Les protagonistes :
– Votre serviteur (Voir les 2 histoires précédentes)
– Ma petite femme (Voir les 2 histoires précédentes)
– Simon, le fils ainé de ma femme, (voir histoire précédente)
– Jean : (Voir l’histoire précédente)
– Les parents de Jean :
o Lui : un étalon à la retraite, ça se voit, la petite soixantaine, très très bien conservé. 1m80, 80 Kg, très musclé. Une petite barbichette blanche lui donne un air de village People sous ses airs de machos.
o Elle : une belle femme d’environ 57/58 ans. On a envie de la manger, environ 1m75 pour 70 kg je dirais, belle poitrine et un bon gros cul de femelle comme je les aime.
Les lieus :
– Propriété de votre serviteur
– Maison des parents de Jean
L’histoire :
Après l’après-midi du vendredi que nous avions passé, enfin surtout moi, nous avons jardiné toute la journée de samedi pour nous vider la tête, c’était très agréable, surtout de voir ma petite femme en petit short moulant se démener dans tous les sens. Du coup, je matais plus son cul que je ne m’affairais à l’entretien de notre jardin.
Le soir arrivé, au moment de se coucher forcément, j’étais hyper chaud, Pat ne demandait pas mieux et je me retrouvais rapidement ma bite dans sa bouche de suceuse.
Elle savait y faire, allant et venant, léchant mes burnes et remontant ma tige. Je décidais de lui rendre la pareille en lui broutant sa grosse chatte poilue. Je l’adorais, elle sentait un peu fort et je pouvais y tourner ma langue pendant de longs instants. Je trouvais toujours un petit coin où elle n’était pas allée et cela se ressentait sur ma vieille cochonne qui couinait de plaisir.
Après ces longs préliminaires, je décidais de la pénétrer, elle mouillait beaucoup, sa mouille commençait à couler sur ses cuisses. Pour ne rien en perdre, je lui lubrifiais le fion en prévision d’une prochaine sodomie.
Elle me dit en couinant :
– Viens, baise moi
Je m’exécutais et commençais à la prendre en relevant ses fesses et en mettant ses chevilles sur mes épaules.
Après 5 minutes de ce régime, je fis un bond en entendant derrière moi :
– Je peux me joindre à vous, ma soirée a été annulée !
C’était Simon, l’ainé de Pat qui venait d’entrer dans notre chambre !
En continuant à limer sa mère, nous lui dimes en cœur :
– Oui pas de soucis chou, vient
Il n’avait qu’un boxer sur le corps et une bosse gigantesque. En enlevant son boxer, son gourdin se libéra et je me sentais comme un fou ! Sa mère aussi, je le sentais, elle était de plus en plus humide et chaude.
Il posa sa bite sur la bouche de sa mère et celle-ci l’attrapa sans rechigner mais manqua s’étouffer tant elle était turgescente. Je continuais à butiner Pat mais désirais moi aussi cette grosse queue.
Il le voyait parfaitement et me lança :
– Toi aussi tu en aura beau-papa, ce soir vous allez être mes deux salopes !
Il enleva son organe de la bouche de mommy et se leva et commença à me tapoter les joues avec son brakmar. Je fini par l’att****r et à commencer à le sucer goulument.
– Oh putain, on pourrait quand même lancer un débat sur qui suce le mieux entre les mecs et les filles ! je me pose des questions !
Philosopha Simon en enfonçant son membre dans ma bouche et maintenant ma tête. J’étais parti en gorge profonde, je le sentais se durcir encore plus.
– Arrête, sinon je vais venir ! Gémit-il.
Pendant cette super pipe, Pat couinait et se contractait sous mes va et vient, je la sentais prête à venir, je me calmais.
– J’ai préparé le cul de ta mère, on va la prendre en double. Je te laisse ma place et je commence à l’enculer.
– OK
– Oh les garçons, oui, prenez-moi, gémit mon adorable salope.
Simon se mis sur le dos, Pat lui monta dessus et enfonça assez facilement son pieux dans sa foune toute humide, le gigantesque outil se glissa sans mal.
La fougue de la jeunesse le fit commencer les va et vient.
– Eh doucement, arrête de bouger sinon je ne pourrais pas la pénétrer
– Pardon beau-papa
– Allez, je t’encule mon cœur !
– Hum, gémit ma vieille pute.
Son fion était suffisamment dilaté, j’avais bien bossé, je guidais ma queue jusqu’à son petit orifice et commençait par mon gland doucement puis une fois bien entré, je poussais un peu plus et introduisit tout mon chibre dans cette caverne de plaisir.
– C’est bon on peut y aller !
Et nous reprîmes en rythme et la baisons comme ça pendant ce qui me semblait une éternité tellement c’était bon. Je pelotais ses nichons pendant que Simon lui bouffait les tétons.
Nous n’en pouvions plus et je me retirais et mis ma queue sur la bouche de ma femme. Simon en fit autant et 30 secondes plus tard, nous nous déchargions sur mon adorable cougar.
Quel pied ! Je mis ma queue dans sa bouche pour qu’elle me nettoie, le bout était un peu marron.
– Hum, j’aime bien le gout de mon cul !
– Maman, décidément tu es une vraie salope
– Et vous deux des beaux enculés !
Je l’embrassais goulument pour prendre aussi du foutre.
Nous nous reposons un temps en discutant de l’anniversaire des jumeaux qui se ferait environ mi-aout, dans un gros mois, quand ils seraient rentrés de vacances de chez leur père.
Mon téléphone vibra, un SMS :
– Trop envie de ta grosse queue grand frère. Signé : les jumeaux
Je souris, je me doutais qu’ils n’enfilaient pas que des perles dans leur dépendance, pourtant 120m² à trois, ils ne se marchaient pas dessus.
– Qu’est-ce que c’est demanda Pat.
– Erreur de destinataire
– Ah ok
Elle se tourna et parti dans un sommeil profond, elle était rincée
Je montrais le SMS à Simon, qui rougit. Je lui dis que je m’en doutais mais que j’aurais aimé avoir la primeur du petit cul de cette petite fiotte d’Alexandre.
– Tu veux dormir avec nous ? Le lit est assez grand
– OK
Nous nous endormîmes et furent réveillé au petit matin où Simon s’occupa parfaitement bien de nos culs. Ça commençait à me chauffer terriblement, je pense que je vais devoir faire une petite pause de ce côté-là.
Après le petit déjeuner que nous avons pris tous les 3 à poil, mon téléphone sonna, c’était ma petite lope de Jean. A sa voix, je sentais que ça n’allait pas. Il s’était encore pris la tête avec ses parents qui n’acceptait pas son homosexualité débridée.
Je lui dis que je passerais boire l’apéro et discuterais un peu avec eux, je les connaissais un peu, c’était des gens intéressants.
Je pris une douche et me mis en route, laissant Pat et Simon, je pense que ma cochonne allait encore prendre dans la journée.
Après environ 1h de route, j’arrivais à la maison de Jean. Une très belle demeure bourgeoise avec un parc arboré et un joli coin piscine, bien isolée. Je sonnais.
Madame m’ouvrit et me reconnut comme le beau-père de Simon, je leur dis que je venais suite à un appel de Jean. Elle ne comprit pas mais elle me fit entrer pour que nous en discutions.
Je sentis une réelle tension dans la maison, entre Jean et son père surtout. Je sentais madame plus ouverte, c’était une maman. J’allais l’utiliser comme alliée.
Jean nous a amené une bonne bouteille de whisky et nous bûmes un verre. Je brisais la glace en expliquant ma venue, pour « défendre » leur fils. Après des échanges un peu houleux, il n’était pas homophobe, mais n’appréciait pas plus que ça les LBGT.
Ce qui le gênait le plus c’était la sexualité débridée, je me dis que j’allais taire le vendredi après-midi au sauna avec le grand danois !
S’il avait un petit copain et se casait, cela conviendrait à son père, enfin il l’accepterait plus facilement, mais là, il suçait des bites à tout va !
Je lui expliquais que c’était normal à son âge, qu’il se cherchait et pris mon cas en exemple, lui expliquant que j’étais totalement bi mais que j’avais au final fondé une famille etc. Bon je taisais un peu les sorties au sauna, la baise en famille et les partouzes mais l’idée était là non ?
En discutant, la bouteille descendait beaucoup et la température montait. Mme s’excusa et dit :
– Si ça ne vous dérange pas, nous pourrions continuer au bord de la piscine, je vais enfiler un maillot
– Pas du tout madame
– Met le petit bikini rose chérie !
– Met c’est un string en bas Charles !
– Je ne pense pas que ça gênera monsieur, dit-il en me lançant un coup d’œil.
L’ami Charles était passablement éméché, j’avais eu la main lourde sur certaines doses et il se désinhibait et avait l’alcool joyeux. C’était vraiment une très très bonne chose.
Nous nous dirigions vers la piscine. Jean était déjà en boxer et commençait à rentrer dedans pour dissimuler un début de bosse.
Charles bu encore un verre et se déshabilla complètement. Il était sacrément conservé, un corps musclé sous ses quelques poils poivre et sel. Une très belle queue qui commençait à monter.
– Je pense que je vais vous laisser maintenant, et je fis mine de partir, sachant que ce n’était pas mon intention, j’étais là où je voulais être !
– Non non restez, dit-il en se rapprochant, enlevez vos vêtements, je vais vous aider à enlever le bas.
J’en étais sûr, il était complètement refoulé, je ne sais pas si c’était l’alcool, la chaleur, le contexte, un mélange de tout ça, mais nous étions sur la bonne voie.
J’enlevais le haut et il m’arracha presque complètement mon bermuda. Je n’avais pas mis de sous vêtement, pour gagner du temps et parce qu’il faisait encore particulièrement chaud.
– Je vois que je te fais de l’effet, hein ma salope !
– Charles, vous êtes saoul je crois
– Non je vais très bien et grâce à toi, tu veux me sucer, comme tu suces mon fils ? Je sais que vous baisez ensemble, je ne suis pas né de la dernière pluie ! On va bien s’amuser !
Je le regardais mieux, il avait une sacrée bite, presque aussi grosse que celle de Simon, un peu moins longue, mais encore plus large. Ça y’est je bandais !
Jean n’avait pas perdu une miette de cette conversation et remontait vers nous, j’étais à genoux et je commençais à pomper son père.
– Tu vois papa, c’est bon non ?
– Oh oui mon petit chéri, je suis désolé de m’être emporté comme ça. Tu veux sucer ton vieux père aussi ?
Nous restions interloqués mais j’étais du coup terriblement excité.
– Oui vient vers moi Jean, et aide moi à faire monter ton père !
Au moment où Jean se mettait à genoux, Odile, c’était le prénom de la maman de Jean nous rejoins. Elle mit ses mains sur sa bouche et poussa un petit cri d’effroi.
Je mis la bite de son père dans la bouche de Jean et me précipita vers Odile pour la retenir, pensant qu’elle allait vaciller.
– Ça va aller Odile ?
– Mais mais, mais voyons, non ça ne va pas, mon fils est en train de sucer son père !
– Tu devrais venir aussi maman, la queue de papa est vraiment trop bonne !
– Allez viens chérie, c’est une bonne façon de régler tout ça et de passer à autre chose ! ajouta Charles
– Voyez ça comme une thérapie.
– D’a.. d’accord alors
Elle se pencha vers son mari, à côté de son fils et commença à lui sucer la queue. La mère et le fils savait y faire. Je me mettais à genoux et enlevait le maillot de madame. Elle avait un très beau corps, bien conservé, la chatte parfaitement rasée.
Je relevais un peu ses fesses et me mis sous elle pour lui bouffer son petit minou tout lisse. Il était assez aseptisé, mais en cherchant avec ma langue, je trouvais des cavernes inexplorées qui firent bien couiner madame.
– Jean, viens me sucer ma petite salope
– Oui Monsieur V.
Ma petite lope se mis à 4 pattes et commença à m’entreprendre.
– Tu es vraiment doué mon petit Jean, tes parents peuvent être fier de toi !
Tous sourire. Je me dégageais de madame et je dis à Jean de se mettre à côté de son père.
– Odile, suce ton fils, je vais reprendre ton mari
Elle obtempéra. Je saisi la matraque de Charles et commençait mon va et vient. Elle était énorme !
Odile pompait Jean en le regardant avec fierté, Jean se détendait. Je caressais le cul de Charles qui adorait ça.
– Tu as du gel et des capotes Jean ?
– Oui, je vais en chercher !
Je me lève et demande à Odile de nous sucer tous les 2. Elle est très douée, je pince les tétons de son salaud de mari et lui roule une pelle qu’il me rend bien.
– Je mouille comme une folle, il va falloir faire quelque chose !
Jean revint avec du gel et des capotes. En enfilant une capote, je dis à Odile :
– Je vais te baiser salope et tu vas aimer ça
Elle se met à 4 pattes et je me positionne derrière elle. Je la pénètre d’un coup tellement elle mouille. Je reste comme ça un instant en disant à Charles.
– Charles, vous allez enculer Jean !
– Mais…
– Pas de mais, Jean met toi à côté de ta mère et Charles, enduisez-vous bien la bite de gel et je connais bien le petit con de votre salope de fils, ça va rentrer tout debout ! et gardez-en pour moi
– Bon bon, ok alors
Tout le monde s’exécute. La matraque de Charles rentre doucement dans le petit trou du cul de son fils. Jean couine comme un petit porcinet, sa mère comme une truie sous nos coups de boutoir.
Je palpe le cul d’Odile qui est vraiment très beau, et ferme. Je mets un peu de gel sur mon index droit et l’introduit dans sa rondelle. Elle gémit :
– Mais qu’est-ce que vous faites !
– Je te prépare le cul pour que ton fils t’encule !
– Mais non enfin
– Et pourquoi pas, de tout façon tu l’as déjà sucé !
– C’est vrai mais ce n’est quand même pas pareil !
Sur ces paroles, je lui mets un deuxième doigt. Je tourne bien pour assouplir, puis un troisième. Elle est très souple, elle n’est pas vierge de ce côté-là.
Après 5 bonnes minutes de ce régime, le cul de madame est parfaitement prêt.
– Charles, retire-toi, je vais prendre la place de Jean, et Jean, viens enculer ta mère.
Charles retire son énorme bite du cul de son fils et viens se placer derrière sa mère. Sa queue est un peu molle, je la prends en bouche pour la redresser, en 2 minutes, elle a repris de la vigueur.
Charles lui, a mis son gourdin dans la bouche de sa femme qui connait bien le chibre de son homme et l’avale complètement.
Je guide Jean vers la superbe raie de sa mère et l’aide à mettre sa belle queue dans le fondement de sa génitrice.
Les 2 gémissent en cœur et le jeune commence les coups de boutoir.
– Oh maman, ton cul, il est divin !
– Merci mon cœur, ta queue est sublime
Odile tripote toujours la queue de Charles, je me rapproche de lui et la prends dans ma main et je commence à le branler pour la raffermir.
Je me mets à 4 pattes à côté d’Odile et j’invite Charles à me sodomiser. Il vient se positionner et pousse sa gigantesque tige dans ma rondelle bien éclaté par ce WE de débauche anale.
Hum, je la sens passer mais ça va. Je gémis en rythme avec Odile, on se regarde, je lui roule une gamelle et Charles commence à me besogner.
Il est tellement puissant que mes jambes flanchent, je me retrouve sur le ventre. Il continue de plus belle :
– Tu aimes ça chienne, hein, tu seras ma salope aussi maintenant, on remettra ça quand tu veux ! Un cul comme le tient, c’est du caviar.
– Oh oui, Charles, je ne sais pas comment j’ai pu tenir si longtemps sans connaitre ce chibre divin !
Il me termine en se retirant, enlève sa capote et me met à genoux. Il se branle devant ma bouche, je donne des petits coups de langue à son gland. Jean se retire de sa mère et fait de même. Odile prend ma queue dans sa bouche et me termine aussi.
Le père et le fils me jouisse dessus pendant que je jouis dans la bouche de madame. Jean me nettoie la queue et je nettoie celle de Charles. Odile me lèche le sperme sur le visage.
Après quelques minutes allongées pour nous remettre de nos émotions, je reprends :
– Je pense que vous avez tous compris maintenant ?
– Oh Monsieur V. je ne sais pas comment vous remercier
– C’est vrai Fabien, nous vous seront éternellement reconnaissant
– Eh bien continuez comme ça, vous êtes sur la bonne voie
– Oui, j’ai vraiment passé un moment unique, termine Odile qui se lève pour aller prendre une douche.
– Charles, votre épouse a vraiment un cul fabuleux, je compte sur Jean et vous pour bien vous en occuper ! Je vous recommande aussi d’explorer votre côté bi.
– Compte sur moi, cela va vraiment changer notre vie !
Nous piquons une tête tous les 3 et je prends congés sans trop tardé, craignant de repartir dans un nouveau moment débridé, j’ai une famille qui m’attends aussi !
Je rentre à la maison un peu avant 16h00 et trouve Simon et Pat à l’ombre des arbres sur une couverture, la queue de Simon crachant sa jute sur les merveilleux nibards de sa mère.
– Tu arrives un peu tard beau-papa, je crois que maman n’a plus de pattes…
– Pfiou, il m’a tué !
– Et toi ?
– Tout est arrangé, je me mets à poil et leur montre mon cul en racontant mon expérience, je vois Simon qui recommence à bander.
– Eh ben dis donc, il faudra que je passe voir Jean un de ses 4 quand même ! Bon sur ce je vais retrouver des potes. Bisous
– Bisous chou
Nous nous retrouvons allongés avec ma cougar, nous commençons à nous laisser aller quand elle me dit tout à coup :
– Au fait, Sophie va dormir à la maison mercredi et jeudi, ça ne te dérange pas ?
– Bien sur que non, mais je pensais qu’on aurait une semaine tranquille, j’ai le cul en feu !
– Moi aussi, mais je ne vois pas pourquoi tu dis ça.
– Pour rien en effet.
Sophie est la nièce de Pat, une superbe plante de 25 ans 95/60/95, 95C, 1m70, un avion de chasse au pays des cigales. Je n’ai pas l’intention de la laisser dormir dans la baignoire ! Voir même de la laisser dormir tout court.
Mais ça c’est une autre histoire !
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