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Une maison d’hôtes où on baise

Une maison d’hôtes où on baise



Avec les vacances qui arrivent, je voulais vous faire partager ce qui m’est arrivé récemment dans une maison d’hôtes où nous venons de passer quelques jours, mon épouse et moi.

En bord de plage dans le nord de la France, belle maison appartenant à un couple. Lui, Jacques, une petite soixantaine, cadre dans une entreprise de la ville voisine, elle, Madeleine, blonde, un teint de lait, 1m70, bien proportionnée, belle poitrine, belle chute de rein… bien dix ans de moins que son mari, femme au foyer et mère de deux enfants, un garçon et une fille, tous deux étudiants à Paris mais qui viennent le week-end dans la maison de famille.

On arrive en milieu de semaine, le mercredi et on doit séjourner une semaine. Nous sommes hors saison touristique et nous sommes les seuls clients. On arrive vers 17h, on est bien reçus et nous avons notre premier dîner à 19h30. Nous sommes tous les quatre et après un petit apéro, on passe à table. Mets excellents, ce qui me permet de complimenter Madeleine sur ses qualités de cuisinière et vins choisis, ce qui me permet de complimenter Jacques sur ses qualités d’œnologue. On abuse des vins et mon épouse commence à se sentir pompette décide d’aller se coucher. Je l’accompagne et retourne avec mes hôtes pour poursuivre la soirée. On passe aux digestifs et aux cafés. On discute, on parle de la région, des vacances, du travail de Jacques. L’atmosphère se détend de plus en plus, Madeleine s’assoit près de son mari et se colle à lui. Elle me dit avec un clin d’œil : « Je profite de lui ce soir, il part deux jours en déplacement sur Bordeaux ». Jacques lève les yeux au ciel en disant : « Eh oui, le travail !!! qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour gagner sa vie ! ». Madeleine se lève pour aller en cuisine et Jacques d’ajouter : « Et laisser une femme aussi belle » en jetant un regard d’envie sur la courbe de ses reins.

Je les abandonne pour aller me coucher, ayant l’habitude de me lever tôt, notamment pour profiter des couleurs du lever du jour. J’arrive dans la chambre, ma femme dort profondément et je sais qu’elle va dormir ainsi jusqu’à 10h demain matin. Je profite du calme des lieux pour passer une excellente nuit et, les lueurs du jour commençant à paraître, je me lève à pas de loup pour ne pas déranger ma femme qui dort à poing fermés. Je me dirige vers la cuisine qui se trouve dans une autre aile de la maison. Je suis toujours aussi silencieux dans mes mouvements craignant de réveiller les autres personnes de la maison et là, arrivé à quelques pas de la cuisine, j’entends des petits bruits. Cela me revient en mémoire et je me souviens que j’ai entendu Jacques dire qu’il devra partir assez tôt le matin pour son déplacement. Je ne veux pas troubler nos hôtes dans leur intimité matinale lorsque j’entends distinctement Jacques dire : « Oh oui ! Suce moi bien, c’est trop bon !!! ».

Il ne me faut pas longtemps pour comprendre ce qui se déroule à quelques pas de moi : ils sont en train de baiser ! Je m’approche sans bruit de la cuisine et par chance, la porte n’est pas fermée mais je n’ai pas une vue très bonne sur la scène. Je pousse un peu plus la porte et Jacques est de dos, il est en costume, son pantalon est juste baissé et il a gardé son caleçon faisant juste en sortir sa bite, tandis que Madeleine est à ses genoux avec sa bite en bouche. Elle a les yeux fermés et fait entrer et sortir la bite de son mari. Parfois, elle enroule sa langue autour du gland, en même temps qu’elle lui masse les couilles. Je me dis qu’à ce rythme, il ne va pas tenir très longtemps et que son jus va arroser les amygdales de Madeleine. Je bande et j’ai la main sur ma bite que je sens grossir et se développer. Jacques a bien compris qu’il doit passer aux choses plus sérieuses et il dit à femme : « Tourne toi que je te baise !!! ». Madeleine se retourne et lui présente son cul, ses fesses blanches que souligne le tissus noir de sa chemise de nuit qu’elle rabat sur son dos. Je vois la bite de Jacques se diriger vers la chatte poilue de Madeleine qui fait « Oh !!! » quand il la prend la pénètre d’un coup sec. Il démarre ses va et vient en faisant : « C’est bon, c’est bon !!! ». Madeleine a à peine le temps de commencer à gémir de jouissance que Jacques annonce : « Çà y est, je jouis !!! ». Il reste calé entre les fesses de Madeleine le temps de lui éjaculer dans la chatte et il en ressort rapidement, fourrant rapidement sa bite dans son caleçon et remontant son pantalon. J’ai à peine le temps de m’éclipser dans les toilettes tout près de la cuisine que Jacques est dans le couloir où je me tenais sur le départ. Madeleine l’accompagne, toujours en chemise de nuit pour lui dire au revoir.

Elle retourne rapidement dans la cuisine. Je suis toujours dans les toilettes, la bite tendue par le spectacle que je viens de voir. J’ai une furieuse envie de me branler à fond et d’envoyer mon sperme au fond de la cuvette des wc, un ou deux coups de poignet suffiraient à peine, mais je me retiens pensant que je peux avoir droit à mieux. Je peux aller surprendre ma femme en la fourrant à son réveil ou en la prenant à demi réveillée ou….. Une idée étrange me surprend : et si je prenais la suite de Jacques dans son exercice  qu’il a terminé un peu vite, déplacement en vue oblige ? De fait, j’entends d’abord Madeleine qui se sert une tasse de café puis une série de bruits comme si on cherchait quelque chose dans un tiroir puis plus rien.

Ma bite s’est un peu calmée tout en restant bien grosse et en demi érection. Je sors des toilettes et je me dirige vers la cuisine. La porte est toujours entrouverte et Madeleine est assise sur le plan de travail, les cuisses largement écartées en train de se faire du bien avec un énorme gode noir qu’elle a déjà fait entrer à moitié dans sa chatte dont les poils, enduits de mouille sont agglutinés par endroits. Elle commence à gémir en essayant de se contenir mais visiblement le gode lui donne plus de plaisir son mari. D’une main, elle se pistonne avec le gode qui entre de plus en plus et de l’autre elle se touche le bouton qui doit grossir de belle manière à ce régime. A cette vue, ma bite se remet à bander au maximum et je n’y tiens plus, je me branle avec joie une main sur ma bite et une main sur mes couilles que je malaxe. De son côté, Madeleine a maintenant enfoncé son gros gode jusqu’à la garde et quand elle le ressort pour se l’enfoncer à nouveau, j’ai l’impression qu’il ne finit pas de quitter sa connasse juteuse tellement l est long. Elle n’arrive plus à se retenir de jouir bruyamment et se gémissement emplissent largement la cuisine.

Je sens que je ne vais pas tenir très longtemps à me branler comme je le fais sans envoyer mon jus sur le carrelage et c’est alors que je sens qu’elle va bientôt jouir que je choisis le moment pour entrer dans la cuisine en disant d’un air détaché : « Y’a quelqu’un ? ». Je sais qu’elle n’aura pas le temps de se cacher et de masquer ce qu’elle était en train de faire : se branler de la meilleure manière qui soit ! Je prends le temps de fermer la porte de la cuisine derrière moi et même d’y mettre un tour de clé pour que nous soyons tranquille pour faire ce que, je n’en doute pas un seul instant, nous allons faire, Madeleine et moi : baiser frénétiquement !

Elle atterrit rapidement en me voyant et, le gode largement planté dans sa chatte, elle serre ses cuisses et essaye de baisser sa chemise de nuit sur ses jambes, en oubliant au passage qu’un de ses seins, de fort belle taille au demeurant sort complètement par le décolleté de sa chemise de nuit. Elle me dit : « Ah, c’est vous ! Je suis désolée, j’avais oublié que vous étiez là ! ». Je comprends mieux soudain ! Elle a l’habitude de se branler comme ça quand son mari ne la fait pas suffisamment jouir et j’ai l’impression qu’il doit rarement la combler et que le vrai exercice de jouissance, c’est celui qu’elle pratique une fois son mari parti au travail. Je la regarde avec un magnifique sourire et je lui dis : « Mais ce n’est pas grave ! Et ce que je vois est tellement beau !!! ». « Vraiment » me dit-elle, « Vous ne trouvez pas cela dégoûtant qu’une femme aussi respectable que moi se fasse jouir toute seule avec un gode énorme ? ». Je lui réponds : « Mais non, c’est magnifique, vous avez bien raison et, si vous en êtes d’accord, je vais vous aider dans votre exercice ! ».

Je me suis approché d’elle, ma bite forme une tente dans mon pyjama et mes mains se posent tendrement sur ses cuisses qu’elle écarte instinctivement. Je découvre alors son gros gode noir dans sa chatte et je le manipule doucement puis de plus en plus rapidement. Elle recommence à gémir de plaisir et c’est un long crescendo de sa jouissance qui s’empare de mes oreilles. J’ai sorti ma bite et je me la branle doucement pour ne pas risquer de lui envoyer trop vite la purée sur sa chatte. J’approche ma bouche de son clito et je m’en empare de mes lèvres tandis que ma langue le lèche, je le suce et l’aspire en fait tellement il est gros ce qui accentue sa jouissance. Elle est un peu gênée au début et me dit : « Mais c’est sale !!! Jacques ne m’embrasse jamais à cet endroit !!! C’est tout gluant et si vous saviez !!! » Je lui réponds : « Mais non, c’est tellement bon, j’adore ce jus de chatte et pour le reste, oui, je sais vous venez de baiser avec votre mari et il a déchargé dans votre chatte!!! » Et, je lèche, je suce, encore et encore ; Dans un soupir elle me dit : « Qu’est ce que vous sucez bien !!! Vous le faites mieux que Ghislaine, la femme du notaire quand elle me broute le minou !». Eh oui ! Ces dames ne s’ennuient pas en province !!! Ma bouche a quitté son clito pour m’approcher de ses sa bouche et je l’embrasse langue déployée et mes lèvres remplies de sa mouille. Elle me rend on baiser et nos langues s’emmêlent et se chevauchent. Je lui retire lentement son gode noir et une fois enlevé, je mets immédiatement ma bouche pour récupérer tout le jus qui s’en écoule. C’est le jus de sa chatte et le sperme de son mari qu’il lui a juté dans sa connasse. Je me régale de cette quantité de jus et je retourne à sa bouche pour que nous partagions cet élixir. Elle apprécie et me dis : « Je veux votre bite, baisez-moi ».

Je n’ai grand chose à faire pour diriger ma bite qui bande un max sur sa chatte. Dilatée par le gros gode noir, mon nœud entre d’emblée jusqu’aux couilles et je fais carrément des zigzags dans son con avec ma bite pour en sentir un peu les bords, tellement c’est large et mouillé. Je fais des va et vient de plus forts et les parois de sa chatte se resserrent peu à peu et commencent à me masser la bite pendant que je continue à la fourrer. Mes mains se sont emparées de ses nibards et je jouis encore plus de lui malaxer les mamelles d’une blancheur d’albâtre parcourues du bleu de ses veines. Je lui suce les tétons et elle continue à crier son plaisir. Heureusement que nous sommes dans la cuisine qui est éloignée des chambres sinon je devrais me faire du souci de voir débarquer ma femme réveillée par les cris de jouissance de Madeleine.

Soudain, son orgasme arrive et ses cuisses entourent sur mes reins pour me tenir étroitement sur elle. Je décharge en longs jets de sperme dans sa chatte pendant qu’elle prend son pied en un long sanglot de bonheur. Quelle jouisseuse, cette belle dame !!! Et qui aime la queue aussi !!! Ma bite quitte sa chatte à regret, une petite flaque de jus divers se forme sur le plan de travail de la cuisine où nous venons de baiser. Je sais que je ne verrai plus cette cuisine de la même manière après ce qu’il vient de s’y passer !!! Très galant, j’aide la dame à descendre de ce plan de travail, elle baisse sa chemise de nuit sur ses cuisses et me dis : « Je monte rapidement dans ma chambre, le café est chaud ! ». Madeleine sort, je me sers une tasse de café chaud, j’y mets une goutte de lait. Quelques instants plus tard, ma femme me rejoint dans la cuisine : « Qu’est-ce que j’ai bien dormi !!! Ce silence !!! ». J’acquiesce : « Oh oui !!! Qu’est-ce qu’on dort bien ici !!! Et les matins, ces couleurs, ces odeurs !!! Magnifique !! On ne s’en lasserait pas !!! ». Madeleine nous rejoint, elle a mis une petite robe et nous demande : « Alors ? Bien dormi ? ». En cœur, nous répondons : « Oh oui !!! ». Les vacances avaient bien commencé.

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