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Wahida la voisine marocaine mûre

Wahida la voisine marocaine mûre



lu sur le net:
Comment rencontrer des femmes grâce à sa propre mère ? ? Simple : acceptez donc de lui rendre un menu service. Ah, ces chères mamans…
Depuis de semaines, que je ne l’avais pas vue, j’avais finalement cessé d’être un bien mauvais fils en ce dimanche de juin. Hop, une petite visite du côté de sa ravissante cité dortoir, un joli bouquet en main, et l’après-midi fut tranquille, ponctuée de la présence feutrée de Michel Drucker dans sa petite boîte, et j’allais finalement repartir quand elle me demanda de lui rendre un petit service. Il fallait ramener des affaires de cuisines à une de ses amies dans la tour à côté. Elle avait voulu faire un tajine la semaine d’avant pour son frère et sa femme et avait donc emprunté le matos adéquat à une copine marocaine. C’était assez encombrant et les bras musclés (enfin, presque) de son petit fiston tombait pile poile. Après une dernière bise, me voilà donc en route chargé comme un mulet. Direction l’immeuble de la voisine : super, l’ascenseur ne marchait pas ! Je pris donc l’escalier et dut me taper pas moins de six étages. J’arrivais alors un peu en nage et sans doute rougissant à la porte de son amie. Je repris mon souffle et sonnait. Valait mieux qu’elle soit là si elle voulait pas que je laisse son bazar sur le pas de la porte sans autre forme de procès.
Un déclic de serrure plus tard, la porte s’ouvrait sur une femme brune à la peau ambrée, assez petite, en djellaba violette, et qui devait avoir entre quarante et cinquante ans. Elle avait l’air assez méfiante mais en fait ma mère venait d’appeler pour la prévenir. Elle me sourit finalement et me fit entrer pour poser son carton sur la table de sa cuisine. Je remarquais tout de suite qu’elle était pieds nus. Elle me demanda si ma mère avait réussi son repas, si ses invités avaient aimé et je répondais poliment :  » oui, oui  » avec un sourire un peu forcé et gêné. J’étais pas pressé mais j’avais eu ma dose de bla-bla pour la journée. Elle jeta un coup d’œil rapide dans le carton et se baissa pour ouvrir un placard. Mon hôtesse fit un peu de place et y mit le carton, non sans difficultés, avant que j’ai eu le temps de lui proposer de l’aider. La pauvre peina un peu et se redressa sur ses cuisses, cambrant bien son large derrière. Je matais un peu le panorama pour m’amuser : un cul terrible, bien rebondi, avec deux fesses circulaires et bien grasses. Sous le tissu léger (et plein comme un œuf) se dessinait ma foi un slip plutôt moderne, bien échancré. Elle se redressa d’un coup et ma tentative foireuse de regarder ailleurs ne lui échappa pas. J’espérais alors qu’elle n’irait pas dire à ma mère que son fils n’était qu’un petit vicieux…
La femme regagna alors son salon pour m’offrir un inévitable thé qui attendait en fumant doucement sur un plateau argenté, au milieu d’une table basse. Apparemment, elle devait regarder la télé avant que j’arrive. Je m’installai dans le canapé marocain et me retrouvais plus ou moins vautré contre le mur, malgré mes efforts, tandis qu’elle me servait. La femme s’installa à ma droite, relevant ses pieds sur les coussins brodés. Tandis qu’elle posait des questions bateaux sur ma petite vie, je ne pouvais m’empêcher de regarder ses pieds : petits, très finement dessinés, avec un peau dorée et légèrement ridée où couraient d’étranges arabesques tracées au henné. J’eus une brusque décharge d’adrénaline en me rendant compte que ses petits petons déclenchaient chez moi un début d’excitation ! Je revis un instant son cul en pensée et je dus changer légèrement de position pour cacher mon…trouble !
N’y tenant plus, j’osais approcher un doigt de ses pieds pour faire semblant de m’y intéresser. Je touchais un instant sa peau satinée et elle fut surprise mais ne retira pas son pied. Au contraire, elle se redressa et découvrit ses deux pieds en tirant sur son vêtement pour me les montrer et commença à m’expliquer la technique de tatouage. Je laissais courir mon index dessus pour faire semblant de suivre les dessins et je pris finalement son pied gauche entre mes deux mains, pour voir toutes ses facettes. Il était doux et chaud, avec une cheville un peu empâtée et des orteils courts et harmonieux. La plante était calleuse mais le dessus très délicat et soyeux. Elle ne semblait pas du tout gênée et me dit même :  » Ah, mes pauvres pieds, ils ne sont pas très beaux, j’ai été au marché ce matin… « . Profitant de l’invitation, je commençais alors à lui masser les pieds. Elle faillit dire quelque chose puis me fit un sourire un peu embarrassé. Au début, c’était un vrai massage relaxant, puis cela tourna aux caresses plus sensuelles. Mon hôtesse semblait vraiment apprécier et dit que ma mère avait bien de la chance d’avoir un fils aussi gentil. Ce qu’elle ne dit pas, c’est qu’elle avait aussi bien vu la bosse de mon pantalon qui enflait de plus en plus…
Alors que les minutes s’allongeaient et qu’elle se régalait visiblement, un driiing aigu et traînant vint rompre l’instant si spécial. Wahida (c’était son prénom) se releva subitement et disparut dans la cuisine, à mon grand désarroi ! Tant pis, le démon de l’électroménager venait de ruiner cet instant si étrange !
Quand elle revint cinq bonnes minutes après, la magie s’était envolée et je m’apprêtais à partir. En fait, elle revint avec des gâteaux et il semblait hors de question que je m’en aille sans en dévorer au moins la moitié. Nous mangeâmes en silence tandis que je la détaillais plus précisément : elle avait un visage rieur malgré les rides, de bonnes joues et de belles lèvres pulpeuses avec un léger duvet. Sa poitrine majestueuse se balançait sous un collier en or et elle avait aussi deux ou trois grosses bagues dorées à chaque main, avec un bracelet lourd et large au poignet droit. Sa robe était plus que remplie par toutes ses formes généreuses : elle était rondouillarde à souhait et je compris vite pourquoi en la voyant avaler plusieurs gâteaux assez rapidement !
Sans doute rassasiée, elle suça ses doigts innocemment et se mit à genoux sur la banquette à côté de moi pour me dire que mon massage lui avait fait beaucoup de bien et qu’à son tour elle allait m’en faire un. Avant que j’ai pu dire un mot, l’amie de ma mère dirigea une main vers mon pantalon et dégrafait les boutons de mon jean. J’étais tétanisé ! J’avais voulu faire le malin en lui caressant les pieds, mais là, c’est elle qui me prenait de court…Elle caressa quelques instants la grosse bosse dure à travers le slip puis l’abaissa pour découvrir ma queue, qui se releva un peu mollement et presque décalottée. D’un coup de poignet, elle la décalotta complètement et commença à me branler avec tendresse. Elle me soupesa ensuite doucement les couilles, les massant un peu, puis reprit son rythme soutenu, sa petite main agitant vigoureusement mon popaul radieux qui se dressait au-dessus de ma toison bien brune et bouclée. Wahida, l’amie de ma mère, était en train de m’astiquer le manche comme une pro …! Elle avait le coup de poignet agile et je me régalais du contraste de sa main tiède avec ses bagues froides et dures.
Me disant de ne pas bouger, elle se leva subitement et quitta le salon à pas feutrés. Elle revint rapidement, allumant la chaîne hi-fi au passage, avec un petit flacon à la main. La musique populaire marocaine qui s’éleva lui fit faire quelques petits pas de danse au cours desquels elle remua vivement son large et appétissant fessier sous mes yeux puis elle s’assit à mes côtés et ouvrit son flacon en me disant :  » C’est une huile spéciale pour le sexe des hommes. Elle parfume, fortifie et procure du plaisir supplémentaire « . Après quoi elle immobilisa ma queue d’une main et de l’autre, versa doucement le liquide jaune au sommet de mon gland. C’était chaud…et très visqueux, coulant lentement le long de ma bite. Une odeur verte et piquante se répandit et Wahida reprit ses mouvements. Je me laissai envahir par une sorte de moiteur chaude et délicieuse. J’avais presque l’impression que ma queue glissait dans le fourreau étroit d’une petite chatte bien humide. Mmm…même mes plus extravagantes branlettes fantasmagoriques n’avaient jamais été aussi bonnes ! !
On aurait pu continuer ainsi mais j’avais maintenant une sérieuse envie de l’enfiler bien à fond ou au moins de lui rendre la pareille (on est un gentleman ou on ne l’est pas…). Je lui fit comprendre et elle se tourna et se mit à genoux sur le canapé, relevant le bas de sa tunique haut sur ses reins. Là, bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle m’offrait son splendide cul de ménagère de moins de cinquante ans ! Wahida avait la peau caramel foncé et de belles fesses, certes imposantes, mais lisses, presque fermes et bien rondes. Je les palpais, les embrassai doucement pour goûter sa peau dorée…Ma queue n’avait pas débandé d’un pouce. Je ne sais si c’était dû à son huile ou à son postérieur affriolant et, après avoir baissé sa culotte bleue sur ses genoux, j’approchais finalement mon gland tendu vers sa petite chatte qui me semblait épilée. C’était une vraie fournaise ! Trempée et brûlante ! A peine avais-je commencé à m’enfoncer dans ses chairs lubrifiées qu’elle donna un grand coup de rein qui vint rebondir sur mon ventre : la cochonne avait avalé ma bite d’un coup, en poussant un petit cri en arabe. Elle se mit alors à onduler délicieusement du bassin et du cul, latéralement et verticalement, pour s’enfoncer ma queue sous tous les angles, en la ressortant bien à chaque fois presque entière avant de se la renfourner avec plaisir.
Je la laissais faire puis baissais le haut de sa robe, dégrafais son soutien-gorge, et libérais enfin ses deux gros seins qui tombèrent dans mes mains prêtes à les accueillir : doux, chauds et bien lourds. Je lui pinçai doucement les tétons, les faisais rouler entre mes doigts et lui malaxais sa grosse poitrine molle et tiède. Je vins aussi lui embrasser la nuque et lui mordiller l’oreille gauche. Mon hôtesse gémit et sa bouche vint rencontrer la mienne. Sa langue humide et agile m’électrisa. J’avais envie de la sentir sur ma queue, de voir ses lèvres charnues glisser le long de ma bite en laissant une petite trace humide. Mais je lui ferais rendre gorge plus tard, en attendant il fallait la clouer de plaisir…Je lui flattais alors les fesses avant d’empoigner ses hanches bien grasses pour fourrer d’un coup ma queue bien dure tout au fond de sa chatte. C’était le signal de départ d’une folle cavalcade : je la baisais alors à fond, comme un malpropre, venant gifler ses fesses de mes couilles à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; lui donnant toute ma bite épaisse jusqu’à la garde. Elle adorait visiblement ça et ses grosses fesses dorées amortissaient tous mes coups de butoir, l’onde de choc parcourant sa peau jusqu’aux épaules tandis que ses seins ballottaient comme en pleine tempête. Wahida gémissait de plus en plus fort eut son premier orgasme alors que je l’enfilais comme un soudard dans son canapé, la jupe retroussée et le cul bien à l’air.
Je la faisais se retourner et je me laissais doucement tomber sur elle pour me régaler de ses seins. J’enfonçais mon visage dans ses mamelles aux pointes tendues. Elle avait de très gros tétons marrons foncés et tandis que je les suçais elle mit la main dans mes cheveux, m’encourageant et m’ébouriffant tendrement. Après avoir léché ses seins pendant de longues minutes, je descendis lui faire des bisous sur le ventre, les hanches. J’écartais enfin ses cuisses bien dodues pour découvrir sa chatte : elle était épilée, mais les poils avaient un peu repoussé, et ses grandes lèvres grasses et bien dessinées étaient béantes et luisantes de mouille. Sa vulve était magnifique et je plongeais avidement vers elle. Mes premiers coups de langue furent divinement bons, sa chatte était très juteuse et sentait très fort, elle n’avait pas dû mouiller comme ça depuis des années. Je m’agrippais bien à ses cuisses et la dévorait goulûment, comme un fruit trop mûr. Ma langue râpeuse se régalait dans ses plis trempés, s’enfonçait dans son vagin, allait chercher son petit clito pour le titiller, le mordre, l’aspirer. J’étais comme un petit goret fouaillant la terre à la recherche de truffes, j’en avais partout et j’en voulais encore. Soudain, Wahida se mit à haleter, puis crier et les contractions serrées de son bassin me montraient qu’elle venait d’avoir son deuxième orgasme.
Je me relevais, elle ne bougeait presque plus, les yeux mi-clos, la tête penchée sur le canapé au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Je me mis à genoux sur un coussin, je lui écartais les cuisses et présentai mon gland à l’entrée de sa chatte trempée. Ses lèvres luisantes s’écartèrent doucement et ma bite rentra comme dans du beurre tiède. Sa chatte était très chaude et assez étroite, faisant comme un fourreau satiné et glissant qui se dilatait pour avaler toute ma bite. Je m’ amusais un peu, la sortant toute entière, pour frotter ses lèvres et son clito avec mon gland bien tendu avant de la renfourner gaillardement et de la bourrer sur un rythme modéré, mais bien à fond. Cela la réveilla et, plaçant ses mains dans le creux de ses genoux, elle releva bien les jambes en les écartant au maximum avant de jeter un regard gourmand vers mon membre noueux qui pistonnait vigoureusement son bas ventre en feu.
J’en voulais plus et je ressortis ma queue pour la guider d’une main vers son petit trou. Elle me regarda en me disant que ce n’était pas bien mais ses yeux semblaient dire le contraire. Je poussai doucement pour tester son refus mais elle ferma les yeux, se mordit la lèvre supérieure et ne dit plus rien. Mon gros gland semblait ne pas vouloir passer puis son anneau se détendit, se dilata et l’avala finalement. Je le vis disparaître avec plaisir dans son cul puis, après quelques petits allers-retours de préparation, je lui enfonçais toute ma bite dans le derrière. Elle gémit mais ne protesta pas. Je la ramonais alors de plus en plus vite et de plus en plus fort, et ma queue s’enfonçait sans ménagement jusqu’à la garde dans son anus bien dilaté. Je luis demandais vicieusement si elle aimait ça. Wahida avait les traits tirés et des mèches collées sur son front par la sueur. Elle me regarda dans les yeux et dit d’une voix rauque :  » Oh oui…continue ! « . Encouragé, j’accélérais la cadence et la vigueur de mes coups, venant rebondir sur ses fesses dodues en l’enculant bien à fond comme la dernière des pouffes.
J’en pouvais plus et il fallait que je décharge mon foutre qui bouillonnait dans mon bas-ventre. Je me retirais vivement et lui éjaculais alors sur le ventre et les seins en grognant de plaisir intense. N’ayant pas fait l’amour depuis des semaines, et malgré mes séances solitaires, j’avais les couilles bien pleines et plusieurs chaudes et copieuses décharges de sperme atterrirent autour de son nombril, sur son vêtement plié autour de sa taille, sur ses seins et même jusqu’à sa gorge. Tandis que je jouissais, elle étala ma semence sur son corps, comme une crème, se massant plus particulièrement les seins. Je m’effondrais à ses côtés, la caressant et l’embrassant doucement avant de m’endormir.
Je me réveillais une demi-heure ou trois quarts d’heure plus tard. J’étais seul et nu sur le canapé en U. Mes vêtements étaient soigneusement pliés sur la table de salon. Je repensais avec plaisir aux formidables instants que nous avions vécu. Wahida était la deuxième femme mûre avec qui j’avais pris du plaisir, après Murielle et son mari l’été d’avant. Je n’en revenais pas à quel point ces femmes pouvaient être savoureuses, loin de l’ennui ou de la perversité forcée des plus jeunes.
Elle revint me voir, sagement coiffée, habillée et remaquillée.  » Il faut que tu partes maintenant « , me dit-elle doucement,  » ma voisine Malika est une vraie langue de vipère et si elle te voit sortir de chez moi à cette heure, tout le quartier sera au courant demain « . Elle vint m’embrasser tendrement sur les lèvres et me dit  » Merci, mon petit gouar chéri, je n’avais pas fais l’amour depuis si longtemps… « . Je la quittais rapidement à regret et le soir maman ne manqua pas de m’appeler pour savoir si j’étais bien rentré.
 » Tu as été poli au moins chez Wahida ? « me demanda-t-elle.
 » Mais, oui, maman… « 

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