« Le sperme me racle la gorge »
17 Août 2013, cinquième jour de notre visite à ma famille à Montréal. Voilà près de quarante ans que je n’ai plus vu ma tante ; mon cousin avait 13 ans quand nous nous sommes vus la dernière fois, moi j’en avais 27, il y a 33 ans. Un bail ! Ma femme ne les connaît pas, moi à peine et c’est donc une première.
Le courant passe immédiatement, surtout entre Murielle, ma femme, et Jean, mon cousin. Ils forment rapidement un couple de joyeux lurons, à mon grand plaisir et à celui de la famille. Malgré son âge, mon cousin loge avec sa fille, Sophie, chez sa mère; il n’y a pas à juger, ce sont les méandres de la vie qui l’ont amené à cette situation. Murielle et Jean trouvent un terrain de jeu qui les passionne : la cuisine et c’est à deux qu’ils passent leur temps à inventer recette sur recette.
Cette soirée du 17 Août, c’est Murielle qui a cuisiné. La soirée se passe comme toutes les autres : rire, blagues, discussions animées. Une magnifique soirée. Outre la famille, il y a la copine de Sophie qui s’est jointe à nous. Vers 22h00, je décide d’aller lire dans mon lit ; besoin d’un peu de calme. Je laisse la porte de la chambre ouverte ; j’aime entendre les bruits domestiques, les voix autour de moi, cela me rassure.
Je me suis assoupi et des profondeurs de mon sommeil, je prends conscience que quelque chose ne tourne pas rond. Une sensation de panique me submerge. Je me réveille et j’écoute les voix qui me parviennent du salon. Je n’entends que les voix de Sophie et de sa copine. Mais ce n’est pas cela qui me turlupine. Je cherche et je fini par réaliser que cela fait un bon bout de temps que je n’entends plus les voix de Murielle et de Jean. Je me lève, prétextant vouloir boire un verre d’eau. Je demande aux filles si elles ont vu mon cousin et Murielle. Sophie me répond qu’ils sont dans la chambre de son père. J’acquiesce et ne demande rien de plus, mais dans mon ventre et dans ma tête, un violent orage s’est déclenché. J’ai mal ; je me sens abandonné, seul. Je rejoins mon lit et je pleure en douceur. On peut imaginer n’importe quoi et pas nécessairement le pire, mais je connais Murielle, et je sais ce qu’ils font dans cette chambre.
Au petit matin, ma femme me rejoint ; je me colle à elle. Je veux la caresser, plus pour me consoler que pour faire l’amour ; elle me rejette me disant qu’elle est fatiguée. Désespoir.
A notre réveil, avant de nous lever pour le petit déjeuner, je lui demande de causer; je lui dis que je sais qu’elle a passé une bonne partie de la nuit avec Jean et qu’ils n’ont certainement pas joué aux cartes. Je lui rappelle sa promesse de ne plus me tromper ( ) je lui répète combien elle me rend malheureux en agissant ainsi. Enfin, je lui dis que je n’en peux plus et que si cela devait continuer comme ça, je préfèrerais qu’on divorce. Voilà, le mot est tombé. Un long silence suit mon discours; Murielle se lève et avant de quitter la chambre se tourne vers moi et me dit: »Je vais réfléchir ; on en reparle ».
La moitié de la journée nous ne nous adresserons pas la parole, mais en fin d’après-midi, la glace est fondue. Nous passons de nouveau de bons moments ensemble. Et une nouvelle agréable soirée passe dans l’amusement et la bonne humeur. Cette fois-ci je décide de ne pas la lâcher d’une semelle, et bien que fatigué avec une énorme envie de dormir, je résiste et reste avec l’assemblée. D’interminables heures plus tard, vers minuit, je suis soulagé lorsque j’entends ma femme annoncer qu’elle va au lit et que je la vois saluer tout le monde. Je la suis et nous nous couchons, complètement nus comme d’habitude.
Je m’endors comme une masse.
La voix de Murielle me sort de mon sommeil ; je l’entends de loin surgir comme du fond d’une caverne. « Réveille toi Pablito chérie, réveille toi, aller, mon chéri, j’ai une surprise pour toi ». J’ouvre difficilement les yeux et suis d’abord ébloui par la lumière de la lampe de chevet qui diffuse pourtant une lumière douce et chaude, puis je vois le visage de Murielle tout près. Elle m’embrasse les yeux, le nez, la bouche de petits coups de langues tout en continuant à me murmurer de me réveiller. Je lui souris. Une surprise ?
Elle se lève et ses seins jaillissent hors de la chemise qu’elle porte à peine boutonnée. Cela m’excite toujours de voir ses seins, ces globes blancs laiteux, lourds et légèrement affaissés avec l’âge, ces auréoles larges et ses tétons épais ; cela m’excite trop de les regarder danser quand Murielle se déplace. Je les adore. Depuis toutes ces années, elles continuent à me fasciner et à me faire bander. ( ). Elle remet les pans de sa chemise en place et contourne le lit; je la suis des yeux et j’admire ses jambes nues, la naissance de ses fesses. Pourquoi porte t’elle cette chemise alors qu’on s’est mis au lit il n’y a pas si longtemps, me semble t’il? Et c’est en l’admirant que je découvre Jean planté au milieu de la chambre. Murielle se dirige résolument vers lui. J’ai comme un coup de poing dans l’estomac, une peur me noue le ventre. Que se passe t-il ? Jean me jette un coup d’œil, rapide, et reporte son attention sur Murielle qui a jeté ses bras autour de son cou. Elle l’embrasse doucement sur la bouche, un peu comme elle vient de me le faire, elle lui titille l’oreille de la langue. Je suis abasourdi par ce que je vois là à quelques mètres de moi. Jean reste immobile, raide, manifestement mal à l’aise. Murielle me jette un regard et je l’entends murmurer à l’oreille de Jean: « Relaxe toi mon grand, cool. Tu sais ton cousin Pablo adore regarder, épier les femmes, surtout la sienne. Il adore la regarder se faire peloter, tripoter, baiser par d’autres hommes. Il aime ça ! N’est-ce pas mon petit Pablito chéri ?» me jette t’elle en me fixant droit dans les yeux. J’ai l’impression de fondre dans la terre. Je suis couvert de honte, honte parce que ces propos confirment qu’elle m’avait bien remarqué lorsque je l’épiais jouer au poker avec mes amis il y a quelque temps ), honte qu’elle dévoile sans vergogne mes déviances sexuelles à un membre de la famille. J’ai envie de me cacher, de disparaître loin, très loin et pourtant je reste paralysé dans ce lit à regarder ce qui se passe au milieu de la chambre sans dire un mot. Murielle reprend ses caresses, parcourant de ses lèvres le cou de mon cousin. Elle revient vers sa bouche, elle l’embrasse, et je vois Jean se dégeler, se détendre. Murielle lui caresse le dos et les fesses ; Jean entoure ses épaules de ses bras et commence lui aussi à lui caresser le dos. Se faisant, la chemise remonte dévoilant ses fesses blanches. Je ne suis qu’à quelques mètres d’eux, je suis au premier rang, et bien que je sois toujours confus, couvert de honte, je sens mon sexe se gonfler. Jean laisse descendre ses mains sur les fesses de ma femme et lentement entreprend de les explorer ; il les caresse doucement, les palpe, les malaxe, passe un doigt dans la raie. Je sais que Murielle adore ça et pourtant elle l’arrête dans son élan. Elle se tourne vers moi : « Ne reste pas si loin mon chéri, viens ici près de nous. Assieds-toi au bord du lit, tu y seras mieux. Viens. » Je n’ose refuser ; je sors du lit et je fais les quelques pas nécessaires pour les rejoindre tout en essayant de cacher mon sexe gonflé. Je m’assieds sur le bord du lit et croise les jambes, toujours avec l’espoir de cacher mon sexe au regard de mon cousin. Mais Murielle ne l’entend pas ainsi. Elle lâche Jean et en un pas ou deux fonce sur moi. Elle décroise mes jambes et écarte avec brusquerie mes genoux. « Tu restes comme ça, les couilles et la queue bien en vue. Je veux les voir, je veux voir à tout instant combien tu aimes me regarder. Et pas question que tu te touches, salopard, tu gardes tes mains là bien sagement sur le lit. Compris ? » Cette agressivité est nouveau pour moi ; Murielle a toujours été douce, tendre. Que se passe t-il ? J’ai décidé de me laisser faire et j’acquiesce donc; je me dis qu’elle me met à l’épreuve (mais laquelle ?) et que si je réussi elle arrêtera ses frasques, elle arrêtera de me tromper comme je le lui ai demandé le matin précédent. Et curieusement aussi, cette attitude de Murielle et ma position humiliante m’excitent d’avantage ; je sens mon sexe réagir. Je n’ose le regarder mais je sens qu’il s’est gonflé et raidi un peu plus.
Jean s’est approché et s’est collé au dos de Murielle qui a légèrement sursauté, surprise. Il l’entoure de ses bras. Ses mains se posent sur l’avant de ses cuisses ; Murielle se laisse aller contre lui et glisse ses mains derrière ses fesses ; je ne vois rien mais aux mouvements de ses bras, je devine aisément qu’elle caresse l’entre jambes de mon cousin. Jean semble apprécier et ses mains se mettent à leur tour à parcourir le ventre de ma femme, soulevant la chemise et me dévoilant son sexe glabre, ses grandes lèvres qui pendent bas ( ), son ventre, la naissance de ses seins. Ses mains vivent leur vie indépendamment; l’une remonte vers les seins de Murielle, les palpe, les caresse, joue avec les tétons, les caressant, les pinçant pour retourner jouer avec ces merveilleux globes blancs pendant que l’autre s’est arrêtée sur son sexe, un doigt glissé dans la fente dans laquelle il va et vient, caresse ses lèvres, les pince délicatement. Murielle gémit sans arrêt. Ils sont à à peine quelques dizaines de centimètres de moi, au point que je sens l’odeur intime de Murielle et qu’il m’est facile de voir combien elle mouille. Le doigt de Jean s’est posé sur le haut de sa fente et joue avec son clitoris en de lents mouvements de rotation, puis reprend son va et vient dans sa fente pour titiller de nouveau son petit bouton. Murielle halète de plus en plus fort ; moi j’ai le sentiment que mon sexe va exploser. Mon sexe me chatouille abominablement, j’ai besoin de me toucher mais je résiste. Je le regarde avec cette énorme envie de le toucher et je vois des trainées de mouille sur le gland ; du liquide séminal suinte du méat et coule le long de la hampe. La dernière fois que j’ai eu le gland aussi luisant j’avais quinze ans. Je m’étais enfermé dans les toilettes pour lire « Emmanuelle » qu’un copain de classe m’avait prêtée. Je m’initiais à la masturbation, à la pornographie. Là enfermé, à l’abri de toute indiscrétion, je lisais sans me toucher et quand enfin je n’ai pu résister plus longtemps, j’ai découvert mon gland tout mouillé, gluant et glissant. J’ai ainsi appris que « mouiller » n’était pas réservé aux filles.
J’ai à peine relevé la tête que Murielle pousse un long gémissement : ses jambes se tendent et elle se met à trembler de tout son corps. A ce moment précis, Jean enfonce deux doigts en elle et lui mord le cou ce qui a pour effet de prolonger le soupir de jouissance de ma femme. Murielle se laisse complètement aller contre la poitrine de Jean et il lui faut un certain temps pour se calmer. Jean la pousse gentiment à s’assoir près de moi ; nos genoux se touchent, la respiration de Murielle est encore rapide. Jean enlève son jeans et son slip et se retrouve devant nous, habillé seulement de sa chemise. Alors que la famille a à plusieurs reprises vanté nos ressemblances physiques, celle-ci s’arrête quand il s’agit de nos sexes. Le mien est petit et bien que Murielle ait souvent prétendu qu’il était bien proportionné, je le trouve quant à moi plutôt mince. Celui de Jean est long et épais ; je le comparerais volontiers à la queue de Gérard bien que sans en atteindre son énormité (le salaud. Tout ça c’est à cause de lui, c’est lui qui a dévergondé ma femme. Je le déteste ). Son sexe est bien gonflé et raide. Jean se rapproche de Murielle et lui enlève sa chemise. Il lui serre les jambes entre les siennes et glisse sa queue en sandwich entre ses seins qu’il serre l’une contre l’autre avec ses mains. D’un mouvement ondulatoire lent de son bassin, il se masturbe entre les seins de ma femme. Murielle semble être obnubilé par ce mouvement de queue et quand le gland remonte vers sa gorge, elle s’efforce de le prendre en bouche ou sort la langue. Je vois alors de près un jeu hallucinant d’un sexe glissant entre les seins de ma femme et entrer et sortir mouillé de sa bouche. Ce jeu durera assez longtemps accompagné de mots vulgaires adressés par Jean à ma femme : « Tu aimes hein salope ? Aller, branle moi la bite avec tes seins, oui comme ça. Mouille le bien, taquine le avec ta langue ». Apparemment ce petit jeu, que je trouve vulgaire, l’a mis en appétit. Jean s’arrête et écartant les jambes de ma femme, présente son sexe gonflé à hauteur de sa bouche. Murielle n’hésite pas à l’avaler. Elle se met à le sucer, elle le fait glisser dans sa bouche, passe sa langue le long de la hampe tout en caressant d’une main ses bourses. Elle fait tourner sa langue autour du gland bien longtemps puis le reprend en bouche pour le sucer de plus belle. Au son des soupirs de Jean, on comprend combien il apprécie. C’est avec surprise que je vois la main de Murielle, qui caressait ses bourses, disparaître entre les jambes de Jean vers ses fesses et s’y attarder. Mon cousin se met à gémir de plus belle jusqu’à pousser un grognement accompagné d’un « Ouuuuiiii »sourd. Au mouvement du bras de ma femme, je comprends qu’elle lui a enfoncé un doigt dans l’anus et qu’elle est en train de le besogner. « Mais qui lui a donc appris ces choses là ? ». A cette pensée, une bouffée de jalousie me noue le ventre de douleur et tente de chasser et de remplacer l’excitation qui m’habite mais en vain, heureusement, et les deux vont cohabiter pendant le restant des ébats dont je suis témoin.
Jean se retire soudainement de la bouche de Murielle et s’écarte d’elle. Sans doute ne désire-t-il pas jouir tout de suite ; il halète comme s’il avait couru un cent mètres ; il caresse la tête de Murielle, il la regarde avec tendresse, ce qui excite ma jalousie. Il prend une main de Murielle et la force à se lever ; il la retourne, se colle à elle et lui murmure à l’oreille « Je vais te prendre par le cul ». A peine je l’entends que je pousse un cri « Non, je ne veux pas ! Pas ça !» Murielle qui me fait face, me regarde dans les yeux et me crie « Ta gueule T’a rien à dire. Regarde, c’est la seule chose que tu peux faire, regarder. Et ferme la !». Je suis estomaqué par la v******e des propos de Murielle. Mais qu’ai-je donc fait pour mériter son courroux ? Cela ne semble pas perturber Jean qui pousse Murielle à se baisser en avant. Elle s’agrippe à mes genoux. (J’ai le vague espoir qu’elle prendra ma queue en bouche mais ce sera espoir perdu, elle l’ignore complètement.) Jean fait glisser sa queue énorme entre les fesses de ma femme ; je vois pointer le gland régulièrement en haut de ses fesses, dans le bas du dos. Au gré de ses mouvements, il marque un arrêt à hauteur de l’anus sur lequel il appuie légèrement mais de plus en plus fort jusqu’à ce que Murielle pousse un léger cri ; de douleur. « Doucement, tu me fais mal, t’es trop gros, vas-y doucement ». Mon cousin s’enfonce très lentement en elle marquant de longues pauses. Il faut une éternité avant qu’il ne commence de petits mouvements de va et vient qu’il allonge progressivement. Je suis obnubilé. Je vois son sexe entrer et sortir de son petit trou. Il me semble d’où je suis qu’il arrive à y enfouir son sexe complètement. Jean gémit et râle de plus belle et je le vois fixer du regard cette partie de l’anatomie de ma femme. J’ai de nouveau mal au ventre ; « Le salaud ! » Ma jalousie grandit ; je n’ai jamais fait cela à ma femme ! Après un long moment, Murielle commence à gémir et à pousser son cul à l’encontre du ventre de Jean montrant ainsi sans équivoque qu’elle apprécie. Jean ne résiste plus longtemps, à moins que ce soient justement les soupirs de Murielle qui l’excitent d’avantage ? En tous cas, dans un long grognement accompagné d’un « Oui » sonore, Jean jouit, bien enfoncé dans le cul de ma femme. Il s’agrippe à elle et pose sa tête sur le bas de son dos. Il reste ainsi un moment, le temps de se calmer, puis se retire.
Murielle me lâche et s’enfonce dans le lit. Quand Jean fait mine de vouloir ramasser ses affaires, elle l’invite à la rejoindre au lit, ce qu’il fait sans hésitations. Moi, je reste là, me demandant quoi faire. J’ai la bite et les bourses douloureuses et suis bouffé de jalousie. Un énorme sentiment d’abandon et de découragement m’envahit. Je suis abattu, j’ai envie de pleurer. Finalement je décide de les rejoindre en étant convaincu que Murielle me jettera hors du lit. Mais non, une fois installé sur le dos à côté d’elle, elle pose sa tête sur ma poitrine et glisse une jambe sur moi, emprisonnant mon sexe encore tendu. Nous passons la nuit ainsi, une nuit que j’ai l’impression de passer sans dormir, le bas ventre endolori, des douleurs dans les bourses, emprisonné par le corps et la jambe de Murielle, une énorme envie de me soulager, la tête plein de questionnements. Pourtant je dois m’être assoupi car je suis réveillé par un mouvement répétitif de la jambe de Murielle, qui m’emprisonne toujours, et le bruit de ses soupirs. A peine sorti de ma brume et avoir pris conscience de mon environnement (« Où suis-je ? Que fais-je là ? »), je me rends compte que Jean besogne Murielle en levrette. Je me demande combien de temps ils sont ainsi en train de baiser à mon insu et la douleur s’installe de nouveau dans mon ventre. « Jalousie, quand tu nous tient ! » Mais Jean cette fois ne tiendra pas longtemps ; je l’entends jouir alors que Murielle n’a pas encore pris son pied apparemment. Après un bref repos Jean quitte le lit. Tout en se détachant de moi (« Ouf ») et se mettant sur le dos, Murielle me demande d’allumer la lampe de chevet, ce que je fais de mauvaise grâce (« Il n’a qu’à se cogner partout le salaud, et les burnes en premier !»). Murielle repousse les draps et l’édredon nous découvrant complètement. Me secouant le bras, elle me dit tout haut « Viens me faire jouir avec ta bouche mon chéri et après tu pourras venir en moi ». Je ne me le fais pas dire deux fois et rampe vers le pied du lit. Murielle est installée, les jambes bien écartées, dévoilant son intimité à Jean qui n’hésite pas à encore bien la reluquer avant de ramasser ses affaires. Je m’installe entre les jambes de Murielle. Son odeur est forte, plus forte qu’à l’accoutumée. Je vois des trainées de sperme épaisses sur ses grosses lèvres et de gros monceaux suinter à l’entrée de son vagin. L’odeur du sperme est forte. Cela me rebute un peu, mais j’ai trop envie de prendre ma femme, de me soulager et je commence à passer ma langue dans sa vulve, entre les lèvres, sur son clito. Je suce ses grandes lèvres. Je mélange du sperme à ma salive, involontairement, pour en enrober son clitoris. Je le titille du bout de la langue, je le suce, je le lèche puis repars à l’assaut de ses lèvres, gobant du sperme au passage. Dans ma bouche le goût du sperme est imperceptible, tout juste peut-être un soupçon de goût salé. Mais lorsque je l’avale, le sperme me racle la gorge ; cela fait une impression bizarre. Murielle gémit de plus en plus fort, elle râle en de longs « Oui, encore, encore » et soudain elle att**** ma tête, l’immobilise et me crie « Maintenant, prends moi, viens en moi maintenant ». Je me redresse nerveux, pressé, et maladroitement je glisse ma queue en elle (je dois m’y prendre à trois reprises, ma queue glissant hors d’elle vers son ventre tellement son sexe est gluant). A peine introduit, Murielle hurle un « Oui » époustouflant et se met à pleurer tout en continuant à jouir. Moi, je fais à peine deux mouvements de va et vient et je joui à mon tour ; une longue éjaculation douloureuse gâchant tout sentiment de plaisir et de jouissance.
Je reste en elle et me couche doucement sur elle, la tête enfouie dans son cou. Elle me sert dans ses bras et me murmure, pour moi tout seul : « Je t’aime, oh comme je t’aime ». Que c’est bon !
Durant le restant du séjour, Murielle sera une femme très amoureuse de moi. Elle ne me quittera pas d’une semelle, me cajolera, s’occupera de moi avec amour. Mais les nuits, quand Jean ne rejoint pas sa compagne qui habite en dehors de Montréal, elle les passe avec lui, soit dans sa chambre, soit dans la notre. Et dans ce cas, cette nuit du 18/08, se répètera : je devrai regarder leurs ébats sans me toucher, les burnes et sexe exposés à leurs regards. Et le petit matin, quand Jean quittera la chambre, je devrai la faire jouir avec ma langue et ma bouche avant de pouvoir éjaculer profondément en elle, mélangeant mon sperme avec ce qui reste de celui de Jean que je n’aurai pas avalé.
Epilogue.
Cela s’est passé il y a quelques mois maintenant. Depuis, Murielle m’a avoué qu’elle n’a pas tenu sa promesse faite au mois de Mai 2012 et que depuis elle a eu multiples amants. L’épisode de Juin de cette année n’a pas été un cas isolé ( ). Maintenant elle me prévient quand elle a rendez-vous avec un ou plusieurs amants, qu’ils soient des inconnus ou des amis ou même notre voisin (je le déteste aussi celui la. Chaque fois qu’on se croise, il a un petit sourire narquois au coin des lèvres. Je devrais peut-être essayer de sauter sa femme pour lui donner le change ?). A ses yeux, le fait de m’informer à l’avance lui donne le sentiment qu’elle ne me trompe pas. Soit elle me téléphone le jour même quand c’est improvisé (il y a deux semaines, elle m’a téléphoné pour me dire qu’elle allait boire un verre après le boulot dans la piaule de deux étudiants Nigérians de l’IUT de Toulouse qui étaient en stage dans son service. Elle est rentrée à huit heures du matin), soit elle me le dit plusieurs jours à l’avance. Le plus souvent cela se passe à l’extérieur, chez son ou ses amants ou à l’hôtel. Jamais elle ne me raconte ce qu’elle a fait et l’effet est toujours le même sur moi: je l’attends avec impatience, le ventre noué de jalousie et le sexe gonflé d’excitation.
Je ne pense plus au divorce. J’ai enfin accepté mon statut de cocu et le fait qu’ayant 20 ans de moins que moi, ses besoins soient différents des miens. Elle m’aime, je l’aime et c’est l’essentiel, le reste…….
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