Pour changer, Alain et Christian décide de nous emmener, Katia et moi, passer un week-end à la ferme.
Après un repas, frugal, nous profitons du beau temps pour aller faire une promenade digestive au bord de la rivière. Nos hommes nous invite à nous mettre nues pour profiter de la douceur de cette après-midi ensoleillée. Comme l’endroit est désert, nous nous déshabillons devant eux pour leur plus grand plaisir.
Alors que nous continuons notre promenade dans la tenue d’Eve, nous entendons une voix.
« Allez Black att**** ! Black rapporte ! »
La voix se rapproche et nous voulons nous rhabiller mais nos hommes garde nos vêtement et trouve amusant de voir la réaction de cet homme en nous voyant nues.
Nous voyons, rouge de honte, un paysan approcher accompagné d’un molosse. En nous découvrant, il reste un instant figé.? Son chien est plus curieux et vient renifler les femelles. Puis, il trouve la situation cocasse et amusante et nous sourit. Nos deux hommes se sont mis en retrait pour observer les réactions du bonhomme.
« Alors les villouées ! Vous avez perdu vos habits ? »
A ce moment, il sort sa queue et nous dit :
« Vous voulez que j’vous donne du plaisir ? J’va vous faire vé l’bonheur d’la campagne moi ! Tcheu nous on est partageux ! »
Nous sommes prêtes à fuir. Mais Alain intervient soutenu par Christian :
« Mais je vous en prie Monsieur. Faites comme chez vous ! Faite leurs découvrir les plaisir de la campagne ! »
Encouragé par nos hommes, il s’approche alors de Katia et comme un rustre, il lui fourre sa queue noueuse dans la bouche en disant :
« J’vous aim bi vous ! J’aurais peut-êtes bi quéque chose pour vous après ! »
Je regarde ma copine se faire fourrer la bouche et n’ose bouger car son chien me renifle de trop près j’ai peur qu’il m’agresse. Le fermier baise rudement la bouche de Katia en la prenant par les cheveux. Alain et Christian me murmure à l’oreille :
« On est certain que tu aimerais être à sa place ! Pas vrai ? »
Dans un dernier assaut, il s’enfonce au fond de sa gorge en l’étouffant et dans un grognement gutural, le paysan gicle dans la bouche de Katia. Elle essaye de le repousser pour respirer mais il maintien sa tête sur son pieux l’obligeant à déglutir.
Satisfait, il lance, l’air de rien :
« Vos villouéses sont bonnes ! J’ai une idée, suivez-moi. Cgé bi dommage ! J’ai poin d’collier pour ces chiennes ! »
Alain et Christophe sont bien trop content de la tournure des choses. Comme d’habitude, nous allons être leurs jouets. Remy, le paysan, le pénis toujours à l’air, voyant nos mines défaites et apeurées avec ce gros chien qui nous tourne autour, nous dit :
« Vous inquiétez pas !!! Y va pô t’faire d’mal ! »
Puis s’adressant à nos hommes :
« Y reste piu d’une heure d’vant mé ! Vos fumelles vont bi aimer cha ! On va au relais d’chasse vé les potes ! »
Katia et moi nous serrons l’une contre l’autre comme pour se protéger.
Arrivés au relais, une collation est prévue. Rémy nous présente à ses amis. Leurs regards pesant sur nos corps dénudés présage de l’usage qu’ils souhaitent faire de nous.
« Hey les copains ! Diet y vé c’que j’ai trachy dans l’boué ! Deux fumelles d’la ville prête à saillir ! Leurs bonhomme nous les laisse pour nous amuser ! Tout à l’heure, j’me suis fait bouffer la bite par cette chienne ! Mais l’autre n’attend qu’ça ! Elle sont chaude les salopes ! »
Une rumeur enfle dans la salle lors de ces détails croustillants. L’un d’eux lance :
« Remy ché bi tout cha ! Mais j’ai la dalle ! Pendant qu’nous mougeu faite-nous un spectacle les gueuses ! Gouinez-vous ! »
Alain et Christophe, d’un signe de la tête, nous font comprendre que nous devons obéir. Essayant d’oublier ces regards avinés et concupiscents, nous commençons à nous caresser devant eux. Je me met à bouffer la chatte de mon amie qui se tortille sous ma langue habille qui agace son clito. Des éclats de rire fusent. Dans ce brouhaha, nous jouissons de nos caressent sans se soucier des mâles qui se régalent du spectacle. Rapidement, un orgasme nous terrasse.
Nous remettant de nos émotions, on se se demande ce que ça va donner quand ils vont avoir fini leurs agapes. L’un d’eux lance :
« Les gouine ! Au lieux de rien foutre !! Servez-nous à boire ! »
En bonnes soumises bien dressées, nous servons les servons, passant nues entre les ses rustres mal léchés. Ils en profitent pour nous peloter et fouiller nos chattes baveuses. Nous continuons sans faillir à servir ces mâles qui échangent entre-eux des blague grivoises sur notre compte.
Une deuxième tournée de bière est demandé. Je mouille beaucoup sous ces attouchements. Katia est dans le même état que moi quand je vois l’empourprement de son visage. Brusquement, je suis prise à partie par trois lascars. Pendant que l’un me présente son membre turgescent en me poussant la tête pour que je le gobe. Un autre me malaxe les seins et le troisième me fourre la chatte. Katia elle aussi est très occupée à sucer plusieurs chasseurs en même temps. Elle ne sait plus où donner de la bouche.
Les commentaires vont bon train. Nous ne sommes pour eux que des vides couilles.
« T’a vu ses salopes ! »
« Oui ! Des trous à bites ! »
« Des conserveries à sperme ! »
« Et leurs mamelles de grosses vaches ! »
« Oui ! Meilleurs laitière que les miennes ! »
« Elle vont faire du beurre à se balancer comme ça ! »
« Ouai ! C’est la fête au paradis….Hahahahah ! »
« Les seins dansent ….. hahahah ! »
Malgré la rudesse des saillis, je commence à respirer plus fort. Et des vagues de plaisir m’envahissent. Dans cette orgie, j’entends une voix qui dit à Katia :
« Alors ma petite fille ! Tu l’aime la pine de ton papy ? »
En moi même je pense à la détresse de Katia se retrouve à sucer son grand père.
Son grand-père lui besogne la bouche n l’insultant. Il jouit en maugréant :
« Merde !!! La p’tite pute elle m’a fait déjà jouir ! Fait chier tu m’a trop excité petite salope ! »
La queue de son pépé est aussitôt remplacée par un autre chasseur. Les queues défilent dans nos bouches, nos chattes, nos culs. Le sperme coule à flot autant que le vin et la bière. Nous passons de mains en mains, de queues en queues. Le grand-père de Katia qui n’arrive pas à rebander, veut s’amuser avec elle un peu plus.
« Attachez moi ma petite filliotte ! Comme j’lai sous la main j’vais m’occuper d’elle ! »
Ils la ligote et pour s’amuser il dit :
« On va voir si avec une torche dans le fion ça va être une lumière ! »
Il lui fourre l’engin dans le fondement et l’allume. Évidement ça amuse tout le monde. L’humiliation de ma copine est à son comble. Malgré tout, elle dégouline de mouille.
Ca donne des idées à ceux qui me sautent et attrapant ce qu’ils trouvent à portée de main, il m’enfonce ne bouteille de vin dans ma rosette. Mais ça ne lers plait pas plus que ça et il me l’enlève pour me fourrer le cul par deux queues en même temps. Mon anus étant déjà dilaté, les queues investissent mon étroit conduit d’une facilité déconcertante. Je commence à gémir. Ces bites me procure un intense plaisir que je ne peux dissimuler. Maintenant je crie et les deux bonhommes jouissent dans mes fesses. Pendant ce temps, les autres s’amusent à lui enfoncer différents objets dans la chatte et le cul. Son papy veut rentrer ses deux mains dans sa chatte.
« C’est une vraie chienne, ta fillotte ! J’vais me servir d’elle comme d’une grosse salope ! »
Les mains du grand pére son remplacées par des queues. Katia hurle de plaisir. Dans une telle orgie, je ne sais plus qui est qui et toutes les deux nous entamons un concert de gémissement et de couinements, submergées par une poussée d’excitation en réalisant que ces hommes nous utilisent comme de simples objets.
« Non mais c’est pas vrai…. Regardez ces putains…. Elle sont pires que ma chienne quand elle est en chaleur ! »
« Merde ! T’as bien raison ! »
Les chasseurs deviennent comme fous. Ils nous pistonnent comme des animaux. Mais les éjaculations se suivant, tout à une fin et épuisés, les couilles vides, les chasseurs se refroquent en remerciant nos hommes qui nous aident à repartir tant nos jambes ne nous tiennent plus. Le fameux Rémy nous lance :
« A la revoyure ! J’espére que vos poufs sont satisfaites ? »
«Alain leurs répond :
« C’était parfait, nous ne manquerons pas de vous recontacter ! »
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