J’ai besoin de ton sexe, rendez-vous chez moi dans une heure !
Voici le SMS que Marine, 62 ans, venait de m’envoyer deux jours après que son chantage avait débuté.
Rien qu’en lisant son message, je sentais mon sexe se gonfler petit à petit. Le sang affluait le long de ma queue comme si j’étais déjà devant elle. Il faut dire que j’aimais énormément le fait qu’une femme plus vieille que ma mère me fasse du chantage pour du sexe.
J’étais donc devant sa porte d’entrée à l’heure venue, je sonnais, elle m’ouvrit la porte, mon cœur battait très fort.
– Tu es ponctuel, c’est bien. Entre.
Sans dire un mot, je me dirigeais vers l’intérieur de sa maison. Arrivé au salon, j’eus la grande surprise d’y voir trois autres femmes qui devaient avoir approximativement le même âge que Marine.
– Mais il est très mignon en plus ! Dit l’une de ses femmes.
– Il est endurant au moins ? Dit une autre.
– Tu verras bien, lui répondit Marine.
– Mais, tout ça devait rester entre nous ! Dis-je interloqué à Marine.
– Non, je t’ai promis de ne rien dire à tes parents et à ta copine, chose que j’ai respecté.
– Mouais…
– Mais de quoi te plains-tu ? Tu as trois femmes qui sont ici uniquement pour toi. D’ailleurs, il est temps qu’elles se rincent un peu l’œil.
– Je ne connais même pas leur prénom.
– Je te présente Sandrine, Thabata, et Karine. C’est bon, tu peux commencer ton strip-tease maintenant que tu connais leurs prénoms ?!
J’étais en réalité faussement en colère bien entendu, un début d’érection commençait même à se dessiner dans mon caleçon. Marine se dirigea vers sa chaîne Hi-Fi et y mit un disque marquant le début de mon strip-tease. Mon polo tournoya très vite au-dessus de ma tête sous les sifflets et les cris des femmes ravies.
Alors que je lâchais mon polo au sol pour commencer à m’attaquer à mon jean, Marine m’arrêta.
– Attends une seconde, je pense que Karine souhaite t’enlever elle même ton pantalon.
– Oh oui, alors viens ici mon ptit !
Je me dirigea alors devant le fauteuil où cette Karine m’attendait un sourire au coin des lèvres. Elle ouvrit la ceinture qui coulissa lentement autour de la taille. Puis, de ses doigts agiles, elle fit sauter le bouton du haut. Elle passa et repassa sa main sur ma braguette en me regardant dans les yeux.
Elle plaça ensuite l’une de ses mains sur mon abdomen avant de le glisser vers le bas et entra dans le pantalon. Un sourire éclaira son visage lorsque, dans sa paume, elle emprisonna par-dessus le tissu de mon caleçon mon sexe.
– Alors, jeune homme, qui est responsable de ça ? Marine ? Thabata ? Sandrine ? Ou moi ?
– Euh la situation je dirais.
– C’est trop facile comme réponse ! Si tu ne devais en choisir qu’une ?
Mon regard trahi ma réponse en se portant vers Sandrine.
– Je crois qu’on a notre réponse. Dit Sandrine.
Sandrine avait 68 ans mais elle en faisait facile 15 de moins. Elle est brune, les yeux verts, le visage fin, je devinais sous son soutien-gorge une poitrine opulente. Les courbes de son corps étaient magnifiques, ses reins sont bien creusés, ses jambes sont bien galbées. Je n’avais jamais vu une femme de cet âge aussi bien conservée. Elle portait un tailleur noir, un chemisier blanc, et des chaussures à talons. Elle était vraiment sexy avec son style BCBG. Sa chevelure encerclait un visage fin et peu marqué par les années.
– Donc Sandrine vient de gagner le droit de continuer le strip tease ! Dit Marine.
– C’est pas juste ! S’exclama Karine en rigolant.
Je m’avançais maintenant vers cette femme. Sans perdre de temps, elle défit un à un les boutons et fit descendre le pantalon jusqu’au sol. Les filles regardaient avec satisfaction mon sexe en érection à travers mon caleçon. Encouragé par ses amies, elle commença à baisser doucement mon caleçon pour finir par totalement l’enlever, j’étais donc maintenant entièrement nu devant quatre femmes ayant dépassé la soixantaine.
Elle jouait avec, le manipulait tendrement, elle c’était mise en tête d’amplifier mon érection en me prodiguant des caresses qui prirent vite une tournure très torride. Puis, elle approcha ma tête de sa poitrine, j’entrepris alors de lui lécher le bout des seins. Pendant que je m’occupais d’un de ses seins avec ma bouche, ma main malaxait sensuellement le second. Puis, je lui écartais les jambes afin d’y glisser ma tête dans son entre jambes et entamer un cunnilingus. Ma langue commençait par laper l’extérieur de son sexe avant de titiller son clitoris.
– Je veux te sucer en même temps !
On se positionna alors en 69. Je repris ensuite le cunnilingus là où je l’avais laissé en pénétrant plus profondément ma langue dans son sexe. Pendant ce temps, elle commença par passer sa langue autour de mon gland avant d’ensuite le prendre à pleine bouche en le suçant de plus en plus fort. Après quelques minutes de sucions, une voix nous ramena sur terre.
– Hop hop hop, arrêtez vous là pour l’instant, il est temps que tu nous serve à boire, va à la cuisine et ramène nous de la limonade.
Cette phrase de Marine sonnait comme un ordre, du coup, Sandrine lâcha mon pénis pour mon plus grand malheur.
– Non, non, non, laisse tes vêtements au sol, sers nous à poil mon grand.
Je revins donc au salon avec les verres et la limonade. Pendant que je servais, Karine saisie mon pénis d’une main pour me masturber lentement. Elle avait l’air encore plus excité que moi par la situation. Une fois tous les verres servit, je partis m’asseoir sur l’un des divans. Très vite Karine vînt se mettre à coté de moi. Karine a 65 ans, elle est brune avec quelques cheveux gris, très coquette. De nous cinq, c’était celle qui semblait être la plus excité.
Alors que les trois autres femmes parlaient de tout et de rien, Karine s’approcha de moi. Elle ouvrit sa bouche et fourra sa langue entre mes lèvres. Ainsi, nos langues se cherchaient, se touchaient, s’enroulaient, on s’embrassait intensément pendant de longue minutes. Puis, elle se leva et baissa les bretelles de sa robe avant d’enlever son soutien-gorge, sa poitrine était moins grosse que celle de Marine. Je pus alors voir que ses tétons commençaient à pointer. Elle enleva complètement sa robe, et à ma grande surprise, elle ne portait pas de culotte. Pendant plusieurs minutes, je léchais tour à tour ses tétons tout en la doigtant.
– On ne vous dérange pas trop ?
Dit Marine avant de s’adresser à moi exclusivement.
– Je ne crois pas t’avoir dit de prendre des initiatives. Pour la peine, Thabata va te punir comme tu le mérite.
Je me levais pour me diriger vers Thabata, la seule avec qui je n’avais encore rien fait, j’avais hâte de savoir ce qu’elle me réservé. Elle est brune avec quelques cheveux grisonnant, a 68 ans, n’est pas très grande, des fesses bien remplies mais pas grosses et une poitrine qui semblait de taille moyenne.
Une fois devant elle, sa main attrapa ma bite pour me faire venir sur sa droite, puis elle me tira en avant pour que je me penche sur ses cuisses. Mon sexe avait ainsi glissé entre ses jambes et je me suis retrouvé les fesses offertes.
– Maintenant, je vais te donner la fessée que tu mérites. Me dit-elle d’une voix douce.
Sa main descendit sur mes fesses, elle me caressa un instant, puis m’asséna une première claque assez forte, qui me fit sursauter, suivie d’autres plus fortes encore ! Ensuite, elle fit entrer ses deux mains en scène me fessant simultanément les deux lobes, elle semblait adorer cette situation ! Elle a ainsi continué de me donner la fessée encore quelques minutes. Etre à ce point soumis à une femme plus âgée était génial. J’aurais aimé qu’elle continue de me fesser encore plus longtemps.
– Tu peux te redresser, mon garçon. Mais ta punition n’est pas terminé alors allonges toi sur le sol.
Alors que j’étais maintenant allongé au sol, Thabata retira ses vêtements et vient s’asseoir sur mon visage. Sa fente poilue était posée sur ma bouche. J’avais du mal à respirer car l’entrejambe de Thabata me recouvrait le visage. J’atteignis ses grandes lèvres avec ma langue. Je commençais alors à lécher son minou de bas en hauts. Je trouvais facilement son clito que je titillais du bout de ma langue, je le léchais, le mordillais.
– Oh oui, continus !
Ma langue jouait avec son sexe alors qu’elle soupirait de plaisir. Je continuais mes caresses buccales sur le minou et le clito de Thabata. J’utilisais le bout de mon nez pour frottez son clito tendu. Je sentis sa chatte qui palpitait. Thabata respirait très fort, elle semblait au bord de l’orgasme. J’accentuais alors mes caresses buccales. Je pressais son clito avec mon nez et je léchais sa chatte jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme.
– C’est bon, la punition est terminée. Me dit-elle tout en se relevant.
J’étais content de pouvoir respirer normalement.
– Bon, il a été parfait, il mérite récompense. Dit Thabata.
– Je suis d’accord. Ajouta Karine.
– C’est vrai qu’il a fait tout ce qu’on n’attendait de lui sans jamais se plaindre. Alors, je lui donne le droit de se servir de moi comme un vide couille.
Cette phrase de Marine me réjouissait, je n’attendais que ça même !
– Je sens que tu vas morfler ma chère Marine. Lui dit en rigolant Sandrine.
– Profiter bien du spectacle alors. Lui répondit Marine.
Après s’être déshabillé, Marine se rapprocha de moi, elle commença à prendre mon sexe dans sa main, puis elle sortit sa langue et me lécha le bout pendant quelques secondes avant d’ouvrir sa bouche toute entière afin de prendre ma bite toute au fond de sa gorge. Elle salivait et commença de délicieux va-et-vient qui me fis frissonner de plaisir. Elle jouait avec sa langue pendant qu’elle me malaxait mes bourses. Dans le même temps, je caressais sa poitrine, lui arrachant au passage quelques petits gémissements.
– Prends moi sauvagement maintenant !
– Et le préservatif ? Lui demandais-je.
– Pas besoin, tu es le seul avec qui je couche, mon mari n’en ai plus capable, aucun risque que je tombe enceinte et le fait que tu en fasses la demande prouve que tu es quelqu’un de sérieux. En plus, je veux te sentir éjaculer en moi alors si tu veux que je garde ton petit secret, tu as intérêt à y aller à fond !
Avant d’accéder à sa demande, je décidais de la faire languir un peu en commençant par la doigter brutalement, lui arrachant un cri de plaisir. Mes doigts s’activaient dans sa chatte. Je m’amusais encore un peu en arrêtant de la doigter pour y glisser à la place de mes doigts ma langue. Je me plaçais ensuite derrière elle, j’enfonçais alors non pas un mais deux doigts cette fois-ci tout en l’embrassant violemment. Elle tremblait dans mes bras et gémissait comme un a****l. J’arrêtais ensuite de la doigter pour y glisser mes doigts qui m’ont servit à la doigter dans sa bouche gourmande. Je manquais de jouir et la voyant sucer mes doigts avidement.
Elle se retourna pour me faire face et recula jusqu’à la table. Elle s’y plaça en équilibre et m’attendit, le souffle court, son sexe offert. Je m’approchais et glissais mes mains sous ses cuisses à la fois pour la soutenir et pour l’écarter au maximum afin de la pénétrer d’un coup. J’entamais alors un va et vient lent et maîtrisé, savourant le plaisir que m’offrait son sexe. Je sentais ses jambes se serrer autour de moi, elle essayait de m’imposer son rythme. Pas question de la laisser faire, pour une fois qu’elle s’offrait totalement à moi, je n’allais pas lui laisser les commandes !
Ainsi, afin de le lui montrer, je la saisis par la taille, la descendis de la table et la replaça dos à moi, penchée sur cette table. Après lui avoir écartais les jambe, je la saisis fermement par les hanches et je laissais doucement ma queue reprendre sa place dans son intimité. Encouragé par les trois autres femmes qui se délectaient du spectacle, j’accélérais le rythme grandement, le bruit de ses fesses claquant sur mon ventre me rendais fou. En plus, elle grognait comme un a****l, s’accrochant à la table.
Nos cris se mêlaient, nous en oublions même le fait qu’il y avait trois autres femmes qui se caressaient en nous regardant. Elle se cambrait de plus en plus, de mon coté, je saisissais ses hanches pour la relever un peu et la pénétrer plus profond encore. Au bout de quelques minutes supplémentaires, c’en était trop pour moi, je déchargeais toute ma semence en elle comme elle le souhaitait. Le cris qu’elle poussa à ce moment là, me fit comprendre qu’elle avait atteint l’orgasme elle aussi, j’étais content d’avoir réussi cela.
Après m’avoir remercié, Marine partit prendre une douche me laissant seul avec ses amies. Très vite, Karine vint s’agenouiller devant moi pour me nettoyer mon sexe avec sa bouche. Une fois cela fait, je me rhabillais avant qu’elle ne m’accompagne devant la porte tout en me disant qu’elle espérait me revoir très vite.
Pour relire la partie 1 :
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