour, bandé comme une petite verge. Ses lèvres intimes apparentes étaient toutes fines, enveloppant d’une gaine étroite le sillon rose et humide.

— « Je veux que tu me tètes aussi entre les cuisses, je veux sentir ton haleine contre mon sexe. Je l’ai rasé pour toi, il est tout à toi… »

Ecartant davantage ses cuisses frêles et musclées, elle bascula son bassin de façon à ce que sa chatte frôle mes narines saturées des effluves de sa liqueur odorante. Mais l’objet de ma convoitise était le fier bouton luisant qui glissa entre mes lèvres et que j’entrepris de sucer avec application.

Sa saveur âcre était encore relevée de la liqueur intime qui coulait le long du sillon de son sexe. J’avais l’impression, en léchant profondément sa moule exquise, de boire littéralement sa jouissance. Elle accéléra les mouvements de son bassin et s’abandonna entièrement, étreignant un instant ma tête et mon coup sous la tension ardente de ses cuisses crispées sous l’effet du plaisir.
Quelques minutes après, comme pour s’excuser d’avoir jouit seule, elle inclina sa bouche sur mon bassin et m’offrit le délice d’une fellation gourmande, alors qu’à loisir je caressais ses belles fesses .

Après le petit déjeuner, et le partage d’instants emprunts de vrai tendresse où la sexualité soudainement n’avait plus sa part, nous convenions de passer la matinée à faire du cheval.

Nous préparant chacun de notre côté, nous nous retrouvions dans le salon.
Alors que je m’étais habillé d’une façon tout à fait banale pour la circonstance, je découvris ma complice dans une apparence plus insolite.

Elle portait des baskets et des petites sockettes blanches. Ses jambes étaient largement dénudées, couvertes tout juste à mi-cuisse d’une jupe plissée, quadrillée d’un motif écossais noir et blanc. Son torse était paré d’un simple corsage blanc, sous lequel il était facile de distinguer sa fière poitrine libérée de toute autre contrainte. Elle avait coiffé sa charmante chevelure brune de simples nattes qui encadraient de part et d’autre son ravissant visage paraissant presque sous cette apparence, être celui d’une jeune fille .

La vision de ce nouvel aspect de sa beauté suscita immédiatement en moi un désir violent.
Elle me prit alors par la main et m’accompagne sans un mot jusqu’à l’écurie. Là, elle me dirigea vers ma monture. Un superbe anglo-arabe m’attendait entièrement apprêté.
Alors que je montais en selle , je constatais qu’aucun autre a****l ne semblait préparé.

Ma charmante cavalière dirigea vers moi un regard mutin: « Je préfère monter à cru! », et tout en me fixant, je la vis stupéfait, faire glisser à ses pieds sa culotte. D’un mouvement leste elle enjamba et s’assit alors sur le superbe étalon noir qui me faisait face.

Quelques minutes plus tard nous chevauchions au pas l’un près de l’autre.
Alors que nous parlions de la beauté de la campagne, j’étais absorbé par une autre beauté. Celle de cette femme imprévisible dont je voyais les seins aux sombres pointes ballotter sous la soie du corsage à chaque pas de l’a****l. Celle de ses splendides cuisses dont de rares grains de beauté ravivaient la clarté, plaquées contre les flancs de l’étalonné en haut desquelles j’imaginais le frottement sur les reins puissant de la bête, de son petit sexe mis à nu, humide et chaud.

J’observais son visage, ses joues qui rosissaient, ses paupières qui tremblaient de façon étrange, et cette voix qui se troublait au fur et à mesure de notre promenade.
C’est alors, que devançant mon désir, elle releva sa jupe.

Je vis alors le plis savoureux de sa cuisse et de sa fesse adhérant au flanc de l’a****l. Tout le bas de son corps offrait le spectacle d’une puissante suavité . Par endroits le rosissement discret de sa peau trahissait la secrète jouissance à laquelle elle s’abandonnait.
Elle prit une légère avance sur moi, et j’eu alors tout près, la vision saisissante de la croupe puissante d’ébène de l’étalon soulevant en cadence le fessier gracile d’un blanc laiteux de ma ravissante compagne.

Mais bientôt elle rabaissa sa jupe, et fit ralentir nos deux montures positionnées dès lors l’une contre l’autre. Elle dégrafa alors son corsage et libéra sa poitrine luisante de sueur qui ballottait souplement , produisant un claquement sourd et régulier. Pendant quelques instants je l’observais si proche, alors que son odeur mêlée à sa propre transpiration ainsi qu’à celle de l’a****l, l’enveloppait d’une étrange atmosphère de sensualité sauvage.

D’un geste agile et souple elle positionna sa main sur la mienne et d’un bond se mit à chevaucher ma bête. Ses mamelles chaudes et moites se plaquèrent contre mon dos traversé alors d’une diffuse chaleur.
Elle enlaça ma taille de ses bras délicats, et posa sa tête au creux de mon épaule , caressant ma nuque de sa tendre respiration.

Les chevaux se frôlaient maintenant tout en avançant d’un pas ralenti. Ma cavalière audacieuse pris ma main qu’elle déposa sur le dos de son bel étalon. Mes doigts se glissèrent entre les poils et se trouvèrent bientôt au contact humide et brûlant de la crème d’amour que son petit abricot secret avait laissé. Mes yeux étaient fascinés par la tache luisante que son sexe avait déposé sur les reins du pur-sang . Je ne pus m’empêcher de porter à ma bouche la saveur âcre du liquide succulent.

Pendant ce temps elle avait libérée son étreinte. Elle me demanda quelques secondes après de me retourner totalement, afin de chevaucher ma monture à l’envers, ce que je fis laborieusement. Le spectacle en valait la peine…

Elle était allongée sur le ventre le long de la croupe de l’a****l. Ses longues jambes pendaient de part et d’autre, de même que ses poires d’amour dont les en-bouts dressés frottaient les flans de la bête. Elle empoignait fermement la crinière , et releva son postérieur, ce qui eu pour effet de faire glisser sa jupe à sa taille et de dévoiler en totale impudeur, son arrogant fessier dodu et profond.
Elle me supplia de la prendre ainsi par derrière.

Alors que mon sexe frôlait l’antre poisseuse et brûlante de sa chatte rasée, elle pris une fois encore ma main et la dirigea vers ses fesses. Elle dégagea mon majeur et empala sa rosette brusquement sur lui. Sa gaine étroite et ardente pistonnait ainsi mon doigt quand enfin, la suavité plus chaleureuse encore de son sexe enveloppa mon gland au comble de l’excitation.

—  » Baise-moi, fourre- moi violemment, je veux te sentir profondément… »

Sous l’effet des coups de boutoir de mon tronc contre sa croupe, son corps se frottait par à coup sur celui de l’a****l. C’était comme si le cheval n’était plus qu’un immense phallus qu’elle branlait, qu’elle masturbait de tout son corps. Elle s’agrippait plus fermement à la crinière pour accompagner et amplifier les mouvements de son buste et de sa croupe sur le dos de la monture. C’était bientôt avec deux, puis trois doigts, puis la main entière que je massais les profondeurs de son anus. C’est alors que je libérais mes mains pour empoigner ses nattes et relever sa tête en arrière. Elle s’abandonna en un cri surhumain, bestial. Et s’effondra de tout son long. Quelques minutes après en se laissant glisser pour quitter sa monture je pouvais reconnaître sur la robe du cheval le dessin des larges auréoles de sueur de l’a****l ,des traces de sa sueur à elle , des sécrétions de sa jouissance, mêlées des jets d’urine qu’elle n’avait pu contenir.

L’après-midi fut largement consacrée à une sieste réparatrice où je m’abandonnais à la douce rêverie de ces instants miraculeux.

Le soir venu, n’ayant rouvert les yeux qu’à la tombé de la nuit, je l’ai rejointe dans le salon. Une fois encore elle portait une nouvelle tenue. Le terme est peut-être exagéré.
Il semblait que ses vêtements n’avaient pour unique fonction que d’attiser encore le désir que j’avais pour elle.
Elle portait un short de satin noir au ras des fesses , ultra moulant comme une seconde peau qui adhérait aux moindres contours de sa croupe. Ainsi le dessin du sillon nu de sa chatte apparaissait-il distinctement moulé dans l’étoffe. Le satin s’insinuait profondément dans la raie de son cul. Adhérent même au trou de l’anus dont on pouvait deviner les contours fripés.

Son torse généreux était à peine couvert d’un fin soutien-gorge noir et transparent. Elle m’apparaissait ainsi, alors qu’elle venait de s’asseoir en face de moi, plus nue encore que si elle avait été dans le plus simple appareil. Chacun de ses vêtements était comme le signal d’une offrande d’une partie de son corps qui m’était destinée. Comme un appel à la caresse et à la perversion.
En attendant elle était là , à manger tout en me dévorant des yeux, de ses yeux superbes, encadrés par l’ovale parfait de son visage. Les boucles sombres de ses cheveux caressaient son doux visage.

A la fin du repas elle prit ma main et m’accompagna dans sa chambre. Alors elle fit glisser mes vêtements en dessous de la ceinture jusqu’à mes pieds, et s’agenouilla pour emboucher mon sexe et le pomper goulûment.
Au bout d’un instant, alors que je bandais dur, elle me fit basculer sur le lit.

J’étais allongé sur le dos . Elle fit glisser à son tour son short moulant et vint s’allonger tout du long sur mon corps. Le fourreau de sa chatte poisseuse et brûlante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Bientôt je jouissais en elle.
Je m’endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Dimanche

Le lendemain matin une fois encore je me réveillais sans la trouver auprès de moi. Juste un bout de papier et son écriture:  » Rendez-vous à neuf heure au bord du lac à côté de la barque. Prévois un maillot de bain et beaucoup de plaisir… » et pour seule signature : « la maman de Florient ».
Je rejoignais le petit lac qui se trouvait à l’extrémité de la propriété.
Elle m’attendait mi-assise mi-allongée sur la barque .

Etonnamment une fois encore pour un tel endroit, elle portait une robe de soirée de satin bleu largement fendue du côté droit qu’elle avait légèrement remontée, sans doute pour s’asseoir, à tel point que je voyais le plis délicieux de son aine. Elle ne semblait pas porter de culotte. Ses pieds charmants au galbe délicat et fin, parés d’un subtil vernis cerise, étaient habillés à peine de légères sandales assorties à la robe. En fait ces talons hauts et ces sangles fines qui enserraient ses chevilles graciles complétaient merveilleusement le tableau somptueux et terriblement sexy des longues jambes étendues de ma ravissante bourgeoise.

La barque était suffisamment grande pour qu’à son invitation je puisse m’y installer, sans qu’elle eu besoin d’accomplir un autre mouvement que celui de son regard étincelant qui m’enveloppait de son attention, et que celui de son léger sourire.
Ses épaules aux arrondis parfaits n’étaient recouvertes que de fines bretelles transparentes.

Cette fois encore, je ne l’avais jamais trouvée aussi désirable, un peu comme si à chaque rencontre j’avais l’impression de la voir pour la première fois. En même il y avait toute cette complicité presque a****le entre nous, où la parole avait si peu de place.
Il suffit ainsi d’un seul geste de sa part pour que je comprenne qu’elle désirait que je lui caresse les cuisses.
Je me penchais légèrement en avant tout en commençant à l’effleurer en mouvements circulaires avec la paume des mains . Je m’occupais tout d’abord de ses tendres mollets, puis cajolais ses genoux avant de dévoiler doucement ses cuisses fascinantes et si douces.

En remontant ainsi jusqu’à ses hanches, je découvris que son sexe n’était pas nu , mais offrait sa splendeur à mon regard , moulé qu’il était dans un tissus blanc tendu , pénétrant dans sa fente d’amour.
C’est alors que d’elle même elle dégagea le haut de sa robe pour révéler qu’elle portait en dessous un charmant maillot de bain une-pièce blanc qui la moulait entièrement du haut de ses seins jusqu’à l’entrecuisse.

Elle se dégagea totalement de l’étoffe sombre ne gardant plus sur elle que le maillot moulant et les chaussures à talon haut.
Elle était face à moi debout, fière, droite, les jambes tendues et musclées légèrement écartées. Mon nez humait ses odeur secrètes. J’entrepris alors de masser doucement les globes de ses fesses.

Au moment où je la sentais s’abandonner, elle pivota sur elle même, et m’offrit le spectacle d’un superbe plongeons et une vue ravissante sur sa croupe si douce.
Elle nageait merveilleusement malgré ses sandales. « Viens me rejoindre, elle est bonne!.J’ai envie de te sentir contre moi! ».

Déjà passablement déstabilisé par les mouvements de son plongeon, je faillis tomber de la barque alors que maladroitement je me déshabillais pour n’être plus qu’en maillot.
Quelques secondes après j’étais dans l’eau près d’elle. Elle était plus radieuse que jamais, son sourire était éclatant, presque enfantin. Pendant que nous nagions vers la rive l’un près de l’autre, je pensais à tous ces moments de bonheur magique qui allaient bientôt prendre fin.

Florient devait revenir dans l’après-midi. Nous n’avions plus que quelques heures de liberté.
Elle sembla avoir remarqué ma soudaine tristesse. Sans un mot elle s’approcha de moi.
Bien que loin du bord, je commençais déjà à avoir pied. J’étais debout lorsqu’elle vint se lover dans mes bras. Elle s’assit sur mes hanches et me serra fortement avec ses cuisses de telle sorte que je sentis à travers nos maillots sa motte secrète buter contre mon sexe tendu.

Elle me caressait les cheveux tout en couvrant mon visage de baisers. Elle m’embrassa profondément. Nos langues se frottaient à s’en faire mal et puis sa chaleur se répandit sur mon sexe.
Sa langue me léchait le cou, puis le lobe de l’oreille. Agrippée à mes épaules elle commençait à faire glisser en petits va-et-vient son abricot humide sur mon gland. J’accompagnais ses mouvements en soulevant sa croupe avec mes mains. Bientôt j’en plaçais une sous son maillot, dans la raie de son cul, et me mis à frotter sa rosette fripée au contact de l’eau.

Dans cette position elle était à demi hors de l’eau. Son maillot blanc, trempé, devenu transparent, dévoilait totalement la beauté de ses seins. Je pensais qu’elle allait jouir en moi mais elle m’a glissé à l’oreille: « Allons sur le bord je veux que tu me fasses l’amour dans l’herbe. »
Quelques instants après elle était là, devant moi allongée sur le dos. Ses seins, son sexe, semblaient plus pâles encore sous l’effet de l’étoffe moulante sur la peau. Elle avait les jambes légèrement écartées et je ne pus résister au désir de lécher le sillon de son con qui s’offrait à travers le tissu.

Elle commençait à se trémousser dans tous les sens. Je dégageais avec les dents la fine bande de toile et fourrais ma langue dans la fente juteuse. Je me délectais de lécher et de boire ses saveurs intimes alors qu’elle s’agrippait à ma chevelure et cambrait son bassin.
Elle a soudain déchiré son maillot à l’entrecuisse. J’ai alors pris le temps de sucer doucement son bouton érectile. J’entendais les crissements de son dos, de sa croupe se frottant sur l’herbe mouillée.

Au bout d’un instant je me dégageai et empoignai son bassin pour la retourner. Son ravissant postérieur était marqué de traces rouges comme l’eut été celui d’une mauvaise élève punie au martinet. Quelques brins d’herbes étaient emprisonnés dans la raie de ses fesses. J’entrepris alors de la nettoyer avec ma bouche.
J’écartais fermement les globes rougis, dévoilant ainsi sa rosette fripée. Je labourai ainsi de ma salive le sillon de son cul.
Elle se mit à pousser de petits cris étouffés la tête enfouie dans l’herbe. Je caressai son corps remontant lentement de ses hanches au contour de ses seins , écrasés, massés sous l’effet des mouvements langoureux de sa silhouette impudique s’abandonnant à la jouissance. Ma langue forçait maintenant l’anus contracté, dilatant le tuyau élastique, alors que de la main je la branlais consciencieusement. Je massais le clitoris puis m’engouffrai en elle jusqu’au poignet. Je sentais ainsi jusqu’au frémissement toute la moiteur brûlante de ses chairs. Je me mis alors à la pilonner jusqu’à buter sur les parois de son vagin.

C’est tout son corps qui semblait pris de spasmes et se tendait sous l’effet des caresses. Elle releva sa croupe superbe et luisante de sueur. Son con était trempé . Ma verge la pénétra facilement. Il me sembla que tout alla très vite alors.

J’étais sur le point de gicler en elle ainsi en levrette quand je vis derrière la haie la silhouette de deux hommes qui semblaient être des chasseurs. Je m’arrêtai un instant et lui chuchota ma découverte. Elle me supplia de jouir en elle m’affirmant qu’elle ne pouvait plus tenir. Accédant à la jouissance elle ne put étouffer des cris déchirants malgré la honte de se savoir observée.

Très vite nous avons rajusté ce qui nous restait pour nous couvrir, c’est à dire nos seuls maillots de bains, nos vêtements étant restés dans la barque, pour courir comme des amants fautifs jusqu’au manoir.
Mon amante qui avait son ravissant postérieur à l’air, devait glisser à deux reprise sur ses talons aiguilles. C’est en l’aidant à se relever que je remarquais les coulées de sperme à l’intérieur de ses cuisses. La voir courir ainsi presque nue décidément si belle, me fit rapidement oublier le ridicule de ma situation. Je franchissais la porte sans autres habits que ceux qui dérivaient maintenant au beau milieu du lac.

Dès que nous sommes arrivés elle a éprouvé encore le besoin de se retirer tout en me disant qu’elle allait trouver de quoi me couvrir. Je savais qu’il fallait que je parte dans deux heures avant l’arrivée de Florient et l’attente me parut interminable.

Elle me dit enfin d’entrer dans sa chambre. Sur son lit étaient déposés des vêtements que je reconnu comme étant ceux de domestiques. Elle était encore dans la salle de bain quand je l’entendis me dire:  » Habille-toi vite, nous n’avons pas beaucoup de temps. » C’est ce que je fis, sans trop réfléchir, avec précipitation. La porte s’ouvrit alors , et je vis alors cette extraordinaire apparition.

Elle portait une somptueuse robe de mariée.
Seul un large voile blanc couvrait son visage, ses épaules , son ravissant décolleté. Il semblait soudain qu’elle avait rajeuni de vingt ans. Comme si j’avais devant moi l’apparition de mon amante le jour de son mariage, avant qu’elle ne soit mère.

J’étais fascinée par sa beauté singulière à chaque instant plus mystérieuse encore, comme si notre complicité charnelle de plus en plus profonde la rendait, sans que je sache pourquoi, chaque jour plus insaisissable.
Je savais que j’allais bientôt la quitter sans même savoir quand je pourrais la revoir.

Elle me dit de sa voix chaude et caressante : « Je veux que tu sois mon page, pour ces derniers moments, que tu sois le serviteur de mes désirs…Imagine que ces derniers instants qu’il nous reste soient ceux d’une nouvelle mariée qui veut profiter encore de l’amour insouciant de la jeunesse. »
Je devinais des larmes qui perlaient sur ses joues. « Promets-moi de ne pas m’abandonner comme mon mari l’a fait le jour même de mon mariage… »

—  » Je l’ai découvert par hasard le soir même de nos noces sans qu’il n’en sache rien , dans le recoin d’un couloir en train de se faire sucer par une jeune serveuse… »
— « Aujourd’hui c’est toi qui est mon jeune serveur, et je veux que tu abuses de moi sauvagement, comme à la dérobée . Je me suis habillée pour toi. Nous allons trouver une cachette et tu vas me baiser avec toute l’énergie de ta jeunesse.
— Je ne suis pas folle, j’ai juste ce désir violent d’assouvir avec toi ce fantasme. Je veux me faire enculer par mon garçon d’honneur en cachette de mon mari. »

Elle était près de moi, plus vulnérable et déterminée que jamais, prête à s’offrir entièrement.
Sous son voile je me mis à caresser son visage, pour m’attarder à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l’effet des caresses, et bientôt elle se mis à me lécher les doigts puis à les sucer voluptueusement.

— « Il faut que l’on se cache mon mari risque de me voir! »

Elle me poussa alors dans un réduit, où étaient suspendues quelques unes de ses robes. L’obscurité était presque totale mais peu à peu je distinguais à nouveau les contours de sa silhouette Je sentais le souffle chaud de sa respiration caresser mes narines. Puis le lobe de mon oreille, où elle me chuchota:  » Mets-moi un doigt dans le cul je veux que tu commences à m’enculer avec tes doigts! ».

Avant même que j’ai le temps de réagir, elle me prit la main qu’elle introduisit dans sa bouche, puis soulevant l’arrière de sa robe y fit glisser mes doigts humectés qui se trouvèrent bien vite au contact d’une fine culotte de dentelle. Elle guida encore mes doigts jusqu’au sillon des fesses et au contact délicieux de son petit trou ridé.
Alors que j’introduisais un premier doigt, elle commença à me lécher l’oreille. Le frisson que je ressentis eu pour effet de crisper mon geste dans ses chairs alors que la paume de ma main se plaquait fermement sur son sexe.

Elle commença alors à caresser mes testicules, puis ma verge à travers le pantalon. Ses mouvement lents et de plus en plus appuyés devinrent un délicieux massage lorsqu’elle défit ma ceinture pour faire glisser mes vêtements à mes pieds. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers me caressant ensuite l’intérieur des cuisses, quand je la pénétrai d’un deuxième doigt.

De ma main libre j’effleurais ses épaules puis le relief doux et soyeux du haut de ses seins, largement disponible dans son décolleté profond. Tout en la forçant d’un troisième doigt, je la caressais ainsi d’un globe à l’autre, tout en m’attardant dans la chaleur accueillante du sillon de sa poitrine. Ses lèvres frôlaient maintenant les miennes de leur saveur délicate. Elle me mordit la lèvre à l’instant même où je la pénétrais d’un quatrième doigt, alors que mon pouce massait son bouton durci.

Tandis que nous nous embrassions goulûment, mon autre main accédait à l’un de ses tétons turgescents.
Je me mis à lui mordiller le cou, tout en engloutissant ma main entière dans le trou de son postérieur. Son tuyau me gobait le membre jusqu’au poignet, tel un serpent qui avale sa proie.

Je la malaxais au plus profond et elle se mis à pousser de petits cris suppliants: « Encule-moi, encule-moi maintenant, sinon il va venir, il va nous voir… »Je ne savais si elle parlait de son fils, où de son mari, toute entière à son fantasme. Mais je ne me fis pas prier. Je me dégageais de son fondement pour la retourner et dénuder ses fesses, plus désirables que jamais dans l’écrin de sa fine culotte blanche, de ses jarretelles et de ses bas assortis.
Je glissais mon sexe en elle sans trop de résistance. Mon gland dilatait la rosette élastique , bientôt je coulissais délicieusement dans ses chairs. « Vas-y, plus vite, plus fort, je suis une mariée indigne, mais j’aime tellement ça!… » « Dépêche-toi, je veux sentir ta chaleur liquide dans mon cul! « 
Je jouis bientôt en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n’avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps.

Nous étions restés debout ainsi immobiles pendant quelques secondes, l’un dans l’autre.
Elle m’a déposé un délicat baiser sur les lèvres et m’a dit qu’il fallait que je me sauve vite et que j’aille récupérer mes vêtements sur la barque qui devait avoir dérivé sur la rive. Elle m’a demandé de ne pas essayer de la joindre, que c’est elle qui me téléphonerai. Puis elle est partie en courant s’enfermer dans sa chambre, pour revêtir une tenue plus habituelle.
J’ai fait ce qu’elle m’avait demandé. Ce jour là, je ne l’ai pas revue.

__________________________

Plusieurs jours ont passés sans avoir de ses nouvelles. Je retournais aux cours où je revoyais Florient. Nous avions l’un envers l’autre, une attitude plus distante.

Plus les jours passèrent et plus je sentais la souffrance et le désespoir me gagner. Il n’était pas possible que je ne la revois pas !
J’étais littéralement dévoré par sa présence.
Ces trois jours à ses côtés étaient comme une véritable révélation de mes propres désirs. D’ailleurs je ne désirais plus que par elle, qu’à travers elle.
Bientôt je me laissais dépérir, je dormais peu, mangeais moins encore…

Un jour pendant durant un inter-cours, Florient est venu près de moi.

— « Il faut que je te parle. Je vois que tu ne vas pas bien du tout, et je crois savoir pourquoi. »

J’eu du mal à dissimuler une réaction de crainte et d’étonnement à la fois.

—  » Je sais pourquoi tu souffres, je sais que c’est à cause de ma mère. Je n’étais pas là durant votre week-end, et pourtant j’en sais plus que tu ne peux ne l’imaginer, même si elle ne m’a rien raconté… » .

J’étais là presque abasourdi et pourtant c’était comme si j’attendais qu’il me parle, comme si j’avais inconsciemment attendu cet instant.

— « Comme je te l’ai dit, ma mère ne supporte pas de rester seule. Cette situation devenait invivable pour moi et malsaine. Il me semblait ne plus pouvoir vivre pour moi-même , il était impossible de la laisser seule sans qu’elle me menace de suicide…

Un jour je me suis rendu compte qu’elle n’était pas insensible à la présence d’un jeune camarade que j’avais exceptionnellement invité à venir chez moi. Elle m’avait même fait une scène de jalousie parce que nous n’avions pas assez fait attention à elle.

Alors qu’elle me refusait toujours de quitter la maison en dehors des heures d’université, ce qui m’interdisait d’avoir toute relation amoureuse, il se trouve que j’ai rencontré une copine dont j’étais vraiment accro.

Aussi pour être libre le week-end, je lui ai proposé de ne pas la laisser seule, mais de m’arranger pour que mon copain revienne la voir. Cela n’a pas été difficile, il m’avait lui même avoué trouver ma mère très « bandante ».
Cela c’est très bien passé. Pour la première fois, je me sentais libre. À mon retour elle ne m’a fait aucun reproche. Le soir venu elle est même allée me rejoindre dans ma chambre , elle m’a déposé un tendre baiser sur le front et m’a dit: « merci ».

C’est ainsi un accord tacite qui c’est passé entre nous. Chaque fois que j’avais la possibilité de me rendre chez ma copine le week-end, ce qui arriva de plus en plus souvent, je m’arrangeais pour que ma mère ne soit pas seule. Cela se passait toujours un peu de la même façon. J’invitais un copain à dormir. Ma mère parvenait à le séduire comme tu sais. Quelques jours après, c’était elle qui téléphonait.

Maintenant tu connais la suite. Cela c’est passé plusieurs fois. Dans la salle où nous avons cours actuellement , plus de la moitié des garçons sont déjà venus à la maison, c’est à dire plus d’une dizaine.. Il est arrivé que ce soient deux en même temps qui viennent la rejoindre. Par deux fois, se sont les pères qui les avaient accompagnés quelques jours avant , qui sont venus passer trois jours près d’elle. ».
Il continuait à me donner des détails de l’organisation parfaite de ces rendez-vous, mais déjà je ne l’écoutais plus. Je ne souffrais même plus. J’étais comme anesthésié.

Quelques minutes après en regagnant le cours, j’imaginais les garçons qui avaient pu profiter de son corps, comme je l’avais fait moi-même. Je pensais aux situations qu’ils avaient pu connaître.
Et si ces moments si intenses que j’avais connu , que je croyais si exceptionnels, n’avaient été que la répétition d’un même rituel déjà éprouvé dans les bras d’autres garçons et d’autres hommes. Cela je ne pouvais que l’imaginer .

Curieusement je n’avais aucune rancœur. Les jours qui suivirent il y eu cette part de moi-même qui peu à peu se détachait de moi. Cette révélation m’avait permis de faire le deuil. Bien que ce ne soit pas la première fois , c’est comme si j’avais perdu réellement ma virginité dans ses bras. J’étais allé jusqu’au bout de certains de mes fantasmes.

Je pense souvent à elle aujourd’hui encore, alors que je suis si heureux avec la fille que j’aime.
Elle reste pour moi comme la seconde mère qui m’a véritablement initié à la tendresse et au plaisir, avant de me laisser partir, pour me permettre de connaître l’amour.

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