Le lendemain matin, je reveillais ma mère vers 9h du matin. Elle ne m’avait pas entendu me lever, ni être sorti pour aller à la boulangerie acheter des croissants. J’avais pris ensuite deux gobelets de café au distributeur du Formule 1 au rez de chaussée. Et ce n’est qu’une fois avec tout cela disposé sur la petite table de la chambre que je reveillais ma mère.
– Il est quelle heure, marmonna t-elle doucement. Elle sentit l’odeur des croissants et du café et ajouta « tu es sorti ? »
– Il est 9h maman. Il faut liberer la chambre à 11h, mais j’ai vu à la réception pour la garder encore un jour, le temps que l’on se décide de ce que l’on fait. Je pense qu’il faut prendre son temps, et que de partir chez ta soeur est vraiment une mauvaise idée.
Ma mère se redressa doucement dans le lit. Elle tira le drap contre elle pour se couvrir les seins.
– Faut que je reflechisse à tout ça. C’est bien d’avoir pris un jour de plus. Tu as eu raison. Tiens, tu peux me donner mon sac, que je prenne de quoi m’habiller.
Je fis deux pas vers le fauteuil sur lequel était posé le sac de ma mère, et jeta un oeil à l’interieur.
– Tu veux quoi ?, lui dis-je, en y plongeant la main, et en sortant deux soutien gorges et deux culottes. « Ca te gène si je choisis ? », ajoutais-je.
Ma mère écarquilla les yeux avec un sourire surpris, tandis que je lui amenais une culotte noire toute transparente.
– Tu sais, fit ma mère, ce qu’il y a eu cette nuit, il va falloir l’oublier. Je vais te pardonner d’avoir été ainsi, même si ça va me demander de gros efforts, car ce n’est pas rien. Je n’arrive pas à réaliser en fait. J’étais tellement perturbée d’être partie de la maison. Et tu étais tellement en colère.
– Tu ne te sens pas plus proche de moi ce matin ? Il y a quelque chose d’unique entre nous maintenant.
– Quelque chose qui ne devrait pas être.
– C’était tellement fort parce que c’était avec toi. Avec ma copine c’est vraiment différent. C’était intense à un point. J’ai cru que mon coeur n’allait supporter l’excitation.
– C’est parce que tu savais que tu faisais quelque chose de mal.
– Pourquoi de mal ? Ne me ments pas en me disant que tu n’as pas aimé.
Ma mère prit un ton grave : « Bébé… Je ne veux pas te décevoir, mais je te rappelle quand même que tu m’as forcée ».
– J’ai estimé que ça me revenait. Avec tout ce que tu m’avais dit et fait subir. Et je te rappelle aussi quand même que tu dépends de moi financièrement.
– C’est un peu facile, tu as dépendu de nous financièrement toute ta vie.
– Aujourd’hui ce n’est plus le cas.
Je tendis la culotte que j’avais choisi à ma mère.
– Je ne veux pas que tu mettes de soutien gorge. Et tu mettras ton chemisier blanc.
– Non mais, ça va toi ?, fit ma mère.
Sans l’écouter, je pris son téléphone portable qui était en charge, et je regardais ses SMS. Il y en avait 4 de mon père, suite aux 2 photos qu’elle avait envoyé. La première était un peu floue, dans le mouvement, c’était dommage, mais la seconde était parfaite, on voyait ma queue plantée dans son cul, et elle se tenait la chatte ouverte d’une main. Les SMS étaient assez éloquants : « SALOPE », « TU ES AVEC QUI », « J’AI BLOQUE LES COMPTES ET JE JETTE TES VETEMENTS A LA POUBELLE », « NE METS PLUS LES PIEDS A LA MAISON ».
– Papa est furax, mais bon, tu voulais le blesser, je pense que tu as atteint ton objectif. Surtout s’il savait que c’est moi qui t’enculait.
– Ne dis pas ça, fit ma mère.
– Je ne le dirai pas à papa, ne t’inquiète pas.
– Non, je veux dire, ne dit pas ça. Même à moi. Je ne veux plus qu’on en parle.
– Maman, ça te gène à ce point ?
Alors que ma mère prenait un air encore plus serieux, je tirais les draps vers moi, dévoilant sa poitrine généreuse, que je me mis à carresser doucement. Elle se redressa et tenta de s’écarter un peu mais je suivis son mouvement. Je lui titillais mes mamelons, puis recommençais à lui carresser la douceur de sa poitrine.
– Maman, laisse toi faire, ne me dis pas que ça ne te fais pas du bien.
– Tu te rends compte de ce que tu fais et que je ne veux pas de ça ?
– Tu veux que j’arrête ?
– Oui.
Je m’écartais de ma mère, et me leva. Je fis quelques pas, et me mis à pleurer silencieusement. Je passais de l’autre coté du lit, et m’allongea, recroquevillé sur moi-même.
Ma mère se leva, alla à la salle de bain. Puis je l’entendis revenir, s’installer à table, boire son café qui avait du bien refroidir, et manger un croissant. Elle me lança un « tu ne viens pas à table ? », mais comme je ne répondis pas, elle n’insista pas.
Je l’entendis ensuite ranger des affaires, faire couler de l’eau, s’activer à droite et à gauche. Puis je sentis sa présence pas loin de moi. « Tu vas rester coucher ou tu vas venir faire des courses avec moi ? »
Le ton était un peu sec et accusateur. Je me tournais un peu pour la regarder. Elle fut un peu surprise de me voir pleurer. Elle s’était habillée et maquillée, coiffée, et était prête à sortir. Elle avait mis son chemisier blanc et une longue jupe noire. Elle n’avait pas beaucoup d’affaires de toute manière.
– Et tu veux faire des courses avec quel argent ?
– Allez, ne recommence pas ! répliqua ma mère.
– Non mais, si tu es si sure de toi, vas-y toute seule. Ou sinon on y va ensemble. Mais je vois que tu as mis ton soutien gorge là.
Ma mère se retourna, fouilla dans les poches de ma veste, et sortit ma carte bleue.
– Tu peux faire ces jeux là avec ta copine si tu veux, mais pas avec moi. C’est quoi ton code ?
– Putain, tu m’as gavé !
Je me levais d’un saut et m’approcha rapidement de ma mère. Elle fit tomber la carte bleue par terre, tandis que je la saisis et la poussais vers le lit. Je lui retroussais la jupe tandis qu’elle poussait des « non » de plus en plus répétés, tout en gesticulant et essayant de me repousser. Je vis sa culotte – la noire que je lui avais donné – et son pubis apparaissait au travers. J’écartais la fine dentelle sur le coté, et laissa apparaitre la fente entreouverte de ma mère, dans laquelle je plongeais mon visage. Ma langue se mit à la lécher activement et profondemment, tout en remontant régulierement sur son clitoris.
– Arrête, je t’en supplie, arrête !, fit ma mère, alors que le parfum de sa chatte emplissait ma bouche. Elle continuait de se débattre, et je me pris une giffle, puis une seconde. Furieux, je me redressais en sortant ma queue de mon caleçon, et j’orientais mon sexe vers elle, tandis que mon autre main lui immobilisait un bras contre le lit. Un long jet de pisse gicla et arrosa ma mère sur son chemisier , sur toute la hauteur. Elle sursauta et se débattit de plus belle, tandis que je me vidais la vessie sur elle.
– Mon Dieu ! Mon dieu ! marmonnait-elle.
A peine eu-je fini, que je présentais mon sexe durci contre sa chatte, et je la pénétrais.
– Non ! sors de moi !
– Tu es à moi maman, maintenant. Tu as quitté papa, tu es à moi !
– Arrête ! mais arrête !
J’entendais des petits bruits mouillés à chaque fois que je glissais dans la fente de ma mère. De même, je la sentis de plus en plus trempée et de plus en plus offerte à moi, malgré ses mots, et ses bras qui me poussaient encore et encore. Sa lutte était de plus en plus vaine, je sentis ses bras me pousser de moins en moins fort, jusqu’à progressivement, tomber le long de son corps, sur le lit. Elle en disait plus rien. Elle me laissait la pilonner, en regardant le plafond, sans rien dire. Je la baisais, et je lui carressais le clito en même temps. Son indifférence ne dura pas longtemps. Au bout de quelques minutes, elle jouit, en se recroquevillant sur elle-même. J’en profitais pour la retourner, et lui présenter mon gland entre ses fesses. Elle voulut se retourner pour m’en empêcher mais je la tenais fermement contre le lit, et je forçais mon gland contre son anus. Il entra doucement, suivi de toute ma verge, tandis que ma mère poussa un long rale. J’enculais à nouveau ma mère. Si ce n’était pas anodin. Elle leva le ton contre moi. Ca me rappella les fois où elle m’avait grondé ou puni, quand j’étais plus jeune. Mais là, c’était moi qui avait le dessus. Sa colère laissa place à des larmes, tandis que je la sodomisais de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je lui démontais royalement le cul. Son cul était fait pour ma queue.
Au moment de jouir à mon tour, je sortis ma queue, et me rapprochais de son visage. Ma mère pleurait toujours, son maquillage avait coulé, elle était bonne pour tout refaire, et se changer, évidemment, les vetements trempés d’urine.
J’éjaculais à deux reprises sur son visage, pleine face, et elle fit la grimace.
Je me relevais doucement, et alla prendre une douche. Quand je revins, ma mère était assise sur le bord du lit.
Elle avait son téléphone à la main. Elle n’avait personne à qui apeller.
– Va te changer, on va sortir, je vais t’acheter des vetements, et ensuite je t’amenerai au restaurant. On ira aussi à la pharmacie acheter de la vaseline.
Ma mère se leva et alla doucement à la salle de bain. Elle prit sa douche.
Elle se mit un autre chemisier et un pantalon.
On sortit vers 11h30.
Petit détail, elle n’avait pas mis de soutien gorge.
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