Avant la rentrée, je retrouvais Vincent. Nous sommes partis nous promener pour nous raconter nos vacances. La journée était encore bien chaude pour que nous soyons encore habillés d’un t-shirt et short.
Je commençais par lui dire qu’avant de partir en Corse, mon père me donna des précisions sur notre séjour. Nous aurions un bungalow dans un camping boisé avec piscine, jeux, la plage accessible directement. Je fus surpris lorsqu’il m’a annoncé que c’était un camping naturiste.
– tu t’es mis tout nu devant tout le monde demanda Vincent ?
– attends la suite.
–
Pour me rassurer, mon père me dit que les adolescents pouvaient garder leur maillot s’ils le souhaitaient. Dans mon for intérieur, je pensais que je pourrai assouvir mon fantasme, c’est-à-dire voir le sexe de mon père, et plein de queues.
L’avion s’est posé vers 10 heures du matin, le temps de prendre la voiture de location, nous sommes arrivés au camping en fin de matinée. Les véhicules restaient à l’extérieur du domaine. Nos affaires déposées dans notre bungalow composé de deux chambres, l’une avec un grand lit, l’autre, deux petits lits, un salon, petite cuisine, salle de bain avec douche, une terrasse donnant sur une pelouse avec pleins d’arbres, d’autres bungalows, au loin la plage.
Les déplacements dans le camping se faisaient à pieds ou à vélos fournis. J’en comptais quatre dans notre bungalow.
Une fois installés, mon père proposa d’aller manger au restaurant, nous irions à la plage en fin d’après-midi lorsque le soleil sera moins haut.
Nous sommes revenus du restaurant vers 14 heures 30. J’avais noté que la piscine était assez loin, qu’il faudrait les vélos pour s’y rendre.
Vincent était tout ouïe à l’écoute de mon récit.
Nous sommes partis à la plage à pied, mon père avait gardé sa serviette autour de sa taille, moi j’avais mis un bermuda.
La plage était grande avec du sable blond. Chacun pouvait trouver sa place. Nous nous installions un peu à l’écart. Nos serviettes posées l’un à côté de l’autre, je m’allongeais sur le ventre. Mon père m’enduit le dos de crème solaire qu’il commença à étaler. C’était très agréable, je lui dis :
– cela me rappelle lorsque j’étais petit que tu me lavais dans la baignoire, j’adorais.
Une fois entièrement enduit, je proposai à mon père de lui en mettre sur le dos.
Il s’allongea sur le ventre. Je pouvais voir son dos musclé, ses fesses fermes et légèrement poilues. Je prenais plaisir à le masser.
Il me dit :
– tu fais ça drôlement bien ! si tu n’es pas gêné, tu veux bien m’en mettre sur les jambes et le torse ?
Je continuais sur ses jambes poilues, commençant pas les chevilles en remontant vers les cuisses. Mon père les écarta un peu ce qui me permit de voir ses boules rasées que je frôlais, mais que j’aurais aimé caresser, soupeser, jouer avec. Je craignais sa réaction.
Une fois sur le dos, tout en étalant la crème sur son torse orné d’une petite oasis de poils entre ses deux tétons. Mon regard était fixé sur son sexe. Sa verge de taille moyenne, recouverte de son prépuce reposait sur ses testicules entourée d’une toison entretenue,. Devant ce que j’attendais depuis tout petit, bien que je me retienne, une proéminence se voyait sur mon bermuda. Pourvu que mon père ne s’en aperçoive pas.
Nous sommes allés nous baigner. Mon père me dit :
– tu devrais essayer de te baigner nu, c’est une sensation très agréable.
– J’ai peur d’avoir une réaction physique incontrôlable répondis-je
– Tu enlèves ton maillot dans l’eau, tu le remettras avant de sortir.
Vincent écoutait mon récit avec attention se demandant si j’allais le faire.
J’ai effectivement enlevé mon bermuda une fois dans l’eau. La fraicheur de l’eau eut raison de mon excitation. Mon père riait, puis m’a poussé pour que je me retrouve les jambes en l’air. Je me suis relevé pour lui sauter sur le dos. Il s’est penché en avant pour que je bascule vers l’avant. Nous avons joué à la bagarre. Nos mains de promenaient là où elles pouvaient, et parfois caressaient nos sexes. En sortant de l’eau, j’ai mis mon bermuda devant mon sexe jusqu’à ma serviette, me suis allongé sur le ventre. Mon père aussi. Il m’a demandé :
– alors comment était ce premier bain ?
– très agréable, mais heureusement que l’eau me cachait.
– T’en fais pas, personne n’y fera attention, même si tu as une érection, d’ailleurs, regarde là-bas !
En effet, un mec sortait de l’eau sans gêne, le sexe à moitié relevé. De le voir ainsi, cela me rassura.
Mon père se mit sur le dos, j’en fis de même profitant que mon sexe soit au repos.
Vincent me dit :
– à ta place, j’aurai bandé dur.
– Je faisais attention de peur d’avoir honte.
Pour le second bain, mon père est parti en courant le premier vers l’eau. Je le voyais de dos, je le trouvais vraiment bien foutu, ses fesses musclées bougeaient à chaque pas. Je l’ai suivi, mais cette fois en laissant mon maillot sur ma serviette. Me voyant arriver tout nu il avait un sourire de félicitations d’avoir passé le pas.
Arrivé à sa hauteur, il me dit que j’étais un bel adolescent. Nous avons nagé, parfois, les épaules de mon père servaient de plongeoir, ou bien je mettais un pied dans ses mains et il me jetait en l’air, j’avais souvent les jambes largement écartées avant de retomber laissant une vision panoramique de mon anatomie.
– ben dit donc me dit Vincent les vacances commençaient bien !
– et encore je ne t’ai pas tout raconté.
– Et toi comment se sont passées les tiennes ?
– je suis allé chez mes grands-parents dans le Limousin, ils ont une maison de campagne avec un grand jardin, une piscine mais pas la mer.
Il y avait ma cousine et mon cousin. Nous avons presque le même âge. Nos jeux étaient souvent dans la piscine ou dans le jardin. Parfois nous avions le droit d’aller au village. Il y avait d’autres jeunes, qui y vivaient ou en vacances.
Nous nous sommes faits quelques copains et copines. Mes grands-parents nous autorisaient à les inviter à jouer dans la propriété.
Il y avait des gars assez bourrus qui ne parlaient que des filles, dont une était particulièrement gentille. Ne voulant pas être mis à l’indexe, je l’ai draguée pour m’amuser. Elle fut sensible à mes avances. Nous avons flirté, un jour à l’abri des regards, nous nous sommes embrassés, j’ai trouvé cela très agréable. Une autre fois, nous nous sommes serrés l’un contre l’autre nos bouches collées. Le fait de sentir ses seins sur mon torse m’a fait bander. Je repensais à elle lorsque j’étais dans mon lit et je bandais de nouveau. Je me suis bien branlé dans la douche en pensant à ses petits seins pointus.
Voyant mon visage se fermer, Vincent posa son bras autour de mes épaules, pour me dire :
– ne fais pas la tête, cela ne change rien, tu es mon ami et tu le resteras ! allez, continue à me raconter tes vacances. Si tu mets ta main sur ma braguette, tu verras l’effet que ça fait.
Au lieu de poser ma main sur sa braguette, je la glissais dans sa ceinture pour aller juger sur pièce. Je fus surpris de constater qu’il ne portait rien dessous. Par contre je constatais la raideur de sa queue. Je passais ma main jusque sous ses boules les soulever remonter sa verge dont le gland s’était décalotté en dépassant de son short. De voir juste le bout de son gland me donna l’envie de le goûter. La route était un peu trop passante pour le faire.
Je repris mon récit.
Le lendemain, mon père était déjà levé, prenait son petit déjeuner à poil sur la terrasse. J’avais gardé mon caleçon.
– tu as bien dormi ? me dit-il
– comme une pierre, je n’ai même pas rêvé.
La matinée s’est poursuivie en allant faire un grand tour de vélo, mon père toujours à poil, moi en bermuda. Nous avons croisés d’autres cyclistes aussi nus, même parfois des enfants. Cela me surprenait qu’ils ne soient pas gênés, alors que moi l’étais.
Après le repas du soir sur la terrasse en profitant de la douceur du vent, je regardais aux alentours. Sur la gauche, il y avait un chalet occupé par un couple de personnes âgées, un peu plus loin un couple d’une trentaine d’années avec des enfants, sur la droite un couple sans enfant, enfin un autre chalet occupé par un garçon d’une vingtaine d’années, apparemment seul. Tous étaient nus. Je me sentais l’étranger avec mon bermuda.
Le lendemain, j’avais décidé de faire comme tous, c’est pour cela que j’ai pris mon petit déjeuner sans vêtement. Mon père me félicita de ma démarche.
Notre séjour était bien préparé, car le repas de midi se faisait soit au restaurant, soit au bungalow. On pouvait même commander un repas qui nous était livré. C’est ce qui était le cas aujourd’hui. De ma chambre, j’ai vu arriver le livreur. Il était nu à bord d’un tricycle.
Mon père l’accueilli. Je sortis de ma chambre au moment où il posait les plats sur la table. Son corps musclé, entièrement bronzé ne cachait pas son sexe circoncis, de bonne taille reposant sur une belle paire de boules. Tout était parfaitement rasé. Me voyant encore en caleçon, il me dit :
– tu ne fais pas de naturisme ?
– si mais c’est la première fois et je suis réservé quand je ne connais pas.
– Si tu veux, je te ferai visiter le domaine à vélo.
– C’est une bonne idée répondis-je
– Oui mais il faudra te mettre nu comme les autres. On peut faire ça demain matin, c’est mon jour de repos.
– Je demandais à mon père si cela ne le dérangerait pas. Il me répondit qu’il en profitera pour faire les courses des petits déjeuner.
– A quelle heure ?
– 8 heures ça te dirait ? avant qu’il ne fasse trop chaud.
– Pas de problème, je serai prêt.
–
Le lendemain matin à 8 heures, le livreur était à la porte du chalet avec son vélo. J’étais prêt avec le mien, nu comme prévu.
– allé, en route pour la balade me dit-il
– c’est parti répondis-je
–
En parcourant les allées du domaine, nous doublions des joggers nus, d’autres qui faisaient leur gymnastique, d’autres se promenaient. Je n’avais jamais autant vu de gens nus et de sexes masculins qui nourrissaient mes fantasmes.
Mon coéquipier me demanda, si l’allure me convenait.
– impeccable répondis-je
– alors on continue.
–
Je voyais son paquet posé sur la selle qui bougeait à chaque coup de pédales.
Après une bonne heure de vélo, il voulait faire une pause pipi. Il trouva un coin un peu à l’écart et me dit :
– tu vois, dans ces endroits, il y a des couples qui profitent de la densité de la végétation pour se faire des câlins, il faudra te méfier.
Nous posons nos vélos pour aller ensemble uriner. L’un à côté de l’autre, je pouvais voir son sexe de près. Il ne se gênait pas pour me mater.
– tu es bien fait pour ton âge me dit-il.
– Merci
– Tu ne te décalottes pas pour pisser ?
– A la fin pour les dernières gouttes.
Voyant que j’avais remarqué qu’il commençait à bander, il me dit :
– les nouveaux me font souvent cet effet.
Il commença à se caresser, cela eut un effet sur mon sexe que je sentais durcir. De me voir me décalotter à fond plusieurs fois pour m’égoutter, sa verge avait pris une belle proportion. Je ne pouvais plus la quitter des yeux. Je lui demandais :
– tu es comme ça avec tous ?
– non seulement avec les mecs que je trouve mignon.
Sur le chemin de retour, il n’avait pas complètement débandé, cela le faisait rire. Je trouvais cette situation très agréable à voir, ce sexe relevé au dessus de la selle que d’éventuels promeneurs pouvaient remarquer.
Mon père était revenu au chalet lorsque je suis rentré de balade.
– alors ?
– super balade répondis-je. J’ai découvert des coins.
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