Chapitre 14 : Le concours
Julie attendait tranquillement chez elle. L’horloge indiquait onze heures précises lorsque le professeur de sport arriva avec le contrat. Il essaya de s’expliquer:
« Vous devez comprendre je n’y suis pour rien. J’étais juste … un des … J’obéissais …
— Arrêtez d’essayer de vous trouver des excuses. Ça vous rend plus pitoyable encore. Faites quelque chose de bien: fermez-la» lui répondit Julie très froidement.
Elle récupéra le contrat, le posa sur la table et demanda au prof de sortir la culotte. Elle était encore maculée de sperme chaud. Julie la jeta au sol et ordonna à son ancien bourreau de la lécher.
Lorsqu’il voulut la prendre avec les mains, elle lui donna un coup de pied dans les parties intimes
— Sans les mains.
Le professeur s’exécuta et nettoya de sa langue la culotte de la moindre trace de sperme. Julie récupéra la culotte et fit partir le prof.
Le lendemain, Julie alla chez un avocat avec son père: Maître Pond, spécialisé dans les affaires de viol qui avait pris connaissance de l’affaire.
« Julie, j’ai lu ton dossier et ton père m’a expliqué ce qu’il t’est arrivé au lycée. Je vous représenterai gratuitement mais je vais être franc : ton proviseur ne va rien prendre; le témoignage de Sally ne sera pas suffisant et il pourrait tout mettre sur le dos de ses trois collègues. Tu vas donc être obligée d’avoir une preuve concrète.
— Comme quoi ? Je suis prête à tout pour faire tomber ses ordures. À tout.
— Un prélèvement de son sperme sur ton corps ou une vidéo qui montrerait une relation sexuelle.
Tout ce qui montrerait qu’il a abusé de sa position sur toi.
— Eh bien, son bureau a une fenêtre fumée mais, si j’arrive à l’ouvrir, on devrait pouvoir prendre une vidéo depuis le parking. N’est-ce pas, Papa ?
— Un dernier effort, ma chérie. Il faut que tu sois forte.
— Et tu ne dois en aucun cas démarrez la relation il doit t’y obliger. Julie, tu dois subir et montrer de la résistance. »
Julie et son père sortirent du cabinet de l’avocat et prirent la direction de leur villa.
— Oh… Merde !
— Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ?
— J’avais oublié : demain, avant de voir le proviseur, j’ai cours de biologie. Je vais avoir besoin de ton baladeur, papa. Je le cacherai discrètement sous mon bureau ; comme ça, il enregistrera discrètement le cours. Ensuite, tu passeras le récupérer à la fin du cours et tu transféreras l’enregistrement sur ton ordinateur. La porte est toujours ouverte pour laisser le concierge nettoyer la salle.
— Ne t’en fais pas, ma chérie, tout va bien se passer. Je passerai dans ta salle de classe après le cours de biologie.
Le père et la fille continuèrent ensuite leur route jusqu’à leur villa sans échanger une seule parole, trop excités et effrayés à la fois par leur stratégie. Arrivée chez elle, la jeune femme se fit couler un bain et monta se coucher.
À son réveil, Julie se sentit bizarre. Elle était impatiente et apeurée à la fois à cause de la journée qui l’attendait. Elle descendit dans la cuisine rejoindre son père pour prendre son petit-déjeuner. Après le repas, Julie alla se changer et alla embrasser son père avant de partir pour le lycée.
La jeune lycéenne avait décidé de partir plus tôt de chez elle afin de pouvoir rejoindre le lycée à pieds et cacher le baladeur de son père sous son bureau sans que personne ne la voie.
Julie arriva au lycée un quart d’heure avant la sonnerie. Elle savait qu’à cette heure-là, aucun membre de sa classe ne serait encore arrivé en cours. La jeune femme ouvrit la porte de la salle de classe et se dirigea vers son bureau sous lequel elle dissimula le baladeur de son père après avoir activé l’enregistrement. Elle ressortit ensuite de la salle de classe sans croiser personne et descendit à la cafétéria s’acheter une bouteille d’eau avant de se rendre à son cours de biologie.
À son arrivée, tous les élèves étaient déjà en train de rentrer à la suite du professeur de biologie.
Elle suivit la foule des élèves et regagna son bureau en tâchant d’avoir l’air le plus apeuré possible.
La sonnerie retentit et le cours commença.
— Seize, dix-huit, vingt, vingt-deux… Ok. Tout le monde est là. Bon, l’un d’entre vous se souvient-il de où nous nous sommes arrêtés le cours précédent ?
Une fille leva la main et le professeur lui donna la parole.
— Vous nous avez montré comment on met un gode dans le vagin d’une femme.
— Bien, Marion. Bonne mémoire. Effectivement, nous allons aujourd’hui poursuivre notre cours d’éducation sexuelle sur les godes. Tout d’abord, ce qu’il faut que vous sachiez, c’est que les godes ont été inventés pour permettre à une femme de sodomiser un homme. Mais bon, n’ayez crainte, messieurs. Je ne vois aucune raison de changer de cobaye. Julie, avancez-vous devant la classe, déshabillez-vous et mettez-vous à genoux.
Julie obéit aux ordres de son tortionnaire. Elle se dirigea vers le bureau du professeur sous les gloussements des filles et les sifflements des garçons dont certains lui mirent la main aux fesses puis, après avoir retiré ses vêtements sous les huées de ses camarades, la jeune femme s’agenouilla au sol.
Le professeur contourna ensuite Julie et alla chercher dans sa sacoche des godes-ceintures et des verres qu’il déposa sur les bureaux des élèves.
— Bon, maintenant que tout est prêt, voici les instructions pour ce cours : les filles, j’ai déposé sur vos bureaux des godes-ceintures. Tout ce que vous aurez à faire, c’est de vous déshabiller et de vous attacher les godes au niveau de votre bas-ventre pour aller baiser notre pute. Les garçons, j’ai déposé des verres sur vos bureaux. Cette fois, vous serez spectateurs mais, par contre, vous participerez à un petit concours dont la juge sera notre chère petite pute : votre camarade Julie.
Les garçons éclatèrent de rire puis le bourreau poursuivit son explication.
— Vous vous masturberez en regardant les filles baiser notre salope puis, lorsque vous sentirez la jouissance venir, vous éjaculerez dans les verres que je vous ai mis à disposition et vous y collerez une étiquette avec votre prénom. C’est pour le concours. Bon, je crois que j’ai fait le tour. Sur ce, amusez-vous bien.
À peine le professeur eût-il prononcé ces derniers mots que les filles retirèrent leurs vêtements avec la plus vive frénésie pour s’équiper de leur gode-ceinture. Elles s’avancèrent ensuite vers le bureau du professeur et se mirent en cercle autour de Julie, laquelle avait déjà été mise à quatre pattes par son professeur.
Les filles caressèrent leur gode en fixant Julie d’un air narquois puis trois d’entre elles la couchèrent sur le dos. L’une des filles saisit ensuite Julie par les hanches et poussa son gode dans le sexe de la soumise qui hurla de douleur. Une deuxième fille s’avança vers Julie. La dénommée Marion.
Marion prit l’extrémité de son gode-ceinture dans sa main et l’avança vers le petit trou de Julie. La jeune femme caressa d’abord doucement l’anus de la pute du lycée puis elle enfonça d’un coup sec son phallus factice entre les fesses qui hurla à nouveau de souffrance.
— Ferme ta gueule, salope.
En disant cela, Marion enfonça trois doigts dans la bouche de Julie, ce qui fit rire toute la classe aux éclats.
Une troisième fille alla rejoindre les deux autres. Elisa Franchini. Elisa se positionna derrière le bureau du prof et fit signe à Marion de sortir ses doigts de la bouche de Julie.
Lorsque l’orifice fut dégagé, Elisa tourna la tête de Julie vers elle et lui mit son gode dans la bouche. La jeune lycéenne se mit à aller et venir dans la bouche de Julie qui poussait des cris de douleur étouffés par le pénis factice d’Elisa.
Excitées par le spectacle, les neuf autres filles rejoignirent Julie. L’une d’entre elles lui enfonça son gode dans le vagin tandis que les huit autres s’amusaient à frapper diverses parties de son corps.
Leur petit jeu dura quelques minutes avant d’être interrompu par le professeur de biologie.
— Merci, mesdemoiselles. On dirait que vos camarades ont déjà tous joui. À présent, retournez à vos places et regardons ensemble le concours !
Les filles obtempérèrent et le prof de biologie alla chercher les verres remplis du sperme des garçons et les posa devant Julie.
— Maintenant, pour ce petit concours, notre salope va boire le sperme de chaque participant et nous dire à la fin lequel elle a préféré. Des encouragements pour la pute de notre lycée, la seule, l’unique, Julie !
Des sifflements et des ricanements se firent entendre dans la classe. Contrainte, Julie prit un verre dans sa main et le porta à ses lèvres. Le verre portait le nom de Jonas.
À peine l’eut-elle avalé qu’elle afficha une mine de dégoût qui fit rire les filles aux éclats, les garçons étant trop concentrés sur le concours pour réagir à quoi que ce soit.
Julie prit un deuxième verre de sperme. Celui de Romain. Elle le but cul sec. Les filles devenaient de plus en plus hilares en voyant Julie avaler son breuvage.
Julie parvint finalement tant bien que mal à finir les verres. Des applaudissements et des ricanements salaces saluèrent son exploit.
— Alors, Julie ? Dites-nous qui est l’heureux gagnant.
Julie ne savait que répondre. Elle ne voulait pas commettre de gaffe et payer les pots cassés mais elle ne voulait pas non plus participer à ce concours stupide qui n’avait pour but que de l’humilier. Aussi décida-t-elle finalement de dire un nom au hasard pour qu’on lui fiche la paix le plus rapidement possible.
— Jérôme, monsieur.
La classe applaudit le dénommé Jérôme qui, en bon gagnant, demanda ce qu’il avait remporté.
— Vous aurez droit à une entrevue gratuite avec notre pute dès demain. Aujourd’hui, elle doit encore servir. Bon, dans les cinq minutes qu’il nous reste, je vous propose de servir un petit rafraîchissement à votre camarade qui s’est si gentiment portée volontaire pour cet exercice.
Sur ces mots, le prof de SVT alla chercher un verre dans sa sacoche et cracha dedans. Il fit ensuite passer le verre à travers les rangs et les élèves crachèrent à leur tour dans le contenant. Le professeur alla récupérer le verre et le donna à boire à Julie.
Dégoûtée, la jeune lycéenne but cul sec cet infect cocktail de crachats. Puis la sonnerie retentit et les élèves sortirent de la classe, accompagnés du prof, laissant Julie au sol, humiliée.
À présent, Julie avait fait le plus difficile. Il ne lui restait plus que le proviseur et ses tortionnaires seraient définitivement hors d’état de nuire.
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