Je m’étais recroquevillé contre la chaudière pour me réchauffer quand elle entra. Je vis tout de suite qu’elle portait dans une main un martinet (encore un nouvel achat) et une nouvelle laisse. Elle me la fixa à mon collier, me détacha du tuyau et tira sur la laisse pour m’entrainer vers le jardin. Je trottinais derrière elle à 4 pattes la tête au ras du sol, le cul en l’air. Je n’allais pas assez vite à cause des chaines courtes et elle tirait sur mon collier, m’étouffant à moitié. Je reçus des coups de martinet sur les fesses qui me firent gémir.
Elle ouvrit la porte extérieure du garage. Toby, notre chien ou plutôt son chien était là dans sa niche à l’attendre. Il gémit et se roula par terre de plaisir en la voyant. Puis il se remit sur ses pattes en me voyant et se mit à aboyer, ne reconnaissant pas son ancien maitre, il montrait des dents reconnaissant une tête de chien inconnu. Il restait perplexe car il devait sentir mon odeur et me reconnaitre en tant que maitre. Nous avions acheté un petit pavillon avec jardin et celui-ci était clos, les voisins ne pouvaient pas me voir.
‘Du calme Toby, voici ton nouveau compagnon, Rex.’ Elle le caressa et lui servi des croquettes. Elle me tira à l’écart et fixa ma laisse à une branche. ‘Allez Rex, c’est le moment de faire ta crotte, après tu mangeras’. Elle reparti dans la maison. Il avait plu dans la nuit et mes genoux, mes jambes et mes pattes avant étaient couverts de boue. Je n’en pouvais plus et j’éclatais en sanglot devant ma situation. Toby dut sentir mon désarroi et vint tourner autour de moi, car lui n’était pas en laisse. Il commença à lécher mes blessures du dos et des fesses, je sentais qu’il reniflait mes couilles bien . vues. Il fini par pisser sur l’arbre auquel j’étais attaché et reparti manger ses croquettes. Je l’enviais presque.
J’attendais bêtement le retour de ma maitresse pour qu’elle me rentre dans la maison.
Ca ne tarda pas et elle me ramena sur la terrasse et décida de me laver à grand coup de jet avec le tuyau d’arrosage. Elle me retenait par la laisse et insistait sur le dos meurtri. J’hurlais dans le baillon.
‘Allez sage Rex, tu dois être propre pour ta première promenade !’ Son portable sonna et elle me tira vers le garage tout en répondant et me rattacha au tuyau. ‘Oui tout se passe bien, mais tu sais il est en plein dressage,, je lui faisais justement sa toilette avant la promenade, comme tu me l’as conseillé hier. J’ai tout acheté, oui. Oui je ne l’ai pas encore mis, je vais lui mettre. Ok …ok… tu crois que 5 cm ça fait pas trop ? Ok comme Toby, d’accord.’ Elle raccroche. ‘C’était Laurence, heureusement qu’elle est là, elle pense à tout cette coquine !’
Elle reparti pour revenir avec une cordelette blanche et un ustensile noir en latex. La promenade, l’appel de Laurence, son grand sourire en s’approchant de moi, me firent reculer vers le mur et tenter de parler dans le bâillon. Deux coups de martinet sur le cul me firent me tenir tranquille. Je sentis qu’elle m’humectait le cul et forçait mon œillet. Elle s’y reprit en plusieurs fois et m’assena des violents coups des que je reculais. Elle finit par forcer mon cul et s’enfonça inexorablement. Je sentis mon rondelle se resserrer en suivant les formes de cet objet. Le plug anal était enfoncé en moi. Ce n’était pas fini. Une cordelette vint enserrer mes couilles, je sentais mes bourses être de plus en plus à l’étroit. ‘Voilà, 5 cm de cordelette pour faire bien pendre tout ça, de vrais petites couilles de boxer. Elle prit la photo sur tous les angles et me les montra devant mes œillères : une queue en latex noir ressortait de mon cul et remontait vers le haut, mes couilles pendaient et mon sexe bandait lamentablement.
Finalement elle appela Toby qui courra vers elle, heureux d’aller faire une promenade, fébrile. Elle me fit monter maladroitement dans le coffre de la Kangoo avec Toby qui lui sauta d’un bond. Toby s’agitait dans tous les sens et me griffait le dos. Elle n’avait pas mis le hayon et je me tenais au ras du plancher, de peur qu’un voisin me voie. Toby me léchait le museau et sentait mes couilles et ma queue bizarre.
Mon cerveau bouillonnait devant tant de sensations bizarres, mon accoutrement humiliant, le comportement de ma femme, l’influence croissante de Laurence, je n’avais pas pu prononcer une parole intelligible depuis déjà 24 heures, j’avais pissé dans une caisse, rien bu ni mangé depuis vendredi soir, je ne savais même plus l’heure qu’il était. Mon avenir reposait entre les mains de ma femme et surement de cette Laurence.
La voiture s’arrêta à la lisière d’un bois. Ma femme, que j’avais de plus en plus de mal à nommer ainsi, vint nous ouvrir à Toby et moi. Toby sauta et sauta sur les cuisses du jean de …ma femme, tandis qu’elle me forçait à descendre, terrorisé par l’extérieur et d’éventuels passants. Je finis par glisser douloureusement du coffre et me retrouvais aux pieds de maitresse à 4 pattes dans les feuilles mortes. Nu je grelottais de froid. Elle partit dans bon pied avec Toby qui courrait devant, j’essayais de la suivre, hésitant encore à me cacher derrière la voiture ou suivre ses traces..
Elle marchait vite, s’arrêtait, sifflait et lançait ‘Rex au pied’. Instinctivement de tournais la tête à droite et à gauche pour vérifier qu’il n’y avait personne pour l’entendre. Elle avait détaché ma laisse qu’elle tenait dans sa main avec le martinet. J’étais à genoux dans la position du ‘beau’ qui me permettait de lever la tête et regarder autre chose que le sol. Honteux, je retrouvais ma position à 4 pattes, mon museau face au sol et je trottinais le plus vite que je pus pour rejoindre ma maitresse, les genoux s’écorchant sur les cailloux, les chaines cliquetant sous moi, le souffle court dans mon museau, bavant abondamment. Comble de la honte je sentais la queue se balancer de droite à gauche suivant les ondulations de mon cul, le plug me dilatait et me chauffait le cul, mes couilles balançaient elles aussi et mon sexe tapait d’une cuisse à l’autre. J’arrivais finalement au pied de maitresse et me tenait à ses pieds.
Elle avait chaussé ses bottes noires à talon au dessus de son jean qui lui moulait ses formes, mon regard s’arrêtait là. ‘C’est bien mon Rex’.Toby aboyait devant et nous attendait. ‘Attends Toby , Rex est fatigué’ Alors elle prit ma tête et me gratta entre les oreilles en s’accroupissant, puis pris frotta mon masque sur ses bottes pleines de terre en me caressant les joues, le menton. ‘Tu as bien couru mon Rex, tu as fais plaisir à ta maitresse !
‘Allez lèves toi’ Instinctivement je me mettais en position du beau, les pattes avant l’air, relié à mon collier, à genoux dans les feuilles, la queue de latex écrasée au sol, pensant mon plug plus profond. Je réalisais combien ma réaction devenait déjà canine : la position debout signifiait pour moi sur mes pattes arrière.
‘Oh mais il est content mon Rex, regardes moi ça !’
Je baissais la tête et vint mon sexe bandé, dressé devant sa maitresse, les couilles me faisaient mal. Elle avança sa botte droite et vint la frotter contre mon sexe qui grossissait encore et se dressait. D’un raclement de sa semelle, elle me décalotta et me branlottait doucement. Mon plug pressé en moi, les couilles ficelées, j’haletais dans mon bâillon. Du liquide prostatique coulait de mon sexe.
Puis elle se releva et m’appuyant sur la tête me fit reprendre ma position soumise, le cul en l’air, le sexe baveux. Nous continuâmes encore ce chemin dans les bois, heureusement nous ne croisâmes personne.
Nous prîmes finalement le chemin dans l’autre sens. J’essayais de suivre, mes genoux en feu, le souffle court , je sentais mon sexe balancer d’un côté à l’autre.
Des sentiments s’entrechoquaient en moi. Je bandais devant ma femme ou ma maitresse, je ne savais plus laquelle, parce qu’elle m’avait fait des compliments ou des caresses ? J’en étais à observer les réactions de Toby, heureux de plaire à sa maitresse et la léchouillant de plaisir. Qu’est ce qui m’arrivait ?
A nouveau recroquevillé dans le coffre, je restais interrogé par ma réaction, pendant tout le chemin du retour. J’étais même soulagé de rentrer à la maison, retrouver un coin pour me reposer et faire le point sur ma situation.
Je ne pouvais pas m’empêcher de comparer ma situation à celle de Toby qui, lui aussi content de rentrer, grattait la porte d’entrée.
Aussitôt la porte ouverte, Toby entra dans le salon et sauta sur le canapé pour se reposer.Hélas, maîtresse, ne me laissa pas de répit et m’entraina avec la laisse à nouveau sur la terrasse pour un nettoyage de mes ‘papattes’, comme elle se plaisait à me dire.(Elle me fit remarquer que Toby s’était fait sa toilette pendant le trajet, lui)
Un bref moment d’espoir me fut donné, lorsque maitresse défît mon collier serré et entreprit d’ouvrir la fermeture de ma cagoule. Mais je sentis, déçu, qu’elle déboucla uniquement mon bâillon dans ma nuque et rabaissa la fermeture éclair de la cagoule. Elle ouvrit une fermeture éclair qui se situait sous le museau et je sentis de l’air frais arriver sur mon visage. Elle tira sur mon bâillon pour le sortir de ma mâchoire endolorie. Je ne pouvais pas refermer la bouche, les muscles douloureux, un flot de bave s’échappait de ma bouche libérée.
‘Bien, maintenant tu vas nettoyer les bottes de maitresse avec ta vilaine langue. Allez retires moi toute cette boue’ Un coup de botte dans mon museau me motiva à trouver l’orifice de ma cagoule avec ma langue. J’essayais d’atteindre sa botte, mais le museau me gênait. Je penchais douloureusement ma tête sur le côté, libéré de mon collier. Devant ma répugnance à lécher ces amas de terre et de feuille, je reçu plusieurs coup de martinet sur le dos, déjà meurtri, qui me firent gémir. Entendre ma voix me surpris autant que les coups. J’étais tenté de vouloir en profiter pour m’excuser et essayer de la raisonner, mais j’avoue que j’avais peur de sa réaction et mon travail pour l’instant était de nettoyer les bottes de maitresse. Je m’appliquais de mon mieux pour la satisfaire et tourner autour de ses jambes pour atteindre toute la surface du cuir. Elle me présenta son autre botte toute aussi crottée et attendait en silence que j’ai eu fini.
‘Tu vois mon Rex, quand tu veux, tu peux te rendre utile ! ‘
D’un seul coup un flot de désespoir m’envahit et je pris ses bottes entre mes pattes avant et léchais avidement la tige de la botte en pleurant : ‘pardon, pardon’ sanglotais-je. Je ne savais si c’était la réaction par rapport à son compliment ou la peur de recevoir une punition d’avoir parlé, mais je n’avais pas pu exprimer mes sentiments depuis ce vendredi soir. Je voulais qu’elle sache que je regrettais de l’avoir trompé une fois de plus, que je n’en pouvais plus de cette humiliation sans fin, mais je redoutais de prononcer tous ces mots avec le risque de recevoir tous ces coups de fois. Je renouvelais bêtement ‘pardon, pardon !!’
Ajouter un commentaire