Paris – gare Montparnasse
Je l’attendais depuis 10 minutes dans le Hall, rempli d’appréhension et d’excitation. Comment était-elle physiquement ? Allions –nous nous plaire ? Moment de gêne ? …
Je ne savais pas qu’un rendez-vous de ce type pourrait me faire autant cogiter…
L’hôtel avait été réservé par ses soins et il était tout près de la gare.
Elle apparut et je la reconnu instantanément au vu de plusieurs fragments de corps aperçu sur ses photos. Tous ces petits pixels prirent leur sens et m’étaient restitués dans une version physique très charmante. Elle était habillée de manière très soignée. Ses bottines et sa jupe en cuir étaient évidemment de la partie, ce qui me ravi.
« Bonjour Claire » …
La bise.
Curieux de se faire la bise au vu de ce qui allait suivre… cette façon de se saluer si amicale, alors que nous allions nous explorer beaucoup plus en profondeur.
Elle fit alors un commentaire sur le temps qui me plut d’emblée :
« Qu’est ce qu’il fait chaud… j’ai bien fait de voyager léger… «
Il faut dire que ce mois de juillet était particulièrement agréable de par ce soleil qui inondait les visages de jolies femmes comme elle, les arrosant de lumière qui relevait leur beauté et leurs charmes. Elle portait un petit chemisier blanc très léger, et quand elle se baissa pour prendre son sac, j’ent****rçus de la dentelle noire couvrant ses seins… Son commentaire sur le temps me laissait rêveur car cette chaleur renvoyait à un déshabillage rapide, à un effeuillage libérateur… au fait qu’elle avait chaud parce qu’elle était en chaleur…
Nous nous assîmes à la terrasse d’un café touristique et nous commandions rapidement… la discussion porta sur notre physique, sur comment on s’imaginait… puis dériva pudiquement sur ce que l’on avait pu imaginer de l’autre…
La surprise du réel…
Mais nous n’étions pas déçus au moins…
Je sentis alors nos jambes se frôler… ce n’était pas une impression, la dame tentait de me faire du pied…
Je me laissais bien entendu faire, il était plus difficile de continuer la discussion en masquant cette excitation nouvelle, ce désir qui montait…
Plus son pied s’agitait délicatement le long de ma jambe, plus il m’était difficile de rester totalement calme, une goutte de sueur traversa mon front… Claire était naturelle, parfaitement à l’aise et la discussion reprit sur des sujets plus brulants…
Chambre 22
La porte de l’hôtel fermée. Face à face. Se contemplant.
Etrange, ce n’est pas si facile de sauter une inconnue.
Ce qui est perturbant c’est le démarrage, de briser la glace alors qu’il n’y a jamais eu aucun contact physique auparavant, qu’on ne connait pas cette peau, ce parfum… et donc qu’on n’ose pas, ne connaissant que très peu les réactions de l’autre…
Je vins contre elle, l’enlaçant. Ses seins contre mon torse, nos jambes en miroir.
Il me plaisait ce gloss.
J’approchais ma tête de la sienne, les yeux dans les yeux, entrouvrit les lèvres… en quelques secondes nos langues avaient forcé le barrage des réserves… Nous nous embrassions goulument, savourant chaque seconde, chaque aspérité de l’autre. Nos mains se promenaient sur le corps de l’autre. Nous étions devenus moites, envahit d’envies, l’ambiance devenant particulièrement électrique…
Les vêtements tombaient au sol, vaincus par le désir, la retenue s’était vaporisée en un parfum de sexe fort. Presque nus nous continuâmes les baisers, sur la bouche, la peau, le cou, le torse, les seins…
Je bandais. Comme jamais, ça en était presque douloureux. Il fallait que cette femme mûre me libère de mes envies, dégage mon sexe raidi de ses entraves.
Pendant que nous nous embrassions sauvagement, j’avais pris ses jolis seins en mains et les tordaient délicatement, faisant plier ses tétons… cela la rendait folle…
Nous étions toujours debout, face à face.
Une de ses mains avait baissé doucement mon caleçon et j’étais nu. Elle pas encore, je me doutais qu’elle allait garder ses bas et sa culotte. Ma bite était collée contre son ventre. Excitée et pressée de la découvrir, Claire me prit en main. Elle savait y faire, ses petits mouvements régulier dégageaient parfaitement mon bout. Ses doigts enserraient fortement ma base, sa branlette n’était pas celle d’une jeune femme novice… mes mains pelotait son beau cul que je serrais et pinçais, pendant que ma langue titillait désormais ses deux petits boutons tendus. Sa culotte fut vite descendue et en glissant deux doigts à l’intérieur je m’aperçus qu’une femme mûre pouvait encore mouiller énormément. Sa vulve intégralement épilée s’offrait à deux de mes doigts. Un troisième s’y engouffra en forçant lentement le passage.
C’est à ce moment que nous nous allongeâmes. Elle, uniquement vêtue de ses bas et de sa culotte qu’elle ne voulait pas se laisser ôter, continuant de me masturber de manière experte. Moi n’ayant plus assez de mains pour les poser à tous les endroits que je voulais palper… Nos langues se retrouvèrent un court instant, enivrées.
Elle se retira brusquement et descendit le long de mon torse, bouche entrouverte, sa langue épousant les contours de mon corps. Arrivée à ma verge durcie, elle ne se fit pas prier. Elle avait faim et avala ma colonne sans la déguster. J’étais très surpris de son ardeur à sucer comme une actrice de films x. Ce fut la meilleure pipe de ma vie, mon gland se faisant aspirer par cette goinfre de 51 printemps… Ses mains caressaient mes couilles et les palpait sensuellement. Son gloss se répandait sur les nerfs et les veines de ma virilité gonflée de plaisir. Totalement lubrifiée, mon sexe était prêt à l’emploi. Je la saisi par les épaules et la fit basculer par terre sur le dos. Je lui grimpai rapidement dessus, lui écarta de force les cuisses et sans la prévenir, je m’introduisis en elle en soulevant la dentelle de sa culotte. La fluidité de cette pénétration m’excita énormément tant la dame était trempée. Sa vulve s’ouvrait comme une jolie rose humide. J’avais été très violent dans ma manœuvre mais ma libido était décuplée, j’étais à ce moment là une bête, un a****l sans conscience, juste avec ce besoin de se vider. Alors que mes allers retours au fond de sa chatte glissante n’avaient rien de délicat ni de romantique, ma main enserra sa gorge avec force. Je la sentais alors perdu entre une légère peur et un plaisir immense. Elle donnait de la voix, enfin, ce qu’elle pouvait, empêchée par ma main qui faisait pression sur ses cordes vocales…
Je défonçais son trou.
Cette femme d’ailleurs n’était plus qu’un trou à ce moment là. Ou bien une proie. Ses mains attrapait mes fesses, elle en voulait toujours plus. Elle haletait, transcendée par ce premier rapport, ce premier contact brutal et fougueux que nous nous étions maintes fois imaginé…
Je déchargeais rapidement dans sa fleur, échauffé par ce premier contact torride avec ma salope virtuelle.
Nous remontâmes alors sur le lit pour s’allonger pendant quelques minutes, histoire de reprendre notre souffle.
Le désir monta à nouveau et tandis qu’elle se retourna en m’offrant la contemplation de ses épaules et de son bronzage, je me retrouvais encore dur comme l’acier dans le dos de cette jolie brune. Elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes et ota ses bas. Elle était intégralement nue… Mon sexe était collé à ses fesses restées blanches et imposantes et je fis quelques allers retours délicat le long de sa raie pour la stimuler. Claire était de nouveau très réactive. Elle écarta lentement sa raie pour que mon sexe y touche ses orifices qui abondaient de nouveau de sécrétions. Ma verge opérationnelle glissait contre ses lèvres et son cul, titillant son clitoris devenu énorme. Pendant ce manège, mes mains attrapaient ses jolis seins pour les masser avec application et un désir croissant. Elle tourna un peu la tête pour trouver ma bouche, et nous repartîmes dans nos jeux de langues érotiques.
La belle espagnole me fit un petit clin d’œil et se redressa. Elle vint se positionner à quatre pattes et je découvris enfin son petit trou… ma langue ne pu y résister. Ma tête s’abaissait jusqu’à son fessier charnu et je fus happé par les odeurs du corps de cette magnifique femme. Je lui léchais délicatement l’anus, galvanisé par cette vue pleine de sensations. Ma langue s’égarait parfois sur ses lèvres et son clitoris mais mon objectif était de faire céder cette jolie petite barrière brune et nervurée. J’engouffrais alors un peu plus ma langue au fond de ses entrailles, la ramonant avec ma salive. Mes mains caressaient pendant ce temps le galbe de ses majestueuses jambes extrêmement bien dessinées et remontaient pour écarter au mieux ce cul de femme mature que j’avais tant fantasmé… Il était désormais dans ma bouche et au vu des soupirs de ma nouvelle maîtresse, elle avait attendu longtemps de se le faire bouffer avec autant d’entrain.
Ma première volonté était de prendre cette petite garce par le cul. Enculer une femme mûre, je n’aurai jamais imaginé cela dans mes rêves les plus fous…
Mais Claire me reprit en main alors que je m’étais redressé et que j’avais accolé mon gland à sa fragile barrière annale.
« Non, pas tout de suite, j’ai envie d’autre chose… »
Elle voulait profiter d’une bonne baise en levrette. J’exauçais alors le fantasme de ma brune. Sauf que cette fois j’allais la faire languir…
Ma barre était redressée et surplombait sa chatte devenue fontaine. J’approchais avec précision mon pénis vers son trou à plaisir. J’avais décidé de m’y engouffrer avec la plus grande lenteur possible, lui faisant profiter de chaque aspérité de mon sexe dans son conduit…
Claire gémissait, mais elle voulait tout, comme la première fois… Moi, imperturbable, je continuais ma plongée vers ses ovaires au rythme d’un escargot. Elle m’engueula presque quand elle me supplia de la baiser, elle ne tenait plus…
Je ressortis doucement, avec le même rythme que mon insertion. Claire agitait son cul devant moi, sa croupe était prise de convulsion, elle voulait s’empaler sur mon organe qui avait pris la dureté du bois.
Je poussais alors le vice jusqu’à me retirer intégralement du corps de cette petite salope… je sentais qu’elle n’en pouvait plus et qu’elle allait finir par se faire justice elle-même, en se masturbant frénétiquement…
Je plaçais alors mon gland à l’orée de son vagin désespéré. Elle m’ordonnait désormais de la ramoner dans tous les sens, libérée de toute pudeur. J’engouffrais alors sans prévenir et sans aucune délicatesse mon sexe. Elle reçut mes 17 centimètres dans leur intégralité et sa bouche s’ouvrit : c’était la première fois que j’entendais une femme hurler de cette manière, ces râles venant du fond de sa gorge et illuminaient la pièce sombre. Sa bouche n’était pas prête de se renfermer car j’y glissais trois de mes doigts qu’elle suça avec une sauvagerie inouïe, sa langue nettoyant mes phalanges pendant que mes couilles continuaient de claquer violemment contre ses lèvres dégoulinantes.
Pauvre Claire. Je la ramonais depuis cinq petites minutes et elle jouissait déjà… ses cris s’estompèrent peu à peu, son corps s’affaissa et devint mou, libéré de toute tension. J’en profitais pour sortir, le sexe dans la main pour arroser son cul que je claquais désormais. D’intenses giclées fouettèrent son petit trou replié sur lui-même. Elle se faisait repeindre couleur sperme, ses deux orifices devenant laiteux.
Nous restions là. Pas encore repu mais beaucoup plus léger tous les deux. Nous discutions désormais de choses et d’autres, dans notre simple nudité. Soudain Claire regarda son portable :
« Ah ! C’est l’heure… »
Elle me demanda de me rhabiller. Elle en fit autant. Je devais la suivre sans poser de questions. Soit. Cela m’excitait cette prise d’initiative.
Elle m’emmena dans un lieu dit « surprise ». Elle avait préparé une activité surprenante et inédite disait-elle. Je me laissais aller à la suivre hypnotiquement, repassant dans ma tête le film de nos récents ébats, sa voix déformée par la jouissance, son odeur corporelle, la quantité de mouille qu’elle avait sécrétée, le plaisir qu’elle m’avait procuré…
Rue Notre Dame des champs – Paris
« C’est ici, je crois »
Elle m’interrompit dans ma rêverie. Nous étions devant un immeuble Haussmanien du plus bel effet. Arrivé au dernier étage, Claire frappa à la porte ou un petit autocollant représentant un smiley était appliqué à côté de la sonnette… La porte s’ouvrit… une jolie blonde d’une quarantaine d’année et très bien foutue nous accueillit en jupe courte. Je ne savais toujours pas ce que nous faisions ici. La blonde nous sourit en nous lançant « égarés ? » et Claire répondit du tac au tac « je suis une petite salope »…
Surréaliste…
Elle nous laissa entrer.
Nous avions passé le seuil de la porte et j’aperçu alors dans le salon deux hommes d’une quarantaine d’années simplement vétus d’un caleçon déjà déformés par leur hâte… Ils sirotaient ce qui semblait être un whisky, debout, près d’une petite table en bois… bref salut, signe de tête entendu…
La blonde nous fit nous assoir et nous demanda si l’on voulait boire quelque chose, je déclinai poliment toujours sonné. Claire avala un grand verre d’eau, se leva , ôta ses vêtement à l’exception de ses bas, sa culotte en dentelle et son soutien gorge et s’agenouilla entre les deux hommes qui étaient occupés à finir leur verre…
La scène se passa trop rapidement pour moi… en presque une minute, elle était passée d’une position assise habillée à une position quasi nue agenouillée… et la voilà qui soupesait déjà le paquet de ses messieurs impatiente de découvrir la masse de ce qu’elle allait déguster. Ils baissèrent leurs caleçons en même temps, leurs queues dressées rebondirent et frôlèrent les joues rosies de cette chère Claire. Sans se faire prier elle se mit à embrasser délicatement chaque chibre tendu, en distribuant ses baisers sur leurs glands violacés. L’un avait une bite assez énorme, longue et large, veineuse… son gland était tellement gros que Claire ne pourrait surement pas le prendre intégralement en bouche… enfin c’est ce que je croyais… Ma petite salope commença par le moins bien monté des deux… elle le suçait désormais langoureusement, pendant que ses petites mains impeccablement vernies d’un rose clinquant pratiquaient des allers retours rapides sur l’énorme barre dressée qui semblait extrêmement pressée de découvrir Nicole plus en profondeur.
Pendant ce temps, j’étais confortablement installé dans un canapé spacieux, la blonde avait disparu. Claire me regarda et me fit un clin d’œil entre deux pipes goulues. Elle prenait en bouche l’énorme verge et je voyais sa langue ressortir de temps à autre caressant de sa pointe le long frein de cette excroissance turgescente.
Je me mis à l’aise, déboutonna mon pantalon et me mis également nu, décomplexé. Je me rassis dans le canapé, commença à me masturber en la voyant pomper avec autant d’envie… je devins dur en quelques secondes pensant rejoindre Claire dans son fantasme… Mais non.
Pas tout de suite.
Je sentis un parfum derrière moi.
La blonde passa ses mains sur mon torse et m’enserra… je sentais ses tétons en pointe dans mon dos… elle semblait dévêtue aussi..
Rapide comme une panthère, elle se retrouva sur le canapé, à côté de moi, totalement nue. Très joli sourire. Elle ressemblait à une femme au foyer américaine… Elle s’allongea sur le dos, écarta ses cuisses et je découvris une jolie toison en triangle proprement taillée. Ses gros seins gonflés d’amour semblaient attendre qu’on les prenne en main… elle glissa sa main entre ses cuisses et masturba lentement son long clitoris, ses épaisses lèvres dégoulinaient déjà. Avec son pied, elle vint heurter mes couilles, et remonta avec ses jolis orteils vernis en cyan, le long de ma raideur. Je n’en pouvais déjà plus, sentant monter le sperme à vive allure malgré mes deux précédentes décharges.
Claire avait trouvé son bonheur, elle était à quatre pattes, pompant l’énorme dard qui se présentait à elle depuis dix minutes pendant que l’autre homme investissait sa chatte en levrette. Je l’entendais gémir avec une grande régularité, trop excitée par le remplissage simultané de ses orifices. C’était sa première fois, elle avait donc cette extase de la découverte et cette jouissance de se faire brutalement assaillir et dominer par ces deux hommes.
Ma blonde m’avait malaxé les couilles et la queue dans tous les sens avec ses pieds, si bien que mes bourses étaient totalement rétractées, et mon gland virait au violet foncé… conscient de cet état, elle me prit en bouche pendant quelques secondes pour me faire monter… ses lèvres fines posées délicatement sur mon gland, sa langue dessinant de petits cercles sur le haut de mon sexe dressé…puis, elle le suça délicatement, loin de la goinfrerie de Claire, jamais rassasiée. Ensuite, elle retrouva sa position initiale, allongée, jambes écartées… une invitation.
Je me glissais alors dans son dos, mes mains prenant en charge ses jolies cuisses fines. Je les écartais encore un peu et rapprocha mon pubis du sien, ma main pelotait son énorme sein, 95 c pensais-je … Ses tout petits tétons étaient semblables à ma verge, aussi durs. Nous nous embrassions désormais, nos langues inconnues se mélangeaient avec la fougue de l’interdit. Sa bouche était chaude et humide. Ma verge collait à ses lèvres, mais cette blondasse avait dépassé ce stade, frottant son petit cul humecté contre mon bout solide. Je n’en pouvais plus, et pris ses fesses sauvagement. Je m’enfonçais en elle comme dans du beurre : ce n’était pas une simple curieuse, elle avait l’expérience de faire défoncer le cul. D’ailleurs elle ne se contracta pas quand je m’introduisis en elle, pas de retenue, juste un râle de bonheur. Ce râle de fond de gorge de femme mure, je commençai à le connaitre… Son extase devenait alors contagieuse.
Pendant que son anus distendu recevait mes assauts je la voyais observer la scène en face… son mari était l’homme qui s’était désormais glissé sous Claire, son énorme braquemard forçant sa vulve… Elle, à quatre pattes toujours, se faisant soigneusement enculer par l’autre homme, qui semblait appliqué et excité, en témoignait la régularité de ses coups de trique. Ces deux affamés la prenaient littéralement par tous les trous. Elle gémissait toujours mais ce n’était rien à côté de ma belle mure aux cheveux d’or qui jouit soudainement de manière extrêmement sonore. Cela faisait 5 minutes que je travaillais son tunnel dilaté, et elle explosa… Je ressentis de nombreuses contractions au niveau de son cul qui faisait des vagues autour de ma queue indiscrète, mes doigts s’enfonçaient pendant de ce temps dans sa chatte. Je changeais alors de trou, pressé d’investir une nouvelle vulve et surtout impatient de tout explorer de cette jolie coquine. Je pénétrai sa fente machinalement, elle était plus que glissante et assez large, passage fréquemment emprunté et défoncé me disais-je… alors que j’accélérais la cadence, je me raidis encore plus : ça montait à grande vitesse… elle se libéra soudainement de mon étreinte, se leva et s’approcha de Claire en me souriant… Je me redressai instantanément, surpris, et la suivi, me tenant le sexe avec force pour ne pas arroser l’assemblée. Elle caressa la bouche de Claire et rappela son mari qui pilonnait sa chatte lisse. Il se dégagea et sa femme le prit en main, le masturba quelques secondes et présenta sa queue à la bouche de Claire. Cette dernière ne se fit pas prier pour recommencer son travail de pompe mais cette fois ci… en binôme avec la belle blondasse. La langue de Claire et de ma nouvelle copine se rejoignaient, communiaient, et sécrétaient un flot de bave autour du même braquemard… j’étais jaloux et prêt à jouir.
L’autre homme était passé en dessous, allongé désormais sous ma maîtresse. Il me restait le cul de cette charmante Claire qui s’offrait à moi, déformé par les coups de butoir de cette orgie progressive. J’étais ravi de pouvoir l’explorer quelques secondes pour décharger dedans. Tandis que je m’enfonçais sans difficulté et accélérais les allers retours, l’homme en dessous m’imita. Nos couilles se heurtaient et se frottaient violemment, galvanisé par le plaisir commun de défoncer Claire, trop occupée à partager sa langue avec celle de la jolie blonde. L’orgasme fut collectif. Des râles ci et là… des giclées, toute en Claire qui accueilli tout ce sperme au plus profond d’elle… même l’énorme mandrin déchargea dans la gorge de ma belle salope et non pas sur son visage…
Nous étions épuisés, transpirants… une odeur de sexe acre flottait dans la pièce… et les corps nus mélangés et recouverts de sueurs offrait un spectacle de plaisir total et intense… la blonde revint vers moi, lumineuse :
« Excuse-moi mais j’ai eu subitement l’envie de voir cette chienne se faire prendre par trois queues en même temps… »
Retour à l’hôtel tard dans la nuit, après quelques verres avec nos camarades de jeu. Nos sexes étaient un peu endoloris. Mais la nuit n’était pas finie…
Claire sentait la bite, le foutre et la transpiration. Elle m’annonça qu’elle allait prendre une douche et me demanda si j’étais en forme après ce marathon. J’étais encore prêt pour elle, bien sûr…
Après sa douche, j’entendis un petit cliquetis venant de la salle de bain. La porte s’ouvrit et Claire m’apparut, à genoux. Elle avait ouvert la porte en prenant la poignée dans sa bouche. Ses mains étaient dans son dos, menottées. Elle portait un ensemble de lingerie bleu, qui allait de sa chatte aux épaules…
Elle me demanda de sortir le bandeau de son sac et je m’empressai de lui mettre. Allongée sur le dos, la tête sur le rebord du lit, elle était de nouveau à moi.
Avec le bandeau sur les yeux, elle ne savait pas précisément ou je me trouvais… Allongée sur le lit, cuisses écartées, mains dans le dos elle attendait un mouvement de ma part, une respiration, un geste.
Je restais silencieux, debout à côté du lit, droit et dur, contemplant ce morceau de chair ficelé, livré à mes envies. Elle ne pouvait se plaindre de rien, elle avait amené le matériel nécessaire pour se rendre totalement sans défenses… Je sentais un peu d’inquiétude dans sa respiration, après tout elle ne me connaissait pas… Je lui fis alors un petit discours d’introduction en me déshabillant (je voulais quand même lui annoncer le programme…:
« Et voila, jolie Claire tu es à ma merci… tu espérais peut-être te faire dominer et bien tu vas comprendre le sens de ce mot, je vais faire de toi une chienne, littéralement. Pas la peine de parler, gémis ça suffira. Je vais te retourner, te baiser par tous les trous, t’explorer dans tes recoins et tu seras toute seule face à mon propre plaisir qui va devenir le tien… parce que tu es une grosse salope… »
J’étais moi-même étonné des phrases que je prononçais sous le coup de l’excitation.
Elle, ses seins pointaient. Elle avait été ragaillardie et étrangement rassurée par ce discours lubrique, et n’attendait que le moment ou j’allais l’investir. Elle passait sa langue sur ses lèvres et bougeait délicatement sa croupe de haut en bas, écartant au maximum possible ses jambes, de fait que je ne puisse que constater que sa vulve lisse était devenue un joli ruisseau de mouille. Une tache gluante était apparue sur le lit. J’observais son petit trou se contracter subtilement et ses belles jambes rétractées frissonnaient de désir.
Impatiente, ses gémissements avaient cédé la place à des paroles distinctes mais chuchotées.
« Viens, je suis ta pute, fourre moi, vas y, j’ai envie.. »
Ces paroles raidirent un peu plus les petits nerfs qui parsemaient ma verge et mon gland se violaça encore un peu…
Je décidai alors de la faire taire un peu en lui faisant gouter ma longueur dans toute sa raideur.
Elle continuait, imperturbable :
« Allez, qu’est ce que tu attends, prends moi, défonce moi, je veuumppfffhhh…… »
Elle ne finit jamais cette phrase, ma queue ayant pris la possession de sa petite bouche. Je m’étais placé derrière sa tête et en position de 69, moi au-dessus, j’avais enfoncé mon sexe à moitié. Je la sentais qui agitait sa langue dans tous les sens malgré le fait qu’elle ai du mal à déglutir. Elle avait désormais les trois quarts de ma verge en gorge et je continuai à m’enfoncer plus loin encore, rentrant pendant quelques secondes la quasi-totalité de ma queue. Une gorge presque profonde. J’étais désormais initié. Elle aussi visiblement, même si ce devait être sa première fois.
J’abandonnais ma position retournée pour aller explorer la vulve de ma belle prisonnière. Lui écartant désormais doucement les cuisses (pour contraster avec la violente démonstration de pouvoir précédente) je laissais alors le soin à ma langue de pénétrer son intimité, recouvrant ses lèvres de baisers, suçotant son bouton gonflé de plaisir… ma langue glissait contre ses lèvres et j’avais, passé ces premières minutes d’adaptation, acquis un rythme enivrant, m’imprégnant de l’odeur de sa féminité offerte. Elle ne résista que peu à mon amour… Claire jouissait désormais en se tordant, son bassin semblait pris de convulsion et j’eue envie, pendant que ses derniers râles eurent fini de tapisser la pièce, de lui engouffrer encore une fois mon chibre dans la gorge. Adroitement ma main continua de la masturber pendant son orgasme, et je me glissais sur son côté droit. Elle la bouche ouverte, les yeux bandés, continuait à réciter ses voyelles, gorge déployée. J’en profitai pour lui donner mon gland à sucer en lui ôtant parfois de la bouche pour tapoter ses lèvres baveuses…
Elle gémissait encore… Je lui écartai les cuisses et présenta mon gland à son cul. Elle ne dit pas un mot. Elle n’était pas en position de refuser quelque chose vu qu’elle était devenue ma chose et que j’en disposais totalement. Je la labourai pendant quelques minutes, son visage grimaçait parfois. J’y allais peu être un peu fort et il faut dire que la journée avait été bien remplie de ce coté là…
Je jouis dans son cul fatigué, le gland au fond de son intestin, mes bourses côtoyant ses fesses… bien au fond… Je restai alors dans cette position jusqu’à ce que ma verge soit devenue flaccide…
Je libérai ma Claire et nous prîmes une douche ensemble avec cette fois, beaucoup de tendresse.
Gare Montparnasse – dimanche 4h45 du matin.
C’était presque l’heure du départ, le train de 5h15…
Assis l’un à côté de l’autre dans la voiture, garé à l’abri des regards dans une petite rue attenante à la gare, Nous attendions.
Ça avait été un Week end chargé d’électricité et Claire se remaquillait désormais, prête à retrouver sa vie et moi, la mienne.
Mais soudain…
Elle déboutonna mon jean, tellement rapidement que je ne finis pas ma phrase : « mais qu’est ce… »
Elle commença à me pomper lentement, surpris par son envie, je ne bandais même pas encore. Elle s’acharna alors sur ma verge flasque la pinçant entre ses fines lèvres passées au rouge, la tirant délicatement avec ses dents pour la faire grossir plus vite. Il était 5h du matin et elle avait déjà faim. Mon sexe s’épanouit sous les coups de butoir de cette langue inquisitrice qui malmenait désormais férocement mon bout. Mon sexe se raidit brutalement, tandis que Claire avait enfin la taille de ce qu’il lui fallait en bouche. Il fallait bien la remplir pour la satisfaire et déjà, sa bave coulait jusqu’à mes bourses régénérées… Elle fit alors un vrai mouvement de salope : ses jolies lèvres brillantes descendirent de mon frein jusqu’à mes couilles langue tendue, elle eut même l’audace d’en gober une, de l’aspirer, de la faire tournoyer avec sa langue au creux de sa bouche. Puis elle remonta lentement de mes testicules (désormais rétractées) jusqu’à mon gland, qu’elle continuait à léchouiller au sommet. Elle recommença l’opération quelques fois avant de prendre ma barre en bouche, ou plutôt en gorge vu l’ardeur qu’elle mettait dans la profondeur de sa succion. Je me surpris même, transi d’excitation, à lui prendre la tête pour l’enfoncer encore un peu… et encore un peu plus… je cru sentir même sa glotte reposer sur le bout de ma bite pendant que ses lèvres humides enserraient la base de mon sexe jusqu’aux premiers poils… A ce moment et toujours obsédé par son cul, je décidai de le toucher une dernière fois. Ma main glissa dans sa culotte et je descendis progressivement sa raie avec mon pouce jusqu’au petit trou tout replié sur lui-même qu’il était. J’enfonçais alors mon doigt dans son vagin afin de le lubrifier au mieux, puis remonta au trou précédent après cette halte. Son cul s’ouvrit miraculeusement, impatient de m’accueillir une dernière fois, pendant que la salope gaspillait sa salive… Mon pouce entama des allers retours réguliers toujours plus loin, Claire pour m’aider au mieux, écarta au maximum ses cuisses dans cette position. Une de ses bottines s’appuyait contre le pare brise… Elle avait commencé à gémir dès que j’avais investit son petit trou. Une passante d’une trentaine d’années passa près de la voiture , les yeux horrifié par le spectacle que nous lui offrions. Sur les derniers instants Claire cessa son travail d’orfèvre avec sa bouche et masturba le plus rapidement possible mon sexe gluant. Connaissant mes penchants, elle me regarda en souriant et se tourna vers ma bite, bouche grande ouverte et langue sortie, agitée dans tous les sens… elle était à 5 cm de mon sexe et elle m’invitait à vivre mon dernier fantasme : arroser le visage de Claire. Elle ne se fut pas prier. Dans cette position, en la voyant montrer son plus beau visage de pute, rouge à lèvres défait, langue hors norme, lèvres baveuses, je ne pu que me laisser aller… Une salve de sperme éclata, les jets étaient anarchiques et très soutenus, les lourdes gouttes éclataient littéralement, Claire était repeinte en continu, tentant de respirer sans suffoquer… très surprise par la quantité, elle pris le reste en bouche… puis à mon grand étonnement avala le tout…Il me restait encore un peu de jus malgré mes décharges successives de la veille…
Elle passa un coup de kleenex autour de ses lèvres, sur son nez, essuya son menton…
Elle m’embrassa pour me dire adieu, enfourna sa langue dans ma bouche précipitamment. Elle claqua la porte sans se retourner pour se diriger vers la gare. Ma queue était toujours dressée vers les étoiles, mon pantalon était déboutonné. Dans la voiture, l’odeur de mon sperme se mélangeait à celui du cul de cette petite garce.
Elle avait laissé au coin de mes lèvres une goutte de ma semence ainsi qu’un peu de rouge à lèvres.
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