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Dépravation Parisienne

Dépravation Parisienne



Dés mon plus jeune âge, j’ai été attiré par les choses du sexe. A Paris, lors d’un séjour chez une copine, il m’est arrivée une histoire cocasse. Aux heures de pointe, nous étions serrés comme des sardines dans le wagon. Tout à coup, j’ai senti une main se poser une fesse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche et commençait à s’insinuer dans la raie de mes fesses. J’ai voulu me retourner vers l’importun mais serrés comme nous l’étions, je ne pouvais pas trop bouger. J’ai juste pu voir qu’il s’agissait d’un jeune homme noir. Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main, il a ricané. Puis il a reposé sa main d’autorité sur mon cul. Je ne sais pas si c’est par peur ou par curiosité mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le trajet, il m’a peloté le cul allant parfois entre mes fesses. Tout cela aurait pu en rester là. Mais arrivée chez ma copine, j’ai trouvé dans une de mes poches un papier avec un numéro de téléphone. Plutôt que de raconter ma mésaventure, j’ai choisi de ne rien dire.
Le soir même, par curiosité, j’ai appelé ce numéro.
« Allô ?»
Je me râcle la gorge et d’une voix incertaine que je lui dis :
« Bonsoir qui êtes-vous, »
Tout de suite il capte à qui il a à faire et me répond, très vulgairement :
« Ah ! C’est toi la salope qui se laisse peloter dans le métro ! »
Surprise, j’ai raccroché. Mais mon numéro n’étant pas caché, il a rappelé aussitôt :
« Pétasse ! On me raccroche pas au nez comme ça !… Je t’attends demain matin au métro Belleville ! »
J’ai pensé à ça toute la nuit. Le lendemain matin, allez savoir pourquoi ? Je me suis rendu au rendez-vous du frotteur. Il m’attendait de pied ferme affalé sur un banc public. Il s’est levé et, sans bonjour, il m’a dit :
« Suis-moi salope! »
J’étais comme hypnotisée. Nous sommes entrés dans un immeuble et à peine entrée dans l’appartement, il a exigé :
« A poil pétasse! »
J’ai sursauté et au lieux de m’enfuir, honteuse, je me suis mise nue devant ce jeune inconnu. Sans dire mot, il a tourné autour de moi en me matant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre et là, il a commencé à me donner une fessée. A chaque claque, je criais de douleur et sentais mes fesses devenir brûlantes. Ses mains comme des battoirs m’infligeaient une sévère correction. Il s’est enfin arrêté. Mes fesses me cuisaient.
« Alors grosse pute, tu t’fou à poil comme ça devant n’importe qui? »
Mais c’était loin d’être terminé. Il saisit un ustensile et et c’est remis à me frapper les fesses. Je criais et sanglotais mais restais là à me prendre des coups de ce sadique. Il s’est arrêté pour contempler son œuvre et a plongé sa main entre mes cuisses pour fouiller ma chatte et en apprécier l’humidité.
« t’es une sacré vicieuse toi ! De te prendre une dérouillée t’as la chatte gluante ! T’es une vraie chienne salope ! »
Sur ce, il me fait mettre à genoux et il sort un énorme engin de son pantalon. Il m’a pincé le nez et m’ordonnât :
« Ouvre la bouche et suce moi ! »
Il était tellement énorme que mes condyles m’en faisait mal. Il m’a pris la tête et s’est enfoncé jusqu’au fond de ma gorge. Par réflexe, j’ai eu un haut le cœur mais je n’ai pas vomi. Heureusement, car j’aurais eu le droit à une autre punition.
« Pompe, salope, t’es là pour servir de vide couilles ! »
Tout en me claquant les seins, il me baisait la bouche. La tête me tournait J’étais sa chienne. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir. Curieusement j’aimais ça et ma chatte le savait car de la cyprine coulait sur mes cuisses. Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Toujours à genoux, j’ai essuyé les larmes qui coulaient sur mes joues et il m’a jetté en me disant :
« Rhabille toi salope ! Si j’ai besoin de tes services, je sais où te joindre maintenant ! »
Mais j’habitais chez un copine momentanément et c’est sur elle qu’il tomberait une prochaine foi. Comment pourrais-je la prévenir sans dévoiler ce qui venait de ce passer. Comment avais-je pu tomber dans ce piége et aimer cette soumission et accepter ma propre dépravation.

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