Ce n’était pas la première rencontre que je fais sur le net. Mais, c’était bien la première fois que l’homme que je rencontre me propose de passer me chercher en voiture pour n’emmener dans sa maison de vacances. Il faut dire que l’heure de route séparant nos domiciles de son lieu de villégiature en font un endroit parfait pour une rencontre discrète et une partie de jambe en l’air endiablée. L’idée était excitante. J’ai donc accepté et Frédéric (de son prénom) est passé me chercher en début de soirée.
Au cours du trajet, nos conversations vont bon train. Frédéric est une personne très cultivée. Je trouve passionnant l’écouter converser et philosopher. Même si nous ne nous connaissons pas encore, il n’y a aucune gène entre nous. Je me sens très à l’aise.
Au détours d’une conversation, il me demande: « -Est-ce-qu’il y a un fantasme que tu aimerais réaliser? »
Je lui réponds: »- Je n’ai pas de fantasme particulier mais j’aime quand mon partenaire dirige les opérations et me soumet à ses désirs et ses fantasmes. Par exemple, j’aime qu’on me demande de me mettre à genou pour sucer ou à quatre pattes pour me faire prendre, qu’on se serve de ma bouche pour prendre du plaisir. J’aime aussi découvrir des choses nouvelles. Généralement, le plaisir de mon partenaire est le mien. »
Il me dit simplement qu’il a bien compris mon message et notre discussion anodine reprend.
Arrivé chez lui, Fred m’invite à prendre place sur le canapé, il me sert un verre avant de s’assoir sur un fauteuil en face de moi. Ne voyant chez lui aucun signe de rapprochement physique, je me dis que notre discussion va reprendre le temps d’un apéritif. Mais, sans aucun signe avant-coureur, il m’ordonne sèchement: « Viens! Viens te mettre à genou! Viens me sucer! »
Surpris, dans mon torse, mon cœur se met à battre la chamade et dans mon caleçon, mon sexe se durcit soudainement. Une envie folle s’empare de moi: je vais me soumettre aux désirs de cet homme. Je comprends maintenant pourquoi il ne s’est pas assis à mes côtés sur le canapé. Il a pris sa place et le rôle de l’homme qui dirige, en chef, dans son fauteuil. Pour ma part, je sais pourquoi je suis ici: répondant à son ordre, je me lève et je viens me mettre sur mes genoux, à ses pieds, pour le sucer…
Mon regard se pose alors sur son pantalon. Au niveau de son sexe, une bosse s’est formée. Je la caresse pour juger de la taille de sa verge. Elle me semble grosse et pas encore dure (cela promet pour la suite…). Je prends mon temps pour savourer le moment où je vais la sortir. Le calme avant la tempête. Doucement, je déboutonne son jean et le fait glisser avec son aide. Son sexe apparait. Il est effectivement d’une taille impressionnante et encore mou. Sans plus attendre, je le prends dans ma main et commence doucement par le lécher sur toute sa longueur, en faisant des aller-retour avec ma langue. Puis, je le prends en bouche et je commence à sucer son gland. Sous l’action de mes lèvres et de ma langue, son sexe gonfle et se durcit. Il est maintenant bien droit, lourd et épais, il doit mesurer au moins 19cm pour 5cm de diamètre. Ma bouche continue son travail pendant que de ma main, je lui malaxe les couilles. Frédéric me regarde faire, sirotant son apéritif. Il semble apprécier et, entre deux respirations, il murmure: « Oui, c’est bon… Continue… »
Ayant terminé son verre, Frédéric se lève. Dans son mouvement, son pénis m’échappe des mains et de la bouche. Frédéric prend les opérations en main. Il pose une main sur ma tête et me la maintien fermement. Son autre main tient son sexe. En imprimant un mouvement latéral à sa bite, il me biffle à plusieurs reprises. Son sexe est vraiment massif. Je suis surpris de la v******e du choc et je reste béat, la bouche ouverte, à attendre. Une expression un peu salace est apparue dans son regard, une expression qui semble me dire « tu vas voir comme tu vas prendre ». Il me fourre alors son sexe dans ma bouche et commence des va-et-vient en me tenant la tête. Au fur et à mesure, son sexe s’enfonce de plus en plus profond dans ma gorge provoquant chez moi un réflexe de déglutition. Fred me maintien fermement la tête et me laisse suffoquer avant de se retirer pour me laisser respirer. A ce moment, de le sentir prendre du plaisir avec ma bouche m’excite énormément. Dans mon pantalon, mon sexe dur mouille mon caleçon.
Après quelques minutes, semblant satisfait, Fred se retire de ma bouche pour de bon et il me demande de me déshabiller. Reprenant mon souffle, je me lève et je m’exécute. Deux minutes plus tard, je suis nu, debout devant lui. Mon pénis, même tendu par l’excitation, semble ridiculement petit en comparaison de celui de Fred. Sans s’offusquer de ce détail, Fred commence à balader ses mains sur mon corps pour en prendre possession. Il me caresse mes pectoraux, mon ventre, prend mon sexe en main et sous-pèse mes couilles. Enfin, il s’arrête sur mes fesses. Après quelques fessées, je sens la pression de son index sur mon anus, il recherche à me doigter. Mais, au lieu de poursuivre ses caresses, il me met en position de levrette sur le fauteuil et il me lèche l’anus. Jamais, auparavant, je n’avais gouté un plaisir pareil. Sa langue tantôt molle tantôt dure travaille mon trou avec une telle délicatesse que celui-ci s’ouvre comme une fleur. Cet homme qui sait prendre son plaisir avec ma bouche sait aussi le donner avec la sienne. Quel plaisir…
Me jugeant sans doute assez ouvert, Fred arrête son travail. Dans ma position, je ne le vois pas mais j’entends le bruit de l’emballage du préservatif qu’il enfile. Puis, quelques instants après, je sens la pression de son gland sur mon anus. Ses mains sur mes hanches, il me tire vers lui dans un mouvement. Son sexe commence à rentrer. Je sens sa chaleur qui se diffuse dans mon corps. Continuant son mouvement, son sexe me pénètre alors entièrement. La douleur et le plaisir se mêlent dans mon ventre. Fred marque une petite pause avant de commencer des mouvements de va-et-vient. Le plaisir m’envahit. Nos souffles s’entremêlent. Nos corps bougent en harmonie.
Au fur et à mesure, Fred accélère son rythme. Son pénis martèle mon cul. A chaque mouvement, sa tige parcourt mon anus. A chaque mouvement, son bas-ventre claque contre mes fesses. A chaque mouvement, ses coups de butoirs m’arrachent un souffle qui se transforme progressivement en gémissement. La jouissance approche.
Continuant de me baiser, Fred me prend alors les bras et me les croise dans le dos. Perdant mes appuis, je bascule en avant sur le fauteuil la tête dans les coussins et le cul en l’air. Cette nouvelle position lui permet de s’enfoncer encore plus profond dans mon corps, augmentant encore le plaisir qu’il me procure. Il me pilonne maintenant violemment. Progressivement, ma vue se trouble, mon souffle se coupe, mon ventre et mon anus se contractent et soudainement, mon sexe explose en jet chaud mon sperme entre mes cuisses. Je jouis. Pendant ces quelques instants, je ne sais plus où je suis….
Dans sa position, Fred n’a manqué aucune miette du spectacle que lui offre nos deux corps. L’excitation à son comble, son souffle se fait rauque et ses mouvements ralentissent. A plusieurs reprises, je sens son sexe se durcit en moi. Il jouit à son tour…
Après ce coït, il m’a fallu un certain temps pour reprendre mes esprits. Après s’être retiré, Fred m’invite à prendre une douche. En sortant de la salle de bain, mes yeux se posent sur l’horloge de la cuisine qui n’indique que 21h. Nous n’avons passé que deux heures ensemble. Ma nuit chez lui ne fait que commencer…. Mais ceci est une autre histoire.
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