Depuis plusieurs années je vais chez le même coiffeur, un salon mixte où il n’y a que des filles qui coiffent hommes et femmes. J’ai sympathisé avec une petite jeune, Eva, et elle est devenue ma coiffeuse attitrée. Je la tutoie, elle me vouvoie, on plaisante, on se confie des secrets.
Je sais qu’elle vit avec un homme qui a cinq ans de plus qu’elle, et qu’elle semble heureuse.
Elle me coiffe, et je lui pose une question banale sur son couple. Elle m’avoue que son mec l’a quittée, mais me rassure devant ma compassion pour me dire que c’est mieux ainsi, qu’elle pensait elle aussi à le larguer. Elle ne semble pas si triste de cette fin, et je m’autorise une drague sans espérance:
– Si je comprends bien, ma jolie coiffeuse est libre?
– Oui, totalement libre.
– Dommage que je n’ai pas trente ans de moins, je t’aurais bien consolée.
– Mais vous n’êtes pas vieux! Et puis il parait que les hommes mûrs sont très bien.
– Je plaisante, je suis marié, je te l’ai dit. Sinon tu te vois faire ta vie avec un homme de soixante ans?
– Non, pas ma vie, mais des petits moments agréables, pourquoi pas! Je crois que ça me plairait bien, même avec un homme marié.
– C’est une proposition?
– Peut-être! Mais on va changer de sujet. Je vais vous laisser mon téléphone et vous me rappellerez.
On passe à autre chose, on discute de la pluie, du beau temps, des infos, et autres…………..
Je passe en caisse, je lui fais la bise comme à chaque fois, une bise qui effleure ses lèvres pour la première fois, et je repars avec le ticket de caisse sur lequel elle a inscrit son numéro.
Je rentre chez moi, comme sur un nuage. Elle a 24 ans, c’est elle qui me l’a dit, moi 60, et j’ai du mal à croire que je vais pouvoir me la faire. Pourtant j’y ai souvent pensé, surtout quand j’attendais mon tour et que je la voyais évoluer autour de ses clients, son joli cul parfaitement moulé dans ses pantalons.
Je pense l’appeler dans la soirée, quand ma femme sera scotchée devant la télé. Je prends un, et même deux apéro pour me motiver. Je dine, bois du vin, un café digestif; je suis chaud pour l’appeler cette salope, j’ai la bite à la main et je compose le numéro.
Notre discussion de l’après midi a fait son chemin, et elle a envie de moi autant que j’ai envie d’elle. Je ne suis pas seul, elle vit chez sa mère, et il va falloir trouver un terrain neutre. On envisage l’hôtel, le sex-shop, un parking, et puis la solution nous semble évidente: le salon de coiffure. La patronne ne travaille pas le jeudi, et c’est elle qui fait la fermeture à 17h30. On met tout au point, puis je lui avoue qu’elle me fait bander, que je me branle pour elle. Elle se caresse elle aussi, et on se fait jouir au téléphone en échangeant des mots coquins.
Je la rappelle le mercredi soir pour m’assurer que notre plan tient toujours. Elle me rassure, attend elle aussi avec impatience, et me prévient qu’elle ne sera pas seule: il y aura aussi Linda, une autre coiffeuse avec qui elle est très copine, et qui doit avoir deux ou trois ans de plus qu’elle.
Jeudi, 17h30, je fais les cents pas devant le salon. La dernière cliente est sortie, et Eva me fait signe d’entrer avant de fermer la boutique. Je lui ai proposé un scénario, et on va le réaliser, à part sa copine que je n’avais pas prévue. Elle va me couper les cheveux, mais va se changer auparavant. Je l’ai toujours connue en pantalons, et pour cet extra elle va le retirer pour mettre une petite jupette. Je suis allongé sur le fauteuil, elle me lave la tête, et j’entend Linda lui parler:
– C’est à Monsieur que je dois faire le maillot?
– Oui, s’il te plait, je veux qu’il sorte d’ici impeccable.
J’ai à peine réaliser que déjà je sens deux mains défaire mon froc et me le retirer ainsi que mon slip.
– Ouah! Ya de quoi faire, c’est une vraie forêt vierge. Bon, aller, au boulot.
Elle recouvre ma toison de savon, me masse délicatement du bout des doigts, puis démarre le rasage. J’ai le pubis dégagé, et elle me demande d’ouvrir les cuisses pour s’occuper de mes testicules. J’ai quelques craintes, mais elle me rassure m’affirmant qu’elle va être très douce et précautionneuse. Elle me rase délicatement, tandis qu’Eva me fait un agréable massage crânien. Elle a terminé et semble satisfaite de son travail:
– Et voilà. Elles sont magnifiques vos couilles, ça aurait dommage de ne pas les dégager. Elles sont vraiment belles, très appétissantes.
– Si vous avez faim, ne vous gênez pas.
Elle me propose que l’on se tutoie. Elle me caresse, les boules et le manche, me complimente sur mon anatomie, puis Eva nous fait aller sur le fauteuil pour me couper les cheveux.
Je suis à peine installé, que Linda est entre mes jambes et prend ma bite dans sa bouche. Eva est contre moi, en jupette, jambes nues. Je pose ma main derrière son genou, et remonte l’intérieur des cuisses jusqu’à leur jonction. Elle porte un string, et je caresse ses fesses à l’air, avant d’avancer ma main sur son petit triangle de tissu. Elle écarte les jambes pour me faciliter le passage, et je sens très vite sa protection s’humidifier:
– Enlève ta culotte, je vais te fouiller pendant que ta copine me suce et me broute les couilles. Elle pompe trop bien cette salope.
Eva réagit aussitôt:
– Eh! Je suis là! Tu me traites de salope si tu veux, mais dis le moi en face.
– Ok, tu as raison. Tu aimes les insultes?
– Oui, j’adore ça quand je baise. Et toi?
– Moi aussi. Tu es une bonne salope, une vicieuse qui aime les grosses queues.
– Oui, et toi un vieux cochon qui aime les jeunes.
– J’aime surtout les salopes, et tant mieux si elles sont jeunes. Bon, assez discuté, suce moi, pompes moi comme une pute.
Elle me reprend en bouche et me turlutte à merveille.
Eva a enlevé son string et sa jupe. Elle est à nouveau contre moi, et je fouille sa chatte qui n’offre aucune résistance. Elle est chaude, ouverte, dégoulinante. J’ai les doigts recouverts de son jus, et je les porte à ma bouche pour les sucer:
-Hummm, elle est bonne ta mouille. J’ai envie de te bouffer la chatte, donne me la.
Elle me dit qu’il faut d’abord qu’elle finisse ma coupe. Je lui dit de se dépêcher et repars explorer sa fente de mes doigts. Linda me pompe toujours et je sens mon plaisir venir:
– Doucement, doucement salope, tu vas me faire jouir.
– Mais j’espère bien, que je ne te suce pas pour rien. Laisse toi faire, donne moi tout.
– Tu es bien gentille, mais j’avais pensé m’offrir à Eva.
– Ne t’en fais pas, on partage tout, elle va avoir sa dose ta petite chérie. Et puis on ne va te lâcher comme ça, on va te faire gicler au moins deux fois.
Elle s’active à nouveau sur ma queue, et je ne résiste plus. Je décharge, de longues et épaisses éjaculations qu’elle garde en bouche. Elle se relève et recrache tout dans la bouche d’Eva. Elle agite mon sperme dans sa bouche pour le savourer, et le recrache dans la gueule de Linda. Elles recommencent plusieurs fois cet échange, puis se roulent une pelle et me montrent leur bouches vides.
Eva continue de me coiffer et Linda revient entre mes cuisses:
– Eh bien mon salaud, tu dois te sentir plus léger. Quand je vois tout ce que tu m’as mis, c’était urgent de te soulager. Maintenant il va falloir que tu rebandes, et bien dur, pour t’occuper de nos trous.
– Je veux bien, mais ça risque prendre du temps.
– T’inquiètes, je sais comment faire triquer les salauds comme toi.
Elle me suce et je sens un doigt s’enfoncer dans mon cul, puis un deuxième. Elle me lime, puis abandonne ma queue pour me fixer dans les yeux et voir que j’apprécie ce qu’elle me fait.
– Tu es un gros porc, comme tous les vieux. Je suis sûre que tu aimes la queue, pas vrai?
– Oui, c’est vrai, j’aime tout, les femmes et les hommes.
– Ca te plairait que l’on t’encule avec Eva?
– Oui, tout ce que vous voulez, mais j’aimerais bien vous enculer moi aussi.
– Mais bien sûr, c’est la condition pour te faire mettre, tu vas bien nous baiser, par tous les trous.
– Oui, quand tu veux.
– Mais de suite, j’ai envie de ta queue.
Elle se relève, enlève sa jupe et sa culotte, et vient me chevaucher. Ma bite disparait dans sa chatte brulante, et elle monte et descend, fait du yoyo sur ma queue. Je la vois se fouiller le cul pour se l’ouvrir, puis elle se dégage pour venir s’asseoir sur ma colonne, s’empaler dessus. Elle va et vient et balance des mots orduriers, disant comme c’est trop bon une bonne bite dans le cul.
Eva a terminé de me coiffer, je lui fouille toujours la chatte, suce mes doigts, et l’embrasse à pleine bouche, des pelles parfumées à sa délicieuse cyprine.
A chaque fois que je retire mes doigts de sa fente, je caresse sa raie, je la lubrifie, et sans le vouloir mon majeur entre en contact avec sa rondelle. Je l’introduis, elle gémit et m’encourage à lui fouiller son petit trou.
Je lui demande si elle aime se faire sodomiser, et elle m’avoue qu’elle n’a jamais pris une vraie queue entre les fesses. Elle se fait prendre par Linda et leur gode ceinture, et elle a très envie de ma queue, une queue bien réelle, en chair et en muscle.
Linda nous a entendu, et se retire pour lui laisser la place.
Eva vient sur moi, et je sens sa chatte engloutir mon sexe, aller et venir dessus, comme si elle me faisait une pipe. Puis elle se soulève légèrement, se saisit de ma trique à pleine main, et se l’enfonce dans le cul.
Linda l’a remplacée prêt de moi, et je la fouille, la chatte et le cul, on se roule des pelles voraces, on échanges des injures. Elle semble bien connaître les hommes mûrs, et elle sait qu’après m’avoir fait jouir une fois, je vais être performant longtemps avant d’éjaculer à nouveau et de m’éteindre.
Du coup elle a envie que ce soit moi qui les baise, et non elles qui me baisent.
Elles sont côte à côte, debout, penchées en avant, et je vais les prendre en levrette. Je leur ramone la chatte à tour de rôle, disant que j’ai un autre plan pour leur cul.
Je sais qu’elles baisent ensemble, et je veux les voir se faire un 69, les enculer pendant qu’elles se bouffent la chatte. L’idée les séduit, et elles s’allongent sur le côté, la gueule entre les cuisses bien ouvertes de l’autre. Je viens derrière l’une, puis l’autre, et les embroche vigoureusement
J’insulte Linda qui me le rend bien, mais je n’ose avec ma petite Eva que j’aime bien. Mais là, je suis trop excité et je me lâche, ave sa permission:
– Salope, petite pute, c’est bon de t’enculer, de te baiser. Tu ne m’as pas sucé encore, petite chienne. Je vais finir dans ta bouche, t’offrir ma grosse queue parfumée de vos chattes et de vos culs de jeunes putains……………….
Je les sodomise encore et encore, me régale à les voir se bouffer la chatte, et je vais enfin jouir pour la deuxième fois. Eva est à genoux devant moi, et je prend sa bouche, la baise en gorge profonde:
– Salope, salope, tu ne peux savoir toutes les queues que je me suis tapées en pensant à toi. Tu es une pute allumeuse qui nous fait bander avec ton cul à bites. Je vais jouir dans ta bouche, je vais te faire bouffer mon foutre. Ouiii, je viens, je viens, avale, avale salope, avale, avale…………….
Je reste en elle pour qu’elle me nettoie, puis je me retire et lui roule une pelle vorace. Je m’excuse pour tous ces mots que je ne pense pas, lui jure que je l’adore, et elle me dit de ne pas m’en faire, que c’était très bien, qu’elle s’est éclatée.
Elles semblent satisfaites de mes services, et Linda me dit que j’ai mérité de prendre mon pied moi aussi avec une bonne bite dans le cul. Eva est d’accord pour me sodomiser elle aussi, mais elle veut faire un petit pipi d’abord. Je lui demande si je peux l’accompagner, et la regarder faire. Linda qui semble mener la séance intervient:
– Tu es vraiment vicieux! Tu aimes l’urine?
– Oui, c’est beau une femme qui pisse, c’est magnifique à voir.
– Et peut-être que tu aimes plus que juste regarder?
– Comment ça?
– Tu sais ce que je veux dire. Tu dois aimer qu’on te pisse dessus et même dans la bouche.
– Oui, tu as raison, mais je rêve que ce soit Eva qui le fasse.
– Mais elle va le faire, et moi aussi, on aime ça nous aussi.
Du coup ma petite chérie va se retenir encore. On se prévoit un petit plan, mais on doit d’abord boire. Linda s’absente quelques secondes, et revient avec un superbe gode ceinture et des petites bouteilles d’eau. On boit une bouteille chacun, vite fait, puis elle s’équipe. Eva s’allonge sur les dos, cuisses ouvertes, et je m’installe à quatre pattes entre ses jambes. J’ai mes lèvres soudées à ses lèvres, pas les mêmes, ma langue enfouie dans sa fente, et mon cri est étouffé lorsque Linda m’embroche d’un grand coup sec avant de me limer de toutes ses forces. Je prends un double pied, celui de me faire défoncer par une jeune femelle, et bien sûr celui de dévorer la délicieuse chatte de ma coiffeuse bien aimée. Elle gémit de plaisir, jouit bruyamment, mais sans m’insulter, elle n’ose pas. Linda, elle, ne s’en prive pas:
– Tu aimes ça salaud, de faire mettre profond. On va t’en donner de la bite mon enculé. Et bouffer les chattes, tu aimes aussi. Elle te plait la vulve de ta chérie. Bouffes la bien, et puis je t’offrirais la mienne………………….
On continue un moment ainsi, on boit encore, et on remet ça. Cette fois si c’est Linda qui ouvre ses cuisses pour un cuni vorace, et Eva qui me ramone avec un mélange de tendresse et de puissance. Elle est sportive ma petite copine, et elle va être très performante. Je me suis fait super bien sodomiser, j’ai bouffé de la choune comme un porc affamé et assoiffé, et on va passer au plan pisse.
On se déshabille entièrement, et je peux mâter leurs jolis seins. Ils sont superbes, surtout ceux d’Eva qui n’en finit pas de me plaire. Elles me laissent les caresser, les embrasser, les téter, vite fait.
Linda att**** trois gobelet en plastique. Ca leur arrive de pratiquer ce jeu entre elles, et elles ont leurs habitudes; je vais donc faire comme elles.
On pisse chacun dans un gobelet et on boit une gorgée de notre propre urine. Puis on se les passe de façon à boire une gorgée de chacun des deux autres. Il en reste un peu, on met tout dans un verre, puis on partage pour goûter au mélange de nos liqueurs.
Elles sont face à face, s’embrassent à pleine bouche, et Eva s’agenouille. Linda écarte ses lèvres et je vois quelques gouttes dégouliner puis un jet puissant pénétrer la bouche d’Eva pour la remplir. Ma petite ne parvient pas à tout garder bien que la pisseuse ait fermé son robinet. Elle en avale le maximum, et se caresse pour s’enduire des dégoulinades. Elle se relève, elles se roulent une pelle, Eva voit mes yeux envieux, et me propose de me servir. Je fais comme Eva, je lui offre ma bouche, je bois tout, et on se roule une pelle.
On alterne, c’est au tour d’Eva de se soulager, et je savoure son pipi joli avec délectation. C’est à mon tour, elle n’ont jamais fait ça avec un homme, et je les devine impatientes de me recevoir.
On renouvelle mais avec une petite variante: Celui ou celle qui reçoit n’est plus à distance; on a nos bouches soudées à la chatte qui nous désaltère, ou j’ai ma bite un peu molle dans leur bouche, comme un biberon.
On ne fait pas trop pour essayer de durer, et on se fait encore quelques courtes séances. On varie les positions, les combinaisons, et on se retrouve deux à genoux avec le troisième debout et qui urine, ou encore un à genoux et les deux autres debout et qui pissent en même temps. On vise toujours la bouche, mais on prend aussi plaisir à s’arroser le visage et les seins.
La séance est fini, et il faut tout nettoyer, se nettoyer.
Tout est clean, on se félicite et on se remercie pour cette soirée, et on envisage de remettre ça. On se fera principalement un plan pisse digne de ce nom, bien plus important que celui d’aujourd’hui, et on baisera accessoirement. Pour cela on boira beaucoup avant notre rencontre, au moins deux litres chacun, et on boira encore durant notre séance.
Un petit baiser à Linda, un long baiser chaud et passionné à Eva, et on repart chacun chez soi
Ajouter un commentaire