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ma nouvelle femme me fais cocus

ma nouvelle femme me fais cocus



Voici un texte qui date des débuts d’internet…
Eh déjà des cocus à l’époque…
Les textes sont plus professionnels now.
Les cocus ont fait des progrès d’écriture..!

Ma nouvelle épouse me fait cocu
Par WimpHub
J’ai rencontré Julie il y a tout juste un an dans un café, nous avions 19 ans. La première chose que j’ai remarqué, mis à part son beau visage et ses long cheveux noirs, c’était sa silhouette bien – balancée ». Elle portait une mini-jupe qui laissait entrevoir bien des délices et de magnifiques cuisses fuselées. C’était une fille comme je me les imaginais dans mes rêves et mes désirs. Étant moi-même plutôt petit, et sans intérêt majeur je doutais qu’elle s’intéresse à moi, mais je lui ai parlé quand même, et elle fut très amicale.
La deuxième chose que j’ai tout de suite remarqué chez elle c’était son honnêteté. La suite me confirmerait qu’elle dirait toujours la vérité, et très ouverte même au risque de blesser. Elle est incapable de mentir par omission. Avec le temps il me parut évident que c’était la femme de ma vie. Je lui ai donc proposé le mariage, et elle a accepté.
J’ai donc rencontré sa mère, Jeanne, et sa sœur Jessica. Jeanne était une femme magnifique, cheveux bruns, mais taillés plus courts que Julie. Elle avait un beau visage, mais d’une telle rigueur qu’elle m’effrayait un peu.
Jessica était aussi grande que sa sœur, avec des cheveux blonds, et un visage étroit. Elle me regardait sans être impressionné, il y avait même un air léger d’ironie. Cela me donna l’impression qu’elle pensait que je ne convenais pas à Julie. Mais Jeanne accepta le mariage.
Juste avant le mariage Jeanne et Jessica vinrent me voir.
– Je ne pense pas que tu sois assez viril pour ma fille » me dit Jeanne, – c’est une fille passionnée, qui a besoin d’un vrai mec. D’ici un an je parie qu’elle aura
besoin d’en trouver un. »
– plus vite que ça même » susurra Jessica. – Je parie qu’il sera cocu avant même que l’encre soit sèche sur son certificat de mariage ! », les deux femmes rirent de bon cœur.
Malgré ces sournoiseries j’avais confiance, je voulais rendre ma femme heureuse, même si cette période de fiançailles fut particulièrement difficile. Nous avions eu Julie et moi des expériences sexuelles, mais Jeanne avait insisté sur le fait que nous ne devions pas avoir de relations sexuelles avant le mariage. Cela n’a pas empêché que je puisse lui donner quelque plaisir avec ma langue entre ses cuisses. J’y ai passé des heures, mais elle refusait absolument de me rendre le compliment. Elle ne me vit
donc jamais nu pendant cette période, et elle n’avait même jamais touché mon sexe. Lorsque je protestai elle me menaçait d’annuler le mariage. J’ai passé bien des nuits à me masturber pendant ces six mois pour atténuer ma frustration.
Le grand jour est arrivé, et le mariage s’est bien passé. Nous étions dans notre chambre d’hôtel pour notre lune de miel. Ma femme, nue, somptueuse était au lit avec moi pour la première fois. C’était pour moi le début de quelque chose de particulier, et rien ne pouvait mal se passer.
Mais ce fut un désastre.
J’étais si excité qu’aussitôt après avoir pénétré Julie j’ai éjaculé. Avec son honnêteté désarmante, Julie ne perdit pas de temps pour me faire savoir qu’elle trouvait ma performance pathétique. Elle ajouta tout de go qu’elle trouvait mon sexe si ridiculement petit qu’elle ne pourrait rien sentir.
J’ai argumenté en disant que c’était la première fois, que les choses iraient en s’améliorant lorsque nous nous habituerions l’un à l’autre. Mais la nuit suivante le résultat fut identique, ce qui mit Julie très en colère. Pour tout le reste de lune de miel le sexe se résuma pour moi à lécher sa chatte pendant des heures jusqu’à ce qu’elle jouisse, ma récompense étant une masturbation rapide de deux minutes de sa main.
Lorsque nous rentrâmes nous emménageâmes rapidement dans notre nouvel appartement. J’étais optimiste, les choses allaient s’améliorer.
Julie me donnait des preuves d’amour, sauf lorsqu’il s’agissait de sexe. A la porte de l’appartement ce jour-là il y avait deux jeunes noirs, Alain avait 20 ans environ et son frère John, 17. Ils vivaient dans l’appartement d’en face avec leur père divorcé. Ils étaient grands, bien foutus, très musclés.
J’ai tout de suite remarqué les yeux de Julie qui s’illuminaient.
– Regarde John » dit le plus vieux en regardant ma femme tout en m’ignorant, – voilà que nous avons une vraie belle femme juste en face ! »,
– oui c’est vrai » répondit le plus jeune très enthousiaste.
– Salut les gars » dit Julie très amicale,
– Je m’appelle Julie, et voici mon mari Michael.
Ils se serrèrent la main tout en m’ignorant. Ils discutèrent un court instant avant que les deux frères ne partent, en disant qu’ils espéraient bien revoir Julie très bientôt. Alain saisit Julie par les épaules et déposa un baiser sur ses lèvres. Au lieu de le repousser ma femme lui répondit chaleureusement, et elle réagit de la même manière
lorsque le jeune frère l’embrassa aussi.
Alors que Julie entrait dans
l’appartement, Alain me retint par le bras et me dit :
– Désolé de gâcher ta petite fête mec, mais mon frère et moi on va bientôt s’envoyer ta jolie petite femme… »,
– oui très bientôt » ajouta son frère,
– et tu ne pourras
rien y faire, parce qu’elle va aimer ça ! », puis ils s’éloignèrent tous les deux en riant.
Lorsque j’entrais dans l’appartement Julie me dit :
– ces deux mecs sont mignons ! »
– Je ne pense pas que tu devrais faire ami-ami avec eux » lui dis-je, – je
n’aime pas la façon qu’ils ont de te regarder. ».
– Ils me regardent parce qu’ils veulent me baiser Michael » répondit-elle candidement, – et je parie qu’ils ont tout ce qu’il faut pour le faire proprement. Tu ne les att****rais pas à lécher la chatte de leur femme parce qu’ils n’arrivent pas à la
satisfaire ! », sa remarque me blessa cruellement.
– Tu devrais prendre en considération » commençai-je,
– je te suggère de parler d’autre chose » répondit-elle froidement, – je ne crois pas que tu aimerais ma réponse. »
J’essayai de ne plus y penser tout en sentant la jalousie faire son chemin.
Les deux premières nuits dans notre nouveau foyer se passèrent avec moi léchant sa chatte, et la remerciant de la masturbation rapide qu’elle me procurait. Le second matin Julie fut adorable en m’embrassant avant que je ne parte au travail. Elle portait encore sa chemise de nuit transparente, et je me souviens avoir pensé que j’aurais peut-être bientôt la chance de pouvoir la pénétrer à nouveau.
Lorsque je suis rentré le soir, Julie était couché dans le canapé en peignoir de bain. Elle se leva pour m’embrasser tendrement.
– Pourquoi n’es-tu pas habillée ?” demandai-je.
– J’ai pensé que c’était mieux que je prenne un bain avant que tu rentres » répondit-elle.
– Pourquoi ? » insistai-je,
– Parce que j’ai baisé » m’annonça-t-elle triomphalement, – je veux dire
proprement baisé, par ce beau mec en face, Alain… »
Je n’en croyais pas mes oreilles, je sentais mes jambes plier sous moi.
– Tu veux dire qu’il t’a violé ? » ai-je demandé.
– Non » dit-elle souriante, – Je le voulais, et il ne m’a pas déçu. »,
– qu’est-ce qui s’est passé ? » ai-je demandé en ne voulant pas savoir, mais en ayant besoin de savoir.
– Eh bien, je suis rentré des courses, et je suis tombé sur Alain, on a discuté, je l’ai invité pour le café. On buvait le café dans la cuisine quand Alain a laissé tomber sa tasse, qu’il m’a pris dans ses bras et il a commencé à m’embrasser. J’ai senti sa langue entrer en moi pendant qu’il me caressait le cul. »,
– et tu ne lui as pas demandé d’arrêter ? » ai-je dit,
– Bien sûr que non ! J’aimais ça. Puis il m’a dit que tu devais avoir une petite queue, j’ai rigolé, je lui ai demandé comment il le savait. Il m’a dit qu’il en avait vu plein comme toi avant, et qu’ils avaient tous des petites queues. Il a ouvert sa braguette, a pris ma main, et l’a enfoui dans son caleçon. Et j’ai senti cette bite si grosse, et si dure ! Je l’ai caressé pour qu’il soit bien en érection, elle était énorme, au moins 25 centimètres tu vois ! »,
– tu aurais dû arrêter là » lui dis-je.
– Ne m’interromps pas » hurla-t-elle, – je lui ai dit que je trouvais sa queue magnifique, et il m’a demandé de m’agenouiller, me disant que j’aurais une meilleure vue. Je l’ai fait, ai sorti sa bite du caleçon, l’ai embrassé plusieurs fois, et je l’ai prise dans ma bouche. Elle était si dure, si épaisse, mes lèvres glissaient sur elle. Au bout d’un moment il m’a demandé de me relever, m’a poussé doucement vers le mur, en me disant de me déshabiller. »,
– et tu l’as fait ? » ai-je dit incrédule,
– comme l’éclair, j’étais mouillée, si excitée j’aurais fait n’importe quoi, il s’est mis à genoux en m’excitant avec sa langue sur ma chatte, il est bien meilleur que toi à ce
jeu, il m’enflammait littéralement. Puis il s’est levé, et m’a dit qu’il devait peut-être partir.
– Et il est parti ? » ai-je dit avec espoir.
– Tu plaisantes ? », elle rit, – je l’ai supplié de m’enfiler avec sa grosse queue noire. Je lui ai dit que je devais la sentir. Lorsqu’il l’a enfoncé je sentais sa rigidité, ma chatte était grande ouverte, je ne peux pas te dire comme c’était bon, et il a commencé à me baiser, j’avais l’impression d’être au paradis. Je criais, je jouissais, le suppliant de ne pas s’arrêter, j’avais mes bras autour de son cou pendant qu’il s’enfonçait en moi, mes jambes ne me soutenaient plus avec ce plaisir si intense que je sentais en moi, puis il a accéléré, j’ai hurlé, vraiment, j’ai eu l’orgasme le plus
incroyable que j’ai jamais eu, je te jure, je sentais son foutre qui giclait fort en moi, c’était absolument incroyable ! »,
– Puis qu’est-ce qui s’est passé ? » demandai-je misérablement.
– Lorsque j’ai retrouvé mes esprits il m’a embrassé, et m’ dit qu’il me reverrait bientôt » m’expliqua-t-elle.
– Mais tu ne laisseras pas ce truc là se reproduire » lui dis-je.
– Mais j’y compte bien » dit-elle en riant, – il va parler à son frère et à son père de ma petite chatte, en leur disant que je compte bien sur une visite de leur part aussi ! »
– Mais je ne peux pas supporter ça, ça ne peut pas se produire » dis-je.
– Ben tu peux essayer de les arrêter » se moqua-t-elle, – mais tu n’auras pas beaucoup de chances d’y arriver. Tu peux avoir une femme heureuse, je serais une bonne épouse pour toi si tu fais une croix sur le sexe. »
Julie me refusa tout sexe ce soir-là au lit, et je m’endormis dans un sommeil troublé. Le lendemain Julie m’appela au travail.
– Le jeune frère d’Alain m’a appelé juste après ton départ » m’expliqua-t- elle, – il dit qu’il vient me voir cet après-midi et que je dois être nue, tu peux croire à cette arrogance ? »,
– qu’est-ce que tu as répondu » lui ai-je demandé.
– Je lui ai dit de ne pas être en retard » rigola-t-elle.
– Pourquoi me racontes-tu ça » demandai-je exaspéré.
– Je veux que tu rentres à la maison plus tard » me dit-elle, – il dit qu’il veut passer tout l’après-midi dans notre lit avec moi, et que je n’aimerai pas que tu me voies
Je pouvais l’entendre essayer d’étouffer son rire à l’autre bout du fil.
J’ai fait comme elle m’a dit , je n’avais guère le choix, et je l’ai retrouvé dans son peignoir de bain en rentrant.
– Quelle après-midi » me dit-elle enthousiaste en m’embrassant tendrement. – Il s’est étendu nu sur le lit, et j’ai dû l’embrasser et le lécher partout, il est encore plus dominant que son frère ! Différent, mais c’est bon. Il m’a baisé trois fois dans notre lit, puis j’ai dû le sucer juste avant qu’il ne s’en aille.
Elle me raconta tout cela avec un grand sourire sans même voir la douleur sur mon visage.
Cette fois encore la nuit fut sans sexe, j’eus juste droit à un baiser léger.
Le jour suivant après le boulot je ne savais pas ce qui m’attendait en rentrant à la maison. Julie portait la chemise de nuit noire très courte, celle que je préfère, et je me suis dit qu’enfin j’aurais peut-être droit à une séance de rattrapage.
– J’ai rencontré leur père aujourd’hui » me dit-elle, – il est sympa, beau comme ses garçons, on a discuté un peu pendant qu’il me caressait la chatte, mais il m’a dit qu’il n’avait pas le temps de m’apprécier à ma juste valeur et qu’il viendrait ce soir. Il va rester toute la nuit, alors je t’ai descendu des couvertures et un oreiller pour que tu puisses dormir sur le canapé. »
– Mais je ne ferai pas ça » ai-je explosé.
– Ne recommence pas » répondit-elle calmement, – tu sais que ça va arriver que tu apprécies ou non, alors habitues-toi ! »
Lorsqu’il arriva, ils s’embrassèrent, et s’assirent sur le canapé, Julie me demanda de leur préparer le café. Lorsque je revins ils s’embrassaient passionnément pendant qu’il caressait le haut de la cuisse de ma femme.
– Pourquoi tu ne me tâtes pas un peu » dit-il à Julie, – tu pourrais montrer à ton mari comme tu as envie ce soir ! »,
– bien sûr » répondit-elle tout en sortant sa grosse queue de son pantalon.
C’était la première fois que je voyais une des queues qui me faisaient cocu, et ce fut un grand choc. Je n’en avais jamais vu de cette taille, et j’ai su tout de suite que je n’avais aucune chance dans cette compétition. J’ai entendu Julie gémir pendant qu’elle caressait cette queue d’ébène.
– N’est-elle pas magnifique Michael » me dit-elle, – elle est encore plus grosse que celle des garçons ! »
Je voyais bien qu’elle n’arrivait pas à se retenir, et elle ne fut pas longue à l’emmener dans notre chambre. J’ai étendu les draps et la couverture sur le canapé, et je me suis préparé à une nuit blanche.
Ce fut calme à l’étage au début, puis j’ai entendu le sommier craquer, suivi d’un cri de plaisir puissant de ma femme. Il devenait de plus en plus fort au fur et à mesure que ma femme sentait s’introduire en elle cette queue énorme.
Cela me rendait malade, je la voyais mentalement en train de se faire défoncer. Je me suis réveillé plusieurs fois, à chaque fois j’entendais le même cri de plaisir de ma femme.
Le lendemain matin Julie descendit, dit au revoir à Joe, et entra dans la
cuisine ou je faisais le café.
– Mon Dieu » rigola-t-elle, – il a presque 50 ans, mais sa queue est énorme, et il est inépuisable… »,
– je ne veux pas vraiment entendre ça » me plaignis-je.
– Désolé Chéri » répliqua-t-elle, – je devrais avoir réalisé que c’était humiliant pour toi de savoir que ta femme prend son pied avec d’autres mecs. Je serai plus diplomate, et je le garderai pour moi. Il ne s’est rien passé. », puis elle m’embrassa en disant au revoir.
Aucune chance de prétendre qu’il ne s’était rien passé lorsque je suis rentré ce soir-là. A la porte j’ai entendu ce bruit familier de ma femme en extase. Je suis entré et j’ai été glacé par ce que j’ai vu devant moi.
Julie était à quatre pattes au milieu de la pièce complètement nue. Derrière elle, nu également, Alain, qui la baisait à fond. Assis dans un fauteuil John qui se branlait doucement, et on voyait luire le bout de sa queue, ce qui m’indiquait qu’il avait eu son tour avec ma femme.
Au bord des larmes je faisais demi-tour, lorsqu’Alain m’arrêta.
– Reste-ici » ordonna-t-il. – Je veux que tu voies ce que tu rates. Dis à ton mari à qui tu appartiens salope ! »,
– Je t’appartiens à toi, et à John, et à ton père » murmura-t-elle, – je suis désolée Michael, mais je ne peux plus me passer de leurs queues maintenant, je ferai tout ce qu’ils veulent. »,
– ça comprend le fait d’interdire toute relation sexuelle à ton mari non ? » continua Alain,
– Oui chéri », Julie pleurait, – j’ai promis que tu ne pourrais plus jamais me baiser, je ne goûterai plus jamais à ta petite queue blanche.
Les deux jeunes rirent en voyant mon expression incrédule. Je restai là pendant qu’Alain continuait à baiser ma femme, pendant qu’elle lui disait comme elle aimait ça, en le suppliant de jouir, et de la faire jouir comme son frère l’avait fait juste avant. Puis Julie hurla en sentant qu’il se vidait en elle et qu’elle jouissait.
Alain la fit mettre sur le dos, et m’ordonna de venir la lécher et de boire le foutre qu’ils avaient déposé dans sa chatte.
– c’est ça chéri » m’encouragea-t-elle, – avale, tu le feras à chaque fois qu’ils me baisent maintenant »,
– ou sinon….» menaça John.
– Tu veux bien faire une chose pour moi » demanda-telle à Alain en allant à ses pieds,
– Fais-le sucer et nettoyer vos queues, j’aimerai voir ça ».
Les deux hommes me forcèrent à m’agenouiller, et m’ont fait sucer leur foutre, et le jus de ma femme sur chacune de leurs queues. Julie riait.
– Julie tu mets une robe et rien d’autre, tu viens avec nous. Tu vas passer la nuit avec nous trois pour qu’on fasse de toi une accro des belles queues noires. »,
– mais c’est déjà fait » sourit ma femme, – mais je ne me plains pas, passer la nuit avec ces trois belles bites, ça c’est le paradis. ».
Julie enfila sa robe, et vint m’embrasser.
– Bonne nuit Chéri » dit-elle chaudement, – je reviens à l’aube avec ton petit déjeuner entre mes cuisses », ils rirent tous les trois me laissant seul.
Le lendemain j’ai appris que je devais me déplacer d’urgence samedi pour
un problème, Julie ne parut guère concernée.
– Ça se passera bien » dit- elle, – Joe et les garçons vont prendre soin de moi, ce n’est pas comme si j’allais manquer de queues pendant que tu n’es pas là n’est-ce pas ? » elle rit de sa remarque.
Comme je devais m’absenter, Julie dit qu’elle me ferait un cadeau cette nuit. Nous entrâmes nus dans le lit, elle m’embrassa passionnément et je sentais son corps doux et chaud qui se pressait contre moi. Je sentais ses seins, les poils de sa chatte qui chatouillaient ma queue. Je bandais rapidement, et montais sur ma femme en me préparant à la baiser. Elle me repoussa brutalement.
– Comment peux-tu oser ? » cria-t-elle, – tu sais très bien que tu n’es pas autorisé à me baiser. Je te fais un cadeau en t’autorisant un beau baiser, et des caresses, et c’est comme cela que tu me remercies ? Dieu seul sait ce que mes amants vont dire de ça quand je vais le leur raconter. »,
– je suis désolé » plaidais-je, – j’ai fait erreur sur tes intentions. »
Le lendemain Julie était tout sourire en me voyant.
– Je vais te manquer ? » ai-je demandé après l’avoir embrassé.
– Pas pour le moment » répliqua-t-elle avec son honnêteté brutale, – je serai trop
occupé à satisfaire mes trois mecs.
Je suis parti assez déprimé. Je l’appelai chaque soir pour savoir comment elle allait. J’avais systématiquement le répondeur, et je laissai un message. Je n’eus aucune
réponse, et j’imaginai chaque nuit ce qui se passait avec ma femme.
Lorsque je suis rentré le vendredi suivant, ma femme était encore capable
de me choquer.
Julie était dans son peignoir de bain. Mais elle avait les cheveux courts, et
teints en blonds.
– Mes amants m’aiment comme ça” m’expliqua-t-elle, « et ce n’est pas le seul changement, agenouilles-toi”, je me suis agenouillé automatiquement.
Julie ouvrit son peignoir me révélant sa chatte toute rasée de frais.
– Mes amants aiment ça aussi » rit-elle, – et que vois-tu d’autre ? », juste au-
dessus de sa chatte, je voyais tatoué le nom de ses trois amants l’un au dessus de l’autre avec un petit cœur rouge à chaque nom.
– C’est le souvenir permanent des trois hommes qui ont fait de moi une vraie femme. » m’expliqua Julie. – Pendant que tu es là, tu peux avaler leur foutre qu’ils viennent de laisser, puis on ira s’asseoir, et je vais te parler des quelques petits changements que l’on va faire…. »
Pas de suite…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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