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Le secret de Victoria 2 – La cas de la banane par

Le secret de Victoria 2 – La cas de la banane par



(traduit de l’anglais par Mia Michael.)
Le secret de Victoria.

Partie 2 – Le cas de la banane.

Le voyage vers le marché d’esclaves n’est pas ennuyeux, au contraire.
Je garde le capuchon de ma tunique sur la tête pour éviter que Victoria me reconnaisse.
En tant qu’esclave, Victoria est complètement nue. Elle n’a que des sandales bon marché, un collier de perles en verroterie et, bien sûr, des anneaux d’esclave aux chevilles.
Ses poignets sont liés devant elle et pas dans le dos, mais ce luxe lui sera retiré si elle déplait un tant soit peu.
Je suis sur un dromadaire, assis sur un coussin confortable et abrité par une toile. Victoria et les autres esclaves sont nues et pour la plupart, pieds nus. Leurs pieds impriment une marque dans le sable, là où d’innombrables filles ont marché avant elles. Les pattes des dromadaires et le vent les auront vite fait de les effacer.
Nous nous arrêtons régulièrement pour abreuver le bétail et les esclaves. Les hommes boivent de l’eau dans leurs gourdes, mais les esclaves doivent boire avec les animaux, dans des bassins, l’eau qu’elles ont elles-mêmes puisée dans le puits.
Comme nous sommes partis tard ce jour-là, nous avons marché jusqu’au coucher du soleil et continué durant la nuit sans faire de pause, jusqu’au lendemain matin. Nous marchons la nuit et pendant les quelques heures autour du coucher du soleil et au lever du jour. La journée, la température est trop élevée.
Les périodes de repos sont agréables, du moins pour moi. Lorsque nous nous arrêtons, les filles doivent monter les tentes, puis préparer à manger pour les hommes et les animaux. Ensuite, Victoria et les autres esclaves sont eduquées pour devenir des esclaves soumises. Il s’agit d’exercices physiques et psychologiques.
L’enseignement est très précis et je regarde avec fascination Victoria apprendre « les positions de l’esclave ». Ce sont les poses qu’une fille doit prendre lorsqu’on lui en donne l’ordre, en particulier lorsqu’elle sera examinée par un acheteur ou un visiteur.
Chaque position est destinée à mettre en valeur une partie différente de son anatomie ou de sa personnalité. En rougissant de honte, ma femme est forcée d’apprendre des positions particulièrement obscènes.
« La chienne », à 4 pattes, les jambes très écartées, haletante et la langue pendante, les yeux quêtant l’approbation de son maître.
« La chatte », comparable à la position de la chienne, mais le front posé à plat sur les mains et les jambes suffisamment écarté pour qu’on puisse bien voir l’anus.
« Inspection », debout les mains croisées sur la nuque, les jambes écartées de la largeur des épaules, les reins cambrés pour faire saillir les seins.
« La danse », mains levés avec soumission, danser d’une jambe sur l’autre pour faire bouger les seins et les fesses. Si on ne lui donne pas l’ordre d’arrêter, cette pose doit être maintenue, ce qui finit par être très pénible.
« La grenouille », accroupie, mains derrière la nuque, les genoux écartés. Celle-ci est ma préférée, parce que Victoria devient rouge de honte quand elle doit s’accroupir de cette façon.
La première fois qu’elle doit prendre cette position, elle n’écarte pas assez les jambes et elle reçoit coup de fouet sur les fesses. Ce n’est pas un méchant coup de fouet, mais l’expression de stupeur sur son visage est délicieuse à observer. Les hommes font claquer leur fouet chaque fois qu’ils donnent un ordre et Victoria voit d’autres filles se faire punir. Mais, jusqu’à ce moment-là, je ne pense pas qu’elle réalise que ses fesses d’aristocrate peuvent être fouettées et même sévèrement!
En plus de ces positions, les filles sont obligées d’apprendre diverses expressions faciales : « la moue « , « le sourire « , « le rire », « la colère « , « la désolation », « la peur ». La dernière est le plus facile à prendre pour Victoria, accroupie, jambes écartées, pendant qu’un gros garde fait claquer son fouet si près de ses fesses qu’elle sursaute en sentant le déplacement d’air.
J’observe avec intérêt Victoria utilisant un petit miroir, qu’elle a reçu, pour parfaire ses expressions. Je souris la première fois qu’elle se regarde, parce qu’elle est consternée par son apparence. Son maquillage a disparu depuis longtemps, bien sûr, et plusieurs jours de marche dans l’air humide de l’Afrique ont fait complètement friser ses cheveux. Ils sont emmêlés et presque crépus. Mais, le claquement du fouet la fait se concentrer immédiatement sur les expressions qu’elle doit prendre. Elle est obligée de livrer à la fois son corps et son âme.
L’entraînement est constant et répétitif, les ordres sont donnés dans différentes langues. Victoria doit trouver cela très stressant, car c’est un rappel constant que les esclaves nues ne sont qu’une marchandise qui peut être vendue et expédiée dans n’importe quelle partie du monde.
Je fais aussi l’expérience surprenante de ma femme se masturbant en soulevant ses hanches et en écartant les cuisses, afin que ses maîtres puissent observer son orgasme, tandis que sa vulve se contracte spasmodiquement!
Victoria reçoit un gode pour parvenir à avoir un orgasme, mais rapidement, elle arrive à se faire jouir avec ses seuls doigts.
Cela m’amuse énormément de regarder ma femme, si pudique et si réservée, se masturber en public. Les esclaves sont encouragées à se masturber le plus possible, même en marchant. Il a suffi d’un bon dressage et de quelques coups de fouet, pour que Victoria, pudibonde aristocrate, se transforme en une petite traînée se comportant comme si elle avait le feu au cul… et prête à satisfaire sexuellement ses maîtres. Elle apprend à dire, « Maître, puis-je vous sucer? », en chinois, japonais, espagnol, français, arabe, russe et allemand.
Victoria a bien compris que les marches harassantes, les corvées pénibles, les masturbations forcées sont destinées à briser sa volonté, comme un lavage de cerveau. Je m’amuse à observer sa lutte intérieure pour y résister. Je peux voir la colère dans ses yeux chaque fois qu’elle est forcée d’avoir un orgasme ou qu’elle s’aplatit par crainte du fouet! J’apprécie également beaucoup la voir embrasser humblement les bottes sales de l’homme qui caresse son dos nu avec son fouet ou devenir rouge comme une pivoine quand elle écarte les lèvres de son sexe et s’exhibe à des hommes qui rient d’elle.
La transformation lente mais inexorable de Victoria est un spectacle dont je ne me lasse pas. Je me rends compte que son identité précédente disparaît petit à petit sous le sévère dressage qui a permis d’asservir d’innombrables esclaves depuis des milliers d’années.
Elle passe de la peur à la colère, puis finalement, elle accepte sa situation d’esclave. Son estime de soi, sa dignité et sa fierté ont fondu comme neige au soleil d’Afrique.
La vie des esclaves n’est pas uniquement pénible. Pendant les haltes, elles sont autorisées à parler entre elles et en dépit de la disparité des langues, elles discutent, rient et commèrent comme le font toutes les filles. C’est un changement social énorme pour ma femme. Seulement quelques jours auparavant, elle aurait considéré ces filles comme de simples servantes, des domestiques. Mais à présent dépouillée de tout, ces filles nues sans instruction sont ses pairs et (je ris en l’écrivant!) même ses rivales! Même nue et asservie, Victoria trouve une façon d’être vaniteuse, elle est très fière de ses sandales vertes et de son collier, faisant remarquer comme les perles vertes sont assorties à ses yeux! Les autres filles n’ont, pour la plupart, rien d’autre que des anneaux et des chaînes d’esclaves. Je suis stupéfait d’entendre Victoria se vanter que sa peau claire et ses yeux verts lui permettront d’être choisie par un maître riche et d’avoir une belle marque au fer rouge. Puis, s’amuser avec les autres filles en spéculant sur le genre de marque qui sera la plus belle sur ses fesses.
Le paradoxe me fascine. Il est clair que le fait d’être marquée au fer rouge la terrifie, car elle a demandé plusieurs fois aux une filles marquées ce que ça fait. Les filles lui répondent que la douleur est pire que tout ce qu’elle peut imaginer. Mais une belle marque est un objet de fierté parmi les filles. Cela augmente son niveau social, parmi les esclaves, chose que ma femme attend avec impatience! Bien qu’en même temps, être marqué au fer rouge, la ravalerait au rang de bétail. Ce sera l’ultime étape de sa transformation en esclave.
Le voyage est épuisant pour Victoria, à la fois mentalement et physiquement. Ses chevilles fines ont meurtries par les anneaux. Beaucoup de filles ont développé des cicatrices calleuses là où les anneaux les blessent. La marque de la corde autour de son cou est aussi clairement visible et je me demande si cette marque disparaîtra ou si une cicatrice sera à jamais un rappel du moment où elle a presque perdu la vie, pendue au bout d’une corde. Je frémis en imaginant quelle sorte de maître cruel une telle marque peut attirer.
Souvent, je conduis mon dromadaire derrière elle, pour observer ses fesses et ses seins rebondirent au rythme de la marche. Le fouet du garde a laissé quelques zébrures rouges, très excitantes à regarder. Ces marques sont le signe évident de sa condition d’esclave. Je regarde ses fesses bouger en cadence en me demandant quelle marque leur conviendrait le mieux. Une lettre? Un symbole? Ce n’est pas une question anodine, elle risque vraiment d’être marquée. Bien qu’ils aient amené mon sac à dos, je n’y ai pas trouvé le reçu pour Victoria. Peut-être Bouba a t’il gardé sur lui le précieux document. Je l’espère. Celui qui est en possession de ce document peut prouver que Victoria est sa propriété et l’emmener. Il serait alors impossible de la retrouver. J’espère que ce document est entre les mains de Bouba, sinon je n’ai d’autres choix que de laisser Victoria être vendue aux enchères…
Je peux surenchérir, bien sûr, mais je n’ai que quelques centaines de Dalasis sur moi, somme qui ne serait sûrement pas suffisante si quelques acheteurs se disputent le cul de ma femme. Les virements bancaires vers l’Afrique peuvent prendre des jours, voire des semaines, et je ne peux pas faire les démarches ici. J’espère retirer assez d’argent une fois arrivé au Port.
Dans tous les cas, sans ce reçu, je ne peux déposer aucune réclamation et Victoria serait très probablement marquée au fer rouge au Port, si cela n’a pas déjà été fait.
Quand j’ai demandé à Kaba, le chef de la caravane, si Victoria allait être marquée, il a simplement haussé les épaules. Pour lui, c’est un détail. Une esclave doit être marquée et si Bouba le décide, il y aura bientôt une marque indélébile sur les fesses de Victoria, ce n’est pas son problème.
Un reçu perdu, un virement bancaire qui arrive trop tard ou un ordre mal compris, ce sont des choses qui font qu’une femme devient esclave.
Le voyage fut plus long que prévu, car nous faisons plusieurs détours pour vendre et acheter des marchandises. Je remarquai que les femmes les moins attrayantes étaient vendues pour être remplacées par des femelles clairement destinées à devenir des esclaves de plaisir. Au moment où nous atteignons le marché de Tendaba, il y a près de 100 filles dans notre caravane. Nous nous sommes arrêtés à ce marché pour vendre une partie de notre cheptel. Rapidement, les filles furent libérées de leurs chaînes, puis alignées. On fait la même chose à chaque marché où nous sommes passés.
Soudain, je suis surpris d’entendre une voix familière.
« Il y a là de jolies chattes africaines ici, Messieurs, humides et étroites! »
Je me retourne en sursautant, reconnaissant M. Crawly, le magnat du pétrole, accompagné de deux Anglais, Lord Henry Humphrey et le Colonel William Masterson. Nous les avions rencontrés à l’hôtel. Tous les trois sont des hommes riches, mais Crawly est ce que Victoria appelle « un nouveau riche », ce qui signifie que sa richesse a été acquise par le travail, pas par héritage. C’est donc un parvenu. Il est vulgaire et grossier. Ses amis et lui ne furent pas les bienvenus dans le petit groupe de prétentieux que Victoria a réuni autour d’elle, à l’hôtel.
Ils sont entre hommes à un marché d’esclaves et s’amusent des propos salaces de Crawly, puisqu’ils ont sans leurs épouses… sauf une!
Victoria se trouve dans la rangée d’esclaves, aussi nue que le jour de sa naissance, transpirant à grosses gouttes tandis que les hommes passent toutes les filles en revue. Elle les a repérés, bien sûr, et je peux dire à l’expression horrifiée de son visage, ainsi qu’à la façon dont elle tremble, qu’elle sait sacrément bien qui ils ont. Mais eux, vont-ils la reconnaître?
Ce n’est pas sûr, car l’esclave enchaînée ne ressemble pas du tout à la dame élégante qu’ils connaissent. Victoria est nue, bien sûr, et elle a bruni fortement sous le soleil d’Afrique. Son apparence s’est détériorée, ses cheveux toujours soigneusement coiffés, sont maintenant sales et emmêlés.
Son visage et son corps sont également sales. Ses pieds enchaînés sont couverts de boue séchée. Elle ne sent pas bon du tout, à la fois la vieille sueur et son sexe surmené par les masturbations forcées et… parfois volontaires. Elle pue comme un a****l sauvage et sale. D’ailleurs, des mouches tournent autour des filles, surtout à la hauteur de leurs sexes.
Quelqu’un qui ne la connaît pas bien peut penser que cette fille bronzée est la fille d’un touriste de passage et d’une indigène. Malheureusement pour elle, Humphrey est bien plus qu’une simple connaissance. Il connaît sa famille depuis des années à Londres. Victoria appartient aux mêmes clubs que lui, bien qu’ils n’aient jamais sympathisés. Mais, comme il l’a dit une fois en plaisantant, il a vu Victoria passer en grandissant de « fillette volontaire » à « jeune fille gâtée » et enfin devenir « une jeune femme insupportable ».
Leur antipathie est réciproque. Lord Humphrey est gras et vieux. Il fume des cigares, marche avec une canne et de plus, il lorgne souvent les formes appétissantes de Victoria. Ses maîtresses et ses voyages en Afrique sont connus de tous. Victoria a été dégoûtée quand elle s’est rendu compte qu’il était descendu au même hôtel que nous et maintenant, elle est véritablement horrifiée de le voir se rapprocher d’elle. Compte tenu de sa réputation, je ne suis pas surpris de l’apercevoir dans un marché d’esclaves rempli de filles nues.
Cependant, étant donné son aspect, il y a encore une possibilité qu’il ne la reconnaisse pas. Elle passera peut-être inaperçue, car il y a plusieurs autres femmes à peau plus claire dans la rangée. Le Colonel Masterson et M. Crawly sont tellement occupés à caresser les seins et les sexes des esclaves qu’ils se sont retrouvés debout à côté d’elle, sans la remarquer. Victoria, malade d’appréhension, regarde ses pieds en essayant de passer inaperçue. Hélas pour elle, Lord Humphrey la lorgne depuis des années et, aussi sale et débraillée qu’elle soit, ses chances de ne pas être reconnue sont excessivement minces!
Victoria fait un bond quand elle entend Humphrey s’écrier, « Lady Victoria? ». Ses yeux lui sortent de la tête! « Est-ce vraiment vous? »
A ma grande surprise, Victoria se contrôle aussitôt.
« Oui, Henry, c’est bien moi », dit-elle, en relevant le menton. Puis, s’adressant au Colonel Masterson sur un ton mondain, elle ajoute en souriant, « C’est un plaisir de vous revoir, vous aussi, William. » Elle ajouta froidement, « Et Mr Crawly également, bien sûr. »
Son ton mondain et son dédain pour Crawly sont tout à fait absurdes dans ces circonstances, mais les trois hommes sont trop abasourdis pour rire. Soucieux de briser le silence gêné, Victoria explique sa situation, « Il semble qu’il y a eu un problème sur le marché et je me suis retrouvée séparée de mon mari. On m’a pris pour une esclave sans que je comprenne pourquoi. Je vous serais très reconnaissante, Messieurs, si l’un de vous peut payer ma caution et éclaircir ce malentendu. Il faudrait aussi donner quelque chose au chef de la caravane… Ah, et aussi, me trouver des vêtements, ensuite nous pourrons repartir ensemble. »
Lord Humphrey, très surpris, examine Victoria, ses pieds sales et ses jambes nues, puis son entrejambe et ses seins. Il joue avec les perles de Victoria tout en la regardant dans les yeux. Il sourit largement et, se tournant vers Kaba, qui est venu accueillir trois acheteurs potentiels, il lui demanda, « Dites-moi, est ce que cette donzelle est à vendre? »
« Si elle était un peu plus sombre, peut-être, mais nous allons la mettre aux enchères au grand marché du Port. On obtiendra un meilleur prix pour elle. »
Lord Humphrey se tourna vers Victoria et lui dit en souriant, « Je suis désolée, ma chère. Il semble qu’ils ne veulent pas vous vendre ici. Et, on ne va pas vous payer plus cher que vous ne valez. Mieux vaut attendre les enchères et laisser les acheteurs décider. Je parie que votre prix de vente sera inférieur à celui que cet homme me fixerait ici. »
« Une vente aux enchères? », s’écria Victoria, « Mais je ne suis pas une esclave! ».
Lord Humphrey se tourne vers Kaba. « Je suppose que vous avez le titre de propriété de cette fille? »
« Bien sûr, Monsieur. », répondit Kaba, « Je vous certifie que cette fille est une esclave et qu’elle nous appartient! »
Lord Humphrey se tourne vers Victoria. « Il a un titre de propriété vous concernant, ma chère. De plus, je suppose que vous ne possédez pas votre passeport caché quelque part », dit-il en regardant son pubis.
Victoria secoue la tête.
Lord Humphrey reprend, « C’est bien ce qui me semble! Arrêtez de prétendre que vous n’êtes pas une esclave. De tels propos peuvent vous causer pas mal d’ennuis. En vertu des coutumes et des lois de ce pays, il n’y a pas à s’y tromper, vous êtes clairement une esclave, du moins pour le moment. Sommes-nous d’accord sur ce point? »
Victoria hésite, puis hocha la tête. Lord Humphrey n’est pas satisfait, il dit sévèrement, « Dites-le, faites une phrase et ensuite demandez-moi de vous examiner. »
« M’examiner? Henry, vous n’êtes pas sérieux! « 
« Je suis tout à fait sérieux, » dit-il, la voix toujours sévère, en regardant Victoria avec gourmandise!
« Vous venez d’avouer que vous êtes une esclave. En tant que telle, je vais vous examiner pour déterminer votre valeur, si je veux vous acheter. »
« Mais, Henry… « 
La protestation de Victoria fut interrompue net, car Humphrey releva son menton très haut au moyen de la crosse en argent de sa canne, « Vous devez vous adresser à moi en disant, Monsieur. C’est compris? »
« Oui, Monsieur. », répond Victoria docilement, « Examinez-moi, s’il vous plaît, pour pouvoir faire une offre. »
Lord Humphrey se tourna vers Kaba en disant, « Je souhaite examiner cette fille ».
« Certainement, Monsieur. »
Kaba fit claquer son fouet en disant, « Inspection »!
Aussitôt, Victoria mit ses mains derrière la nuque, les jambes écartées de la largeur des épaules et les reins cambrés pour faire saillir les seins.
Claquement de fouet. « Souris! », puis, « La moue ».
Il se baisse, enfonce ses doigts dans le sexe de Victoria et les ressort tous mouillés, en disant, « Voyez comme elle mouille, c’est une chienne d’esclave, ne demandant qu’à plaire à ses maîtres. »
Lord Humphrey écarquille les yeux en disant, « Bonté divine, c’est vrai, on sent même son odeur d’ici. »
Mr Crawly glousse, « C’est une petite macaque en chaleur. Il faut qu’elle reste nue, on n’imagine pas un petit singe crasseux avec une culotte. » Ça fait rire les hommes.
Pour lui donner raison, Kaba fait claquer son fouet en disant « Tourne-toi et montre ton derrière. » Ma femme, toute rouge, se retourne et, en se penchant, écarte ses fesses.
Tout en observant ma compagne obéissant à ces ordres obscènes et humiliants, s’accroupissant, écartant ses fesses, faisant la moue, j’admire le dressage qu’elle vient de subir.
Aussi humiliée qu’elle soit par l’obligation de s’exhiber devant ces gens qu’elle connaît et déteste, à chaque claquement de fouet, elle prend la pose qu’on lui ordonne, comme l’esclave soumise qu’elle est devenue.
Les trois hommes sont loin d’en avoir fini. Après l’exhibition, ils commencent par soupeser et pincer ses seins et ses fesses. Ensuite ils examinent ses dents et regardent soigneusement dans ses cheveux pour voir si elle a des poux.
Si Victoria s’est imaginée que ces hommes qu’elle connaît la sauveraient de cette situation ou qu’en tout cas, ils la traiteraient avec un minimum de respect, elle doit très vite déchanter.
Sur un ordre de Kaba, « La danse » et un claquement de fouet, elle se mit à sauter d’un pied sur l’autre, pendant que Crawly et les deux autres discutent des appâts qui se balancent sous leurs yeux.
Le Colonel Matherson dit, « Regardez ces nichons bouger. Jolis et fermes. Si je suis son futur propriétaire, je la ferai engrosser et allaiter pour avoir son lait tous les matins dans mon thé. » Puis il s’amuse à faire semblant de la traire en lui pinçant vigoureusement le bout des seins, « Elle n’a pas de lait pour le moment! »
Victoria pousse un cri de douleur.
Crawly sourit, « Pas encore, parce que la petite chienne n’a pas été montée par un mâle. Moi, je la ferais engrosser pour avoir des petits à vendre, afin de récupérer ma mise de fonds, mais je vous donnerais de son lait pour votre thé. »
« Une affaire qui semble rentable », répondit Lord Humphrey, tout en observant les sauts que Victoria fait d’un pied sur l’autre. « Je pense qu’une portée de futures esclaves à la peau pas trop foncée se vendrait un très bon prix! »
« Oui, mais il faudra également la faire s’accoupler avec des métisses », dit Crawly, « Car mélanger les races donne de bons résultats. En outre, elle est devenue beaucoup plus foncée de peau, ça cache quelque chose. »
« Que voulez-vous dire? »
« Remarquez comme sa peau est plus foncée qu’il y a quelques jours, le seul soleil ne peut pas faire ça. Retourne-toi ma fille, montre-nous tes fesses et continue de sauter! »
Victoria se retourne en sautillant, ce qui est difficile, car la chaîne qui relie ses deux chevilles est courte.
« Vous voyez. Quelques heures de soleil et ses fesses ressemblent à des hamburgers bien cuits. » En disant ça, Crawly att**** les fesses de Victoria qui sautille, et les pince avec force.
« Regardez aussi ses cheveux, ils sont devenus presque crépus. En dépit de ses airs hautains et de son accent snob, elle a du sang noir dans les veines! Ça ne fait aucun doute! »
« Lady Victoria, une métisse? », dit Lord Humphrey incrédule, « Elle est bronzée, mais… »
« Non, elle est métissée », insiste Crawly. Puis, en regardant Victoria, il ajoute, « N’est ce pas ma chérie? Tu as un squelette dans le placard? »
Se tournant vers les hommes, « Je ne serai pas étonné qu’elle soit une fille illégitime, peut-être la descendante d’une servante métisse. »
Bien que très surpris par les propos de Crawly, je suis aussi très intrigué. Victoria a toujours été extrêmement prudente concernant le soleil. Elle s’en protège avec des ombrelles, des chapeaux et des litres de crème solaire. Quand nous sommes sur une terrasse, par exemple, elle choisit toujours une place à l’ombre. Je ne l’ai jamais vue se faire bronzer au soleil. Notre caravane a voyagé surtout la nuit, mais même avec le soleil limité du début de matinée et de la fin de l’après-midi, elle a énormément bruni. Intéressant. Je me souviens d’avoir entendu une des servantes noires de sa famille dire à une autre que la maîtresse a aussi peur du soleil qu’un vampire. Elle ajouta que lorsqu’elle était petite, elle a séjourné une semaine à la campagne et qu’en jouant dehors, elle est devenue comme une banane qui pourrit : d’abord jaune, puis brune, puis carrément noire. Sa mère était furieuse!
Je n’ai pas tenu compte de ces commérages, mais maintenant, je constate à quelle vitesse elle a acquis un bronzage intégral, au point d’avoir une couleur presque semblable à celle des plus claires des négresses de la caravane. Et ça, en n’étant exposée au soleil que quelques heures par jour. Je commence à me poser des questions.
Au vu de l’expression du visage de Victoria, je peux dire que cette remarque l’a piqué au vif. Elle partage les préjugés de sa classe au sujet des Noirs, « Je n’ai rien contre ces gens », dit-elle souvent, « mais c’est leur paresse qui me dérange. Je méprise les gens qui ont toujours la main tendue, en attendant de recevoir quelque chose. « 
Maintenant, Victoria, sans un sou et nue dans un marché d’esclaves, est semblable à ces gens qu’elle rejette avec tant de désinvolture, en les traitant de mendiants.
« Alors, raconte-nous, ma petite princesse africaine… », dit Crawly qui s’amuse beaucoup, « Il y a bien un nègre caché dans une armoire du château familial? »
« Je ne vois pas ce que vous voulez dire », répond Victoria, essoufflée, tandis que Crawly lui a empoigné les fesses,
« Je peux vous assurer, Monsieur… »
Crawly n’en tint aucun compte et, mettant une main sur le ventre de Victoria qui saute toujours, pour qu’elle ne tombe pas, il donne quelques claques retentissantes sur ses fesses.
« Oh! Oh! Oh! », crie Victoria. Puis elle ajoute très vite, « Ma grand-mère est Brésilienne! », tandis que les gifles continuent à pleuvoir sur ses fesses. En haletant, elle poursuit, « Mon grand-père passait l’été sur la plantation de la famille au Brésil et il a mis enceintes quelques servantes parce que ma grand-mère est stérile. Mais… mais, ma mère est Blanche. Je vous le jure. »
« Le vieux sagouin », ricane Crawly. « Je le savais. Elle est métisse. Les Brésiliens sont les pires. Ils vont vous arnaquer si vous êtes Blancs, mais ils traitent les Noirs comme des moins que rien. »
Il désigne le cou de Victoria, « Regardez, elle a même une cicatrice de pendaison. Voilà comment ils traitent les métisses arrogantes… Ils les pendent et les laissent gigoter un petit moment, pendant qu’ils boivent une bière. Les salopards! »
Victoria crie, « Non, vous mentez! Je suis Blanche! Je ne deviens pas plus foncée, je le jure. »
Crawly fit se retourner Victoria. Elle pleure maintenant, plus de honte que de la fessée. Sa disgrâce a été révélée à tous.
Saisissant brutalement son visage, Crawly a commencé une analyse minutieuse de ses traits, « Le nez est un peu plus large que ce qu’il devrait être. Les yeux verts montrent qu’elle est mélangée, mais il y a quelques taches sombres, là aussi. Elle a de belles lèvres épaisses. Ses cheveux sont presque crépus. C’est une métisse, sans aucun doute! Il suffit d’un peu de sang noir. »
Lord Humphrey répond, « Je vois ce que vous voulez dire. »
Crawly continue, « Je pense que nous devrons vérifier quand elle arrivera au marché du Port. Encore quelques jours d’exposition au soleil et il se pourrait qu’elle puisse travailler dans mes plantations. »
« Lady Victoria, une esclave noire dans vos plantations! », répète Lord Humphrey, choqué à cette idée. « Vraiment, Crawly, vous allez trop loin. »
« Oui, vous avez raison, cher ami, ça parait impossible », dit le Colonel Masterson, « D’ailleurs, même si elle fonce encore, cela servirait à quoi? Donnons des vêtements à cette pauvre fille et laissons-la redevenir plus claire à l’ombre de sa maison. »
« Les fers aux pieds et son collier de perles en verre sont les seuls vêtements qu’elle aura dorénavant! », dit agressivement M. Crawly, « Et c’est encore trop bien pour elle. Si, dans quelques jours, elle est foncée comme une négresse, je l’achèterai en tant que négresse. Je la ferai marcher nue dans les rues et elle travaillera nue comme esclave dans mes champs. »
Les deux autres ne trouvent rien à répondre. Ils sont à la fois choqués par ces propos et amusés par l’expression de fureur sur le visage de Victoria. Se rendant compte de l’embarras de ses amis, Mr Crawly ajoute en souriant, « Ne vous faites pas de soucis pour elle, mes amis, ma marque au fer rouge sera du plus bel effet sur son gros cul de négresse. Et elle sera montée par mes étalons et engrossée, afin de me fournir du lait. »
Oubliant leurs réticences, les deux hommes se mettent à rire en imaginant cela.
« Eh bien, cela amuserait sûrement beaucoup nos épouses de voir cette petite Bamboula travailler dans les champs ou leur servir de servante », dit le Colonel Masterson. « Je suis sûr qu’elles adoreraient avoir une version noire de Lady Victoria pour nettoyer leurs baignoires, porter leurs bagages ou cirer leurs bottes. »
Victoria est horrifiée par ces propos, tandis que les hommes rient de ces suggestions humiliantes.
Lors Humphrey a une autre idée, « Je pense que l’utiliser comme esclave de plantations serait du gâchis ». Il la regarde et dit, « Vous étiez très bonne en sport, à l’université, n’est-ce pas ma fille? »
Je note avec intérêt que Humphrey ne dit plus « Lady Victoria », en s’adressant à elle mais « ma fille ». Le vent a bien tourné!
« Oui Monsieur », répond Victoria, le visage humblement baissé, mais en souriant avec un peu de fierté. « J’ai couru en cross-country, sprint et steeple. Je me suis qualifiée pour l’équipe olympique, mais mon père ne m’a pas laissée faire de compétition. Il disait qu’une fille ne doit pas courir en short devant des hommes ».
Je me dis, « Mon Dieu, si son père pouvait la voir maintenant! »
Lord Humphrey lui demande, « Et vous êtes une bonne cavalière, je pense. »
« Oui, Monsieur », répond Victoria, ne voyant pas où Lord Humphrey veut venir.
« J’ai un ami Sheik qui s’intéresse beaucoup aux Occidentales. Ça l’amuse de les faire danser, seins nus, vêtues d’un voile transparent, devant ses visiteurs Occidentaux. Je place des filles dans ses écuries quand je n’en ai pas besoin. Je suis certain qu’il aimerait avoir une Anglaise aux yeux verts pour la faire danser devant ses invités et en faire ce qu’ils veulent. »
Victoria rougit à la pensée de danser à moitié nue devant des étrangers, surtout qu’il y en aurait sûrement qui la reconnaîtraient. Mais le pire est encore à venir!
« Tout à fait amusant, » dit le Colonel Masterson, « mais parlez-nous de ces écuries. »
« Oh, il n’y a pas grand-chose à en dire », répondit le Lord avec désinvolture, en allumant son cigare. « J’ai un petit cheptel de « pony girls ». Parfois, j’organise des courses. En général, on les attèle à une petite voiture pour nous déplacer, mes amis et moi. On les fait trotter dans le domaine. »
« Un trot? J’ai peine à croire que cette fille puisse tirer une voiture dans laquelle il y aurait un poids lourd de votre genre! », ricane Crawly.
Lord Humphrey sourit et s’agenouille à côté de Victoria qui sautille toujours, comme on lui a ordonné. Il lui dit, « Arrêtez de sauter! »
Victoria s’arrête, haletante. Il ne fait ça que pour l’examiner attentivement, tandis qu’il empoigne ses fesses et ses cuisses, en disant, « Non-sens. Regardez depuis combien de temps cette fille saute sur place. Elle a de belles et fortes cuisses. Les voitures sont équilibrées, mais je peux aussi atteler plusieurs filles. Cette petite pouliche est beaucoup plus forte que vous ne le pensez. Voyez les muscles de ses fesses et de ses mollets. Elle est prête à tirer la charge la plus lourde sur une pente raide et boueuse. »
M. Crawly ne semble pas convaincu. « Peut-être qu’elle arrivera à le faire. »
Il sourit, « Elle deviendrait une pouliche faisant ses besoins dans sa paille? Je ne crois pas que Lady Victoria apprécierait. »
Lord Humphrey rit, « Mais on ne la laisserait pas à l’écurie. Elle serait harnachée, avec un mors dans la bouche et un harnais pour la maintenir en place. Quant à apprécier ou pas, le fouet la fera obéir. »
Victoria laisse échapper un gémissement pitoyable en entendant les propos de Lord Humphrey.
« Je la marquerai au fer rouge. Elle aura sur une fesse le blason de ma famille. Un H inscrit dans un cercle, avec des éclairs. Je brûle d’abord le cercle, puis, une semaine plus tard, la lettre. Et enfin, les deux semaines qui suivent, les éclairs de chaque côté. Quatre marques en tout en quatre semaines, appliquées par moi-même afin que ma petite pouliche comprenne bien à qui elle appartient. Le délai d’une semaine chaque fois lui permet de bien apprécier le fer rouge! »
Victoria frissonne de peur. Tandis que le Colonel Masterson hoche la tête en disant, « Elle ferait une bonne ponygirl et j’adorerais l’avoir au bout de mon fouet. Après l’avoir achetée, je vous la prêterai pour une course. J’aimerais voir ce gros derrière gigoter entre les montants de la voiture, pendant que je le décorerais avec mon fouet. »
« Vous allez surenchérir aussi? », demanda Crawly, ennuyé d’avoir un deuxième concurrent.
« Peut-être… », dit le Colonel Masterson. Il relève le menton de Victoria et la regarde dans les yeux. « Dites-moi ma fille, avez-vous déjà chassé le renard? »
« Oui Monsieur », répond Victoria.
« Et vous avez tué un guépard en safari, la semaine dernière? »
Je grimace. Nous nous étions disputés parce que je ne voulais pas qu’elle le fasse. Mais elle était décidée, disant qu’une tête de guépard empaillée et une peau auraient beaucoup d’allure chez nous. J’étais furieux et sincèrement écoeuré qu’elle fasse ça. Que pouvaient ajouter une tête d’a****l et une peau à « l’honneur de la famille »? J’ai été furieux contre elle.
« Puisque vous êtes aussi habile à la chasse, je pourrai vous acheter et vous emmener chasser. J’ai un ami à quelques kilomètres d’ici qui a une chasse au renard. Bien sûr, chez, lui c’est très grand, aussi, il utilise des danois plutôt que des chiens de chasse. Vous serez mise dans un chenil avec les chiennes pendant quelques jours, afin que vous soyez imprégnée par leurs odeurs. Vous intéresserez d’autant plus les mâles. Ensuite, nous vous enverrons nue dans la propriété, pendant que nous dînerons. Après le dessert, nous irons vous chasser avec les chiens. »
« Vous lui donnerez des vêtements? », demande Lord Humphrey.
« Bien sûr que non. Elle sera nue comme un a****l. Il y a un peu de broussailles et des mares sur mes terres. Certaines des filles essayent de s’y cacher, mais les chiens les trouvent toujours. L’eau peut être très froide la nuit, donc espérons que les chiens vous retrouvent avant que vous ne soyez gelée. Il y a un bosquet à environ dix miles de la maison, vous pourrez essayer d’y aller, car il est préférable d’être rattrapée au milieu des arbres plutôt qu’en milieu découvert », ajoute-t-il en riant.
« Une fille aussi en forme que vous sera en mesure de trouver les arbres, bien que le temps jouera contre vous. Il y a une réserve naturelle à côté et de temps en temps, un grand félin saute la clôture. Il n’y a pas de danger pour nous, car ils évitent les chiens. Mais je suis sûr que vous trouverez le guépard beaucoup plus difficile à chasser quand vous serez nue, les pieds blessés par les cailloux et sans autre arme que celles que vous pourrez fabriquer ».
Je crois un instant, que Victoria va s’évanouir. Elle voulait rapporter une peau de guépard comme trophée, mais maintenant, elle sera peut-être le trophée de ces animaux qu’elle a cyniquement chassés.
« Nous chassons généralement des filles indigènes, car on dit que les Africains sont les meilleurs coureurs. Mais je suis sûr qu’avec vos jambes musclées, vous allez bien faire courir les chiens. Nous allons prendre beaucoup de plaisir à vous pister et bien sûr, en tant que propriétaire de la chasse, j’aurai le droit de cuissage! »
M. Crawly se tourne vers Kaba, tout en caressant le sexe humide de Victoria. Malgré son humiliation, elle halète en se frottant contre les doigts. « Il semble que cette petite esclave ait trois maîtres prêts à enchérir pour acquérir cette chaude petite chatte. Comme aucun d’entre nous n’aime perdre, vous obtiendrez un excellent prix. Est-ce que nous pourrions un peu goûter à la marchandise, maintenant? »
Lord Humphrey glisse discrètement quelques billets dans la main de Kaba. Celui-ci sourit largement et dit, « Bien sûr, Messieurs, elle est à votre disposition. »
Crawly a un sourire cruel, puis il se tourne vers Victoria. « Vous l’entendez, ma petite princesse africaine? Mettez-vous à genoux! Il est temps pour vous d’apprendre la soumission, à genoux dans la poussière d’Afrique, tout en vous occupant des sexes des hommes, comme ils le désirent. »
Les yeux de Victoria lancent des éclairs, elle crie, « Non, jamais! Pas vous! Pas un de vous! Je vous mordrai! » Et en disant ça, elle lui crache au visage.
« Je suis désolé, Messieurs », dit Kaba. « Cette fille manque de dressage. Nous avons beaucoup d’autres filles qui… »
« Je ne veux pas d’une autre fille », déclare Crawly. « Je la veux, elle, mais d’abord, je veux qu’on la punisse. »
« Oui, tout à fait d’accord », dit lord Humphrey, « Les filles comme elles doivent apprendre où se trouve leur place. »
Le Colonel Masterson approuve, « L’empire a été construit par la discipline. On n’est jamais trop strict dans ce domaine. »
Kaba leur dit, « Il y a un jeune garçon qui a besoin de se perfectionner. C’est l’occasion. »
Les hommes approuvent. La sentence est votée à l’unanimité, le jury décide que Victoria est coupable et sera punie. Elle a déjà les pieds enchaînés, ce qui simplifie les choses. Un grand parpaing est déposé sur la chaîne entre ses jambes et trois blocs furent posés dessus. Une deuxième pile fut placée un peu plus loin devant elle. Le but n’apparaît pas clairement, jusqu’à ce qu’un homme vienne avec deux planches d’un mètre de long, formant une sorte de long triangle.
On la place sur les deux piles de parpaings, les planches formant une arête que Victoria fut obligée d’enjamber en écartant très fort les jambes. On lui attache les poignets en dessous de la planche, l’obligeant à rester immobile, bien qu’elle soit capable de se soulever un peu, afin que son entrejambe ne repose plus sur l’arête. Celle-ci est plus aiguë à l’endroit où son sexe se trouve et plus large vers le torse. La partie la plus aiguë lui rentre douloureusement dans la chatte. Pour les trois hommes, le spectacle de son derrière se trémoussant sur l’arête des planches est très amusant.
Victoria essaye de lever son derrière pour que tout son poids ne repose plus sur sa chatte, écartant à la fois ses fesses et ses cuisses.
Comme je la regarde se tortiller, je me rends compte qu’elle souffre sur une version primitive du « spanish donkey », un instrument de torture de l’inquisition. Lord Humphrey doit penser la même chose que moi, car il fait remarquer au Colonel Masterston, « C’est amusant de penser que des hommes de cultures et d’époques différentes inventent les mêmes techniques pour briser la résistance des filles obstinées. »
De la façon dont Victoria se tortille en gémissant et en pleurant, je pense que chevaucher cet « âne » est très douloureux, mais c’est pour son bien. Je sais que la vraie punition n’a pas commencé. Est-ce que j’ai pitié? Non, cela doit simplement être fait et le plus tôt sera le mieux. Victoria a accepté d’être esclave et pour survivre dans son nouveau rôle, elle doit apprendre l’obéissance. A travers ses sanglots, Victoria observe Kaba donner un long fouet à un tout jeune homme, torse nu. Je sursaute quand il fait claquer le fouet dans l’air, comme un coup de feu. Le fouet n’a pas plus qu’un mètre, mais je sais qu’il va enseigner à cette esclave une leçon qu’elle ne sera pas prête d’oublier.
Une partie de moi souhaite intervenir, mais en même temps, mon sexe se tend douloureusement sous mes vêtements.
Je sais que Kaba a l’habitude de dresser les esclaves et qu’il fera donner à Victoria la punition qu’elle mérite. Il vaut mieux laisser faire les choses.
CRACK! CRACK! CRACK! Le fouet claque à nouveau dans le vide. Le garçon essaye son nouveau jouet. Victoria le regarde par-dessus son épaule, ses fesses nues et sans défense se serre au son de chaque claquement du fouet. Son angoisse est palpable.
Je me souvins de son exaspération, quand son père l’a réprimandait parce qu’elle utilisait beaucoup trop la cravache sur son cheval. Maintenant, les choses ont bien changé. Elle est toujours sur une selle, mais qui lui entre cruellement dans la chatte et elle va apprendre ce que son cheval ressentais, quand elle le fouettait. Je sais que la leçon sera sévère, mais je me suis promis de ne pas intervenir, parce qu’elle doit apprendre la leçon. Le Colonel Masterson a raison : il est impossible d’être trop strict sur de telles questions.
Le garçon manie bien le fouet, même s’il marche avec une certaine difficulté. Il est jeune et sa croissance a été difficile, probablement à cause d’une mauvaise nutrition. Ses dents sont noires et Kaba lui parle lentement.
Il nous dit, « Dudu n’est pas gâté, mais les jeunes comme lui font souvent d’excellents fouetteurs. S’ils ne peuvent pas gagner la faveur des femmes grâce à leur physique, leur ressentiment peut être utilisé à bon escient, car ils prennent beaucoup de plaisir à fouetter le derrière des femmes. « 
Posément… Dudu s’approche pour observer le derrière de Victoria.
CRACK!
Le son d’un fouet fait un petit bang quand le bout du fouet passe le mur du son, un fait strictement scientifique qu’il est utile de savoir lors de l’évaluation de l’effet du fouet sur un derrière nu féminin. Victoria crie comme une folle quand le premier coup de fouet atteint ses fesses, les barrant d’une marque rouge très douloureuse.
Il ne faut pas oublier que le but est de punir une esclave insolente et récalcitrante. Cependant, pour bien donner le fouet aux filles, il faut avoir de la pratique. J’observe attentivement Dudu, qui s’apprête à frapper à nouveau.
CRACK!
« Aaaaahhhh! Stop! Arrêtez!! Je vous en supplie! Je ferai tout ce que vous voudrez! »
« Qu’êtes-vous prête à faire? », demanda le Colonel Masterson en riant, « Dites-nous exactement. »
« Je sucerai votre sexe », sanglote Victoria. « Je vous sucerai tous les trois et j’avalerai tout jusqu’à la dernière goutte! »
« Vous le ferez, petite chienne. Vous nous sucerez et plus encore… Mais d’abord, vous allez être fouettée, comme l’esclave insolente que vous êtes. »
CRACK! ! Aaaaaaaaahhhh!! Le cri de Victoria fut difficile à supporter, je regrette de ne pas avoir pris des boules Quiès.
Je me sens très soulagé quand Kaba prit le fouet des mains du garçon et lui remet un bâton grossièrement taillé, attaché à une corde. Il va devant Victoria et lui met le bâton entre les dents. Elle essaye de se débattre, mais Dudu, malgré son âge, n’est pas un débutant et il attache les cordes derrière la tête pour maintenir le bâillon, réduisant les plaintes de Victoria à des petits sons comiques.
Le jeune garçon s’est à peine éloigné que Kaba nous fit une démonstration de son art du fouet sur le cul nu de Victoria.
CRACK!
CRACK!
CRACK!
Trois coups claquent, parfaitement alignés, sur les fesses.
On peut penser que le public plaindrait la pauvre Victoria de se faire écorcher les fesses, mais en vérité, c’est le contraire. Comme elle agite la tête frénétiquement, le bâton de bois retrousse ses lèvres, laissant sa bouche ouverte dans un rictus parfaitement ridicule. En la regardant tortiller son gros derrière et émettre des sons inintelligibles, je fis ce que tous les gens venus en nombre font : je me mets à rire. Il faut dire qu’elle est trop comique!
« Ha! Ha! Regardez la petite chienne remuer son cul! Elle le sent bien, là! », dit Mr Crawly
« Oui, joliment fait », dit Lord Humphrey. « J’ai hâte d’harnacher cette fille pour une bonne balade. »
Le Colonel Masterson approuve, « Avant tout, il faut bien la corriger pour lui montrer qui est le maître. »
Kaba tendit le fouet au garçon pour qu’il poursuive son apprentissage.
Prenant le fouet de son maître, le jeune homme se remit à fouetter avec ardeur.
CRACK!
CRACK! CRACK!
CRACK!
CRACK
Dudu lui donne des coups de fouet particulièrement efficace, à en juger par la salive et les petits cris sortant de la bouche de Victoria. Il est presque aussi habile que son maître.
« Il devrait mettre un peu plus d’effet dans le poignet. », dit le Colonel Masterson.
« Oui, de cette façon, la petite chienne sentira le coup jusque dans ses orteils », approuve Lord Humphrey.
Kaba prend à nouveau le fouet pour montrer quelque chose de nouveau à l’apprenti : deux coups, en succession rapide, le premier obligeant Victoria à s’abaisser puis à soulever ses fesses et le second claque entre elles, meurtrissant cruellement la peau délicieusement sensible de l’anus!
« En plein dans le mille! », s’écrie le Colonel Masterson en riant.
« Bien joué!! », ajoute Lord Humphrey en applaudissant comme s’il venait d’être témoin d’une reprise de volée gagnante dans un match de tennis. « Elle va sentir son trou du cul à chaque pas. »
« Et à chaque merde », ajoute M. Crawly grossièrement.
Kaba explique la technique au jeune homme, mimant l’action à plusieurs reprises avant de recommencer l’enchaînement sur Victoria.
CRACK!
Le cul de Victoria se soulève, ses fesses écartées exposant complètement son anus.
CRACK!! Le deuxième coup de fouet vint mordre son anus et la douleur fait que Victoria remue sa tête dans tous les sens, à tel point que je crois que notre poney va casser son mors en bois avec les dents!
« Est-ce qu’elle fait ça pour nous montrer son trou du cul ? », dit M. Crawly en riant. « Les petites putes qui aiment montrer leur trou du cul méritent qu’on le leur fouette! »
Bien sûr « qui aiment » n’a rien à voir avec Victoria, sa réaction de lever ses fesses étant tout à fait involontaire. Je l’observe attentivement, car elle sait ce qui va arriver. Cependant, le coup de fouet suivant est trop fort pour ne pas avoir le réflexe de se soulever et Kaba met à nouveau en plein dans la cible!
Kaba donne le fouet à l’apprenti pour qu’il mette en pratique ce qu’il vient de lui apprendre.
Il fouette bien, mais il lui est impossible d’atteindre l’anus de Victoria.
CRACK!
CRACK!
CRACK!
CRACK!
Chaque coup claque sur les fesses, mais le deuxième coup ne pénètre pas entre elles. Les cris étouffés de Victoria deviennent encore plus frénétiques, tandis que son cul arbore de nombreuses marques rouges qui se croisent.
Je réfléchis au fait que Victoria n’est pas fouettée pour qu’elle se soumette, puisqu’elle a crié qu’elle le ferait après les premiers coups de fouet. On la fouette pour la punir, car si le but de la correction était seulement la soumission, on aurait cessé longtemps. Mais les fesses nues de Victoria servent de cible pour que le jeune apprenti fouetteur puisse se perfectionner.
Enfin, il y a un cri étouffé de la part de Victoria et une acclamation de la foule, tandis que le jeune homme réussit enfin à la fouetter en plein sur l’anus.
« Bravo mon garçon! », dit Lord Humphrey. « Tenez, c’est pour vous. » Il tend une pièce en argent au garçon qui remercie et lui fait un large sourire édenté. « Recommencez et vous aurez une autre pièce. »
Le jeune garçon, ayant attrapé le bon rythme, réussi à nouveau à frapper l’anus.
CRACK!
CRACK!
CRACK!
CRACK!
Il reçoit une autre pièce.
Je pense que la punition pourrait continuer longtemps, tout le monde appréciant énormément le spectacle… sauf Victoria. Hélas, un incident met fin à cette séance, en tout cas provisoirement.
Deux Occidentaux à peau claire, vêtus de kaki, sont amenés par deux gardes armés auprès de Kaba.
« Mon Dieu! Pourquoi fouettez-vous aussi cruellement cette pauvre fille? », s’exclame l’homme que j’identifie immédiatement comme un Américain du Sud.
« Silence! », dit Kaba, « C’est moi qui pose les questions. Qui êtes-vous? Que venez-vous faire ici? »
« Mon nom est Tim Mc Neely, et voici ma femme, Suzanne. Nous sommes des missionnaires venant des États Unis, du Mississippi. Nous sommes membres de l’église de la Rédemption. Nous sommes à la recherche du marché de la rivière Tendaba. »
« Vous l’avez trouvé. Mais les Missionnaires ne sont pas les bienvenus ici. Cependant, des gens de votre église sont venus une fois dans mon village et nous ont donné des médicaments. Vous faites du bien. Donc, vous êtes libre de partir. Mais vous devez le faire immédiatement. »
« Ces femmes sont elles des esclaves? », demande Suzanne, en regardant la file de femmes nues enchaînées.
« Oui, comme vous le seriez en ce moment, si vous n’aviez pas aidé mon village. Maintenant, partez! »
« Allons chérie », s’exclame Tim, « Je t’ai dit que c’est une erreur de venir ici! »
« Mais ces filles sont nues! », proteste-t-elle, « Je veux leur parler. Je veux pouvoir les aider. »
« Nous risquons de nous faire arrêter ou pire, si nous ne partons pas. Nous n’aurons pas la même chance la prochaine fois. »
« Exactement », répond la femme, « Ici, nous sommes en sécurité parce que notre église les a aidés. Dehors, si quelqu’un d’autre nous capture, je deviendrais sans doute une esclave. »
« Vous feriez une bonne esclave », déclare Kaba. « Vous êtes jolie et Américaine. De plus, vous êtes rousse, donc vous seriez vendue un bon prix au Port. »
« Oh oui, le marché de Port! », répond Suzanne, « C’est dans la ville où nous avons atterri. Je sais où il se trouve. »
« Votre groupe a sauvé la vie de mon père », déclare Kaba. « Donc vous pouvez partir. La dette est payée. »
« Non! Si nous sortons, nous nous perdrons ou nous serons capturés à nouveau. Alors que vais-je devenir? Je veux rester avec vous. »
« Je ne voyage pas avec des femmes blanches », déclare Kaba, « Partez. »
« Certaines de ces femmes sont presque blanches », proteste Suzanne, « Permettez-moi de voyager avec elles. »
« Si je le faisais, », répond Kaba, « vous devriez voyager comme une esclave. »
« Parfait! », dit Suzanne, « Quelle meilleure façon de connaître le sort de ces femmes que de voyager avec elle et dans les mêmes conditions? »
« As-tu perdu l’esprit? », demande son mari, « Ces filles sont nues! »
« Ne sois pas stupide, elles ont des chaînes. Maintenant, sois assez aimable pour te charger de mes affaires et de mon passeport, nous nous retrouverons au marché du Port. »
Suzanne se tourne vers Kaba, « Je serai votre esclave jusqu’à ce que mon mari puisse me réclamer au Port. Marché conclu? »
Kaba réfléchit en examinant Suzanne de la tête aux pieds avec l’oeil d’un professionnel.
« Marché conclu », déclare-t-il tranquillement.
Son mari tente encore de la faire renoncer à ce projet, mais Suzanne ôte son polo déteint et descend la fermeture éclair de sa jupe, au moment où il commence à parler.
Tandis qu’il proteste, des hommes conduisent sa femme chez le forgeron pour l’enchaîner.
« Oh, mon Dieu, des chaînes d’esclaves! Je me suis toujours demandé l’effet que cela faisait. »
« Maintenant vous saurez », répond tranquillement Kaba.
La diversion provoquée par l’arrivée d’une nouvelle esclave terminée, cela marque la fin du fouet pour Victoria, mais pas la fin de ses problèmes. Au moment où je me retourne, je vois que M. Crawly a son pantalon sur ses chevilles, tandis qu’il frotte son gros gland mouillé sur les lèvres tremblantes de Victoria, toujours attachée sur son banc de punition,
« Tu es une dégoûtante petite truie », lui dit Crawly, « Et je ne te laisserais pas venir dans mon lit sans prendre une brosse à poils durs pour te décrasser, mais tu as une bien jolie bouche. »
Victoria frissonne. « Ouvre largement la bouche! », dit Crawly, « C’est ce que les petites esclaves font le mieux. »
Victoria obéit et il enfonce son gros gland dans sa bouche.
« C’est bien, ma petite esclave », ricane Crawly, « Entoure bien la queue de ton maître avec tes grosses lèvres de négresse. Voilà pourquoi ta bouche est faite, malgré tous tes grands airs!
« Au moins tu te tais comme ça! Ne me regarde pas mais regarde ma bite quand tu la suces! »
Victoria le suce avidement, avec beaucoup plus d’ardeur qu’elle ne m’a sucé lors de notre lune de miel. Maintenant, pour elle, c’est une absolue nécessité. Le fouet l’a rendue avide de plaire et attachée comme elle l’est, avec son
entrejambes reposant sur une arrête de bois, et son derrière fraîchement et cruellement fouetté, le souvenir de ce qu’elle vient de souffrir est tout frais dans sa mémoire.
Crawly jouit, obligeant Victoria à tousser et s’étouffer à moitié quand il décharge au fond de sa gorge. Un peu de sperme sort de sa bouche pour aller décorer son menton. Maintenant que Crawly a joui dans sa bouche, Lord Humphrey ouvre sa braguette pour sortir son engin et prendre la suite dans la bouche de Victoria. Cependant, celle-ci a un problème plus urgent. Derrière elle, Dudu, le garçon qui l’a fouettée, après avoir enfoncé un doigt dans sa chatte, la caresse avec son sexe, avant de s’apprêter à la pénétrer!
« S’il vous plaît! », crie Victoria, comme l’adolescent noir édenté enfonce un peu son gland dans sa chatte humide. « Ne le laissez pas me pénétrer sans préservatif. J’ai pris ma dernière pilule contraceptive il y a plusieurs jours. « 
Lord Humphrey sourit en essuyant une goutte de precum qui perle de son méat sur les lèvres de Victoria. « Une semaine, voire un mois, ce n’est pas si long », dit-il avec philosophie. « Peut-être qu’il reste une certaine protection résiduelle. » Il souri en ajoutant, « Mais peut-être pas. »
« S’il vous plaît! Ne le laissez pas jouir en moi… sans protection. « 
« Vous auriez dû y penser plus tôt, ma fille », observe le Colonel Masterson, « Vous auriez dû prendre une pilule ou quelque chose ce matin. Mais en quoi est-ce notre problème ? « 
« Tout à fait d’accord, » approuve Lord Humphrey convenu. « Une question de responsabilité personnelle. »
J’admets que je n’y ai pas pensé de cette façon, et pourtant, ce que dit Lord Humphrey semble judicieux.
Victoria supplie encore, « Ne le laissez pas jouir en moi! J’ai besoin d’une protection! »
« Oh, comme ceci? », dit Lord Humphrey, en prenant négligemment un préservatif dans son portefeuille. « Dois-je demander à ce jeune homme de mettre ceci? »
« Oui s’il vous plaît! », gémi Victoria, « Donnez-le-lui! »
« Comment ça, donnez-le-lui? », dit-il en la regardant dédaigneusement. « Les filles de votre espèce sont toujours à la recherche de quelqu’un pour leur donner quelque chose. Je vais vous le vendre pour 50 pence. Un prix très raisonnable, dans ces circonstances. »
« Mais… mais je n’ai pas d’argent! » sanglote Victoria.
« Bien sûr que vous n’en avez pas », gronde t’il, « Vous êtes une sale petite pute qui court nue et écarte ses cuisses pour montrer sa fente humide. Toujours à la recherche d’une aumône! Eh bien, vous n’en recevrez pas aujourd’hui. »
Voyant la nécessité de donner une sévère leçon de morale, le Colonel intervient, « Vous voyez ma fille, si nous vous donnons ça, simplement, vous n’apprendrez rien sur la valeur de l’argent. Mais si nous laissons les choses se faire, vous apprendrez une leçon et une bonne leçon, je le crains. »
Victoria le regarde, bouche bée. Non seulement on lui refuse un préservatif, mais on lui fait la morale de la même façon qu’elle l’a souvent faite elle-même.
« Tout à fait d’accord avec vous », dit Lord Humphrey, « Laissons la petite pouliche se faire monter à cru. »
« Oui, vous avez raison, » ricane M. Crawly. « Si elle se fait engrosser, ce sera une bonne leçon. »
Les protestations de Victoria s’arrêtent nettes car, tandis que le jeune homme pénètre dans sa chatte humide en riant, Lord Humphrey enfonce son membre dans sa bouche.
Il se moque de Victoria tandis qu’elle le suce, « Sucez bien le pénis de votre maître, comme vous suciez les sucettes que je vous donnais quand vous étiez petite. Je vais bientôt vous donner une belle grosse décharge de savoureuse crème blanche pour vous gargariser. Je veux que vous la gardiez en bouche pour bien apprécier le goût, jusqu’à ce que je vous permette de l’avaler. Puis, ce brillant jeune homme, qui a si bien fouetté votre gros derrière, vous enverra une belle grosse décharge dans votre chatte non protégée. Peut-être vous mettra-t-il enceinte. Mais ne vous inquiétez pas, si ce n’est lui, il y aura assurément un autre gentleman, ici présent, qui y arrivera. »
Effectivement, une rangée de Noirs se trouve devant eux, attendant leur chance de la baiser. Il y a une autre rangée qui attend que Lord Humphrey ait terminé afin qu’ils puissent, eux aussi, profiter de la bouche de Victoria. Bubu s’étant retiré, un autre homme la pénètre, Victoria tente de se décoller de la planche de bois, pour essayer d’att****r le préservatif jeté par terre, tout en suçant toujours Lord Humphrey. Un préservatif! Elle aurait tout donné pour un préservatif. Hélas, elle n’a plus rien!
Conscient que Victoria allait être occupée pendant un certain temps, je me promène dans le marché pour remplir ma gourde.
Les ventes continuent, Kaba a vendu une vingtaine de filles et acheté trois esclaves à la peau plus claire. Il se sent confiant pour le marché au Port. Comme je remplis ma gourde, Kaba me dit que nous allions prendre un autre chemin, pour passer par un autre marché. « Ils marquent les filles au fer rouge, là. », dit-il avec désinvolture, « Travail de première classe. »
Je ne réponds rien, mais je me souviens que la marque sur le derrière de Victoria a simplement été postposée jusqu’à ce que nous arrivions à un endroit où elle pourra être faite correctement. Un tel endroit est maintenant à une journée de marche.
Soudain, j’entends une fille crier. Je me retourne pour voir d’où ça vient. Suzanne, qui, quelques minutes auparavant, était encore une missionnaire, est maintenant devenue une esclave nue et enchaînée, entourée par une foule d’Africains hilares. Sa peau pâle et sa belle chevelure rousse les fascinent. Leurs mains la touchent partout : ses cheveux, ses bras, son dos, ses jambes, ses seins, et bien sûr entre les jambes. Un homme compare son bras recouvert de poils roux avec le sien, glabre. Un groupe de femmes, agenouillées entre ses cuisses, caresse sa chatte en riant. Elles pincent son clitoris pour le faire sortir de sa cachette. Le visage de Suzanne est presque aussi rouge que ses cheveux, mais personne ne se soucie de sa gêne. Maintenant, elle sait ce que c’est, être une esclave.
Une partie de notre voyage se fera au cours de la journée et Kaba m’a demandé si je veux que Victoria soit protégée du soleil comme les autres filles blanches, ou si je préfère savoir si Mr Crawly a raison et me rendre compte jusqu’à quel point la peau de Victoria peut devenir foncée ou même presque noire.
Victoria étant déjà foncée et le devenant plus encore, elle pourra passer pour une métisse. Cela permettra de diminuer sa valeur et, avec un prix inférieur, je peux être en mesure de faire une offre. Mais bien sûr, si elle devenait noire, Kaba pourrait décider de ne pas l’amener au marché du Port et de la vendre en chemin, dans une plantation ou Dieu sait où.
Connaissant les moyens dont dispose Lord Humphrey et ses amis, je sais que je ne pourrai pas emporter une enchère contre eux.
Quelques jours sous le soleil africain peuvent être une chance de réduire son prix.
Si elle devient plus foncée, beaucoup plus foncée, je pourrai proposer une enchère. Quoique contre les trois hommes…
Je me rappelle ce que disait la femme de chambre, « Le soleil la gâte comme une banane « .
Je me demande ce que je dois faire. J’ai besoin que son prix soit abordable et une banane gâtée peut devenir très noire.

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