(… suite …)
Les semaines qui suivirent furent finalement bien remplie. Jenny me passa un DVD avec des exercices de gymnastiques à faire, pour aplatir mon ventre, renforcer mes fessiers, affiner ma silhouette. Avec ordre du professeur d’en faire 2h tous les matins. Après le dîner, sieste, puis séance de vidéo. Elles devenaient de plus en plus osée… après le fait de laisser sortir la femme en nous, il y en eut toute une série sur le fait de s’habiller comme une femme… mais de s’habiller sexy, pour rendre les hommes fous de désirs… les vidéos suivantes était pour apprendre à désirer les hommes. Désirer leur puissance virile et rassurante. Désirer leurs verges, dures, tendues… les suivantes à penser aux verges… il y avait des images et des gros plans sur des verges tendues, au repos, éjaculant, gland gonflé… des verges de trans, mais aussi d’homme… puis de plus en plus d’hommes… des slogans passaient et repassaient dans ma tête… « tu le veux » « tu le désire » « la puissance et la dureté de sa verge, sa chaleur aussi » « tu veux la sentir dans ta main » « tu veux y goûter » « tu ne penses qu’à ça » « tu ne veux que ça » ces slogans, écrits, susurrés à l’oreille, avec ces images de verges qui défilaient, ça me rendait fou… je bandais comme un dingue, et éjaculais bien souvent sans me toucher…
J’eus également mes séances d’épilation définitive. Le docteur qui s’occupait de la clinique était beaucoup plus froid que le professeur Pirard, mais l’infirmière qui s’occupa de moi fut charmante. Elle m’expliqua tout au fur et à mesure, et nous discutions de tout et de rien. Après la quatrième séance, elle me proposa même d’épiler mes sourcils pour leur donner une forme « plus féminine », ce que j’acceptais avec joie ! Cela faisait presque trois mois que j’étais ici et j’avais l’impression que mon visage s’affinait. J’avais même l’impression qu’une petite poitrine me poussait, et que mes minuscules tétons devenaient plus sensibles… oui la femme qui sommeillait en moi était vraiment en train de sortir !
Ma peau sans poils était divinement douce. Les premiers jours je ne pouvais m’empêcher de caresser mes bras, mes jambes, mes testicules, tellement douce. L’infirmière sympa m’avait donné une crème que je devais mettre chaque matin après la douche pour garder ma peau douce… et porter l’ensemble slip et soutien-gorge en dentelle blanc sur ma peau sans poils, c’était tellement beau ! La première fois que je me vis ainsi dans le miroir, je ne pus m’empêcher de me masturber dans le slip en dentelle blanc, le remplissant de mon sperme… je portais toujours les sous-vêtement féminin sous mon pyjama.
Je continuais aussi le programme des vidéos d’hypno, de plus en plus hard. Les vidéos suivantes apprenaient comment séduire un homme, en s’habillant de façon provoquante, comment le masturber, comment lécher sa verge, comment la sucer… comment savourer son sperme… les slogans aussi martelaient ma tête « tu aimes ça ! » « tu le veux si fort » « sa raideur et sa chaleur dans ta main » « son goût puissant » « son membre qui flirte avec ta bouche » « sa dureté entre tes lèvres » « son nectar chaud qui coule dans ta gorge » « tu le désires si fort » « tu le veux » « tu ne penses qu’à ça » « tu ne veux que ça » « tu ne sers qu’à ça » « c’est ton plaisir » « tu vas jouir de sucer ces messieurs » « tu veux goûter leur sperme » « tu veux jouir en avalant leur semence » « tu ne penses qu’à ça » « tu ne veux que ça » « tu ne sers qu’à ça »… pourquoi cela me faisait-il jouir si fort ???
Je fus presque content de retrouver le professeur, après quatre semaines sans lui. Il m’accueillit très chaleureusement dans son cabinet. Je m’installais comme d’habitude sur le divan. Je n’attendais qu’une chose, et il ne tarda pas à me le demander.
– Bien, voyons voir où vous en êtes… Déshabillez-vous entièrement !
Je n’hésitais même plus. J’enlevais peignoir et pyjama, fier de lui montrer les sous-vêtements en dentelles blancs sur ma peau sans poile. Ma peau si douce. Il sourit.
– Excellent ! Vous aviez raison depuis le début, c’est beaucoup plus joli sans les poils ! Cela vous va vraiment bien ! Maintenant, enlevez aussi les sous-vêtement.
Je m’exécutais, me retrouvant nu devant lui.
– Approchez, que je voie mieux votre peau de femme…
J’obéis. A mon grand étonnement, sa main caressa ma cuisse, mon bras, mes fesses, avant de doucement caresser mes testicules… le tout était glabre et très doux, bien sûr. Je n’osais même pas objecter, tellement son aura sur moi était forte. Pourtant, c’était la première fois que quelqu’un d’autre (mis à part ma défunte femme) me touche comme ça ! Et le pire, je sentis mon sexe doucement commencer à se redresser…
Heureusement il ne le remarqua pas, ou fit comme s’il ne remarquait pas. Il me remit plutôt un autre paquet.
– Essayez ça…
Dans le paquet, il y avait une culotte en dentelle noire, avec une bande de dentelle très fine, style string. Et un soutien assorti, en dentelle noire, mais si fine qu’elle ne cachait presque rien… Et il y avait des bas, ou plutôt des collants noirs. Je le regardais, hésitant.
– Allons, allons… c’est ce que vous désirez au fonds de vous !
Comme hypnotisé par ces paroles, je mis le soutien, plus facilement maintenant que j’avais plus d’expérience, puis le slip… bon sang… la dentelle fine sur mon sexe, et cette dentelle qui passait entre mes fesses, c’était… c’était excitant et sensuel à la fois. Voir le regard du professeur, avec une étincelle de désir, était jouissif aussi. Puis je passais les collants… Un pied, puis l’autre, puis je le remontais doucement le long de mes jambes, le long de mes cuisses, sur mes fesses, et jusque sous mon nombril… bon sang quelle sensation divine contre la peau ! Je ne pus m’empêcher de m’asseoir et de caresser mes jambes gainées de noir… Et l’effet dans le miroir était des plus saisissant ! J’en bandais quasiment immédiatement…
Vu mon état, le professeur décida d’interrompre la séance, me prescrivant une séance de vidéo à la place ! Inutile de vous dire qu’il ne fallut pas une heure avant que je ne souille le string et les bas de ma semence, et même plusieurs fois de suite au courant de cette journée !
Chaque matin je faisais mes exercices de gymnastique, et je regardais les vidéos en boucle l’après-midi. A la séance suivante le professeur fut satisfait de mes progrès. Il me félicita chaleureusement. Moi, nu devant lui, je rougis comme une étudiante fière de ses bonnes notes !
– Mais maintenant, il est temps de passer une étape sérieuse. Une étape cruciale.
Je le regardais, curieux.
– Vous habillez complètement en femme, sortir du bureau comme ça. Et adopter un prénom féminin.
– Pardon mais… je ne sais pas… quel prénom ?
– Disons… Claude… mmmm… Chloé ! Maintenant, nous vous appellerons Chloé !
Je n’eus pas la force de discuter de ce choix. En plus Chloé c’était joli. Mais non, étais-je vraiment près à ça ? Il se bougea, et derrière lui, il y avait une jupe (assez courte au demeurant), un chemisier, des sous-vêtements noir dans le même style que ceux de la dernière fois, des chaussures à talon, une perruque et un set à maquillage.
– Il est temps que Chloé sorte tout à fait. Que la chenille devienne papillon.
– Ecoutez professeur, je ne sais pas si…
– Allons ! Pas de discussion, on touche au but, vous n’allez pas revenir en arrière maintenant ? Rester chenille toute votre vie, et une malheureuse chenille croyez-moi ! Rappelez-vous ces orgasmes, ce plaisir ! Vous touchez au but, au nirvana ! Allons, passez ce slip !
Il me le lança, je l’attrapais au vol, et le mis. Puis le soutien. Puis les bas. Noirs, avec un dessin de fines résilles, et qui montaient jusqu’au haut de mes cuisses. Je mis ensuite le chemisier, la jupe. Enfin les escarpins, à talon heureusement pas très haut. Le résultat dans le miroir était intéressant, mes jambes étaient mises en valeur par les petits talons, les bas et la jupe courte. Avec la perruque, de long cheveux noirs, légèrement bouclés au bout, mon visage passait assez bien en femme… Puis le professeur me montra le set de maquillage… J’eus un mouvement de recul et jetais la perruque au sol…
– Non professeur, je ne peux pas ! Je n’y arriverai pas !
– Non, Chloé, ne vous dégonflez pas maintenant !
– Je n’y arriverai pas, personne ne peut arriver à ça !
Je commençais à pleurer.
– Si, bien sûr que d’autres y sont arrivés !
Il alla jusqu’à son téléphone, composa un numéro. Je m’assis sur le divan, sanglotant. Je n’oserais jamais passer le pas. Après quelques minutes la porte s’ouvrit et Jenny, mon infirmière entra. J’étais rouge de honte quand elle me vit, mais au lieu de réprobation, ou de dégoût, son visage s’illumina d’un franc sourire.
– Mais vous êtes magnifique ! Si jolie ! Oh, bravo pour votre transformation ! Chloé à gagner alors ?
– Pas tout à fait Jenny, Chloé se dégonfle, elle pense que personne ne peut passer cette étape cruciale.
Jenny eut un regard plein de compréhension vers moi, plein d’empathie.
– Montrez-lui !
Elle enleva son tablier blanc, qui tomba au sol. Dessous, elle portait des bas couleur chair, qui montait sur le haut de ses cuisses, jusqu’à une paire de jarretelles beiges, assorties au slip en dentelle et au soutien-gorge qu’elle portait. Mais ce qui attira mon attention, c’est son pénis, qui se voyait manifestement sous la dentelle de son slip.
– Avant d’être Jenny, elle était Jean, qui est arrivé dans le même état que vous. Je l’ai aidé et Jean a disparu, pour laisser place à Jenny. Regardez comme elle est belle ! Et heureuse !
En effet elle semblait épanouie, et surtout fier de son corps.
– Elle a osé franchir le pas, et elle a réussi !
Jenny se tourna vers moi.
– Je vais t’aider Chloé.
Elle prit le set à maquillage, et me souriant chaleureusement, essuya mes larmes, mes joues. Puis elle appliqua de la poudre sur mes joues, su mon menton, sur mes paupières. Elle passa du mascara dans mes cils, d’autres choses sur mes sourcils et mes joues, et appliqua un peu de rouge à lèvres sur mes lèvres. Puis elle reprit la perruque, et gentiment, la posa sur ma tête. Elle me prit par la main, et m’amena devant le miroir.
– Alors ?
Le résultat était splendide. Oh bien sûr, je n’étais pas un top model… mais une jolie fille, avec de belles jambes, un beau derrière bien dessiné dans la jupe, et un style provoquant sans être « pute ». Le résultat était époustouflant et m’étonnait moi-même. Cela devait se voir sur mon visage, entre étonnement et grands sourires…
– Quand on est si jolie, on n’a pas à avoir honte… tu peux y aller, sans soucis, tu seras heureuse, crois-moi…
Le professeur vint vers moi, heureux du résultat.
– Oui vous êtes belle Chloé, soyez fier de vous, vous avez réussi ! Sortez de ce bureau, faites un tour dans le parc, respirez à plein poumon, parlez à quelqu’un… vivez vraiment votre vie de femme !
Je lui souris, et chancelant tout de même un peu, je sortis et allais me promener dans le parc. Je n’entendis pas le professeur murmurer « vole petit papillon, vole, mais ne tarde pas à revenir vers moi, ton entraînement ne fait que commencer ! »
Je marchais sur les escarpins, ce qui me faisait un peu dandiner du derrière. Je compris vite qu’il me fallait marcher plus lentement qu’avec des chaussures d’homme… ce qui me donnait l’impression de marcher plus sensuellement. Je traversais le hall, la bibliothèque, puis me retrouvais dans le parc… c’était fascinant ! Le contact des bas sur mes jambes, la jupe, un ou deux regards sur moi… bon sang, le docteur avait raison, c’était si bon de se promener comme ça ! J’avais l’impression… d’exister !
– Bonjour mademoiselle !
Je me retournais. C’était le type de la sécurité. Lorsque j’étais en homme il était toujours désagréable, et me regardait avec suspicion. Là il était tout sourire, et avait un autre regard, que je sentis monter le long de mes jambes…
– Vous devez être la petite nouvelle, Chloé, c’est ça ?
J’acquiesçais timidement de la tête. C’est la première fois que quelqu’un me parlait alors que j’étais en fille, j’avais peur que ma voix me trahirait !
– Le professeur m’a parlé de vous. Je suis Vynce, le responsable de la sécurité, enchanté !
Je luis souris. Bon sang, je n’avais jamais remarqué qu’il était si mignon ce gars. Et baraqué en plus. Je me demandais ce qu’il avait entre les jambes… … … …
Mais, à quoi j’étais occupé à penser ??? Je rougis, bredouillais un « excusez-moi, je dois y aller » et repartis dare-dare vers la maison. Je sentais son regard rivé sur mes fesses, tandis que ma nuque picotait… c’était la première fois que ça m’arrivait… bon sang, j’avais pensé comme une femme !
Je retraversais la bibliothèque et le hall en sens inverse et entrais dans le bureau du professeur, sans toquer.
– Professeur, je ne sais pas ce qui m’arrive ! J’ai rencontré Vynce et…
Le professeur était là, debout au milieu de la pièce. M’y avançant plus tout en lui parlant, je remarquais que Jenny était aussi toujours là. Elle était agenouillée face au professeur, et sa tête allait et venait, le long de… Une fellation ? Elle suçait le professeur !
– Mmmm… un instant Chloé, je suis presque là… mmmm oui Jenny, oui…. Accélère… plus loin… c’est bon…
Soudain, il gémit plus fort, tandis que je voyais son membre de chair pulser, et que je voyais la gorge de Jenny faire le mouvement d’avaler… Elle retira sa tête, et le sexe du professeur apparut, à demi bandé, mouillé de salive… un petit fil de salive, ou de sperme, le reliait encore aux lèvres de Jenny… souriante, elle se pourlécha les lèvres, avant de lécher avec soin le gland du professeur… puis elle rangea délicatement le sexe sans son slip.
– Merci Jenny. C’est normal Chloé de penser et d’agir comme une femme. Cela sera votre réalité maintenant. Et vous venez de voir comme Jenny aime cette réalité !
– Oh oui Chloé, c’est si bon… une verge dure, le goût du sperme, la puissance de l’homme, c’est tellement excitant…
Je bandais depuis que le professeur avait éjaculé dans la bouche de Jenny… c’était comme les vidéos que je voyais, mais en vrai ! Et la voix de Jenny, tellement sensuelle, comme dans les vidéos… Elle se releva et alla s’asseoir sur le divan. Les jambes bien écartées. Je voyais qu’elle avait baissé son slip en dentelle, exposant son sexe à elle, bien bandé… Mes yeux ne pouvaient que fixer son membre décalotté…
– Dis-moi, tu as déjà essayé ?
Le professeur me poussa doucement vers elle, et je me retrouvais agenouillée entre ses jambes… Le professeur me susurra à l’oreille
– Tu le veux, tu le désire, la puissance et la dureté de sa verge, sa chaleur aussi… tu veux la sentir dans ta main, tu veux y goûter…
Bon sang, c’était comme les slogans des vidéos. C’est comme s’il y avait eu un court-circuit dans mon cerveau, je n’arrivais plus à réfléchir… les images des vidéos défilaient devant moi, et au milieu une image fixe : le sexe bandé de Jenny…
Lentement ma main se posa dessus. Je sentis sa dureté, sa chaleur, sa vie aussi… Ma main monta jusqu’au gland, gonflé et doux… mon doigt étala la petite perle de pré-sperme qui perlait… puis revint sur la hampe, descendit jusqu’aux testicules, glabres et si douces… J’étais comme hypnotisée par ce membre de chaire, je ne pouvais faire qu’une seule chose : ma langue vint à la rencontre du gland, lapant le pré-sperme que j’y avais étalé… puis tournoyant autour du gland, le frein, la hampe… je me sentais comme enivrée, tandis que je bandais dur ! Doucement le sexe entra dans ma bouche, et je commençais à le sucer, doucement, lentement, sentant le gland passer mes lèvres, puis la hampe, ressentant chaque veine entre mes lèvres, la sensation de son gland contre mon palais, de sa hampe contre ma langue… des émotions contraires allaient et venaient dans ma tête, mais j’agissais comme un automate, comme dans ces vidéos que je voyais, essayant de copier les images que mon cerveau avait enregistrées… ma tête allait et venait le long de son membre de chaire, et j’en ressentais un plaisir profond, un plaisir étrange… je me sentais à ma place, je me sentais bien, et je voulais qu’elle jouisse… Jenny avait sorti ses seins de son soutien, et se les caressait, triturait ses tétons, tandis que je continuais à la sucer… le rythme vint naturellement, mes mains se posèrent sur ses fesses tandis que ma tête allait et venait le long de sa verge… elle allait et venait entre mes lèvres, tandis que son goût me remplissait la bouche… Ma propre verge était à moitié sortie de mon slip, tellement je bandais… soudain, le sexe entre mes lèvres commença à palpiter, à battre… ne sachant que faire je continuais ma fellation… et un premier jet chaud remplis ma bouche, suivi d’un second… c’était ça le sperme ? Quel goût étrange ! Il ne me serait jamais venu l’idée de me retirer, comme dans les vidéos je devais avaler, c’était mon rôle, ma place… sentir son sexe battre dans ma bouche, et sa semence chaude couler dans ma gorge me fit jouir à mon tour, mon sperme giclant sur mes bas noirs, y formant des taches blanches bien visibles…
Petit à petit le sexe de Jenny débandais, et j’arrêtais ma fellation… La tête me tournait, j’étais comme ivre… J’avais eu un orgasme assez puissant, mais plutôt cérébral que « mécanique », dû au fait de me rendre compte que je l’avais sucée, avalée, et surtout qu’elle avait eu du plaisir grâce à moi… c’était tellement enivrant… Elle m’aida à me relever et à m’asseoir sur le divan… Elle parlait avec le professeur, mais j’entendais sans entendre, comme flottant entre deux réalités…
– … jamais vu ça professeur, elle est douée… vraiment naturellement douée…
– … vidéos ?
– Oui, sans doute les vidéos ont aidé, en plus… mais sucer comme ça et dès la première fois avaler sans tousser ni recracher, jamais vu ça… une perle, on devrait…
– … on verra… Chloé ? Chloé ? ça va ?
Je revenais doucement à moi…
– Professeur c’est… c’était tellement…
– Je sais, Chloé, je sais… vous avez trouvé votre vrai vous, votre vraie place et votre corps vous récompense par ce plaisir intense. Laissez-vous aller à ce plaisir, vous n’en serez que plus heureuse !
Le professeur fit un signe à Jenny, qui m’aida à remonter dans ma chambre. Je tombais profondément endormi. Je m’éveillais au milieu de la nuit, très excitée. Je pris mon ordinateur portable et me remis les vidéos… avec des trans super sexy, qui allumaient des hommes, caressaient leurs entrejambes, puis elles frottaient leurs visages, leur bouches contre les bosses qui s’y formaient, sortaient des pantalons ou des caleçons des sexes bandés, suçaient des verges dures et tendues… puis avalaient le sperme, ou le recevaient sur leurs visages, leurs seins, le visage empli de plaisir… les slogans passaient et repassaient « tu le veux » « tu le désire » « la puissance et la dureté de sa verge, sa chaleur aussi » « tu veux la sentir dans ta main » « tu veux y goûter » « tu ne penses qu’à ça » « tu ne veux que ça »… A nouveau j’éjaculais sans me toucher…
Le lendemain Jenny m’apporta des vêtements et sous-vêtements féminins offerts par la clinique. Elle m’apprit les rudiments du maquillage, à bien mettre la perruque. J’appris énormément avec elle. En même temps, avec ce qui s’était passé la veille, je me sentais terriblement excité d’être près d’elle, mais elle ne fit rien qui laissa supposer qu’il y aurait une deuxième session d’ordre sexuelle. Jenny resta très professionnelle. J’appris à mettre correctement la perruque, et fis quelques exercices de maquillage, mais il était évident qu’il allait me falloir encore pas mal de pratique !
Après cela je fis les exercices de gymnastique quotidiens, puis alla prendre ma douche. Tandis que l’eau chaude coulait sur mon corps, je n’arrivais pas à dire si ce qui s’était passé hier était normal ou pas, si c’était moral ou pas. En tout cas, ça avait été bon, point de vue sensation, plaisir. C’est tout ce que mon cerveau et mon corps retenaient. Être fille, être sexy, sucer une verge et avaler le sperme = bon = plaisir = bonheur. Et vu comme ça, ça semblait si simple… Je m’habillais, d’un slip blanc avec des motifs de roses, soutien- gorge assorti, mis des bas couleurs chairs, une jupe bleue marine, assez courte, des escarpins avec de petits talons, et un top blanc assez échancré.
Je me retrouvais dans le bureau du professeur, assise sur le divan.
– Installez-vous comme d’habitude, Chloé !
J’hésitais un peu… la position couchée sur le divan exposerait au Professeur le haut de mes cuisses, peut-être même ma petite culotte… mais l’hésitation fut de courte durée, je me rendis très vite compte, en un instant, que ça m’excitait de savoir qu’il pouvait voir ma petite culotte… Je m’allongeais donc, faisant sans défaut remonter la jupe courte…
– Alors Chloé, comment vous sentez-vous ?
– Bien, très bien professeur… grâce à vous !
– Vous êtes heureuse d’avoir enfin pu libérer cette femme qui est en vous ?
– Oui, c’est une vraie libération !
– Bien, bien… et comment vous sentiez-vous hier, en vous promenant dehors habillée en fille ?
– Tellement bien, tellement naturelle, tellement libre…
– Et quand Vynce vous a rencontré, comment avez-vous perçu son regard ? Quel effet cela vous a-t-il fait ?
– Je… c’était un regard rempli de désir… il reluquais mes jambes, et mon cul…
Je rougis en disant et en repensant à tout cela…
– Et j’ai… j’ai aimé ça… c’est la première fois que je me sentais désirée…
Je me rendis compte que le professeur avait le même regard, rivé droit sur le haut de mes jambes. On voyait la lisière de mes bas, le blanc de mes cuisses. En pleine séance il me matait ! Je sentais, comme instinctivement, son désir monter. Et en même temps une image vint se loger dans ma tête… l’image de son sexe, bandé, dans la bouche de Jenny, que j’avais vu hier en entrant dans ce bureau…
– Excellent ! Et qu’avez ressenti lorsque vous avez eu la verge de Jenny en bouche ?
– Je… c’est-à-dire… étrange au début… puis enivrant… c’est vraiment le terme… je crois que j’ai bien aimé ça en fait…
Tout en parlant, j’écartais plus les cuisses, il devait maintenant voir ma petite culotte blanche, et la bosse qui devait s’y former. Il sourit, ne détachant pas son regard de mon entrejambe…
– Et lorsque son sperme a rempli votre bouche ?
– Etonnant, d’abord, un goût particulier… mais si chaud… ça m’a tellement excitée que j’en ai joui moi-même sur mes bas !
– Et qu’est-ce que cela peut nous apprendre sur cette fille qui était en vous et que nous avons libéré ?
Je me redressais sur le divan, sur le choc de la constatation…
– Que… que… c’est une salope qui aime le sexe ?
Il se leva et vint s’asseoir à côté de moi.
– Je connais un test qui va le révéler sans aucun doute…
Il prit ma main et la posa sur son entre-jambe. Sur la bosse que formait son sexe bandé dans son pantalon. Un pantalon beige, très classe. Il ne dit et ne fit rien d’autres, m’observant. Je voulais retirer ma main, mais je ne le pus pas… des tas d’images me passaient en tête, de sexes bandés, de sexes sucés… et la dernière était toujours l’image de son sexe dans la bouche de Jenny… Je le sentais sous ma main, dur dans le pantalon… Je devais résister, car si je craquais, il n’y aurait pas de retour possible… je deviendrais esclaves de mes pulsions, des verges bandées… elle était si ferme et si tendue sous ma main… cette bosse laissait présager un beau calibre… instinctivement, ma main le caressait doucement… je devais résister sinon je ne ferais plus que ça… ma main quitta la bosse pour ouvrir doucement le bouton du pantalon, puis ouvrir sa braguette… je devais résister, sinon je ne serais plus bonne qu’à ça… ma main le caressais à travers le caleçon, tandis que je glissais du divan au sol, me retrouvant sur mes genoux, face à lui qui ne bougeait toujours pas, m’observant un sourire vainqueur aux lèvres… je devais résister, sinon je ne désirerais plus que ça dans ma vie…
Lorsque ma main plongea dans son caleçon, touchant directement la chair bandée et tiède, je tressaillis de plaisir. Je le sortis du caleçon, il avait une belle taille… je le caressais doucement, avant de plonger vers lui… ma langue lécha le gland, lapant sa petite fente humide, tournoyant sur le gland, le frein, la hampe, avant de remonter. Résister était déjà rejeté bien loin dans mon esprit… lentement il passa entre mes lèvres, son sexe dur s’enfonçant dans ma bouche… son gland frottant mes lèvres, ma langue, puis mon palais, avant que ma tête de descend et ne monte sensuellement le long de sa verge, les lèvres serrées, mon cœur battant la chamade… J’étais si bien, si satisfaite à ce moment, son sexe allant et venant dans ma bouche… une de mes mains étaient posées sur sa cuisse d’homme, tandis que l’autre était sous ma jupe… je me caressais le sexe bandé par-dessus le slip, au même rythme que ma bouche allait et venait le long de sa verge… J’éjaculais le premier, mais continuait de me caresser, maculant ma culotte et mon sexe de mon sperme… soudain il se cabra en moi, et je le plaçais dans ma bouche de façon à bien recevoir le premier jet… puis le second… tandis que sa semence chaude remplissait ma bouche, son goût fort et viril descendant profond dans ma gorge, remontant dans mes narines… c’était encore meilleur que pour Jenny, il était plus viril, plus fort, et avait beaucoup plus de sperme… je jouis encore mais sans éjaculer, tellement boire sa jouissance m’excitait… Je continuais à le pomper, à le sucer, jusqu’à ce qu’il débande dans ma bouche… puis tombait sur mon derrière, assise face à lui, dans un état second…
– Et bien Chloé, nous avons la réponse à notre question… mais ce n’est pas grave, c’est bien, je saurai bien utiliser ce don que vous avez. Allez, remonter dans votre chambre, pour les dernières séances d’hypno… heu… de vidéos…
Je le remerciais, et me ruais dans ma chambre. Je m’allongeais sur le lit, j’avais besoin de souffler et puis mes jambes tremblaient si fort ! Je mis quelques minutes pour émerger, reprendre mon souffle, puis lorsque mes jambes purent à nouveau me porter, je pris une nouvelle douche, et ensuite m’habillais de bas noirs, d’un string noir en dentelle, et d’un déshabillé noir transparent. Ce que j’aimais me sentir sexy ! Je fis quelques essais de maquillage, léger, comme si j’avais rendez-vous… je me regardais dans le miroir, bon sang ce que j’étais jolie ! Quel plaisir à me regarder ainsi !
Ensuite, je me mis sur le lit, avec mon pc portable. Je regardais quelques anciennes vidéos, mes préférées, avec des femmes comme moi, dans une lingerie vraiment très provoquante, sucer des types virils, avec de belles verges bien tendues… je bandais déjà en voyant ces vidéos… puis, curieuse, j’ouvris le dossier du dernier cycle de vidéos. Les premières commençaient comme les autres, avec des images de trans superbe, dans des sous-vêtement sexy, avec des slogans vantant l’obéissance, l’amour du désir, d’être femme, d’être provoquante, d’être désirée, d’avoir envie de sexe… puis les images d’hommes, beaux, bien membrés, les gros plans sur leurs superbes verges, leurs glands gonflé de désir, et les filles comme moi qui les embrassent, les lèchent, les suces… les éjaculations dans leurs bouches, sur leurs visages, sur leurs seins… j’étais déjà sur le point de jouir, mais je me retins, fit pause sur la vidéo le temps de me calmais, puis relançais les vidéos… une superbe fille, son sexe déjà bien bandé, est entourée de deux hommes virils. Un des deux caresse tendrement ses fesses, puis sensuellement les malaxe… L’autre gars s’assoit sur un canapé. Elle se met à quatre pattes sur le canapé, et commence à sucer le sexe du gars, que ce dernier a sorti de son pantalon… l’autre vient derrière elle, et continue à caresser ses fesses… puis il déplace le string bleu, et commence à lui lécher l’anus, puis il commence à caresser d’un doigt son œillet… doigt qui ne tarde pas à s’y enfoncer… il la doigte lentement, puis plus rapidement, puis avec deux doigts… elle couine de plaisir… elle continue à sucer le premier gars… l’autre arrête de la doigter, et se mettant derrière elle, il présente son sexe bandé entre ses fesses… lui frotte l’anus avec son gland… avant de la pénétrer lentement… Il s’enfonce en elle, la tenant fermement par les hanches… elle laisse échapper de petits grognements, tout en essayant de continuer sa fellation sur le premier gars… l’autre commence à aller et venir dans son cul… plus vite… et elle semble aimer ça ! Le premier gars jouis dans sa bouche et sur son visage, tandis que l’autre accélère encore, puis sort sa verge de son petit trou, qui semble palpiter tandis que du sperme s’en écoule… il s’est vidé les couilles en elle ! Les vidéos suivantes montraient des pénétrations, des verges bandées qui allaient et venaient dans des anus serrés, les petits trous qui palpitaient, le sperme qui s’en échappait, le visage des filles dont certaines semblaient presque perdre conscience tellement le plaisir semblait fort… d’autres qui jouissaient sans se toucher à cause du plaisir donné par la sodomie… Les slogans se bousculaient « tu veux être complètement femme ? Prends le dans ton sexe de femme ! » « Sois sienne, complètement ! » « Laisse-le jouir en toi ! » « Sois complètement possédé par son membre ! » « Laisse sa verge s’enfoncer en toi et explose de jouissance ! » « Tu seras complètement femme ! » « le plaisir le plus intense que tu aies jamais connu » « l’orgasme anal, l’orgasme le plus puissant » « donne-toi à lui » Au plus les vidéos défilaient, au plus l’envie d’être un objet de désir, un objet de jouissance, un objet sexuel m’excitait, m’obsédait.
Je jouis dans le string noir tandis que les images défilaient, encore et encore… je repassais tous les cycles de vidéos, comprenant l’aboutissement auquel voulait m’emmener le professeur… être complètement une femme !
(… à suivre…)
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