Elle ne se faisait pas prier, sans retenue elle sautait à sa taille pour l’embrasser. Se laissant aller totalement à sa pulsion, se livrant totalement à Martin, en lui donnant le pouvoir par ce lâché prise incontrôlé.
Martin l’agrippant fermement la plaquait contre le mur, leurs langues s’entrelaçaient sans discontinuer. Le corps entier de Laura était en ébullition, parcouru entièrement de frisson. Ce qui lui donnait des coups de froid, eux-mêmes coupaient par des coups de chaud provoqués par l’excitation. Ce sentiment était aussi bien dû à son irrépressible envie de regoûter aux charmes de Martin, que de braver l’interdit qui avait été fixé par Alexis.
Pendant un court instant Martin stoppa toute action, il avait collé ses lèvres à l’oreille de Laura.
— Tu sais ce que je ressens pour toi, mais je suis pas ton objet. Si tu me veux vraiment il va falloir faire des choix
C’est à peine si elle avait écouté ses propos, elle n’était de toute façon pas en état de réfléchir à cet instant précis. Elle reprenait sa tête pour pouvoir continuer à l’embrasser après lui avoir répondu haletante, « Oui oui mais après je te veux là maintenant ».
Elle arrivait dans le feu de l’action à ouvrir le bouton de son jean, baissait sa braguette, la ceinture tenant toujours le pantalon. Elle pouvait alors glisser sa main dans son entrejambe, baisser son boxer pour laisser apparaître le sexe de Martin dressé, symbolisant l’excitation qui l’avait gagné lui aussi.
Il finissait par la poser sur le meuble de son entrée, se retrouvant pile à la bonne hauteur. Sans qu’aucun des deux ne soit déshabillé, sans une autre once de préliminaire, Martin écartait avec sa main le string, totalement trempée par la mouille de Laura, pour la pénétrer sans aucune difficulté.
Rapidement elle ne pouvait résister sous les coups de reins virils de Martin elle craquait, se laissant à un nouvel orgasme puissant, dont le bruit était étouffé dans la bouche de son amant dont elle continuait à goûter la langue tout ce temps.
Elle était cependant loin du compte si elle pensait en rester là. Sans lui demander quoi que ce soit, Martin, la portait dans la chambre, le sexe toujours aussi dur remplissant sa chatte. Sexe qu’elle ressentait encore plus, l’orgasme ayant légèrement fait contracter vagin, ce qui lui faisait ressentir encore plus de sensation.
Une fois qu’il l’avait allongé sur le lit, comme si de rien n’était, il reprenait ses pénétrations à la fois puissante et tendre, le sexe de Laura ne mettait pas longtemps à se rouvrir, pour s’offrir complètement à Martin. Il était au-dessus d’elle, elle le regardait amoureusement, pleine d’envie. Les yeux de Martin eux naviguaient entre les yeux de Laura et son corps qu’il regardait avec envie. Elle en profitait pour parcourir son torse, qui était magnifié, par la position et l’action de Martin, ses pectoraux étaient sculptés. Elle se relevait pour les embrasser.
Elle avait l’impression de faire corps avec lui. Alors qu’elle embrassait allègrement son torse, Martin changeait de rythme. Il mettait alors des coups franc et profond, remplissant totalement la chatte de Laura. Il n’en fallait pas plus pour que Laura jouisse au bout de quelques coups de queue, toujours aussi vaillante.
Laura était essoufflée, légèrement transpirante. Elle n’avait pourtant pas fait grand-chose pour le moment. Seulement entre ses ressentis, l’intensité physique de l’acte elle se sentait aussi fatiguée qu’après une séance de sport. Martin avait pourtant décidé de ne lui laisser aucun répit.
Il retirait son sexe de sa chatte brûlante, pour pouvoir la retourner. Laura se retrouvait désormais sur le ventre. Elle n’avait plus aucune retenue, elle avait totalement lâché prise. Martin se positionnait pour, une nouvelle fois, enfoncer son sexe au fond de sa chatte. Laura ne pouvant retenir un cri de plaisir intense.
Cette position lui donnait une sensation incroyable. L’impression de sécurité, de se sentir femme, entre des mains viriles. Martin accélérait alors le rythme, il était, cette fois-ci, littéralement en train de la baiser. Laura ne pouvait imaginer qu’une simple position pouvait changer tant de choses.
Martin continuant de la baiser sans relâche jusqu’à ce qu’elle pousse un troisième râle, encore plus fort que les deux précédents, intensifié par la coulée chaude de sperme qui l’envahissait, Martin ne pouvant cette fois-ci plus se retenir. Il se retirait alors de Laura pour aller sous la douche. Elle ne tardait pour le rejoindre. A peine rentrée dans la douche elle se collait contre lui, embrassant son cou. Ses mains parcourant son corps, touchant par sans faire attention, la queue encore à moitié dressée de Martin.
Malgré tous les plaisirs qu’elle venait d’avoir, elle ne pouvait résister à finalement goûter sa queue. Elle lui avait donné tant de plaisir, elle voulait la sentir dans sa bouche, la lécher. Elle descendait lentement, prenant le soin d’embrasser chaque partie du corps de Martin qui passait sous ses lèvres.
Elle arrivait au niveau de son sexe. Elle commençait par le caresser, il était encore brûlant de toutes les pénétrations qu’il venait de réaliser. Sans hésitation elle avalait sa queue tout entière, provoquant un recul de Martin qui se collait à la paroi de la douche. Son corps tout entier s’était contracté. Elle le suçait, avec une telle envie, elle adorait le goût de sa queue.
Après de longues minutes elle réussissait à le refaire jouir, avalant sans la moindre hésitation tout que Martin avait encore à lui donner. Sans même y penser et elle trouvait ça loin d’être désagréable. Pourtant jamais, quelque temps plus tôt, elle n’aurait pu imaginer avaler du sperme. L’idée lui aurait paru répugnante, et avilissante. A cet instant pas du tout.
A aucun moment dans tout cela elle ne pensait à Alexis. Seulement elle avait brisé la règle de base, tout en réalisant des pratiques que jamais elle n’aurait faites avec lui, ou qu’elle n’oserait pour l’instant lui avouer. Elle ne se posait pas la question pour le moment.
Ce qu’elle n’entendait pas, ni même ne se doutait, trop obnubilé par la queue de Martin, c’est qu’au même moment son téléphone sonnait plusieurs fois, Alexis s’inquiétant de ne pas la voir rentrer. La réalité allait vite la ratt****r…
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